CAISSE DES PROPRIÉTAIRES.
il S
SI
Nouvelles locales.
POPERINGHE,
Nouvelles diverses.
Agent Ypres, M. A. VONCK-CLÉMENT,
Banquier, rue de Etoile N° 4.
La caisse des propriétaires émet des obliga
tions aux conditions suivantes:
Obligations 5 ans, intérêt 4 1/2
primes, 41/2 °/0
équivalant 5 avec la prime de rembourse
ment.
Pour obtenir les titres ou avoir des rensei
gnements s'adresser
Les obligations de la Caisse des propriétai
res ont un double gage, les hypothèques qui
garantissent les prêts et le capital de la So
ciété.
DENIER DES ÉCOLES.
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Pays condamnera aussi cette intervention abusive
du clergé dans nos élections et où des instructions
ministérielles s'opposeront aux agissements du cler
gé qui rendent aujourd'hui illusoires, dans nos
campagnes, l'exercice de la liberté de la Presse.
aw ss.
1> y> 10 r> 1) 4 3/4 °/o
M. A. .VONCK-CLÉMENT,
Seifl agent, de la Société Ypres.
Montant des listes précédentes, 16,267-72
Boite de la Société Witte Klakken 11-60
Don de M. le Baron Mazeman de Couthove, 100-00
Dépenses jusqu'à ce jour,
En caisse, fr.
16.379-3?
12,228-21
4,151-11
Garile-Civique. Conseil de discipline 5e tri
meslre 1878.
Membres effectifs.
Liégeois Julien, sous L'.
Joos Gustave, Fourrier.
Lambin Eugène, Caporal, j
Peckel Louis, Garde.
Membres suppléants.
Ligy, Albert sous L'.
Cardinae! César, Fourrier.
Santy Alphonse, Caporal.
Liebaert Emile, Garde.
Singelee.
Prinsheim.
Ch. Simar, père.
Strauss.
Société de la Concorde. Programme des
morceaux qui seront exécutés le Dimanche 14 Juillet
1878, 6 h., du soir, par la Musique du 1" Rég' de
Ligne sous la direction de M. Charles Simar.
1. La Dame de pique, ouverture, Suppé.
2. Pastorale pour saxophone,
3. Marien, polka,
4. Souvenir de l'op Faust arr
5. Marche Egyptienne,
6. Roméo et Juliette, fantaisie arr: Ch. Simar, père.
7. Souvenir de Londres, valse, Labitzky.
(En cas de mauvais temps ce programme servira
pour le concert du 28 courant.)
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État-Civil d'Ypres, du 28 Juin au 5 Juillet 1878.
NAISSANCES: Sexe masculin, I id. féminin, 4 Total 5.
Mariages.
Behague, Gustave, domestique, et Catleeuw, Sophie, den
tellière. Devos, François, marchand, en Vanstechelman,
Louise, domestique.
Décès.
Wydooghe, Sophie, 66 ans, sans profession, épouse de
François Wolfcarius, rue de Menin. Grignon, Marie, 81
ans, sans procession, épouse deCamilleRuelle, rue St-Jacques.
knockaert, Amelie, 89 ans, sans profession, veuve de
Pierre Drhusere, rue de la Boule. Decoene, Reine, 64 ans,
sans profession, célibataire, Grand'Place. Santy, Alphonse,
58 ans, sans profession, veuf de Amelie Coffyn, rue au Beur
re. Scieux, Rosalie, 67 ans, sans profession, épouse de
Pierre Braem, rue d'Elverdinghe. Ver Eecke, Augustin,
8 ans, St-Pierre lez Ypres.
Enfants au dessous de 7 ans:
Sexe masculin, 1, Sexe féminin, 2, Total 5.
12 Juillet 1878.
Lundi une foule aussi nombreuse que choisie s'était
donnée rendez-vous dans le magnifique parc, que tous
les ans, l'époque de la Kermesse, M. le Baron de
Posch veut bien, de la manière la plus gracieuse, met
tre la disposition de la Philharmonie.
Favorisé par un temps des plus agréables, le Concert
champêtre, organisé par notre Société de Musique, a
des mieux réussi, tant sous le rapport de l'ensemble et
•le la justesse de l'exécution qu'au point de vue des so-
lis qui ont valu nos artistes-amateurs les applaudisse
ments les plus mérités.
Afin d'en rehausser encore la valeur artistique, M.
Nys, piston-solo au Théâtre Royal de la Monnaie de
Bruxelles, avait bien voulu prêter son concours au
Concert.
Cet artiste d'élite a jouéd'une manière ravissante,
un air varié de toute beauté et une polka hérissée de
difficultés. D'ailleurs M. Nys n'a plus de réputation ar
tistique faire et son talent est trop connu et trop ap
précié dans le monde musical pour qu'il ne soit sup-
perflu de nous étendre davantage .sur les éloges bien
mérités que nous sommes heureux de pouvoir lui of
frir.
Ajoutons encore que le concert du 8 courant a été
une véritable manifestation contre les tristes et re
grettables événements qui ont si vivement émus notre
population lors de l'enterrement du regretté M. Dekey-
ser, secrétaire de notre Société. Nous avons pu consta
ter en effet que le nombre de personnes ayant assisté
cette fête dépassait de plus de 200 celui de l'an passé.
Maintenant que dire du Bal, il faut y avoir été pour
pouvoir juger du monde qui se pressait, se coudoyait,
se bousculait dans la vaste salle des Concerts de la So
ciété. Aussi ce ne fut que vers minuit que danseurs et
danseuses purent se livrer leurs joyeux ébats.
En somme donc bonne, excellente journée pour les
Philliarmonistes dont la famille, depuis le 4 courant,
s'est agrandie d'une vingtaine de membres. C'est une
preuve de plus pour les détracteurs de notre Société
qffils ne parviendront pas si facilement l'anéantir
qu'ils ne se l'étaient imaginé. Plus la Philharmonie
est combattue, plus elle devient forte et plus ses mem
bres sont injuriés plus ils s'élèvent dans l'opinion pu
blique.
Cette année il n'y a eu aucune fête publique Pope-
ringhe Les Concerts de la Philharmonie et des too-
rentuiters ont été les seules distractions offertes au
Eublic et encore n'étaient-elles accessibles qu'aux mem-
res qui font partie d'une de ces Sociétés.
On avait fait grand fracas d'un tir que, dans sa su
prême générosité, la ville allait offrir a ses Pompiers
et leur musique. Nous sommes loin de désapprouver
cette fête mais, hélas elle n'a été qu'une indigne mys
tification et n'a eu pour effet que de rendre nos pauvres
Pompiers et les tooren-tuiters déjà si ridicules
l'étranger, rouges de la risée de leurs concitoyens, car
lorsqu'on croyait que tout était prêt et que nos Van-
coppernollekes, au port d'armes, n entendaient plus que
le mot sacramentel de leurs chefs pour partir, ceux-ci
les ont envoyé promener en leur lançant, dit-on, un su
perbe geste la Waseige
Il eut fallu voir la mine que faisaient nos bleus (rouges
l'intérieur) et retournant l'oreille basse leurs
foyers et en rencontrant le mat de cocagne qu'un
rdre supérieur avait fait reporter la congrégation
'était vraiment piteux oui très piteux même triste
Allons donc, MM. les gros bonnets, quand cesserez-
vous donc de vous moquer de ceux qui sont encore as
sez naïfs de porter votre livrée
Et l'école communale...*.? plustardOn ne per
dra rien en attendant.
Et l'empruntle nouvel emprunt de 2 10,000,
morbleu
Cette fois du moins cela vaut la peine
240,000 francs.
Et pourquoi faire, s'il vous plait
Est-ce pour régler le passé ou qu'en fera-t-on la-
venir R. S. P.
Nouvelle ville d'Ostende (voir aux annonces).
Onguent d'Holloway. Ulcères de toute nature, Bles
sures Plaies et Maux de Jambes. Lorsque par suite d'uu
accident, d'un *ice du sang ou d'un ralentissement de la cir
culation, ou d'un froid négligé, une inflammation, suivied'ul-
cération, a attaqué les membres inférieurs, le patieut doit
sans crainte et sans hésitation avoir recours, pour se soula
ger, aux vertus curatives du célèbre Onguent d'Holloway, qui,
pour ces affections, a une renommée universelle, attestée par
des témoignages unanimes dans toutes les langues. Dans tous
les cas de longue date, les Pilules d'Holloway devront être
employées conjointement avec l'Onguent. Ensembleces
remèdes sont très puissants et procurent rapidement et sans
peine la guérison. Sous leur influence réunie, les blessures
ou ulcères les plus affreux se referment bientôt et se contrac
tent, jusqu'à ce qu'une peau nouveile réformée dans de bon
nes conditions, et que la santé et la force soient revenues.
L'Illustration Européenne (10,50 frs. franco par an)
Sommaire du N°. 36.
Gravures: Une joyeuse Chanson, d'après M. Griilzuer.
Exposition universelle de Paris. Mont agnes Rocheuses.
La Cathédrale. Le Jardin des Dieux. Le Tatou géant.
TexteNos Gravures. Chronique deçà delà. Le
Pays de Tendre. Le Domestique du Soldat. Nouvelle.
Aymar et Thibert. Légende des Bords de la Sambre. Trois
Vautours pour une Colombe. Roman.
Le Musée du Jeune Age (4,25 frs. franco par an).
Sommaire du N°. 11.
Gravures: L'Héritage d'une Mère. «Toutcoup
une main se posa sur son épaule. Surprise par l'Orage.
Que voulez-vous: delà Croûte ou de la Mie? Le Lion jus
ticier.
Texte: L'Héritage d'une Mère. Surprise par l'Orage.
Que voulez-vous: de la Croûte ou de la Mie? Le Lion jus
ticier. Honneurs rendus en Chine l'Agriculture. Pour
les jeunes Observateurs. Quelques Détails sur les Horloges.
Les Vers-à-Soie. Discrétion. Histoire du Nénuphar.
Énigme.
On s'abonne au bureau du Journal.
marché d'Yprea.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains,
fourrages et autres produits agricoles, vendus le
15 Juillet. 1878.
NATURE
DES
GRAINS ET DENRÉES.
QUANTITÉS
VENDUES
KILOGRAMMES
Prix moyen
PAR
CENT
KILOGR.
POIDS M*
DE
l'hecto
litre.
26,100
fr. 29 50
80
3,800
19 75
73
700
24 00
80
Féveroles
900
25
Pommes de terre
8,000
8 00
Beurre
280
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