Ville d'Y près. Gérard WATREMEZ, Plus de Cheveux Blancs. MEUBLES A VENDRE Guano et Nitrate de Soudi HOTEL S'-PIERliE P. DEHEM, PIANOS. L'ALLIANCE KORLOGÈRE DEPOT Actes officiels. Nécrologie. PHOTOGRAPHIE A YPRES. Le Lundi 15 Octobre 1877, 11. COPPIN-DEGRAVE Calé-Restaurant, P. VAN DEN Bl'LKE, AVIS. Les jeunes gens qui désirent sui vre les cours de chant ou de violon de MM. Devos et Beyer, sont priés de se faire inscrire au Secrétariat de l'Hôtel-de-Ville. Ces cours reprendront Pour la classe de violon le Mercre di, 3 Octobre 4 1/2 heures. Pour le cours de chant, le Samedi 6 Octobre 4 1/2 heures. 9 heures du matin, le Notaire TITECA. Ypres, vendra publique-, ment, la mortuaire de Monsieur Vandermeersch- Vandaele, rue Longue du Marais, Ypres, les Meubles dont la désignation suit Tables jeu, coulisses et autres, table guéridon, canapés, fauteuils, chaises bourrées et autres, armoires, bancs, pendules, candélabres, vases en marbre, glaces, trumeaux, horlo-î ge, déjeûner en porcelaine, secrétaire en acajou, bois de lits, poêles, cui-[ sinière, stores, rideaux, différents tableaux, un Christ en bois sculpté,' statuettes en terre cuite, bibliothè ques avec rayons, tables de nuit, la vabos, une garniture en cristal, un magnifique service en porcelaine in dienne, cave liqueur, tapis, tabou rets, balance et poids en fer, une Igrande quantité de bois brûler, bois de construction poutre en chêne, échelles, gradins pour fleurs, beau coup de belles plantes et fleurs, ta bles, chaises et corbeilles en fer pour jardins, batterie de cuisine et beau coup d'autres objets trop long énu- mérer. Livres d'histoire et de littérature, et un joli manuscrit de l'an'née 1611. Cette vente se fera au comptant par le ministère du Notaire TITECA, Ypres, rue d'Elverdinghe. expédie franco et des prix très ré-j duits de bonnes montres or, argent! et bronze d'aluminium, payablesaans\ le délai d'un an. S'adresser la dite fabrique ou des agents généraux dans tous les pays. (Aff. avec un tim bre de 30 centimes). situé au nord de la Grand'Place, Ypres, ainsi qu'une quantité de 3 4,000 bouteilles de vieux vins fins. S'adresser chez le Notaire Vander meersch, Ypres. VENTE EXCLUSIVE EN GROS ANVERS- Par une simple location réguliè rement pavée,on devient propriétaire d'un excellent PIANO de Paris. S'adresser chez M. H. EMMERY, Coin de la rue au Beurre, Ypres. CHARBONS ET COKES EN GROS. I Les envois se font franco. Voici les renseignements que nous avons pu recueillir sur cette affaire qui ne manquera pas, sans doute, de produire, non-seulement Bruxelles, mais dans le pays entier, une vive émotion. Il y a quelque temps, un gendarme faisant partie de la brigade de Liège comparaissait devant le conseil de guerre de la province pour dénonciation caloinni> use l'égard d'un de ses supérieurs. Il fut condamné, et c'est pendant qu'il subis sait sa peine qu'il avoua être l'auteur du crime de la rue de la Loi. Il avait été employé la station il quitta ce service après une dispute qu'il eut avec le ch- f, et ce serait pour se venger de ce dernier qu'il commit l'épouvantable crime que l'on sait. Comme il était doué d'une certaine instruction et possédait de bons certificats, il parvint s'engager dans îa gendarmerie et certes ce n'est pas dans ce corps d'élite qu'on pouvait s'at tendre découvrir un assassin. (Etoile.) -■-La grève est complètement terminée h Charleroi. La troupe a été rappelée par dépêche. On écrit de Mons que la grève a complètement cessé dans la Borinage. lin individu qui se noie, qui p isse une nuit entière dans les eaux du canal, que sa famille reconnaît le lendemain, qu'on enterre, et qui au bout de quinze jours reparaît bien portant, en un mot un mort ressuscité n'est pas chose qui se voit tous les jours. Le 8 ou le 9Seplembre, on annonçait Nai bonne la mortde Paul Marquier, qui s'était noyé dans le bassin de l'Ecluse. Tout le monde cioyait donc Paul Marquier noyé, mortel enterré. Sa femme, ses enfants, sa famille pluraient sa perte. Samedi, au repas du soir, Paul Marquier rentrait fort tran quillement son domicile. Qu'on juge de la surpiise, de l'épouvante et finalement de la joie de ses parents. Ils n'en pouvaient croire leurs yeux, et pourtant c'était bien lui, lui, Paul Marquier, qui était allé faire une excursion, non pas chez les morts, mais dans un village voisin, et qui n'avait jamais songé se noyer. Celui qu'on avait pris pour lui était un autre. Le piquant de tout ceci, c'est que, quoique en vir, Marquier est mort aux yeux de la loi, et il lui faudra obtenir un juge ment pour reprendre son rang parmi les vivants. Mardi, une heure, M. Philipps, changeur, rue de la Madeleine, Bruxelles, a été victime d'un vol exécuté dans des conditions assez singulières. Un jeune homme lié avec un employé de ce changeur s'est introduit dans la partie des bureaux non accessible au public et, tout en causant, s'est emparé de deux titres de mille francs et d'un titre de deux mille francs de 4 1/2 p. c. belge, après quoi il s'en est allé comme si de rien n'était. Ce n'est que vers cinq heures que M. Philipps, s'est aperçu du vol, et, comme personne n'était entré dans son arrière- bureau, il ne lui a pas été difficile de deviner quel était l'au teur du méfait, mais celui-ci n'avait pas entendu son reste il avait disparu sans laisser de (races, non sans avoir déjà négocié un des litres volés chiz un autre changeur, M.Cohen, demeurant rue du Midi. La justice informe. Les titres volés portent les numéros suivants Titre de 2,000, sixième série, n. 2719; titre de 1,000 troisième série, n. 19,719 et 75,750. On lit dans Y Echo d'Ostende Les travaux dirigés par MM. les capitaines Mersch et Van Noorbêck, pour enlever au nioyni de la dynamite, l'épave du 3-niâts barque français Cap Hoiyi, se poursuivent avec activité. Vendredi, le détacln nieiit des pontonniers et des artifi ciers du génie, s'est rendu de nouveau, cette fois avec la mouche vapeur, l'endroit où la bouée indique l'emplace ment du navire. A marée basse, de fortes détonations se sont fait entendre, démontrant que la dvnamite-faisait son œuvre de destruction. Ces travaux se sont répétés hier et d'ici peu de jours, tout le navire aura disparu. On annonce la mort Èernéy du nommé Joseph Tropp- uiann, âgé de 04 ans, mécanicien. C'était le père de Troppmann, l'assassin de la famille Kiock, de Roubaix. La diiection du Bureau Yévitas vient de publier la statistique suivante des sinistres maritimes, signalés pendant le mois d'août 1877, concernant tous les pavillons. Navires voiles signalés perdus 39 Anglais, 10 Améri cains, 9 Français, 9 Norvégiens, 0 Allemands, -4 Hollandais, 3 Suédois, 1 Espagnol, 1 Italien, 1 république Nicaragua, 1 république Equator, 5 pavillons inconnus total 87. Dans ce nombre est compris un navire supposé perdu par suite de défaut de nouvelles. Navires vapeur signalés perdus 7 anglais, 1 Italien, 1 Suédois, 1 pavillon inconnu total 10. Dans ce nombre est compris 1 vapeur supposé perdu par suite de défaut de nouvelles. On lit dans Y Echo du Nordde Lille: On signale quelques cas de la maladie des bestiaux dite la cocottequi se sont produits dans plusieurs communes des environs de Lille, notamment Lhomme et Halluin. Grâce aux mesures prises par les autorités locales, on espère que le mal ne pourra pas prendre d'extension. Cette maladie, parait- il, a été rapportée par des troupeaux provenant de la Belgique. Le 25 Septembre, un wagon chargé de bestiaux venant de Bruxelles destination de Lille, a été visité la gare de Touicoiug par M. Crieux, vétérinaire Roubaix. Plusieurs bestiaux ayant été reconnus atteints de la cocotte, le wagon a dû rétrograder sur Bruxelles. Une dépêche de Rome annonce la mort du carninalSixte Riaro Sforza, archevêque de Naples. On le considérait comme l'un des membres du Sacré-Collége ayant le plus de chance de succéder Pie IX. Le jeune Oscar P... a fait un héritage et est en train de l'expédier. Hier, il invite quelques amis dîner au restaurant. Mécontent de la lenteur du service, il s'oublie jusqu'à don ner uii souffb-t au garçon. Ce dernier se contient et ne dit pas un mot. Mais, quand on apporte l'addition, l'homme la main leste recula av c effroi. Voici ce qu'il avait lu Deux soufflets 200 francs. Comment deux cents francs Oui, monsieur, lui répond le garçon, quand je ne lts rends pas, c'est cent francs la pièce. Par arrêtés royaux du 25 Septembre, des décorations ont été accordées aux travailleurs industriels nommés ci-après: PROVINCE DE FLANDRE OCCIDENTALE. Décorations de lre classe. C. Desauw,contre-maître de l'usine pour l'éclairage au gaz Coutrai L. D.ckmyn, contre-maître de tissage Koulers. Décorations de i' classe. L. Baete, ouvrier typo graphe Bruges P. De Swarte, ouvrier cordier, id.;L. Gvdé, contre-niaitre tanneur, id. J. Herenllials, contre-maî tre typographe, id. J. Pladys, tisserand, id. L. Schoone, ouvrier chaudronnier, id. E. Van Tomme, ouvrier joallier, id.; A. Depagie, ouvrier bourrelier CortemurckE. Van Elslander, forgeron Courtrai F. Dcuhal, ouvrier brasseur Herseaux; J. Ferdinande, contre-maître bottier àOstende; J. Dedeckrr, contre-maître tonnelier, id.; P. Gh quière, contre-maître tisserand Roulers;C. Cafmeyer, ouvrier char pentier Thourout; F. Descamp, ouvrier meunier ethuiilier, id. A. Maes, ouvrier potier, id. L'honorable M. de Sélys-Longchamps, sénateur de Warem- me, vient d être cruellement éprouvé par la mort de Mme Desmanelde Biesme, veuve de M. J.-G. d'Omalius d'Halloy, sa belle-mère, décédée au château d'Halloy le 25 Septembre, l'âge de 81 ans, la suite d'une courte maladie. Mme d'Omalius était la veuve du géologue qui a marqué d'un si vif éclat dans la science belge. rue <le Bocsinghe, 11, Ypres. L'eau iiidieune,!a seule vé» itable et approu vée par la chimie, récompenséfà l'Exposition uni verselle de Lyon, par une médaille de bronze, la propriété infaillible, reconnue depuis 50 ans, de teindre la minute, en toutes nuances et pour tou jours, les Cheveux et la Barbe, tout en leur donnant souplesse et vigueur. Cette composition, tout fait inoffensive, d'un emploi facile et prompt, estla plus recherchée dans le monde élégant. Elle a été recommandée par le Journal delà Parfumerie. Le prix de la boîte est de 6 francs. 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Le Progrès (1841-1914) | 1877 | | pagina 3