m té. s s VARIÉTÉS. té té o té o Q s •i .5 g s a fa fi fi fi a fi *fi fi 2? o* si fi fi té fi fi 2 >3 'E té Nous livrons sans commentaires le fait la publicité et nous laissons nos concitoyens, aux pauvres, aux détaillants de notre ville, le soin d'apprécier l'opportunité et la conve nance de la mesure prise par nos édiles. D'après nos renseignements, la commission se serait déjà adressée au Serment du Parc St-Georges, qui, nous en sommes convaincus, s'empressera de leur accorder l'hospitalité dans ses salons. Constitution Le 18 courant, le train de marchandises partant d'In- gelmunster Roulers, a déraillé en entrant Iseghem. La nuit du 15 au 16 courant, vers minuit, un incendie a éclaté en la commune de Staden, dans une maison con struite eu briques et couverte en chaume, appartenant et occupée par le nommé Lauagie, .Lan. En moins de deux heures, bâtiment et tout ce qu'il contenait est devenu la proie des flammes. La perte s'élève 6,000 fr., couverte par l'assu rance. Nous empruntons un journal de Paris, les détails suivants au sujet du mariage du roi d'Espagne u C'est le nonce du pape qui doit bénir le lit nuptial deux grands d'Espagne de première classe passeront la chemise au roi et deux grandes d'Espagne la reine. Les équipages qui doivent servir le jour du mariage sont en glaces et dorés l'intérieur, ils sont drapés de satin blanc. Les douze chevaux des voitures des fiancés sont complètement blancs. Ils sont tenus en inain par douze valets de pied vêtus de salin blanc, avec des touffes de fleurs d'oranger au chapeau et au côté. Profitions de l'occasion pour annoncer que la robe de noces de la Reine est en dentelles, qu'elle est confectionnée Bruxelles et fait honneur l'antique réputation de notre cité. Le Figaro dit qu'on vient d'expulser d'un des cercles de Paris, pour avoir volé au jeu, un homme, de la famille la plus honorable, faisant partie des grands corps politiques de la France, chevalier de la Légion d'honneur, pour le moins, et possesseur de 150,000 livres de rente, au moins. Depuis longtemps déjà, ses adversaires avaient remarqué qu'au piquet il lui arrivait parfois de reprendre dans son écart, et d'annoncer des quatorze qu'il n'avait pas. On apprit bientôt que la personne en question avait déjà été expulsée d'un autre club, pour des raisons semblables. Quelques membres du cercle se rendirent alors au comité, lui dénoncèrent les faits et demandèrent que l'exclusion du coupable fût prononcée, ce qui fut fait. Un jeune employé d'une fabrique de Pantin, nommé Eugèoe, avait été envoyé lundi Paris en recouvrement. Il s'en allait, son petit sac sur l'épaule, faire ses recettes, quand il rencontra une ancienne connaissance du bal du Château-Rouge, Mlle Emma. Celui-ci fil si bien, qu'au lieu de continuer ses courses, on s'en alla dîner ensemble, après quoi ils rentrèrent chez Emma. On continua cette joyeuse existence le lendemain en déjeù- nant dans un grand restaurant de Belleville. Eugène ne sup portait pas bien le Champagne il s'endormit dans la chambre d'Emma, mais il eut la précaution de placer sous son oreiller la sacoche dont le contenu, 480 francs, était déjà ébréché par les dépenses des deux jours. Le soir, vers 7 heures, il se réveilla, Emma et la sacoche avaient disparu. N'osant rentrer chez son patron, le jeune homme prit le parti de se tuer. Il se frappa de plusieurs coups de couteau au ventre et tomba en poussant des gémissements. Une voisine, qui l'entendit, arriva et donna l'alarme. Le patron du garni fit appeler un médecin et le commissaire de police; les blessures étaient graves, mais non mortelles. Après avoir donné des explications au magistrat, Eugène fut conduit l'hôpital Lariboisière. Le soir même, Mlle Emma était arrêtée en compagnie d'un individu avec qui elle faisait bombance, dans un café près du théâtre de Belleville. Tous deux furent conduits au poste. Là elle apprit l'acte désespéré du jeune Eugène. Ses réflexions se résumèrent en un seul mot Cornichon s'écria-t-elle. Elle a été maintenue en état d'arrestation ainsi que son compagnon. Celui-ci devait connaître le vol, car il avait sur lui une certaine somme dont il n'a pu justifier l'origine, et qu'il avait sans doute reçue de la jeune fille. Au tirage de Lundi de l'emprunt de Bruxelles 1874, le n° 52529 a gagné la prime de fr. 25,000; le n° 270564 fr. 3,000; les n" 173627, 234008 fr. 1,000; les n» 200619, 310222, 51316G, 542093, 559222, 589102, 658926, 691855, fr. 500. Un des typographes faisant partie de l'atelier de l'Etoi le a été victime, Lundi, d'un vol audacieux. Tandis que H. Van Mulders qui habite chaussée de Merchlhem se trouvait au travail, et que sa femme s'était rendue au marché, un voleur s'est introduit dans la maison et, après avoir frac turé la porte d'entrée, a enlevé d'une malle tout l'argent que possédait M. Van Mulders, environ 400 fr., le fruit de ses économies. On lit dans l'Athenœum belge: L'établissement géographique de Van der Maelen cesse d'exister. M. Joseph Van der Maelen annonce qu'il a résolu, d'accord avec ses coinléressés, d'en abandonner l'exploitation, qu'il avait entre prise en 1869, pour continuer l'œuvre de son père. Les offres pour la cession de tout ou partie du matériel, pierres litho graphiques, cartes en magasin, etc., seront reçues jusqu'au 31 Mars. Quant au musée annexé l'établissement, il y a lieu de croire que la maison Van der Maelen cherchera vendre en bloc les curieuses collections qu'il renferme. On écrit de Doische au Journal de Charleroi que toutes les recherches faites jusqu'aujourd'hui pour découvrir les auteurs du double crime commis récemment dans cette localité, sont restées infructueuses. Neuf arrestations ont été déjà opérées, mais il paraît qu'on ne tient pas encore les assassins. L'enquête se poursuit activement. Quantàla dame Sirgaot, on craint toujours pour ses jours son état est très grave et laisse peu d'espoir. On est très inquiet dans toutes les localités environnantes: Gimnée, Malagne on n'est pas non plus sans crainte. Ou croit voir des assassins dans tous les étrangers figure suspecte qui se présentent. Le chemin de fer de l'Etat met en adjudication quatre- vingt-seize voitures voyageurs, d'un nouveau type. Elles seront couloir seulement, le couloir au lieu d'être central, longera l'une des parois, formant ainsi une sorte de corridor sur lequel s'ouvriront les portes vitrées des compar timents. Enfin, les ebauffrettes actuelles, si déplaisantes avec leur roulage, seront remplacées par des poêles dans le cor ridor. On sait qu'après les funérailles, le corps du roi Victor- Emmanuel a été déposé provisoirement dans l'église du Pan théon, vulgairement désignée Rome sous le nom de Roton- da. Voici quelques détails sur ce temple qui est le monument circulaire le plus remarquable que nous ait légué l'antiquité Le corps de l'édifice date du temps de la république Agrip pa, gendre d'Auguste, qui le dédia tous les dieux, y ajouta, vers l'an 14 de Jésus-Christ, le poi tique extérieur et un grand nombre de colonnes. L'intérieur du Panthéon est uoe rotonde couverte d'un dôme de 43m 50 de diamètre, mesure qui est exactement aussi celle de la hauteur. La forme ronde fut adoptée, dit plaisamment Lucien, afin d'empêcher toute dispute de pré séance entre les dieux, dont les statues étaient uniformément rangées en cercle. Pline ajoute La voûte fut construite convexe pour représenter la voûte céleste, véritable demeure des dieux. Le style du temple est d'ordre corinthien. Le superbe portique, qui est oclaslyle et supporte le fron ton, est orné de seize colonnes en granit oriental, faites d'un seul bloc et hautes de 14 mètres 35 centimètres. Le profil est hardi, et l'exécution très-remarquable. On montait autrefois au portique du Panthéon par sept degrés il n'en reste plus que deux. A droite et gauche de la grande porte d'entrée sont deux grandes niches qui contenaient les statues colossa les d'Agrippa et d'Auguste. Le plafond du portique était primitivement décoré de lames de bronze doré dont il a été dépouillé diverses époques. Le Panthéon n'est éclairé que par une seule ouverture pratiquée dans la coupole et mesurant près de 9 mètres de diamètre. La tribune du inaitre-autel est creusée dans l'épaisseur du mur et formée d'un demi-cercle dont le grand arc, semblable celui de la porte d'entrée, est décoré de deux grosses colon nes cannelées. Autour de la rotonde s'ouvrent six chapelles également prises sur l'épaisseur du mur chacune d'elles a deux pilastres et deux colonnes qui soutiennent une majes tueuse corniche de marbre blanc avec frise en porphyre. Entre les chapelles on voit huit édicules transformés par les chrétiens en autels. Raphaè'l, en mourant, désigna le troisième de ces édicules gauche en entrant pour lui servir de tombeau il chargea ses héritiers de le faire restaurer et de faire sculpter en marbre par Lorenzelto, son élève, la statue de la Madone qu'on aperçoit dans la niche, et laquelle on a donné le surnom de Madonna tel Sasso la Vierge du Rocher). Le célèbre peintre fut enseveli dans le soubasement de la statue derrière l'autel. Ses restes, ayant été découverts le 14 septembre 1833, furent replacés au même endroit le 18 octobre en grande pompe. On a cru longtemps que le crâne de Raphaè'l se trouvait l'Académie de Saint-Luc, Rome. Gœlhe lui-même partagea l'erreur commune; il écrivait en 1786: «l'Academie de Saint-Luc possède le crâne de l'amant de la Fornarina. Cette relique me parait, véritable; car la construction osseuse est admirable est disposée de manière qu'une belle âme eût pu se promener là-dedans son aise. C'était celle d'un insigne scléléral; le crâne de Raphaël n'avait j amais quitté le Pan théon. Cette église possédait autrefois une congrégation composée d'architectes de peintres, de sculpteurs. Aussi y voyait-on une quantité innombrable de bustes et de monuments funè bres: ils ont été transportés au Capitole en 1821. A côté du tombeau de Raphaè'l, on remarque encore ceux de Baldassare Perruzzi, de Pierino del Vaga, de Giovaunie da Udine, et d'Annibale Carrache. Chronique Judiciaire. Un notaire-avoué (solicitor), Ditnsdale, vient de compa raître, pour toute uoe série de faux audacieux, devant la cour d'assises de Londres, avec son fils et quelques autres compli ces. Il forgeait des actes de vente et contractait ensuite des dettes hypothécaires sur la propriété fictive, au nom de clients qui n'existaient pas. On calcule qu'il a volé de cette manière plus de sept millions et demi de francs. Il a été condamné aux travaux forcés perpétuité. Effet de brouillard Un monsieur vient de s'approcher d'un kiosque pour l'opé ration que vous savez. Tout-à-coup une voix s'écrie du dedans: Ah sapristi Sur mes journaux Monsieur vous vous trompez de kiosque Un domestique fraîchement débarqué vient d'entrer en service, et sou maître l'envoie dans le voisinage rappeler un ami qu'il l'attend déjeûner. Notre homme part comme un flèche et trouve l'invité en train de s'habiller et son grand étonnement de se nettoyer la bouche l'aide d'une brosse dents. Eh bien lui dit son maitre. Tu as prévenu mon ami que nous l'attendions Oui, monsieur il va venir tout de suiteil se dépêche d'aiguiser ses dents Calino entre chez un chapelier: Mettez un crêpe mon chapeau, mon oncle est fort malade. Je lui rends visite, il verra que j'ai pensé lui. CS a "5 H 05 U u <5 w" H oo u> çfi O ce s W H O 02 '05 <X> tét es PH H 'S '05 S m 00 <D G G O *-+3 3 •X O •-—ZZ - 5 rC N O a g o CD SS -o té -2 S o5 S ^5 g OG -S s S J g r-H f—1 •X I 05 S a 8 S H- 3 g wT o c 'Z o 2 s s s 3 S C <u o -O O u CA CJ la co ts fca SU S - fl 1 tl_) eu tu s 'S 9 S 2 a 'S- C Si o r, v i, •o -c s S C -a v j, 8 ,a S - Q_ CA Q, S - .2 s <1 CT O LT -O 41 3 eo a. '41 -41 3 Pu S ■w iÇ 3 '"S w n ri 4? tA 5 fa 2 o "Z a> m C -o -r* 55 S e O fa e A e en "Q té* H S Q fi -si S) rs fi fil fi «x c x o s s .n fi a. •- fi 3 c cn T CA M 1. 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HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1878 | | pagina 3