Thé purgatif Reumaux, Vente de Récoltes. d'Instruments Aratoires CHIEN DE CHASSE Encre Belge perfectionnée, D'ENGRAIS CHIMIQUES Nouvelles locales. Nouvelles diverses. BANQUE ET RECOUVREMENTS. Système Georges Ville BOIS D'OVRDAGES ET RÉCOLTES. A VENDRE F. Courtois et Van Roy VILLE D'YPRES. Conseil Communal. VARIÉTÉS. ACHAT ET VENTE DE FONDS PUBLICS, ÉCHANGE DE COUPONS. V. DECHIÈVRE YPRES. rafraîchissant, vulnéraire, dépuratif et fortifiant, recommandé contre les douleurs dé lestomac, préparé avec les plus grands soins par M. Isaïe REUMAUX, Médecin de la Faculté de Paris, ex-Chirurgien Militaire e Médecin de Colonisation en Algérie, honoré de Médailles et récompenses Nationales. Dépôt chez M. Isaïe REUMAUX Médecin Staple (près d'Hazebrouek et dans toutes les bonnes pharmacies La place fondée l'École des Or phelins par M. Jacques VandeBrouke (sous le contrôle des stations agricoles en 1648, et dont feu M. Ch. Vande de l'Etat.) ÉTUDE Mtre Arsène VAN EECKE, Le MERCREDI 23 Juillet 1879, heures, sur les terres de la ferme occupée par M. Façon, Wervicq, proximité du pavé de Cruyseecke, FABRIQUE brouke a disposé en dernier lieu le 12 Avril 1872 se trouve vacante. Aucun parent du fondateur n'étant connu aujourd'hui, la Commission des Hospices Civils d'Ypres, informe le public qu'elle désignera un garçon pauvre pour occuper la place vacante, si dans le délai d'un mois personne n'aura réclamé le droit de conférer la collation. Le LUNDI28Juillet 1879, 1 heu re, en la ferme et sur les terres occu pées par M. le Bourgmestre Depuydt, Hollebeke, VENTE un magnifique chien d'arrêt braque croisé première force unicolore, ar rêtant et rapportant très bien âgé 3 ans et demi, prix 150 francs. S'adresser Henri Hockedez Garde Neuve-Eglise, titres et composition garantis M- VERGRACHT-COURTOIS Après la cérémonie funèbre, l'impéralrice Eu génie a eu une longue conférence avec le prince Napoléon. On mande de Londres au Globede Paris, que d'après une dépêche privée, reçue du Cap par un officier anglais, le capitaine Carey aurait été con damné perdre son grade et quitter le service de la Reine, pour avoir manquéà son service d'of ficier devant l'ennemi. Poperinghe, le 15 Juillet 1879. Le Lundi de la Kermesse, la Société Philharmonique a donné une grande fête musicale, laquelle, malgré le temps hivernal que nous ressentons en ce moment, avait attiré un si grand nombre de membres honorai res et d'étrangers, que la grande salle des concerts ne pouvait qu'à peine contenir les dames qui s'y pressaient. Quant aux cavaliers, ils se sont trouvés obligé d'écou ter l'extérieur, ce qu'ils ont fait gracieusement sans se plaindre. Le programme du concert était des plus attrayant et l'exécution des différents morceaux qui y figuraient ont été exécutés d'une manière si parfaite que malgré la chaleur étouffante que les dames ressentaient l'inté rieur de la salle et le froid qu'il faisait l'extérieur, nous n'avons tous éprouvés qu'un regret, celui de voir se terminer trop tôt cette magnifique soirée. Le soliste, M. Nys, piston solo au théâtre de la Mon naie, a obtenu le plus grand succès et chaque morceau qu'il a exécuté lui a valu des applaudissements aussi chaleureux que mérités. Le Bal n'a pas été moins animé. De nouveau, hon neur aux dames qui s'y trouvaient en nombre supérieur encore aux autres années. Aussi, aux sons d'un orchestre enchanteur, les danses se sont prolongées jus qu'à 3 heures du matin Séance du 19 Juillet 1879, 5 h. de relevée. ordre du jour: 1 Communication de pièces. 2 Dépôt du rôle supplétif de la taxe communale sur les chiens. 5 Demande de concession. 4 Budget de 1880, Ecole moyenne. 5 Approbation procès-verbal vente d'herbages Dicke-- busch et Zillebeke. 6 Budget 1879 des Hospices Civils. 7 Indemnité de loyer M. le curé de St-Pierre. 8 Demande relative au cours d'i-au dit Bellewaerdebeek. Conseils utiles tirés du - Moniteur de l'Agri culture. Moyen pour débarrasser les chevaux contre l'ut laque des mouches. Nous voici bientôt la saison où les mouches deviennent mauvaises, en attaquant les animaux, surtout les chevaux, avec fureur; nous croyons donc bon de rappeler nos lecteurs un moyen très simple de se débarrasser de ces importuns insectes, moyen que nous leur avons déjà indiqué A l'aide d'un pinceau, on introduit dans la conque de l'oreille une ou deux gouttes d'huile de Cade (matière tout fait inoffensire) on répète l'opération chaque semaine, et jamais les mouches n'approchent, même de la tête du cheval ainsi préservé. Dix centimes de cette huile par cheval, suffisent pour une saison. Ajoutons qu'en frottant le ventre et les naseaux du cheval, on le rendait tout fait invulnérable. Vraiment l'expérience coûte trop peu pour qu'on ne la tente pas. La récolte en Belgique. Jusqu'à présent, on peut espérer un recolle moyenne; mais il est plus que temps qu'un changement sérieux de température se produise. La seule pianle sérieusement éprouvée est le lin sur plus d'un point, la récolte est gravement compromise sur beau coup d'autres, elle peut être considérée comme perdue. Les agriculteurs flamands sont particulièrement éprouvés sous ce rapport; on peut estimer 20,000 hectares au moins la superficie des terrains affectés la culture du lin. Chaque hectare représente en moyenne une récolte de 2,000 fr. Quant la betterave, tout fait supposer qu'elle restera cette année petite, courte, racineuse et étouffée sous les mauvaises herbes. Le démariage n'est pas achevé; dans quelques locali tés, on n'est encore qu'au quart ou au tiers decetteopération, terminée habituellement au commencement du mois de juin. Les binages et les sarclages se font très-difficilement: dans l'ensemble, la situation est peu rassurante. Les fabricants de sucre se demandent comment mûrira la betterave et quelle époque ils pourront commencer la fabrication. En résumé, nous sommes en présence d'un déficit certain de récolte dont l'importance est subordonnée au temps qu'il fera d'ici l'arrachage, lequel, dans tous les cas, devra avoir lieu tardivement. La situation est la même en France, en Au triche et en Allemagne où, comme chez nous, des pluies abondantes ont été générales et où le retard de la végétation tend s'aggraver par le froid. Les alf'aires en Amérique. Nous lisons dans une coi ri-spoudance adressée de New-Yoïk au Précurseur Je ne sait comment vont les affaires industrielles chez vous <1 vos voisins. Je souhaite qu'elles soient en aussi bonne situation que dans ce pays. Depuis six mois que l'on a com mencé constater une amélioration, le travail n'a fait que se déverlopper. A l'heure qu'il est, toutes les industries sont en pleine activité et les travaux agricoles ayant enlevé un grand nombre d'ouvriers de la population des villes, les bras man quent dans un grand nombre de centres industriels. A Newark, ce vaste atelier qui occupe plus de 25,000 hom mes, Philadelphie, Pittshurg, Patterson, toutes les usi nes sont en plein mouvement. Ceci je l'ai constaté par moi- même. Les nouvelles du Nord et de l'Est sont aussi favorables Les fabriques de chapeaux de Danbury et d'Hartford de lai nage et de tapis du Rhode-Island de chaussures de Lyon et Lowcll de coton de tout l'Est ont peine suffire aux com mandes. Ajoutez ces éléments de prospérité un commerce d'exportation qui croit sans interruption, l'argent qui abonde (on le dit du moins), les salaires qui augmentent, le prix des choses nécessaires qui s'abaisse et vous comprendrez aisément que nous entrons dans une période nouvelle de prospérité. Espérons que la vieille Europe pourra bientôt en dire au tant. Un paysan d'Epraves venait Bruxelles pour la première fois. Le spectacle de la capitale le jeta dans l'admiration au cune enseigne ne lui échappait il considérait attentivement les différentes scènes qui s'offraient ses regards, et sa curio sité le porta jusqu'à désirer savoir toutes les marchandises qui se vendent dans chaque boutique. Il vit un homme tout seul dans un bureau de change. Monsieur, lui demanda-t-il d'un air passablement niais, dites-moi donc ce que vous vendez, s'il vous plaît Le changeur crut qu'il pouvait se divertir aux dépens du personnage. Je vends, lui répondit-il, des tètes d'âne. —r Ma foi, répartit soudain le paysan, vous en faites un grand débit, car il n'en reste plus qu'une dans votre bou tique. Et sur ce, le paysan s'esquiva, laissant le Bruxellois tout étourdi d'un pareil à-propos. DEMANDEZ La Farine américaine de George V Hecker et C° en paquets de 1 3 livres an glaises pour employer SANS LEVURE NI SEL et bien supérieure toutes les autres farines fer mentantes, introduites dans le commerce par suite de la grande renommée de laFARiREHECKER, la seule véritable farine fermentante. GRANDE ECONOMIE DE BEURRE ET D'OEUFS. Se méfier de toute contrefaçon et avant d'a cheter bien se convaincrede l'authenticité des pa quets dont les modèles ont été déposés au greffe du tribunal de commerce et au conseil des prud' hommes. Se vend en gros chez M. R. R. Viervant An vers, longue rue du Nord, n° 14/2, et en détail dans tous les principaux magasins d'épiceries et de comestibles. 29 RLE DES CHIENS 2», DE Notaire Wervieq. MATIÈRES ORGANIQUES pour la composition des engrais Bruxelles. 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Le Progrès (1841-1914) | 1879 | | pagina 3