PANNES FRANÇAISES 13 PEEliEN HISTOIRE MODERNE TIR ANNUEL M. ERIC BOUCKENAERE, Nouvelles diverses. DEPOT Openbare Verkooping Propriétaires et Entrepreneurs. (18 par mètre carré). Ces pannes sont faites d'une argile grasse, sèche et bien cuite. Prix fr. 62-50 les 1000. Pannes plombées, même qualité 110 fr. Pannes de Brabant depuis fr. 3-75 fr. 4-25 suivant qualité. Carreaux bleus et rouges. Pierres de Tournai et d'Ecaussines. Carreaux en ciment depuis fr. 3-50 le mètre carré. Chaux de Tournai fr. 1-80 l'hect. ou fr. 0-90 la mesure. Par wagon fr. 153. Charbons pour Briquetiers fr. 5-50. Aux Magasins de D Union Comrner ciale, d Y près. Bureaux chez M. A. VONCK-CLÉMENT, rue de VEtoile, 4, Pprès. BESTUUR DER DOMEINEN. De Ontvanger der domeinen te IJper, zal den om 10 1/2 uren voormiddag, op de Groote Markt te IJper, voortsvaren tôt de w ai s Dépôt unique des Tuiles perfection nées emboitement et recouvrement de la Tuilerie Mécanique de Leforest, aux Magasins de I'Union Commer ciale d'Ypres, situés près de la Sta tion, Ypres. Ces Tuiles forment d'excellentes couvertures imperméables au moyen d'un procédé particulier de fabrica tion. Elles se posent sans mortier et s'emboitent rigoureusement les unes dans les autres, de manière ne lais ser aucun vide et rendre nuls les frais de réparation. VILLE D'YPRES. SOCIÉTÉ ROYALE DE S1 SÉBASTIEN Pannes plombées, même genre, 20 c. pièce. ancien Vice-Président de la Société, N° 1. Fr. 80. N° 2. Fr. 40. N° 3. Fr. 40. N° 4. Fr. 20. N° 5. Fr. 20. Ensemble Fr. 200. Samedi, un troupeau de moutons traversait la voie du cliemin de fer entre Bloemendale et Ostende, lorsque tout coup le train de 5 heures apparut. Le berger qui conduisait le troupeau fit tous ses efforts pour écarter ses animaux, mais il n'y réussit pas, et fut atteint par la locomotive qui le tua ainsi que sept moutons. A Ransdorp (Hollande), le manque d'eau se fait sentira un tel point qu'on paie 20 centimes pour un seau d'eau qu'on doit chercher un quart de lieue de la localité. Un paratonnerre économique. Pour établir, peut de frais et sans grand travail, un paratonnerre efficace, il suffit, parait-il, de planter perpendiculairement sur le toit des bâtiment que l'on veut préserver une perche l'extrémité de laquelle on fixe une botte de paille. Les premiers essais de ce paratonnerre ont été faits àTarbes (Hautes-Pyrénées) par quelques agriculteurs intelligents qui en obtinrent d'excellents résultats. Leur exemple ne tarda pas être suivi. Le paratonnerre que nous venons de décrire complètement en quelques mots est actuellement en u âge dans une vingt- taine de communes ou, depuis lors, il n'a été signalé aucun accident occasionné par la foudre. Les bonnes sœurs de Douzy. Nous lisons dans le Nord-Est La sœur Saint-Amé fait, ce qu'il paraît, des disciples. Pour punir une malheureuse enfant de cinq ans de quelque légère espièglerie, l'une des bonnes sœurs de Douzy n'a rien trouvé de mieux QUE DE PASSER UNE FICELLE DANS LA BOUCHE de sa petite victime, et de nouer derrière la tète les dêux bouts de ce bâillon d'un nouveau genre, de façon paralyser les mouvements de la langue. Cette punition stupide constitue une récidive l'actif des sœurs de Douzy (on se rapelle la sœur Saint-Amé et son four neau). Et maintenant l'on peut juger des garanties que présente celte congrégation la confiance publique et des droits qu'elle peut conservera la direction de la salle d'asile. Les exploits nautiques du capitaine Boyton ont surex cité l'amour-propre des ladies de la Grande-Bretagne. Voici le brillant exploit annoncé par le Globe de Londres: Une des demoiselles Beckwilsh vient d'accomplir un véri table tour de force nautique. Miss Beckwith est partie du pont de Westminster pour se rendre Richmond, et de là Mar- lake, faisant en tout un trajet de 20 milles (sept lieues), dans l'espace de six heures vingt minutes. Encore un concours de pigeons voyageurs. Celui-ci est organisé par la Société royale de zoologie d'Anvers, et la plupart des amateurs du pays y prennent part. Mille pigeons sont partis Mercredi pour Libourne, près de Bordeaux, et le lâcher a eu lieu Dimanche, entre I et 2 h. La d stance parcourir est de 780 kilomètres. On annonce que les grandes manœuvres des chasseurs- éclaireurs de toute la Belgique, remises l'année deruière, auront lieu Anvers le 8 Septembre prochain. La manifestation libérale organisée Deynze a été trou blée Dimanche par un attentat des stockslagers cléricaux. La réception faite par les libéraux Devuzois leurs amis de Gand, de Ledeberg, de Courlrai, etc., etc., avait été toute cordiale et la journée s'était passée sans aucun incident, vers la nuit, les cléricaux tentèrent de jouer leur rôle habituel de trouble- féte. Un certain nombre de libéraux, notamment des membres de la société Noordster et du Progrès de Ledeberg, se rendaient la gare pour attendre l'heure du dernier train (10 heures), lorsqu'ils rencontrèrent une société cléricale de la commune venant d'un festival des environs. Les Gantois chantaient un chœur qui n'était pas fait pour rallier les suffrages des Tjeefkens, ceux-ci eussent pu chanter de leur côté un cantique ou le Vlaamsche Leeuw et passer, mais il leur sembla plus naturel de siffler, de huer les Gantois et bientôt ceux-ci, par le fait des sociétaires cléricaux ou d'autres individus, reçurent quelques projectiles. Les présidi nts des sociétés attaquées s'efforçaient d'engager leurs amis la modération et firent bâter le pas, mais il est difficile de faire battre en retraite des Gantois que l'on insulte, et l'un des présidents, M. D. R., ayant été grièvement blessé la tête, il y eut une mêlée laquelle l'arrivée de la gendar merie mit un terme. Plusieurs des manifestants gantois ont reçu des blessures sérieuses. (Journal de Gand). On écrit d'Argenlon (France), le 19 Avant-hier, un loup de haute taille a parcouru, en jetant la terreur sur son passage, les communes de Tendu et de Mosnay. 7 personnes, 50 moutons, des chèvres, ont été mordus plus ou moins griè vement. Parmi les victimes, se trouve une pauvre femme qui gardait ses chèvres, ayant son enfant sur ses genoux la bête féroce se jeta sur elle et lui enleva l'enfant qu'elle emporta dans le bois. La mère affolée courut pour sauver son enfant; elle réussit par ses cris faire lâcher prise au loup, mais celui-ci, se précipitant sur elle, lui arracha entièrement le sein gauche et lui enleva la partie inférieure de la mâchoire. Après cette acte de férocité, la bête s'éloigna et alla atta quer un moissonneur nommé Barlot, qui, doué d'une force herculéenne, engagea une lutte corps corps avec l'animal pendant cinq minutes, Barlot le tint sous ses genoux, mais le loup se dégagea et s'enfuit après lui avoir enlevé le pouce de la main droite, arraché totalement une oreille et enlevé presque l'œil gauche. Tous les paysans armés de fourches, couraient après celle nouvelle bête du Gévaudan, le tocsin sonnait et le louvelier d'Argenlon, prévenu quatre heures du soir, arrivait avec les meilleurs tireurs du pays, lorsqu'on apprit que le loup venait d'être tué par un jeune homme de dix-huit ans, nommé Jean Foulalière. Ce garçon, le voyant se jeter sur ses moutons, eut le cou rage et le sans-froid de l'atteodre de pied ferme daqg le pas sage d'une barrière. Il l'accula d'un coup de fourche dans la haie, où il le maintint seul jusqu'à ce que son père vint son secours; et pendant que tous deux tenaient le loup, la mère, Mme Foulalière, lui fçpdail la tète d'un coup de cognée. Une commission formée de médecins et de vétérinaires a déclaré, après autopsie, que le loup n'était pas enragé. On peut juger de l'intensité de la sécheresse en Australie par ce fait que, suivant les calculs de l'administation, dans la Nouvelle-Galle du Sud seulement, 4 millions de moutons ont péri. Celte évaluation est en général considérée comme n'in diquant pas la totalité des pertes, parce qu'elle ce comprend par les six dernières semaines de la sécheresse qui a duré jusqu'au milieu de Février de cette année, et pendant cette période les effets de l'absence de pluie sont devenus chaque jour plus intenses. II faut ajouter un autre million pour les pertes de cette année et pour celles qu'ont éprouvées les petits fermiers, qui, pour différentes raisons, ont été omises dans les relevés. Ainsi 5 millions de moutons ont péri directement ou indirectement par suite de manque de pâtu âges et de la sé cheresse. En 1876, les colonies australiennes possédaient entre elles toutes plus de 45 millions de moulons, dont 20 millions ap partenant la Nouvelle-Galle. Il y a tout lieu de croire qu'à Victoria et dans l'Australie du Sud les effets de la sécheresse ont été aussi désastreux que dans la Nouvelle-Galle du Sud, tandis qu'à Queensland ils ont été deux fois plus intenses. Ce n'est pas trop, par conséquent d'évaluer au moins, dans la même proportion, la perte subi par les troupeaux à9 millions de moutons, qui ont péri dans un seul été. La Tasmanie et la Nouvelle-Zélande sont pas comprises dans ce calcul. Les journaux de Rouen racontentqu'un terrible accident est arrivé Mercredi la fabrique de cartouches de MM. Davey et C'% boulevard Saint-Julien, aux Chartreux. Quatre ouvrières ont été blessées et ont succombé leurs blessures. Ces quatre ouvrières se trouvaient Mercredi dernier, dit le Journal de Rouen, vers quatre heures et demie du soir, au moment de la catastrophe, dans un atelier où sont disposées deux machines comprimer la poudre. L'une, Agnès Witt, emplissait de poudredescartouches, quand, par suite, croit-on jusqu'à présent, du frottement des deux morceaux de fonte, une explosion formidable se produisit, suivre aussitôt de deux autres. Les détonations ont été si fortes que M. Davey, qui se trou vait Dieppedaile, adécla son tour les avoir étendues. On se précipite dans l'atelier, que l'on trouve dans le plus complet désarroi, et où l'on relève les quatre malheureuses ouvrières se débattant et criant au milieu des débris de toutes sortes et des fragments détachés du plafond. Elles étaient sanglaritas, noires de poudre, affreusement défigurées, blessées plusieurs endroits du corps par des éclats de machines. L'explosion u'a causé que peu de dégâts matériels les vitres de l'atelier, de entonnoirs en frr, dans lesquels on jette la quantité de poudre qui doit être dans les cartouches, sont restés intacts. DE ZATERDAG 87 JULI 1878, van voortskomende van het 2dt Rcgi- ment der Guiden. Comptant geld met 10 verhoog. AUX Vient de paraître (1455-1870). rédigée d'après les meilleurs auteurs, par A. MATHIEU, professeur au Collège Communal d'Ypres. Prix 1-50. Prix: IOO fr. les IOOO. SOUS LE PATRONAGE DE S. A. R. LE COMTE DE FLANDRE, fondée en 1302. FONDÉ PAR Le Jeudi 15 Août 1878. La mise de chaque tireur sera de 7 fr.,- il sera payé 6 francs pour chaque petit oiseau abattu. L'inscription et la mise se feront en la salle de la Société, Hôtel St. Sébastien, de 1 2 heures.

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Le Progrès (1841-1914) | 1878 | | pagina 3