Thé purgatif Reumaux,La Farine américaine de George V. GERARD-WATREMEZ, LE PETIT RENTIER" D'ENGRAIS CHIMIQUES Adjudication Nouvelles locales. Nouvelles diverses. Bibliographie. Actes officiels. FONDS PUBLICS PHOTOGRAPHIE C. VERMEULEN el fils, de îtïtre Arsène VanEecke ordre du jour: rafraîchissant, vulnéraire, dépuratif,Iecker et c°rn PaT"-'s de l 3 livres an- et fortifiant, recommandé contre les 8la,ses Pour tmPlo>rer SANS LEVURE NI SEL douleurs de TestoMaC préparé avec'1 bien supérieure toutes tes autres farines fer les plus grands soins par M. ISAÏE le commerce par d 17TTTV/t a ttv if/1 'i i i\p «Mie dr la grande renomme* de la FamnbHeckbr J tV Médecin de la Faculté |a seule véritable farine fermentante. Médecin'd^OolonSn Sgétifj GRA'">E mW'""EDEETlTOEÇfS. honoré de Médailles et récompensesl^r ™,fuer dt",oute co",refaçon el avanl d'a" Nationales. etdans toutes les bonnes pharmacies. 87, HUE DE LILLE, Y PRES. pour toutes les plantes, composés d'après les meilleurs procédés et for mules, garantis sur analyses faire aux stations agricoles de l'Etat. marchands de houblons NOTAIRE A WERVICQ. Le Lundi 2 Février 1880, 4 heu res, l'estaminet Le Soleil Levant, tenu par la veuve Becquart-Ghes- quière, Comines-ten-Brielen, d'une petite FERME et 79 ares 30 centiares de Fonds, Jardin, Verger et Labour, Comines-ten-Brielen, le long du chemin De Schoonrelde S0" B, n08 167, 170, 171, 172 et i73 du cadastre. Occupés par Decroix-Vanraes, 260 francs l'an et l'impôt, avec droit de bail jusqu'au lr Octobre 1885. Nous fonda m sur l'enseignement infaillible de l'Egli sesi hautement vérifié par tous les évétn ramls de ce siècle, nous considérons comme un devoir impériaux envers le pays, envers nous-mêmes el envers nos enfants, de faire tout ce qui est en nous pour amener régulièrement et pacifiquement nos concitoyens purger la Constitution des humeurs mor telles qui l'empoisonnent et a y introduire avec persévé rance, selon la mesure du possible et les circonstances des temps, le souverain antidote des principes du SYLLABUS. C'est notre droit et notre drvoir, non pas seulement comme catholiqurs, mais comme Belges. Courrier de Bruxelles. 23 novembre 1877.) Société de lsx Concorde. Programme des morceaux qui seront exécutés le Jeudi 29 Janvier 1880, 7 1/2 heures du soir, par la musique du 1' rég1 de ligne, sous la direction de M. Ch. Simar. 1. L- diable sur terre, marche, Von Suppé. 2. Le lac des fées, ouverture, Auber. 3..Fantaisie pour saxophone, exécutée par, M. V rcamen. Singelée. 4. L'invilation la valse, Weber. 5. Ernauq fantaisie,(arr. Ch. Simar, père), Verdi. 6. Papag.-no, polka, (sur des motifs de la flûte enchantée), Strauss. VILLE OTPHES. rosmeil commcxal. Séance publique du 31 Janvier 1880, 5 h. du soir. 1. Communication de pièces. 2. Demande de concession. 3. Approbation d'une délibération des Hospices pour l'achat d'un cabaret, rue de la Meute. 4. Proposition concernant l'exécution du projet de nouveau système de distribution d'eau. 5. Proposition concernant la situation financière de la ville. Société de Gardes civiques. 13* tir de la période d'hiver. 25 Janvier 1880. Haut total. 1. Ligy, A. 20 25 20 25 20 110 2. Smryslers, E. 20 25 25 25 15 110 5. Lrclercq, Th. 25 15 20 20 25 105 4. Dumon, A. 25 20 20 20 20 105 5. Poduyn, A. 25 20 25 15 20 105 6. Swekeis.L. 20 20 20 20 20 100 Bas total. Drvarver, A. 151110 18 2. Poot, H. 5 5 5 5 10 30 3. Berghman, E. 5 10 5 1 10 31 ÉTAT-CIVIL D'YPRES, du 16 au 23 Janvier 1880. NAISSANCES: Sexe masculin, 4; id. féminin, 11 Total, 15. Mariages Isaac, Julien, cordonnier, et Astaes, Marie, couturière. Ommeslag, Louis, cordonnier, et Devers, Félicie, dentellière. Décès De Cherf, Reine, sans profession, 88 ans, veuve de Jean Doolaeghe, rue de la Boule. Gruwier, Constantin, facteur rural pensionné, 70 ans; époux de Sophie Grimmonprrz, rue des Bouchers. Dorpe, Appoline, sans profession, 51 aus, célibataire, rue longue de l'tluuroui. De Coene, Marie, sans piufts»ion,75 ans, célibataire, Giand'placr.Ver Ercke, Pierre, cultivateur, 47 aus, époux de Marie Debruyne, Saint- Pierre-iez-ïpres. Speybrouck, Aloïse, journalier, 2 ans, célibataire, rue longue de Thourout.Biliiau, Rosalie, sans profession, 67 ans, épouse de Pierre Petillion, sl-Nicoias-lez- k près. Lochleubergh, Eméreuce, sans profession, 06 ans, célibataire, lue d Elveidiugtie. Vanvossem, Eugénie, suus profession, "4 ans, veuve de Charles Lenoir, i-Ur de Meuin. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin, 5, Sexe féminin, 2, Total 7. Un duel au pistolet a eu heu samedi sur notre territoire, Meniu, entre il. Waddington fi.s el M. Bergès, rédacteur de la Hépublique de Château-Ibierrv. Celle reucoulre était moliter pour nu aiticle de ce journal, article odVusanl pour M. Waddiugiou el dont M. Berges acceptait la responsabilité. Ap.ès les formalités d usage, les adversaires oui été mis en présrnce la distance de trente pas. Un premier échange de balles a eu lieu cinq heures moins dix annules. M. Wad diugiou avança de dix pas et fit feu sur sou adversaire, attei gnant celui-ci au côté droit de la poitrine. M. Bergès tira sou tour sans avancer et sans résultat. Les arme» furent recharges selon 1rs conditions présentés Un second échange de balles eut lieu cinq heures sans qu'aucun des deux adversaires fut louché, il. Waddington avançant celte fois de dix pas et essuyaul le f.u de M. Bergès duiaul cette marche. Les témoius ont alors déclaré l'honneur satisfait. L Economie Financièreparaissant le Dimanche avec l'i pages. Frunegratuite (voir détails aux annonces). Pour 1880, caractère renouvelé, formai agrandi. Des pièces d'or fausses de 20 lires l'effigie de Victor Emmanuel circulent en ce moment. Ces pièces sont dorées, mais faites de métal blauc qu'on peut distinguer en regardaul attentivement les parties usées. Le son en est clair et argentin, le poids approchant du poids réglementaire. Une légère impeifeclion existe sur ces pièces datiS' la légende entourant la figure du roi d'Italie. LE PETIT RENTIER est envoyé 52 Dimanches Consécu tifs moyruuenluu franc. (Voir aux annonces.) L'administration communale d'Oslende revendique la propriété de l'ancien cim tièrr de cette ville que détient le conseil de fabrique de l'église des SS. Pie're Paul. La commission du contentieux a émis l'avis qu'avant d'en tamer le piocès, il conviendrait de savoir si le conseil de fabrique était disposé rendre celte propriété communale. Il a été écrit dans ce sens la fabrique d'église et celle-ci dans sa réuion du premier Dimanche de Janvier a pris connais sance de la lettre du eollégr, mais n'a pas statué et n'a envoyé aucune réponse. Considérant l'absence de réponse comme un refus de remettre la propriété que la ville revendique, le conseil commencera les premières démarches pour ester en justice. Glatz, le 2 novembre 1878. Monsieur, J'ai employé trois flacons de Capsules de goudron de Guyot contre nu fort engorgement des poumons qui m'occasionnait souvent des nausérs, et j'en ai obtenu le meilleur résultat. Ces capsules produisirent un effet très rapide, presque immé diat, de sorte qu'elles m'ont produit un soulagement général considérable. ELSRIER, contrôleur en chef des contributions. Les chiens enragés. Jeudi dernier, un chien ap partenant une maison du Chaussée Notre Dame est devruu subitement enragé. 11 mordit successivement six membres de la famille de ses maîtres elquatre autres personnes, puis il s'é lança dans le village et attaqua plusieurs chiens qui furent imaiéiiiali meril abattus. Poursuivi outrance, l'animal fu- ux fut rejoint près du château de Fclignies, Neufvillcs, et tué sur place.. Ou se figure aisément ia consternation qui rè gne Chaussée et dans les environs. A Gand, une femme V... habitant la rue Van Witteuberge, avait été mordue par son chien, il y a sept semaines. Le chien ne pvésenlait rien d'anormal, elle ne s'était pas inquiétée de sa blessure lorsque, il y a quatre jouis, les symptômes de la rage se sont déclarés. La malheureuse est morte jeudi après avoir parcouru toutes les phases del'honible empoisonnement qui devait la tuer. Commissions bien faites. Depuis quelque temps on trourait dans les jardius de Fresnes des pièces de viande fraîchement découpées on ne savait quelle cause attribuer |a présence de ces vivres qui certainement ne poussaient pas sous la neige. On vient d'avoir l'explication de ce fait: c'est |e fils d'un boucher qui, ennuyé de faire les commissions de son père, jetait tout simplement au-dessus des baies les morceaux de viande qu'il était chargé de porter aux clients. Il ne manquait pas chaque jour de remettre h son père l'argent des recettes qu'il était censé d'avoir faites. Mais au retour la maison paternelle il ouvrait le secrétaire, prenait une somme pareille celle qu'il avait dû recevoir et la remet tait ses parents. Bibliothèque Gilon. La publication qui paraît bi- mensuellement sous ce titre donne rarement des poésies, mais quand elle en offre ses lecteurs ce sont presque des chefs-d'œuvre. La traduction en vers du poème de Gœlhe, Herjiann et Dorothée, a été un succès: celte traduction en est sa troisième édition. Aujourd'hui, un second volume de vers vient de nous parvenir il est intitulé Contes oe Mme Rose. Qui est cette dame C'est ce que M. Gilon ne nous fait pas connaître, bien qu'il prenne toujours le soin de ren seigner srs lecteurs sur la personne et les œuvres do chacun de ses collaborateurs. Qui que soit cet auteur, nous reconnais sons pupliquemenl qu'il sait heureusement manier le verset qu'il expose avec charme les idées du plus pur libéralisme. Son œuvre est excellente et mérite le succès. Que M™" Rose en reçoive nos compliments. Nous sommes certains que plus d'une mère voudra apprendre ces petites et charmantes poé sies ses enfants. Ordre de Léopold. Par arrêté royal du 26 janvier, est nommé dans l'ordre de Léopold: Chevaliers'. MM.Joltrand ingénieur de 1er cl. desmines Andries, ingénieur principal des ponts et chaussées. i se convaiucrede l'authenticité des pa- Iquets dont les modèles ont été déposés au greffe Dépôt chez M. ISAÏE REUMAUX.'du tribunal de commerce el au conseil des prud'- Médecin Staple (près d'Hazebrouck, homai,;s. Se vend en gros chez M. R. R. Viervant h An vers, longue rue du Nord, n* 14/2, el en détail dans tous les principaux magasins d'épiceries et de comestibles. 3" ANNEE j ruhlicchaquer1imanche\ - bonhomme prudfnce L ef I—* In mteiyaemnib mtitm fou, 'uomenter son eveno svns l",q ep. D ^£'1141 rue de l'Écoyer. 47 f g F ÂlfL BRUXELLES. P I ENVOYANT 4 TIMBRES DE 25 CENT. ACHAT ET VENTE chez A. DevarveRj Paiement de Coupons Belges et étrangers. Renseignements sur tous les tirages. rue de Boestinglie, if, Ypresi. FABRIQUE ET MAGASINS QUELCONQUES. Engrais complets ïpres et I.lvcrdinghe. N. B. Tout acheteur de 1000 kilos et plus a le droit de faire faire l'ana lyse aux frais des vendeurs. ETUDE

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Le Progrès (1841-1914) | 1880 | | pagina 3