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Nouvelles locales.
Nouvelles diverses.
Bibliographie.
il sera satisfait, croyons-nous, aux vœux des
pères de famille.
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Le projet de révision de la Loi de 1842 vient
d'être déposé. Aux termes de ce projet, renseigne
ment religieux ne fait plus partie du programme
des éludes; un local sera mis la disposition du
clergé pour y donner l'enseignement religieux en
dehors des heures de classe aux enfants dont les
parents en feraient la demande.
Celte disposition rencontrera dans la pratique
en supposant même que le clergé s'y soumette
des difficultés nombreuses et parfois invincibles.
C'est ce que nous démontrerons ultérieurement.
Nous nous bornerous pour le moment constater
A) Qu'il n'est pas en notre ville, une seule fa
mille qui dispense les enfants de faire leur pre
mière communion.
B) Que le clergé n'a jamais exécuté chez-nous
la Loi de 1842; que notamment il n'a jamais mis
les pieds dans les Ecoles de filles.
C) Que l'enseignement du catéchisme a toujours
été donné par les instituteurs ou les institutrices
laïques.
D) Que les enfants fréquentant les écoles officiel
les de la ville, ont toujours été préparés l'entière
satisfaction du clergé.
E) Qu'indépendamment du catéchismeon
met profit, l'école, l'enseignement en général
pour développer chez les enfants les sentiments.re
ligieux. Dans l'exercice de leur mandat, les institu
teurs doivent ne jamais oublier qu'il n'y a pas de
liberté sans mœurs, et qu'il n'y a pas de mœurs
sans religion.
Ce n'est pas nous seuls qui disons cela; uu libre
penseur l'a écrit avant nous.
L'intervention du prêtre l'école n'est donc pas
indispensable; elle peut même être très nuisible
quand ce prêtre est un fanatique vicaire préchant
l'intolérance ou donnant l'exemple de la haine, de
la violence et parfois de son mépris pour l'autorité
civile. Une école sans prêtre n'est pas une école
sans Dieu.
Son intervention, titre d'autorité, n'est donc
qu'un privilège dont il a usé ou abusé selon ses
caprices ou les besoins de la concurrence. Ce pri
vilège a vécu. Mais son abolition pouvait suffire,
d'après nous, et il ne faut pas, par horreur du
prêtre, sacrifier d'une manière aussi absolue le
droit des administrations communales de prendre,
dans l'intérêt religieux de la jeunesse, les mesures
qu'elle jugera nécessaires et utiles d'après les be
soins de la population.
Nous avons constaté ci-dessus que. sans excep
tion aucune, tous les enfants font chez-nous leur
première communion. Puisque tel est le vœu des
parents et de tous les parents, ne convient il pas de
leur faciliter la réalisation de ce vœu? Or, suppri
mer tout enseignement religieux l'école, même le
catéchisme, c'est inévitablement non seulement je
ter le désordre dans les heures de classe, mais
priver une foule d'enfants pauvres des moyens de
remplir ce qui, aux yeux de leurs parents, est con
sidéré comme uu devoir religieux.
Les faits parlent plus haut que les paroles.
Société des Chœurs. Mercredi, 29 courant,
8 heures, Soirée Tabagie, avec le concours de M. De-
keinper, chanteur comique, de Bruxelles.
Programme.
1* PARTIE.
1. Leichte cavallerie, ouverture, (sym
phonie), Suppé.
2. Chansonnette, dite par M.Dekemper, X.
3. Loin du pays, mélodie, chantée par
M. Y'ergracht, Dewulf.
4- Sérénade', j Neufcourt.
5. L'Indien, romance, chantée par M.
Collyn, Darcier.
B. Chansonnette, dite par M. Dekemper, X.
2e PARTIE.
4. Chanson du printemps, chœur, L. Jouret.
2. Chansonnette,dite par Ai. Dekemper, X.
3. Baden-Baden, valse, (symphonie), Bousquet.
4. Le Myosotis, mélodie, chantée par
M. Vergraeht, J. Simar.
5. Chansonnette, dite par M.Dekemper. X.
Le piano sera tenu par MM. Baratto et Valcke.
DENIER DES ÉCOLES.
Listes précédentes, 19,111-52
Les pompiers au Soleil demandent un nou
veau bal, 2-85
Een smouzer onder de schallie, 0-10
Een krom dingen gevonden, 0-20
De Jonste van Théodoor, 1-10
Op de Schuiftafel bij de pompiers, 0-10
Napoléon IV om zeep. 0-10
Ontvangen tôt Wervicq, herberg St. Marti-
nus, door 3 ware liberalen van IJperen, 0-60
19,113-57
Dépenses jusqu'à ce jour, 16,060-95
En caisse, 3,054-62
Enseignement. Un arrêté Royal du 15 Jan
vier dernier, alloue Monsieur Van Heugen, Nicolas,
Directeur de l'Ecole Moyenne de l'Etat, Ypres, une
augmentation exceptionnelle, en récompense du mérite
et du dévouement dont il na cessé de faire preuve dans
sa carrière professorale.
Nous adressons M. Van Heugen, nos vives et sin
cères félicitations.
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D'après ce qui se disail comme certain au Palais, M. le
procureur général, près la cour d'appel de Bruxelles, va se
pourvoir en cassation, dans i'iaiérèl de la loi, conlre l'arrêt
de la cour d'assises du Brabanl qui n'a pas condamné I.au-
grand du chef de faux bilans.
De toutes les maladies qui apportent leur contingent au
bulletin des décès, la pius commune, la plus désespérante
pour les familles, celle qui chaque jour occasionne la plus
grande mortalité, c'est assurément la phlhisie pulmonaire.
Des expéneuces faites d'abord Biuxelles et renouvelées
depuis uu pm partout ont piouvé que le goudron, qui est un
produit résiueux du sapiu, a une action des plus remarqua
bles et des plus heureuses sur les malades atteints de phlhisie
et de bronchite.
La m-illrure manière d'employer le goudron, c'est sous
forme de capsules. Les capsules de Goudron de Guyol sont
devenues un remède populaire dans ce genre de maladies. La
dose ordinaire est de deux capsule s prendre au moment de
cLaque <epas. Le bien-êlre se fait sentir rapidement.
Pour éviter de nombnusrs imitations, exiger la signature
Guyol imprimée eu trois couleurs sur l'étiquette du flacon.
Dépôt dans la plupart des pharmacies.
Ou ht dans le Libéral de Louvam: u La presse univer
sitaire vient encore, dans la personne du Vaderland, de
recevoir une flétrissure méritée'.
Sur une action inleutée par M. Verbeydt, négociant, de
Tirlemoul, le tribunal a condamné la saiule feuille
1° A 500 francs de dommages intérêts.
2'' A de ux insertions du jug< mrnl, dans les deux numé
ros du Vaderland, qui paraîtront immédiatement après la
siguificaliou.
3° A une insertion dans un journal de la ville, au choix
du demandeur.
4° Aux frais du procès.
Le jugrm< ut est très-dur pour la polémique, toute de
diffamation, que le Vaderland a eutamee au leudemain
des élections d'Octobre.
Les avocats de M. Verheydl étaient M" Henri et Albert
Peemans.
Le Vaderland était défendu par M" Jacobs et
Schollaert.
Onguent et pilules Holloway. Tout Prêt.
Toute personne bonne et généreuse éprouve une sympathie
naturelle eu présence de ceux qui souffrent, et voudrait pou
voir apporter du soulagement. Le Profissrur Holloway offre
tous, le moyen iufaillible de rendre ainsi le plus grand ser
vice l'humanité suufliaute. Ses nobles remèdes atteignent le
siège de chaque maladie, qu'elle soit a la surface ou cachée
dans les retraites sombivs de l'intérieur du système, et ainsi
eu arrêtent les progrès, la chassent. Des instructions impri
mées pour guider les malades, enveloppent chacun de ces
médicaments restauratifs dont! a rtnomméeesi,non seulement
européenne, mais s'étend sur toutes les parties du Globe.
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L'Illustration Européenne (10, 50 fr. franco par an'
Sommaire du N" 12.
Gravures Le Duc de Cumberland et la Princesse
Thyra. Un Baiser pourune Grappe de Raisin, d'après
M. Alfred Loulet. St. Vincent de Paul prenant les
Fers d'un Galérien, d'après M. L. Bonnet. Vue de la
Ville d'Urgub en Cappadoce.
TexteAvis nos abonnés. Nos Gravures.
L Ecuyer du Sire de Starscbedel, Episode de la Guerre
de Trente Ans. Connaissances usuelles de la Semai
ne. Un Brutus du Quinzième Siècle. La Ville aux
Diamants. Un Diner de Noce aux Enfers. La mort
d'un Oiseau. Le Code de l'Egoïste. Eléonore de
Rouge-Cloître. Roman. - La Buite aux Jeux d'Esprit.
On s'abonne au Bureau du Journal.
marché d'Ypres.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains,
fourrages et autres produits agricoles, vendus le
25 Janvier 1879.
NATURE
DES
GRAINS ET DENRÉES.
QUANTITÉS
VENDUES
KILOGRAMMES
Prix mojen
PAR
CENT
KILOGH.
POIDS M*
DE
l'hecto-
Inre.
Froment
57,100
fr. 27 37
80
4,100
19 25
73
500
21 00
00
1,100
23 00
80
Féveroles.
1.500
25 00
80
Pommes de terre
0,000
00 00
Beurre
300