Jii i i 4 f. il 1 S f |l fvj Chemin de fer de Flandre Occidentale Nouvelles locales. Nouvelles diverses. Actes officiels. Bibliographie. [Moniteur des Intérêts Matériels.) Monument Eric Bouckenaere. p I fH! r I .1 1 if S J t lift m j ■R t- i-. il K S* If IM' par hasard le seul exemple? Ne se produisent-ils pas tous les jours, et ne sont-ils pas tous les jours le fait des mêmes instituteurs? C'est une plaie, c'est une lèpre que les ronge, et qui ne disparaîtra qu'avec l'institution elle-même. Vous en avez été victimes et vous recon naissez aujourd'hui votre erreur! Vous les chassez c'est bienr Mais d'autres commettent encore la même erreur que celle que vous avez commise. D'autres, des parents aveugles, confient encore leurs enfants des maîtres de ce genre. Et Dieu sait pour combien votre propre exemple est daus leur aveuglement. Comment pourrais- je croire, peuvent-ifs se dire, que Ce sont la des insti tuteurs si dangereux l'Etat lui-même les appelle dans ses établissements et leur confie l'éducation de ceux qu'il a pris la charge et la mission de moraliser Eh bien c'est aujourd'hui envers ces parents aveu gles que l'Etat a un devoir remplir. Il faut qu'il leur dise J'ai été trompé, et par mon exemple j'ai pu vous tromper vous mêmes prenez garde voici les turpitu des et les hontes auxquelles vous exposez vos enfants Et plus ces turpitudes sont ignobles, plus étroit est pour l'Etat le devoir de les faire connaître, de les étaler au grand jour pour en inspirer tous l'horreur et l'effroi. Publiez l'enquête qui s'est faite St-Hubert. C'est ce prix seulement que vous aurez entièrement confessé votre faute, et que vous l'aurez réparée dans la mesure du possible Assemblée du 9 Décembre 1878, Bruges. L assemblée générale des actionnaires du chemin de fer de la Flandre-Occidentale, d'abord remise -r- faute d'un nombre suffisant d'actions déposées a pu avoir lieu le 9 Décembre dernier. Les actionnaires présents sauf l'administra tion, pourvue d'un certain nombre de procurations qui lui assuraient la majorité, ont voté avec ensemble contre le rapport aucune explication plausible n'ayant pu être fournie pour le rejet des propositions de rachat formulées par l'Etat. D'après les déclarations officielles de l'ancien ministre des travaux publics, M. Beernaert, les 27 millions offerts la compagnie devaient cepen dant permettre une répartition de fr. 302-80 aux actions privilégiées et de fr. 501-70 aux actions primitives. Cette offre était acceptable. Elle aurait satisfait la majeure partie des actionnaires, d'autant plus que par le rachat des autres lignes des Flandres, l'ptal était même de faire une redoutable, con currence qui se traduit déjà par une diminution de recettes d'environ 180-000 frs, et que par l'achè vement de la ligne de Thiell Lichtervelde les receltes de la compagnie doivent subir une nou velle et grave atteinte. L'administration a été mal inspirée en n'accep tant pas d'emblée les propositions du Gouverne ment. Tel est du moins l'ordre d'idées qui avait cours dans le groupe des opposants belges repré sentant 5.050 actions et contesté par les membres du Conseil d'administration, en possession de 5,853 actions. La question sera probablement reprise l'assem blée de Londres et cet incident aura, notre avis, un résultat utile. Les actionnaires allaient évidemment audelà de la manifestation de leur opinion en faisant mine de refuser l'approbation des comptes. Ces comptes, en effet, sont corrects et ce serait un singulier abus que celui qui consista rait rejeter le bilan par ce simple motif que l'on n'est point satisfait de la poli tique générale d'un conseil d'administration, dans ce cas. on choisit d'autres mandataires, mais on approuve les comptes. L'incident, pourtant, aura servi bien marquer le désir des actionnaires et nous sommes persuadés que l'administration anglaise en tiendra compte en essayant de renouer sérieusement des négociations avec l'Etat, dès que les circonstances seront propi ces. On dit bien que des pourparlers ont encore eu lieu; le vœu des intéressés est qu'ils se poursuivent méthodiquement. A l'occasion du Jour de l'An le journal le Progrès ne paraîtra pas Jeudi prochain. DENIER DES t COLES. Listes précédentes, 18,842-86 Vervolg van het concert in de Lyre Ou vrière, 1-25 Cinq militaires en bourgeois, 0-50 Een voordeelige koop, 10-00 VVitte Ivlakken, en wekedaagsche damen die het veroordeelde Nieuwsblad en zijne heilige kwaadsprekersuitlachen, 3-17 Na eene nieuwe offrande, 1-20 30.000 choppenzijn beterdan 3,000fr. boete, 1-24 Zei Bier-baron, 1-23 La lanterne de Boquillon, 0-30 Je n'ai pas de vieille culotte, 10-00 Konijnekaarte. Fache-Pauwels, 0-70 Voorde pannekoeke-bakker, 0-30 De ware vrienden van het billard spel in het Parnassushof op hun koning en koningin spe- iing. De nieuwe dans gedirigeerd door Napo léon III, 1-30 Voor de versiering in hun locaal, 0-22 Het meisjemisl van smijtenmeteen sneeuw- bal, 0-10 Het overschot van hare beurze, 0-01) De properate door den anderen bier-baron, 0-50 Balthazar's verjaardag, 0-11 Dépenses jusqu'à ce jour, 1M.S75-OI 15,610-16 f En caisse, fr. 3,264 85 Au moment où le Journal est mis sous presse, se termine la cérémonie inaugurative du monument funéraire élevé par souscription publique la mémoire de M. Eric Bouckenaere. Une foule immense d'amis, tant de la ville que de l'étranger, assistait cette solennité, dont nous entretiendrons nos lecteurs dans notre prochain numéro. M. Janssens, ancien juge au tribunal du Caire, actuelle ment consul général de Belgique de Bessarabie, a failli perdre la vie dans un voyage d'exploration qu'il fit avant de prendre possession de ses nouvelles fonction;. Le navire sur lequel il se trouvait a sombré. Une partie de l'équipage et des passagers ont péri M. Janssens est au nombre des passagers qui ont survécu au naufrage; il a été récueilli par un navire dont on attendait l'arrivée prochaine Constantinople. - La concurrence ne s'exerce que sur les bons produits. Les capsules de goudron de Guyot, si efficaces dans les cas de rhume, catarrhes, bionchites, phthisie, ont été le but de uombreuses imitations. M. Guyot ne peut garantir que les flacons qui portent sa signature imprimée en trois couleurs. Dépôt dans la plupart des pharmacies. Le Piccolo deNaples raconte ce qui suit: On a trouvé dans le bagne de Gaè'te une quantité d'armes en forme de poignards, fabriquées avec les chevalets les lits. Ces armes ont été fabriquées pour le compte des condamnés siciliens, qui avaient fait le complot de tuer tous leurs compa- gnoos de peine de la Haute-Italie enfermés dans le bagne de Gaëte. Le massacre devait avoir lieu dans la nuit de Noël. Les conjurés,ce qu'on nous assupe, ne se seraient pas bornés cela. Apprès avoir égorgé leurs compagnons, ils se raient tombés sur les gardiens. Ils les auraient aussi massacrés et auraient ainsi été libres de s'enfuir. Nous savons que l'agitation est très-grande dans lr bagne et qu'on attend d'un moment l'autre un inspecteur envoyé par le ministère. Pilules Holloway. Peines d'Estomac et des Intes tins. L'estomac est l'intendant du système physique. Il fournil l'entretien matériel de chaque organe. S'il est déran gé, tout le corps languit, mais lors même qu'il se trouve sévè rement affecté, son ton et sa force peuvent toujours être réta blis par l'emploi de ces Pilules irrésistibles. Des milliers des personnes attestent la vérité de celte assertion et pas un des patients qui en ont essayé, ne voudrait nier leur suprême effi- cilé. Parmi les cas des maladies d'estomac, depuis celui le plus bénin de dyspepsie, jusqu'à l'horrible cancer, depuis les nausées du foir libre jusqu'au vomissement qui accompagne an estomac ulcéré, ces Pilules soulagement immédiatement et, en général, guérissent. Par arrêté royal du 21 Décembre 1878, M'A.-C. Van der Cruyssen, inspecteur cantonal pour le 2e ressort de la Flandre Occidentale, est nommé inspecteur provin cial de l'enseignement primaire pour la Flandre Occi dentale, en remplacemenl de M. Germain, appelé d'autres fonctions. Par arrêté royal du 22 Décembre 1878, M.Vanthourn- out, candidat-huissier, comis-greffier la Justice de Paix de Passchendaele, est nommé huissier près le tribunal de première instance d'Ypres, en remplace ment de M. Opsomer, nommé huissier Ostende. Fermeture de» Barrières. Par arrêté de M. le Gouverneur de la Province de la Flandre Occidentale, les barrières sont fermées, par tir du 27 courant, 6 heures du soir, et le roulage sera suspendu sur toutes les routes pavées, empierrées et en gravier dans cette Province, tant sur celles de l'Etat, que de la Province et des Communes, l'exception des traverses des villes. L'Illustration Européenne (10,50 fr. francoparan.) Sommaire du N°8. Gravures L'Entrée au Couvent, d'après M. Wendislas Césarhor-ky. Uue boune Recette, d'après M. Tony Faivre. Vuedt Caboul.Invités un dîner de cérémonie Cochin. Appareil écrire pour les Aveugles. Texte' Notre Prime.Nos Gravures. Chronique scientifique. Cours d'Exploitation de Mines de Houille. - Connaissances usuelles de la semaine. L'Ecuyer du Sire de SlarscbeiL l. Episode de la guerre de Trenteaos. Les Feuil letonistes d'autrefois.Histoire littéraire. Le faux Shakespea re. Trois Lièvres apprivoisés.— Eléonore du Rouge Cloî tre. Romau. La boîte au jeux d'Esprit. Logogriphe. Le Musée du Jeune Age (4,2a fis. franco par an.) Sommaire du N°. 22. Gravures Le Poulet curieux. L'Eléphant de Ge nève.Le Berceau du Chat.— Leçon de Dessin no. 11. Texte: Le Poulet curieux. L'Eléphant de Genève. Le Berceau du Chat. L'enfant adoptif. Noël. Les In nocents. Les Chapeaux. Logogripite. DÉCISION ET INDÉCISION. L'un des Princes les plus infortunés des Indes Orientales qui aient jamais suscité la sympathie du public en Angleterre fût peut être le Rajah deCourg qui, par le conseil de ses amis et encore plus par son indécision, perdit son territoire et sa principauté. Son palais fut détruit, ses joyaux furent enlevés et lui fait prisonnier, fut conduit sans escorte de Courg Be- nares, où il resta enfermé depuis 15 ans, sujet de grandes privations, sans un ami sur lequel il put compter, sa constitu tion et sa santé affaiblies tel point qn'il était douteux qu'il put jamais redevenir valide. Dans celte position, par permis sion obtenue de la Compagnie des Indes Orientales, il visita l'Angleterre et consulta un grand nombre de Médecins que ne lui rendirent aucun service. Nous apprenons que finalement ce Prince distingué s'adressa au Professeur Holloway, le célè bre Propriétaire et Inventeur de l'Onguent et des Pilules Hol loway, et que ses visites et consultations avec lui ont été cou ronnées de succès. Son altesse fut promptement rendue uue bonne santé et entièrement rétablie de la maladie et de la dé bilité générale que 13 ans d'exil avaient causées. La rumeur disait cette époque qu'il avait l'intention de faire un procès la Compagnie des Iodes Orientales pour le recouvrement des sommes énormes prêtées par lui et ses prédécesseurs. Il parait également que son altesse dût beaucoup au Professeur Holloway pour les suggestions qu'il lui donna afin d'obtenir la restitution de ses droits. Professeur Holloway est aussi en quelque sorte un avocat, et ayant vu la loi et la justice admi nistrées dans toutes les parties du monde depuis Londres jus qu'aux déserts de l'Amé'ique Centrale, et plus particulière ment sur le Continent européen, il indiqua au Rajah le moyen d'administrer line puissante pilule ses adversaires et, sans doute, en agissant avec énergie, il eut réussi.Malheureusement cette qualité lui toui-à-fait défaut il perdit ses droits pécuniai res et sa principauté fui confisquée pour toujours. Mainte nant, le Professeur Holloway a établi ses Médecines dans tou tes les parties connues du monde, et, dans le but de les y ré pandre davantage, il ne dépense pas m vins de cinquante mille livres sterling par an en annonces. De plus, il est établi que par son caractère décisif, son énergie et sa persévérance, il a renversé les scrupules de presque toutes les nations du mon de, même des Hinduux dont la vraie foi leur enseigne que les compositions faites par un Chrétien sont, comme de juste, un poison pour leur âme ceux-ci font aujourd'hui usage de l'Onguent et des Pilules Holloway toutes les fois qu'une mé decine est nécessaire et avec le succès que le cas auquel il a étéfait allusion pour le Prince indique suffisamment. Lon- don Standard. marché d'Ypres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 28 Décembre 1878. NATURE DES GRAINS ET DEiNRÉES. QUANTITÉS VENDUES KILOGRAMMES Prix moyen PAR CENT KILOGR. POIDS M" DE l'hecto litre. 14,200 fr. 28 00 80 4,200 19 50 73 900 21 00 44 Pois 1,200 22 25 80 Féveroles 2,000 21 12 80 Pommes de terre 5,000 8 00 300

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Le Progrès (1841-1914) | 1878 | | pagina 2