MISE-A-PRIX
M' DEEREN,
L'UNION NATIONALE,
Sacre Beige perfectionnée,
L'AMI DES FAMILLES
Bibliographie.
NOTRE SIÈCLE,
Notaris VAN EECKE,
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Bois-Taillis el 15 Hêtres.
conférence géographique
Prix franco,pour un an,pour la Belgique-. 10 fr.
LA BELLE-SŒUR D'UN PAPE
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Den Maandag, 25 Februari 1878, om
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gebruikt door J.-B. De Gryse, te
HOLLEBEKE langs den keiweg
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donnera des consultations Ypres,
les Samedi de chaque semaine,
l'Hôtel de la Tête d'Or, rue de Lille.
Vient de paraître.
Membre de la Conférence.
brûlures si graves, que jeudi il fallut, sur l'avis de l'homme
de l'art qui la soignait, la conduire l'hôpital de Bavière. Son
état inspire de vives inquiétudes.
Un héros. Le 28 janvier, l'officier de la douane
Ferryside, Carmarlenshire, pays de Galles, envoya sa femme
placer sa petite fille dans une pension Lagbarne. La mère
revint seule et fil la traversée de la baie de Carmarlbeo sur le
bateau de la douane avec deux marins, Thomas Humphreys et
William Davies. La mer était parfaitement calme, mais en
contournant la pointe de Whirley, où souvent les bourras
ques inattrndues viennent de l'intérieur, un coup de vent fait
chavirer la barque Humphreys, qui est un excellent nageur,
nagea d'abord avec un aviron vers son camarade pour l'aider
se soutenir sur l'eau mais Davies, qui lie savait pas nager,
se uoya tout de suite.
Alors Humphreys soutint sur l'eau la femme de son officier
et lui donna l'aviron, puis nagea autour de la barque pour
voir ce qu'il y avait faire, et tirant son couteau de sa poche,
l'ouvrit avec ses dents, coupa le cordage et réussit dégager
Je mât, qu'il donna comme soutien la naufragée. Elle lui dit
alors Chacun pour soi et le supplia de la quitter et de
se sauver, ce qu'il eût pu faire facilement, puisqu'il n'était
qu'à 50 yards du rivagp mais il refusa, disant qu'il aimait
mieux mourir avec elle que de l'abandonnei lâchement.
Pendant une heure et demie, Humphreys, nageant et se sou
tenant sur l'eau le mieux possible, appela au secours.
Comme Ferryside était 5 milles de là on n'entendit pas
ses cris mais on avait vu la voile, on s'aperçut de sa dispa
rition, et, enfin, une barque partit sa recherche. Mais elle
arriva trop tard, le brave Humphreys avait péri de froid et
d'épuisement. Il laisse une veuve et sept enfants.
Une terrible catastrophe vient de jeter la consternation
dans la ville de Rotterdam. Un bateau monté par 27 ouvriers,
qui allaient décharger un steamer anglais, a sombré par suite
de sa rencontre avec un autre vapeur. Sept ouvriers se sont
noyés les autres ont été sauvés par l'équipage du steamer.
Un incident assez comique a eu lieu samedi la séance
de la Chambre des députés Versailles. Dans la tribune
diplomatique, une jeune dame était coquettement coiffée d'un
chapeau d'homme. Un huissier, dans l'hémicycle, apercevant
seulement la tète, le buste étant dérobé par la balustrade, lui
crie Chapeau bas Les députés comprennent l'erreur et
rient aux éclats. La dame, confuse, ne comprend pas l'inci
dent et se le fait expliquer par ses voisins. Les rires redou
blent. La scène eût continué encore, si un député obligeant
n'avait pas été prévenir l'huissier de son erreur.
Des dépèches privées annoncent qu'un tremblement de
terre qui a eu lieu dans la région de Lima et de Guyaquil
aurait occasionné de grandes catastrophes.
Nous dédions, sans commentaire, la nouvelle erreur
judiciaire que voici aux derniers partisans, dans notre pays,
de la peine de mort, c'est-à-dire d'une peine irrémédiable
«Un habitant de la partie septentrionale de la province de
Rio-Janeiro vient d'avouer son lit de mort qu'il est l'autrur
véritable du meurtre d'une famille de huit personnes qui eut
lieu en 1852, et pour lequel un riche planteur du nom de
Motta Côgneiro et trois de ses esclaves furent exécutés en
I85ti. Ce meurtre fut accompagné des circonstances les plus
atroces et la demeure des victimes fut incendiée après l'assas
sinat.
Les soupçons s'étant fixés sur Motta Côgneiro, il fut
arrêté avec trois de ses esclaves, que l'on croyait ses compli
ces, et mis en jugement. Les preuves n'étaient guère con
cluantes, mais l'opinion générale était tellement défavorable
au planteur, que le jury le reconnut coupable, et la cour de
relation Rio confirma la sentence de mort. Motta Côgneiro
protesta de son innocence, ses amis en firent autant, et lors
qu'on découvrit qu'il n'y avait pas moyeu de le faire acquit
ter, on tenta tous les efforts pour le faire gracier par l'Em
pereur.
a On dit même que des sommes s'élevant au chiffre de
250,000 dollars furent promises des personnes de l'entou
rage de l'Impératrice pour qu'elles sollicitassent son inter
vention près de l'Empereur.
Mais tout fut vain. L'Empereur demeura ferme l'Impé
ratrice refusa d'intervenir le gouvernement expédia un vais
seau de guerre Macahe pour empêcher qu'on cherchât
faire échapper le condamné, et Motta Côgneiro et ses trois
esclaves furent exécutés pour un crime que l'on découvre
maintenant n'avoir jamais été commis par eux.
L'homme qui vient de mourir a déclaré qu'aidé par
quelques-uns de ses domestiques, il assassina tous les habitants
de la maison, qu'ensuite il les brûlèrent.
Les doutes qui s'élevèrent au sujet de la culpabilité de
Motta Côgneiro et de ses esclave» après leur exécution, affec
tèrent douloureusement l'Empereur et depuis lors, on dit
que Sa Majesté s'est presque toujours opposée la mise
exécution des sentences de mort.
Vendredi, vers dix heures du matin. M. Ernest Mais-
triaux, voyageur de commerce, domicilié Gimnée, se ren
dait de Fosses Meltet. Arrivé dans le bois de cette dernière
commune, il a été l'objet d'une tentative de meurtre. Un
coup de feu a été tiré sur sa voiture, et a perforé le soufflet
de celle-ci, sans toutefois atteindre M. Maistriaux. L'auteur
de ce méfait est inconnu jusqu'à ce jour.
L'Administration de L'ILLUSTRATION EUROPÉENNE
vient de faire paraître le premier fascicule d'une œuvre de
la plus haute importance, intitulée
Revue biographique internationale des notabilités
de tous les pays.
La rédaction de celle revue est confiée une société de gens
de lettres
sous la direction de Gustave Oppelt,
Historiographe de la Cour de Saxe-Cobourg-Golha, etc., etc.
NOTRE SIÈCLE est un ouvrage indispensable aux biblio
thèques publiques et particulières, aux magistrats, aux avo
cats, aux avoués, aux médecins, aux journalistes, aux hom
mes de cabinet, aux conseillers provinciaux et communaux,
aux fonctionnaires civils et militaires, aux membres de l'en
seignement tous 1rs degrés, aux cabinets de lecture, aux
hôtels, aux tavernes, aux cafés, aux restaurants.
Sommaire du fascicule n" I. Sommaire du fascicule n* 2.
Inlroduclon.
Léopold 1".
Louise-Marie d'Orléans.
Léopold II.
Marie-Henriette d'Autriche.
Philippe, comte de Flandre.
Marie-Louise de Hohenzollern.
Ferdinand-Maximilien d'Autri
che.
Marie-Charlotte.
Sophie -Frédérique- Malhilde
des Pays-Bas.
Victor Emmanuel.
Louis-Adolphe Thiers.
John Stuart Mill.
Lambert - Adolphe - Jacques
Quclelct.
George Washington.
Elisa-Félix Rachel.
Joseph-Marie Jacquart.
On s'abonne au bureau, Place Madoti, n° I, Bruxelles,
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par
ARMAND DU-BATtRY
Vu joli vol. orné de deux beaux portraits authentiques.
3 francs.
A.ndré SAGNIER, éditeur, 51, rue Bonaparte.
Voilà une des plus curieuses et des plus étonnantes histoi
res qu'on ait écrites depuis longtemps sur la cour de Rome.
C'est dans les archives secrètes d'une des premières familles
princières de la ville éternelle et dans celles du Vatican que
l'auteur, un des publicistes français qui ont le mieux pénétré
les mystères de la curie romaine, a puisé les docuinenlsprécis,
irréfutables, écrasants de ce récit extraordinairement attachant
et vif.
Il s'agit d'un pape dont le règne n'est pas très-éloigné de
nous, qui se laissa conduire et laissa conduire la papauté et les
États de l'Église par une femme impérieuse, avide, dissolue,
par sa belle-sœur, sa maitresse.
La vie de cette véritable papesse, retracée d'après un
manuscrit unique attribué un monsignor du temps, est, d'un
bout l'autre, palpitante d'intérêt.
Au moment où les regards sont de nouveau tournés vers
Rome, on lira avidement cette vigoureuse œuvre d'actualité
qui dévoile d'une façon claire, rapide, vivante, anecdotique et
sûre la fois, un des grands scandales de la cour papale.
Le pape en question, c'est Innocent X.
La femme, c'est Donna Olympia.
Deux superbes portraits authentiques de ces personnages
célèbrrs, d'apèrs Rernini et Guido Keni, ajoutent l'attrait
particulier du volume.
La Belle-sœur d'un pape sera un des succès de l'année, car
cet ouvrage exceptionnel réunit au plus haut point trois qua
lités qu'il n'est pas facile de rassembler: l'intérêt puissant, la
valeur historique et la valeur littéraire.
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lions cinq cent mille francs, et dont le
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République, et la succursale Bruxelles, assure
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tes et précises et qui mettent l'assuré l'abri de
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1° Contre la mortalité du bétail et des
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2° Contre les accidents corporels el
matériels
5° Contre l'incendie et les pertes de
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s'adresser M. Coussaert, agent général
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Journal Illustré,
Instructif, Amusant, Littéraire,
Scientifique
D'économie Domestique
Paraissant tous les Dimanches
rédigé par
Ine Société de Professeurs el d'Hommes de Lettres,
sous la direction de M. Victor Doublet de Villers.
Leçons diversesRécits historiques et bio
graphiques Voyages Romans moraux en
vogue ou inéditsComédies Causeries Nou
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Chronique de la semaine Evénements re
marquables ArchitectureBeaux-ArtsHy
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