BAISSE DES PRIX. Avis. M. LOUIS DESMARETS, B1J RECHTSMACHT. CAISSE DES PROPRIÉTAIRES. PRIX DES CHARBONS Nouvelles locales. CONCOURS GÉNÉRAL. Nouvelles diverses. FABRIQUE DE MINISTÈRE DE LA GUERRE. BANQUE ET RECOUVREMENTS. Agent Ypres, M. A. VONCK-CLÉMENT, Banquier, rue de lEtoile N° 4. La caisse des propriétaires émet des obliga tions aux conditions suivantes: Obligations 5 ans, intérêt 4 1/2 n 10 4 3/4 °/0 primes, 4 1/2 équivalant 5 avec la prime de rembourse ment. Pour obtenir les titres ou avoir des rensei gnements s'adresser M. A. VONCK-CLÉMENT, Les obligations de la Caisse des propriétai res ont un double gage, les hypothèques qui garantissent les prêts et le capital de la So ciété. L't) N 10N COM M ERCIALE D'YPRES. CHARBONS POUR SECHER LE HOUBLON. Ie classe 31 fr. les 1000 kilos) 2e id. 26 fr. id. ft».": CHARBONS FRÊNES pour poêles, etc. Gaillettes, Ie classe, 26 fr. les 1000 Gaillettins, 23 fr. kilos. CHARBONS DE MONS, qualité extra. Gailletterie fr. 34-00 Tout-Venant 23-50 les lOOOkilosj. Charbons fins 20-00 N. B. Les frais de transport do micile ne sont pas compris dans les prix ci-dessus. Pour renseignements s'adresser M. A. VONCK-CLÉMENT, rue de l'Etoile, 4, Ypres. PANNES, FAITIERES, Tuyaux de Drainage, Tuyaux collet pour Cheminées, Ponts, Egoûts et Aqueducs, Pots de Cheminées en tous genres, Briques creuses, moulées et pour voûtes, etc., etc. Par hectolitre Tout-Venant fr. 1-95 (le J. D E K EU W E R-Y E II K1N D E H E ou sac. Fins, 1-65 par wagon de 5000 kilos et plus. Gailletterie, fr. 33 Beau Tout-Venant,22 les 1000 k. Fins, 18 livrés la Station. BRIQUETTES, pour Brasseries, Distilleries, Moulins vapeur, etc. Charbons,Chaux de Tournai,Ciment, Pierres de Taille, etc., etc. passé, de se charger de l'achat et de la vente de fonds publics belges et étrangers. En ce qui concerne les obligations primes et autres, remboursables par la voie du sort, tous les rensei gnements relatifs aux tirages seront donnés gratuitement. om 9 ure 's morgens, ter herber^ Café d'Anvers, op de Esplanade te IJperen, koopdag van gesaisierde voorwerpen bestaande namentlijk in Kleedingstukken, KofFer, Wijn, veel antieke Plats, Tellooren, Prin- ten, Tableaux, Kannen, Crucifix, enz. Met gereed geld en zonder verhoog, door't ambt van E.-L. STRAG1ER. Deurwaarder te IJperen. N.B. Na te zien daags vôôr de vei- ling. fourniture du charbon de terre, né cessaire, pendant l'année 1879, au chauffage des fours de la boulangerie militaire établie dans la dite place. Le cahier des charges est déposé dans le bureau du Commandant de Place précité, où les amateurs peu vent en prendre connaissance tous les jours non fériés. Le Ministre de la Guerre appelle l'attention des entrepreneurs sur l'article 12 du dit cahier des charges, relatif au cautionnement déposer par les soumissionnaires. (S). RENARD. ÉCHANGE DE COUPONS. A. DFCHIÈVRE N. B. A la même Maison on peut Le Ministre de la Guerre porte la se procurer sans frais les obligations connaissance du public qu'il sera de la Société Anonyme Caisse des (50 p. 100 d économie sur la quan-j 37 RUE AU BEURRE A YPRES, (procédé le 5.OCTOBRE 1878, parPropriétaires Bruxelles, ainsi que tité \qqq Ckilosm a l'honneur d'informer ses nombreux les soins de M. le Commandant deJ'échange gratuit des Coupons delà clients qu'il continue, comme par le Place Ypres, l'Adjudication de la même Société. Il ne faut vraiment pas abuser des bonnes choses, Messieurs les cléricaux. Vous prenez M. Ruzelte pour une espèce de M. De Pourceaugnac Vous voulez lui en donner jusqu'au dessus des oreilles! Laissez donc M. Ruzelte tranquille, ne mettez pas plus longtemps sa naïveté l'épreuve il vous croit absolument de bonne foi dans vos railleries; de grâce ne vous en moquez pas davantage Criez une bonne fois pour en finir: Vive l'im mortel Ruzette, Ruzette for ever et cessez, nous nous vous en prions, votre insupportable As-tu vu Ruzette? Comment va Ruzette? Où est Ru zette J9±°mrmmê. Seul agent, de la Société Ypres. Le Moniteur de Mardi publie les résultats du Con cours spécial de langue flamande entre les établisse ments d'enseignement moyen du second degré. La Ie mention honorable (5" place) a été décernée l'élève De Itlauwe Sylvain, de Roulers, élève de l'Ecole Moyenne de l'Etat, Ypres. Nous apprenons que c'est la Société des Casquettes Blanches, qui nous régalera Jeudi soir, huit heures, d'un concert sur le kiosque de la Grand'Place. Voici les morceaux qui composent Je programme de ce concert. 1. Pas Redoublé. 2. Fantaisie Fleurs d'Automme. 3. Valse. 4. Pot-Pourri Populaire. 5. Polka pour Piston. 7. L'enclume, polka, On nous écrit d'Audenarde: Hier soir au moment du départ des sociétés qui avaient pris part au festival d'Aude narde, une bagarre indescriptible s'est produite aux abords de la station. Le signal a élédonné par la Société de Solteghem et celle des pompiers volontaires d'Audenarde. Des libéraux attablés devant VHôtel du Nord ont été violemment attaqués. Il y a bon nombre de blessés. L'un d'eux, Jl. De Graeve, bourgmestre Vive-S'-Eloy, l'est assez grièvement. M. le procureur du Roi et la gendarmerie arrivés sur les lieux ont commencé immédiatement une instruction. Le public audenardois est presque unanime pour blâmer la conduite agressive des sociétés catholique qui ont provoque ces scènes si profondément déplorables. Nous apprenons que l'agent de change, christianisateur de capitaux, dont nous avons annoncé la fuite, a été ariêté Londres. Jl. Bel rentrera donc bientôt dans sa ville natale, Ma tines, pour régler ses comptes.... avec la justice. Le tribunal de Strasbourg vient de condamner trente marcs d'amende ou dix jours de détention une sœur de Ribeauvillé, chargée de l'instruction des enfants dans les vil lages d'Alsace-Lorraine. Cette bonne sœur avait donné douze coups d'ardoise sur la main de la fille d'un forestier, la petite Marie-Anne Gully, âgée de douze ans, laquelle n'avait pu se rendre l'église, par qu'il lui aurait fallu traverser toute une forêt par un orage épouvantable. Les coups ont déterminé la paralysie du médium de la main droite. -I- - I II- "1f I rr L'Evénement signale un nouveau crime qui rappelle l'affaire Moyaux. Au n° 105 delà rue Sainl-Honoré, demeurait drpuis long temps un tailleur du nom de Vannerum, resté veuf avec une petite fille, âgée aujourd'hui de treize ans et demi. Lundi malin, le tailleur sortit de bonne h nre, et ne rentra chez lui m le soir ni le lendemain. Sa fille, la petit Jeanne, ne fol pas aperçue non plus cependant ou ne s'inquiéta pas da vantage de cette absence, car, de certaines époques de l'an née, Jl. Vannerum avait l'habitude de conduire sa fille chez des amis, aux Baliguolles, où elle passait souvent plusieurs jours. Mercredi le père rentra, mais il ne fit qu'une courte apparition,- il avait l'air préocupé. Il sortit sans parler per sonne. Jeudi un voisin se décida aller prévenir le commis saire de police du quartier, lequel se transporta sur les lieux et fit ouvrir la porte. Un spectacle affreux s'offrit ses yeux. La petite fille était étendue sur un grabat, la tête couverte de sang coagulé et inclinée sur j'épaule gauche. Elle ne bougeait pas; on la crut morte; en s approchant d'elle, on constata qu'elle respirait encore. Un médecin [fut aussitôt appelé et s'empressa de lui prodiguer les secours que nécessitait son état. La malheureuse portail au front, côté droit, une blessure d'une longueur de six centimètres: l'œil gauche sortait en tièrement de son orbite, par l'effet de la violence d'un eoup de bâton que la victime avait reçu sur la tempe le bas droit était comme tordu l'une des cuisses, on remarquait une large blessure dans laquelle on avait introduit un morceau de chiffon. La pauvre victime ouvrit lentement les yeux et semblait n'avoir aucune conscience de ce qui se passait autour d'elle; elle essaya de relever la tête, qui retomba aussitôt lourde ment. Il 11e fut pas possible de l'interroger, elle ne comprenait rien et ne pouvait pas parler. Les époux Mathieu, qui demeurent aux Balignolles et qui s'étaient souvent occupés de celte enfants depuis la mort de sa mère, furent prévenus et firent transporter leur domicile la victime. Le père n' pi s reparu chez lui on ne sait pas ce qu'il est devenu. On le recherche activement. Des ordres sont données pour l'arrêter, partout où on le trouvira. Son signalement a été envoyés tous les agents ej officiers judiciaires. PRIS DANS LES MAGASINS DE situés la station du chemin de fer. les deux sortes sont A MESSINES. 1 COMMERCE DE Op Zaterilag 14 Septembei* 1878 ACHAT ET VENTE DE FONDS PUBLICS, 29 RUE DES CHIENS 29, YPRES.

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Le Progrès (1841-1914) | 1878 | | pagina 3