BANQUE. A. JONCK-CLEMENT.
Nouvelles locales.
Nouvelles diverses.
Appétit, Digestion, Sommeil,
Santé et Energie tous 'meSm"*
REVALENTA ARABICA
Nous lisons dans la Meuse journal de
Liège
DENIER DES ÉCOLES.
Les porteurs d'obligations sont prévenus
que les coupons d'intérêts échéant le 15 Avril
ainsi que les titres échus et remboursables
seront payés sans frais la Banque Ate VON'CK-
CLEMENT.
La maisons se charge également de l'encais
sement des coupons d'intérêts Belges et étran
gers de l'achat et de la vente de fonds publics
et de toute autre opération de Banque des
conditions modérées.
Prix moyen poids m"'
par de
les modérer et qu'elle condamnait leurs extrava
gances. On admire généralement ici l'intelligence
et l'énergie avec lesquelles la diplomatie belge s'est
conduite peudant les deux années qu'ont duré les
négociations et qu'il a lallu lutter contre la dupli
cité romaine.
On s'occupe de l'émission prochaine de 20,000
actions de la Campagnic des chemins de fer secon
daires. Le public semble porté de plus en plus vers
les titres d'entreprises de transport dont les frais
d'établissement sont peu élevés, et il est encouragé
dans celle tendance naturelle par les bénéfices réa
lisés par ceux qui se sont intéressés depuis un an
ou deux dans les affaires de ee gei:re constituées
en Belgique.
D'ailleurs, la Société des chemins de fer secon
daires vient son heure, et elle pourra faire ample
moisson de travaux fructueux pour ses actionnai
res, tout en aidant au développement de l'industrie
belge. Europe
H10 f
Poperinghe!... PoperingheEt l'on croit
avoir tout dit. El l'on se prend sourire d'un petit
air capable, comme Bruxelles lorsqu'il parle de la
province. N'allons pas trop vite pourtant, car la
petite ville de Poperinghe va venir faire chez nous
ce qu'il nous serait littéralement impossible d'aller
faire chez elle. En d'autres termes, elle se propose
de nous envoyer le corps d'harmonie de sa Société
philharmonique, composé de quatre-vingts cent
exécutants, et qui a fait brillamment ses preuves.
Chaque année, cette harmonie, sous laconduite de
M. Van Merris, ancien représentant, qui s'impose
de très-lourds sacrifices d'argent pour la maintenir
une grande hauteur artistique, cette harmonie, di
sons-nous, fait une excursion en Belgique ou l'é
tranger. El cette fois, c'est nous qui aurons la bonne
fortune de la posséder. Non pas nous seuls, bien
entendu, puisqu'elle nous arrivera de Namur et de
Huy le lundi 2 Août, et nous donnera, notre tour,
sous le patronage de l'Administration communale,
un brillant concert au kiosque d'Avroy.
Cette fête sera donnée l'instar de celles qui ont
déjà eu lieu au même endroit, avec vaste enceinte
réservée, illumination du kiosque et le reste.
Nous n'avons pas tout dit et voici qui achèvera
de douuer de l'éclat la séance c'est qu'elle se
donnera au bénéfice du Vestiaire libéral
Nous reviendrons sur cette fête, qui, on le voit,
présentera des attraits de plus d'un genre.
Listes précédentes,
24,744-92
Kruisstraat,
7-42
Saumon,
18-50
Witte Klakken
4-70
Eperon d'Or,
2-61
Boerenhol,
5-01
Café Suisse,
3-41
Bergerie,
4-82
Tête d'Argent,
6-10
Sultan,
15-50
Salon d'Apollon,
4-00
Épée Royale,
14-60
«4,831-59
Dépenses jusqu'à ce jour, 23,755-55
En caisse 1,070-94
Société de la Concorde, (extra-muros.)
Programme des morceaux qui serool exécutés le Dimanche ti
Juillet 1880, h 6 h. du soir, par la musique du 4* rég' de
Lanciers, sous la direction de M. Coutelier.
1. En avant, marche militaire, par Bender.
2. Ouverture, pari Steenebruggen.
5. L'amitié rompue, valse, arr.- Coutelier.
4. Dans les Bois, polka pour piston par Huldermans.
5. Fanlaisie, sur: si j'étais Roi, arr: Duyck.
6. La malle des Indes, galop, par Krein.
Nous apprenons que M. Alphonse Butaye, fils de
M. le Notaire Butaye, de Messines, vient de passer,
avec succès, son examen de Candidat Notaire.
A Charleroi, dimanche dans l'après-midi, on remar
quait venant de la station, un bon gros curé, 1a mine ruti
lante de santé, calme et sereine, qui marchait a pas lents, un
bréviaire sous le bras.
Après avoir passé le pont, il tourna gauche par le quai,
qu'il suivit, toujours d'un pas tranquille.
Arrivé la prison, il sonna, on lui ouvrit et, sa vue, le
portier, plein de respect, salua jusqu'à la terre et se disposait
introduire ce visiteur auprès M. de l'aumônier, lorsqu'àrri-
vèrent leur tour deux grands geudarmes, qui avaient suivi
le prêtre distance, mais eu le tenant l'œuil, depuis la ga
re.
Il s'agissait, en effet, d'une arrestation. M. le curé de Le-
val-Trabegnies, le vénérable Adolphe Gondeou, âgé de 50
ans, s'était vu arrêter au moment où il allait commencer les
vêpres.
Il est prévenu de nombreux attentats la pudeur.
Comme il ne fit aucune résistance et promit de ne pas
chercher fuir, les deux excellents gendarmes chargés de l'a
mener noire prison cellulaire, ont mis dans l'accomplisse
ment de leur mission toute la délicatesse et toute la discrétion
possible. (Journal de Charleroi).
LEPETIT RENTIER est envoyé 52 Dimanches consécutifs
moyennant un franc. (Voir aux annonces.)
Parricide. Un crime horrible vient d'être commis
Luogny (Rhône). Le nommé Jacques Frérot,âgé de 28 30
ans, habitait avec sa mère, presque octogénaire. Ce jeune
homme, assez mal vu dans le pays, avait, parait-il, plusieurs
fois menacé de mort la malheureuse femme or, depuis trois
jours, personne ne l'avait vue, ni sa fille, qui habite la même
maison. Cette dernière, inquiète, avertit la gendarmerie. Celle-
ci se rendit de suite au domicile de Mm" Frérot et interrogea
le fils, qui répondit que sa mère était Pondeveaux.
Sans s'en rapporter cette affirmation, on commença une
perquisition, qui amena les résultats suivants Dans plusieurs
endroits de la chambre, sur le matelas et sur la poignée de
la porte, se trouvaient des traces de sang 5 la cave, une serpe
sur le dos de laquelle se trouvaient les même traces, et qui a
une ébréchure, semblait adhérer un petit morceau de peau.
Les perquisitions continuées tout le jour par le juge de
paix, assisté de la gendarmerie, ne purent amener la décou
verte du cadavre.
Jacques Frérot arrêté, a été longuement interrogé. Il se
renferma d'abord dans un mutisme peu près complet, ré
pondant seulement ces étranges paroles: Ah bah! pour une
vieille femme comme elle, ça n'en vaut pas la peine; laissez
donc cela.
Diveises circonstances étaient venues encore augmenter les
présomptions contre le fils de la victime. On avait constaté
que des draps de lit et un tas de chiffons qui, saus doute, gar
daient des traces accusatrices, avaient été brûlés une pioche,
dont le manche était couvert de caillots de sang, avait été
trouvée cachée dans une cave.
Interrogé là-dessus Frérot se contentait de répondre les
paroles qu'on a lues plus haut.
Après avoir passé la nuit dans la chambrede sûreté et gardé
vue par la gendarmerie, l'assassin s'est enfin décidé faire
des aveux. Il taconleavoir tué sa mère, l'avoir coupée en mor
ceaux et en avoir porté les débris dans le bois audessus de
Lugny
A 9 3/4 heures, il partait accompagné du juge de paix et
des gendarmes la recherche du cadavre. A 10 t/4 heures, le
juge de paix redescendait du bois, Frérot paraissait s'être mo
qué de ceux qui l'accoopaguaient. Il les avait conduits un
trou, y était descendu, et, une fois là, n'avait plus voulu re
monter. Le trou ayant une certaine profondeur, on fut obligé
de venir chercher des cordes Ligny pour le retirer de force.
Finalement on put trouver le cadavre, qui était bien dans la
forêt indiquée par la meurtrier.
Beaucoup de personnes que leurs occupations retiennent
toute la journée hors de chez elles ne peuvent se soigner
Lorsqu'elles sont atteintes de rhumes, bronchites, catarrhes,
ou autres affections des bronches ou des poumons.
Rien de plus facile maintenant avec les capsules de gou
dron de Guyot, qui remplacent les tisanes, sirops looehs et
pâtes pectorales. Il suffit de prendre deux ou trois de ces cap
sules au moment de chaque repas. Le flacon, du prix de
2 fr. 50, contenant 60 capsules, ce traitement si efficace ne
revient donc qu'à dix au quinze centimes par jour, et dispense
de toute autre médication. Pour éviter les nombreuses imita
tions, exiger sur chaque flacon la signature Guyot imprimée
en trois couleurs.
Dépôt dans la plupart des pharmacies.
L'Economie Financière, paraissant le Dimanche avec
16 pages. Prime gratuite (voir détails aux annonces).
Nous lisons dans la Gazette médicale. Parmi les progrès
les mieux réalisés il est juste de citer le Biberon-Robert qui a
la propriété de ne pas soumettre le nourrisson une succion
pénible.
Cet apparril est heureusement très-répandu, et les premiè
res récompenses qu'il a toujours obtenues dans toutes les
expositions encourageât les mères de famille employer le
Biberon-Robert préférablement tout autre syttème
Dr Bertherand,
correspondant de l'Académie de médecine de Paris.
RUE DE L'ÉTOILE 4, Yl'RES.
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sans purges et sans frais, aux adultes et aux enfants, par la
délicieuse farine de Santé, dite
Da BARRY, de Londres. Des millions de flnres.
Depuis 1846 elle guérit les mauvaises digestions (dyspep
sies) gastrites, gastroentérites, gastralgies, constipations, hé
morroïdes, glaires, flatuosités, ballonnements, palpitations,
diarrhée, dyssenterie, gonflement, élourdissements, bourdon
nements dans les oreilles, acidité, pituite, maux de tête, mi
graine, surdité nausées et vomissements après repas ou en
grossesse; douleurs, aigreurs,congestions, inflammations des
intestins et de la vessie, crampes et spasmes, insomnies, flu
xions de poitrine, chaud et froid, toux, oppressions, asthme,
bronchite, phlhisie (consomption), dartres, éruptions, abcès,
ulcérations, mélancolie,nervosité, épuisemenl,dépérissement,
rhumatisme, goutte, fièvre, grippe, rhume, catarrhe, laryn,
gite, échauffement, hyslerie, névralgie, épilepsie, paralysie-
les accidents du retour de l'âge, scorbut, chlorose, vice et
pauvreté du sang, ainsi que toute irritation et odeur fiévreuse
en se levant,ou après certains plats compromettants: oignons,
ait., ou boissons alcooliques, même après le tabac; faiblesses,
sueurs diurnes et uoelurnes, hydropisie, 1rs désordres de la
gorge, de l'haleine et de la voix. Egalement comme nourritu
re des enfants dès leur naissance elle est préférable tout au
tre aliment. Evitez les contrefaçons et exigez la marquedefa
brique u Revalenla Arabica Du Barry
Cure No. fi7,3I4: Naples, Par suite d'une maladie du
foie, j'étais tombée dans un état de marasme qui a duré sept
aus. Il m'était impossible de lire ou s'écrire; j'avais des batte
ments nerveux par tout le corps, la digestion fort difficile,
des insomnies persistantes, et j'étais en proie une agitation
nerveuse insupportable. Plusieurs médecins m'ayant prescrit
des remèdes inutiles, en désespoir de cause j'ai voulu essayer
de votre Farine de Sauté. Depuis trois mois j'en fais ma nour
riture habituelle. La Revalenta est bien nommée, car béni soit
le bon Dieu! elle m'a fait revivre; je puis maintenant m'occu-
per, faire et recevoir des visites, enfin reprendre ma position
sociale. Marquise de Bréhan.Naples, 17 Avril.
Quatre fois plus nourrissante que la viande, elle économise
pneore 50 fois son prix en médecines. En boîtes; l/4 kil.,
2 fr. 23; 1/2 kil., 4fr. 1 kil., 7 fr.; C kil., 36 Tr. 12 kil.,
70 fr. Les Biscuits de Revalentaen boites de 4, 7 et
16 francs. La Revalenta chocolatée. En boîtes de 12
tasses, 2 fr.25 c. de 24 lasses, 4 fr. de 48 tasses 7 fr.de
120 tasses, 16 fr. de 576 tasses, 70 fr.; ou environ 12 c. la
tasse. Envoi coulre bon de poste. Les boîtes de 36 et 70 l'r.
franco. Dépôt chrz MM. Frysou-Vanoutrive, rue de Dn-
mude, et Veys, pharmacien, rue de Lille, 13, et partout chez
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10 Ju.llet 1880.
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10,800
52 25
80
1,600
25 50
73
500
2! 50
44
Pois
100
24
80
Féveroles
200
26 50
80
Pommes de terre
4,000
9
Beurre
305
NATURE
des
GRAINS ET DENRÉES.
quantites
vendues
kilogrammes