Me Arsène VAN EECKE, ADJUDICATION M E 1 1! LI. K EN HERBERGGERiEF. ACHAT ET VENTE chez A. Devarver, Te Vlamertinghe. OPENBARE VFRKOOPING TE IJPEREN, INSTEL s- QVERSLAG i7«n A1 U1L 188°- Nouvelles diverses. Chronique Judiciaire. Actes officiels. VERKOOPING FONDS PUBLICS Sludie van den Notaris VEYS, de NOTAIRE, A WERVICQ. 6 heures, en l'estaminet Le Parc, Wervicq, d'une spacieuse MAISON avec 12 ares 76 centiares de Fonds et Jardin, située Wervicq, rue Pompe-à-Feu. Occupée par M. Dumont-Vandam- mèi jusqu'au 1er Juin 1880. Seulement mise-à-prix 9,000 fr. en WOENSDAG en DONDER- DAG, 14 en 15 APRIL 1880, om 9 uren stiptte beginnen, in het Hôtel Fournier, bij de Statiete IJPEREN, Genaamden Notaris zal overgaan, op Donderdag 15 April 1880, om 3 ure's namiddag,terherberg deKroon, gelegen ter plaats van Elverdinghe, tôt de verkooping in éénezitting, van een schoon engerievig WOONHUIS met verdiepingen 4 a. 15c. bebouwde rrond en hof, gelegen ter plaats van Jllverdinghe aan deoostzijde van den steenweg thansledig, laatst gebruikt door de we Albertus Deneudt. Hand- slag met de geldtelling. van: 1° Eene HOFSTEDE, te Watou, groot 11 h. 32 a. 50 centiaren. Gebruikt door de weduwe Pieter Devos, aan 1400 fr. 's jaars tôt 1 October 1888. 2" Een HOFSTEDEKEN, te Wa tou, groot 2 h. 68 a. 43 centiaren. Gebruikt door Désiré Deheegher- Liefooghe, tôt 1 October 1881, aan 270 fr. 's jaars, En 3° Eene partie ZAAILAND, te West-Nieuwkerke, groot 1 h. 24 a. 20 centiaren. Gebruikt door Auguste Moncarey, molenaar te Wulverghem, aan 185 fr. bij dejare, tôt 1 October 1884. om Een ure namiddag, ter herbeig, de Boerenhol, Lentemarkt, te IJpe^ ren. Door het ambt van den Notaris 71TECA te IJperen,Elverdingstraat. Sa mauvaise humeur est compréhensible il est, en effet peu agréable pour lui de voir ainsi disparaître, les uns après les autres, les derniers vestiges de tout ce qui rappelle l'antique suprématie cléricale. LeJournal d'Ypres, ainsi que son valet d'écurie le Nieuwsbladaccusent l'Administration communale d'avoir agi uniquement en haine de la Religion et des cérémonies du culte lisez de la boutique cléricale. Nous n'en savons rien: mais quand cela serait? Ces Messieurs les calotins sont-ils donc si aimables l'égard de l'Autorité civile, que celle-ci doive ainsi se plier toutes leurs fantaisies, grandes ou petites? Et quelle prétention que d'exiger certains jours la suspension d'un service public, parcequ'il leur plaît, eux, de faire taire ces jours-là les cloches des Eglises Car, qu'on le remarque bien, ce qui se taisait les Jeudi et Vendredi-Saint c'était,non pas le carillon» comme le dit le Journal dYpres, mais bel et bien la sonnerie qui annonce l'heure et ses subdivions. Il y a un côté particulièrement réjouissant dans les prétentions cléricales c'est la désinvolture avec laquel le ces bons apôtres émettent les thèses les plus ridicu les. Ainsi,ils trouvent mauvais que nous sachions l'heure le Vendredi-Saint,et que d'autre part nous osions pros crire la cloche a qui annonce que d'humbles religieuses vont assister au S'-Sacriflce de la Messe sous le falla cieux prétexte que le son de cette cloche nous empêche de dormir Mais certainement que cela nous empêche de dormir Le Journal d'Ypres sait fort bien que nul ne songe empêcher les humbles religieuses d'assister au S'-Sacriflce de la Messe; mais qu'il nous montre la nécessité ou seulement l'utilité qu'il peut y avoir réveiller les habitants dès 4 heures du matin, pour leur annoncer cette intéressante nouvelle. Tout le monde, y compris les humbles religieuses a besoin de connaître l'heure combien d'habitants il y a-t-il qui se soucient de savoir quel moment les car mélites vont assister, portes closes, la Messe Décidément, le Journal d'Ypres abuse de la candeur de ses abonnés. NAIS ÉTAT-CIVIL D'YPRES, du 19 au 26 Mars 1880. 5ANCES: Sexe masculin, 8; id. féminin, 4; Total, 12. Décès Vefbruggbe, Emile, sans profession, 20 ans, célibataire, rue longue de Thourout.Declercq, Sophie, dentellière, 54 ans, épouse de Charles Baelden, rue de Menin. Enfants au dessous de 7 ans Sexe masculin 4; id. féminio 5; Total 7. Ou écrit d'Ostende, 'a la Meuse, que M. Van Iseghem, bou rgmesli e de celte ville et membre de la Chambre des re présentants, est gravement malade. Le goudron est uue substance très complexe et doot la composition varie considérablement selon le mode de prépa ration et surtout selon la substance dont on l'a extrait. En effets, on retire du goudron de la houille, des bois de hêtre, de pin, de sapin, etc. il va de soi que les propriétés curalives de ce produit varient selon son origine et son mode de prépa ration. Autrement dit, chaque espèce de goudron a se pro priétés spéciales. Aussi n'est-il pas étonnant qu' au point de vue médical, tous les produits dénommés goudron ne pro duisent pas les mêmes résultats. Pour la fabrication de ses capsules de goudron 11. Guyot emploie seulemeot le goudron dit de Norwège. Il ne peut ga rantir la qualité, et par suite l'eflicacile, que des flacons de capsules qui portent sur l'étiquette sa signature imprimée en trois couleurs. Les Capsules de Goudron de Guyot s'emploient dans les cas de rhume, toux, bronchite, asthme, phtisie. A la dose ordinaire de deux ou trois capsules chaque re pas, ce traitement revient quelques centimes par jour et dis pense de l'emploi de toute espèce de tisanes, pâte ou sirop. L'Economie Financière, paraissant le Dimanche avec 16 pages. Prime gratuite (voir détails aux annonces). Par arrêté royal du 23, le collège électoral de l'arron dissement de Bruxelles est convoqué pour le samedi 17 avril prochain, 9 heures du matin, l'effet d'élire un sénateur, en remplacement de M. Dolez, décédé. Les candidats devront être proposés avant le lundi -12 du même mois; chaque proposition devra être signée au moins par 50 électeurs. En cas de ballottage, le scrutin aura lieu sans convocation nouvelle des électeurs, le samedi 24 avril prochain, 9 h. du matin. La Gazette de Dusséldorf enregistre un cas de lon gévité extraordinaire. Une femme nommée Heithœrsler vient de mourir Lintel, dans le district de Reckenberg, l'âge de cent douze ans. La Gazette dAugsbourg annonce qu'une somme de 80,000 marks vient d'être donnée par l'empereur d'Allemagne pour l'achèvement des fouilles de Pergame et d'Olvmpie. Une dépêche de Madrid, 27 mars, que nous communi que l'agence Bavas dit que les jésuites ont acheté, au prix de 125,000 fr., un magnifique château près de Madrid. Ce châ teau appartenait au duc d'Ossuna. On croit qu'il est destiné recevoir les jésuites de France. D'autre part, une dépêche de Monaco, informe le Petit Marseillais de l'arrivée d'un architecte parisien qui serait chargé de la construction de deux grands établissements pour les collèges des jésuites. Ces constructions, qui seraient fai tes sur des terrains achetés récemment; devraient être termi nées complètement le 2 novembre prochain pour recevoir environ 2,000 élèves de Paris la rentrée des classes. Les projets et plans ont été établis sous la direction du père gé néral des jésuites. LEPET1T RENTIEResl envoyé 52 Dimanches consécutifs moyennant un franc. (Voir aux annonces.) BIBLIOTHÈQUE GILON. Nous recevons un nouveau volume intitulé. Les Glaciers. C'est une excellente étude, qui sera lue avec intérêt par les lecteurs de la Bibliothèque Gilon. Le sujet est vaste et il pré sente des faits très curieux. L'auteur de ce volume, M. P. de Bruycker, a su en tirer tout le parti possible et nous devons l'en féliciter. Les distributions de prix. Un grand mouvement s'est produit, il y a quelques années, dans le monde des pédagogues. On voulait supprimer les dis tribution des prix, et Bruxelles a donné l'élan au pays en supprimant complètement ces cérémonies, qui of- raient cependant le grand avantage de mettre des mil liers de volumes entre les mains du peuple. Un des arguments importants des abolitionnistes était la difficul té de se procurer de bons livres bon marché. Le bud- jet des communes étant très limités, pour donner des volumes chaque jeune lauréat, on devait s'adresser aux... officines cléricales et répendre ainsi dans les jeunes générations des ouvrages absurdes et malsains. On formait tout simplement des génération des cré tins. Aujourd'hui que les meilleurs littérateurs libéraux du pays se sont associés un éditeur pour former la Bi bliothèque Gilon et que Verviers offre, très bas prix, aux communes, de bons et de beaux ouvrages, brochés, cartonnés et même dorés, cet argument en faveur de l'abolition des distributions de prix n'existe plus; aussi avons-nous vu, avec plaisir, le Conseil communal de Bruxelles revenir la semaine dernière sur sa décision et voter la réorganisation des distributions solennelles de prix partir du mois d'août prochain. Ces cérémonies constituent un excellent moyen pour répandre dans le public les excellentes publications de la Bibliothèque Gilon et former insensiblement, par de bonnes et utiles lectures,des hommes sérieux,affran chis des erreurs et des préjugés, avec lesquels nos ad versaires politiques auront a compter plus tard. Le parti libéral ne doit pas négliger ce moyen pour contribuer former de futurs électeurs libéraux. Le martyr du jour. Nous lisons dans le Temps de Paris en wagon. Ce titre d'une saynette deux per sonnages, en vogue dans les salons où l'on joue la co médie, paraît avoir été particulièrement goûté par M. l'abbé Rumeauet par sa jeune compagne de voyage, M"' Portet. M. Rumeau, desservant de Ganac, dans l'Ariège, était le délégué de l'évêque au conseil départemental de l'instruction publique. M"* Portet exerçait les fonc tions d'institutrice Ginabat. Leur tête-à-tête, dans le train qui relie Tarascon Foix, ne se serait pas borné un pur marivaudage le curé et sa compagne pre naient place comme prévenus sur le banc du tribunal correctionnel de Foix, l'une des dernières audiences. L'inculpation était celle d'outrage public la pudeur. L'abbé Rumeau a été condamné trois mois d'em prisonnement. Des circonstances atténuantes ont été admises en faveur de Mlle Portet elle expiera par huit jours de prison sa docilité envers l'incandescent abbé.» A rmée. Par an été royal dit 26 mars 1886, les no minations suivantes ont en lieu dans la cavalerie Majors. Les capitaines cummaDdandts Félu, instructeur au 4" lanciers, et DeBuiyn,du même régiment. Capitaines commandants. Les capitaines Baron de Menten de Horne, du 2' lanciers, et Comte d'Arschot Schoon- hoveo, du 5" id. Capitaines en second de l' classe. Les capitaines Baron Merlens, du 2e guides, et Graff, A.-A,. Lieutenant. Le sous-lieutenant de Calonne du 4" lan ciers. ÉTUDE Le MARDI 6 ATRIL 1880, van al de zieb daar bevindende 87, RUE DE LILLE, YPRES. Paiement de Coupons Belges et étrangers. Renseignements sur tous les tirages.

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Le Progrès (1841-1914) | 1880 | | pagina 3