CAISSE DES PROPRIETAIRES. Nouvelles locales. Nouvelles diverses. Acles officiels. 5C i 5 3 a X! a Agent Ypres, M. A. VONCK-CLÉMENT, Banquier, rue de VEtoile N° 4. La caisse des propriétaires émet des obliga tions aux conditions suivantes Obligations 5 ans, intérêt 4 1/2 °/0 10 y> r> 4 3/4 primes, 41/2 équivalant 5 °/0 avec la prime de rembourse ment. Pour obtenir les titres ou avoir des rensei gnements s'adresser M. A. VONCK-CLÉMENT, Les obligations de la Caisse des propriétai res ont un double gage, les hypothèques qui garantissent les prêts et le capital de la So ciété. M 1 S a S fi fi es oi s «r 1 g 3 H <0 P 1T -s o =2 a 9 m g g g p ..s p cS a te g a-w M M CO co" 9.® vx if. Hennequin se faisait gloire d'appartenir l'opi nion libérale, et pour ce motif il faillait le sacrifier. Le même sort atteignit M. de Puydt, son col- ègue du Hainaut et quant aux autres gouverneurs, quoiqu'ils appartinrent au parti clérical, fis furent changés de résidence, parce qu'ils n'étaient pas ultramontains. Le Régent de Surlet de Chokier écrivit cette occasion, sous la date de 23 septembre 1834, M. lennequin, que ce bouleversement de tous le gou verneurs de province était dû des intrigues de sacristie. Voilà donc un précédent. Les cléricaux trouveront-ils encore mauvais que nos amis suivent la ligne de conduite que leur tracée M. de Theux? Seul agent, de la Société Ypres. M. JULES COMEIN, de Zonnebeke, ancien élève du Collège Communal, vient de passer, avec distinction, a seconde épreuve de l'examen de candidat en scien ces naturelles, l'Université de Gand. Société de Gardes civiques d'Ypres. - 7e tir de la période d'été. 15 Juillet 1878. Aux blancs. 1. Pool, H. 2. Lesaffre, A. 5. Maillaert, G. 4. Vantholl, H. Aux points. 1. Deweerdt, Ch. 5 3 6 2 4 5 25. 2. Swekels, L. 0 5 2 4 0 4 15. 3. Dumon, A. 2 5 2 5 0 0 14. Etat-Civil d'Yphes, du 5 Juin au 12 Juillet 1878. NAISSANCES: Sexe masculin, 1 id. féminin, 4 Total 5. Mariages. Baillievier, Auguste, scieur de long, et Tylgal, Horlence, dentellière. Décès. Vuylsteke, Natalie, 63 ans, sans profession, veuve de Con stantin Vandenameele, Place St-Pierre. Bisschop, Amelie, 74 ans, sans profession, veuve de Pierre Desmet, ruede Menin. Vandermeersch, Jules, 58 ans, sans profession, époux de Virginie Deman, rue St-Nicolas. Brougniart, Emelie, 26 ans, sans profession, époux de Lucien Bia,rue d'Elverdinghe, Enfants au dessous de 7 ans Sexe masculin, 1, Sexe Féminin, 5, Total 6. Parmi les témoignages de sympathie qu'a reçus la fa mille de SI. Dumortier, le plus précieux est celui que lui a apporté la lettre suivante, adressée par le Roi au 61s de feu l'honorable député de Roulers Pavillon d'Ostende. Slonsieur, Je viens de recevoir la triste nouvelle que vous me faites parvenir. Je tiens vous dire combien je m'associe votre douleur. Le pays a perdu un de ses citoyens les plus éminents, qui, après avoir pris une grande part la fondation de son indépendance, a, pendant 48 ans, continué servir la Bel gique avec un chaleureux dévouement. M. Dumortier m'avait toujours témoigné, comme vous le rappelez, un sincère attachement que je lui rendais de tout cœur aussi est-ce avec une vive affliction que j'ai appris la mort de ce vaillant patriote. Veuillez, je vous prie, être mon interprèle auprès des différents membres de votre famille et soyez persuadé qne personne plus que moi ne ressent le malheur qui nous atteint tous. C'est dans ces sentiments que je me dis, 11 Votre très affligé, n (Signé) LEOPOLD. On lit dans ['Echo du Parlement Nous apprenons que l'Ecole modèle a obtenu l'Exposition universelle de Paris une grande médaille d'or, avec 18 points sur 20. Les petits-frères reviennent bredouille, ils ont obtenu seulement 15 points sur 20. La septième victime de l'incendie de la rue Josaphat, M. Dumonl 61s, rient de mourir des suites des brûlures qu'elle a reçues. La falsiâcation des denrées alimentaires est devenue au jourd'hui un véritable scandale. Il ne sera bientôt plus possible du train dont vont les cho ses de pouvoir trouver des marchandises pures de tout mé lange. Qui croirait que la chicorée, par exemple, qui ne se vend cependant pas prix d'or, n'échappe pas ce genre de traffc Il en est de même du poivre de cuisine, dont la falsihcalion nous rendra, avec le temps, dans l'impossibilité d'en faire usage, si toutefois l'on ne parvient pincer sévèrement les fabricants qui trompent et les consommateurs et les débitants eux-mêmes. On vient de faire Charleroi l'analyse de ces sortes de marchandises achetées dans différents magasins croirait-on que l'on a constaté qu'il y avait dans le poivre et la chicorée pour un quinzième environ de terre? Il est plus que temps de se montrer sévère. Les journaux français donnent des détails effrayants sur le déraillement survenu vendredi sur la ligne de l'Ouest, entre Vitré et Châleaubourg. Quelques minutes avant six heures, une dépêche arrivait la gare de Rennes, annonçant que le train venant de Paris avait déraillé entre Vitré et Châleaubourg en réclamait la hâte des médecins. Un Irain de secours fut immédiatement organisé et quittait bientôt Rmncs avec de nombreux ouvriers, pour se rendre sur les lieux de l'accident. Un spectacle affreux s'offrit alors aux yeux de tous: la machine, le tender, les wagons étaient tom bés pêle-mêle les uns sur les autres, et ne formaient plus qu'un monceau de débris. Le choc avait été si violent que la machine, au lieu d'étrea la lêtedu train, se trouvait maintenant l'arrière, les wagons ayant pour ainsi dire sauté pardessus la locomotive. Le déraillement s'élant produit dans une courbe et au mo ment où le train était lancé toute vitesse, on comprend faci lement qne les conse'quenses de l'accident ont été terribles. Sur les vingt-cinq voyageurs qui se trouvaient dans le rapide, six ont été tués et douze assez grièvement blessés. On raconte un détail affreux le chauffeur n a pas été tué sur le coup, mais ce malheureux s'est trouvé engagé sous le tender, de telle façon qu'il a été impossible de le retirer. C'est en vain que les voyageurs qui n'étaient que blessés, ont essayé de le secourir; ils étaient impuissants soulever le tender et arracher ce malheureux, dont les cris perçants fai saient verser des larmes de rage et de désespoir a ceux qui s'efforçaient eu vain de lui sauver la vie. Au bout de quelques instants, les cris du malheureux chauffeur ne se 6rent plus entendre: son supplice horrible s'était terminé avec sa vie. Le train a roulé au pied d'un remblai d'une hauteur consi dérable, et la violence de la chute a été inouïe. Nombre de wagons ont été brisés, et, comme les poteaux télégraphiques avaient été arrachés et entraînés par le choc, il a été impossible, en cet endroit isolé, de se procurer de prompts secours. Pendant qu'on faisait, dans la localité, la lueur des tor ches, tout ce qui était humainement possible, un voyageur faisait pied la route des Carrières Châleaubourg, et de là télégraphiait Rennes. On ignore la cause du déraillement. Incendie du thècdre de Francfort. On nous écrit que le théâtre de celte ville a été brûlé le 9 de ce mois. Le feu a pris 6 heures, un peu avant la représentatiou au bout de quelques minutes, toute la toiture brûlait. Les petites places étaient déjà occupées cause du spectacle extraordi naire donné par la troupe du duc de Saxe. Des étincelles tombées par le trou du lustre donnèrent l'a larme: tout le monde put se retirer en bon ordre; un peu après, la charpente s'écroula. On a pu se rendre maître du feu mais on était obligé aux plus grandes précautions, dans la crainte qu'il ne reprît. C'est un immense bonheur que le feu n'ait pas pris 20 mi nutes plus tard: la foule aurait été compacte et, avec les is sues difficiles, on aurait eu d'immenses malheurs déplorer. Ce théâtre était provisoire, en attendant la construction de l'opéra, commencée depuis longtemps. ipr 11 Par divers arrêtés royaux, en date du 14 Juillet, les nomi nations suivantes ont eu lieu dans les différents services de l'armée, savoir Dans le service administratifIntendant de 2° classe. Le sous-intendant de Ie classe Van Doorne, chargé provisoirement des fonctions de directeur de l'administration dans la province de Flandre Occidentale. Capitaine quartier-maître de Ie classe. Le capitaine quartier-maître de 2' classe Lambert, du 1' rég. de ligne. Capitaine administrateur d'habillement de lre classe. Le capitaine administrateur d'habillement de 2* classe Abels, du 2e régiment de guides. Dans le bataillon d'administration. Officier d'ad ministration de lre classe: l'officier d'administration de 2r cl. Pinsar, directeur de l'hôpital de Bruges. Dans létat-major des places. Commandant de place de lre classe. Le colonel commandant de 2e classe Groulars, commandant la place de Bruges. Commandant de place de 2e classe. Le colonel comman dant de place de 5e classe Parsy, commandant la place d'Ypres. Lieutenant colonel commandant de place de 3f classe. Le major Fabra, du 5e régiment de ligne. Dans l'infanterie. Capitaine de 2e classe: le capi taine de 5" classe Vergnès, du 1er régiment de ligne. Sous lieutenant. Coryn, adj. sous-officier au tr rég. de ligne. Dans la cavalerie.Sous lieutenants. Les sous-of- ffeiers: De l'Escaille, adj. sous-officier au 2e lanciers; Pollet, id. au 2" de guides. S 8 CT1 i -s ce S <D G O -a g W O r-5 s- O 2 W O .bg O Ph Ph s -a a u U o m CD nd -4-» 0 CÙ s u CD 'm M) nd ri "S g o 8 o .2 CG s o> GnrP -o T3 OS NU °p PH -P c O -—H 50 'S 03 j* G -CS —1 h ta m M g 03 8 O S S e c es w s S V) <3 Eï OQ E=3 OO 525 g P3 1 ri &0 p «5 G O g -a G co *3 w o P Oh U O S p G Ph 00 in> 1 e-ô A eî rO GQ O -F-5 W sJ l/l O «4H 2-^ se P X G 'p cô 50 Q. w CO cu «2 -.p 03 O 2 O 1 ci P cr1 a o «3 kD t- I CO O 10 I CO eu tJl «2 m ^2 O 0 b£) ci -£= TJ 'P P3 "S -p -p 73 P P® ci cr1 P G -p -2 g prp p -gp a; g»D 8-P H 03 G «3 t Ph A v-< r-t -G Ph O 00 03 ri G r-1 ÉV© P P -p G m p G o &C ci PS P G Ph «5 G -© s- 1 h p d p p G O g G p 3 O 13 X p g O o kO I kO ,p m p o o> 0 co p' kO 1 P p O P g .0 V g.*. ■f -52 m g e p, G O es p s g O s u s S e u s- S 05 H z Co Hs O te .8 O S CO -£] W Ph U h' a m OJ XD C3 m <D U - C 1/2 P O H-2 <D S S gh w z Ph 3 ir - T3 oc© 5 g gg h o ci i* G P -p Q 2 m OQ <D o-S p *0 ta a g ©w ^5'G --P a o d «2 H o Ph Eâ O <T) m w o £<g xn p p S,© p -p m "s O m Eâ G- I 33 E S EÈ9 GG x fi M X X fi G o t- 0 O <i) -p ~d Jà V.t* 3 g -a o - p t» p G 'rT Ph p G ,G O

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Le Progrès (1841-1914) | 1878 | | pagina 3