fi xl BANQUE A. VONCK-CLEMENT, s S 2 S Nouvelle s diverses. Àcta sanclorum. sgjj H ef ee ïf Jl 1 Décès. AGENCE DE LA CAISSE DES PROPRIÉTAIRES. Les porteurs d'obligations sont prévenus que les coupons d'intérêts échéant le 15 Avril ainsi que les titres échus et remboursables seront payés sans frais la Banque Ate VONCK- CLEMEINT. La maisons se charge également de l'encais sement des coupons d'intérêts Belges et étran gers de l'achat et de la vente de fonds publics et de toute autre opération de Banque des conditions modérées. W H S g fi fi fi îdPS "S J o 2 S P s M P r -, S P w C2 0 S is5 H 0 "3 s c3 o3 e fl H C a a îl-s t* H rière. Vandewalle, Léo a, préposé des douanes, et Ver- mcersch, Stéphanie, sans pi 'ofession. Knfanls au dessous de 7 ans Sexe masculin 4 1 id. féminin 0; Total i. Une tempête terrible i t régné, dans la nuit de Samedi, sur le côte. La marée était i xtraordinairemcnt haute Blan- kenberghe; elle battait le p erré de ses vagues furieuses. Les cabines et les tentes ont dû être remontées. Un escalier près de l'estacade a été enlevé et I es débris jetés en face de VHôtel du Phare. Le plus malheure ux a été le propriétaire du Tir de salon sur la digue, près de l'J 'iôlel des Familles, dont la bar- raque a été emportée et détri iite, ce qui est une perte de près de mille francs pour le malhei ireux. Dans l'après-midi la mer s'i ïst calmée. LEPETIT RENTIER este nvoyé 52 Dimanches consécutifs moyennant un franc. (Voir au x annonces.) On mande d'Ostende, 8 loùl Une tempête épouvantabl s'est déchaînée cette nuit sur notre port. Ce matin la tempéi. continue. Le vent souffle avec violence et il tombe une pluie diluvienne. Il est impossible d'aborder la digue. Plusieurs Personnes, pour avoir essayé, ont été renversées par l'ourag an. Le Dioramà, l'est de la digue, a été démoli par la temp ête, ainsi que le local de l'ex position de tableaux l'ouest. La toiture du cirque a été enlevée. On s'attend une granc le marée pour midi. Le spec tacle est du reste imposant. On écrit de Bruxelles au F igaro Une fâcheuse nouvelle se répai id et neparait que trop vraie. Il paraît que Sa Majesté la Rein e, qui vient d'aller passer quelques jours Oslende, est soul frante, et que ses médecins lui font suivre uoe cure qui l'obi igera partir pour Aix-la- Chapelle, le 15 de ce mois, juste I a veille de la grande fête politique. La princesse Stéphanie e 11 archiduc Rodolphe d'Au triche accompagneront Sa Majest< Aix-la-Chapelle. L'ab sence de ce groupe sympathique le la Famille royale la grande fête dw 16 août sera sensibl ement regrettée. S. M. la Re ine assistait cependai ît dimanche l'inaugura tion du nouveau Palais des Beaux-. Iris, et on garde l'espoir qu'elle pourra être présente Brux elles le 16 août. L'Economie Financière, p; naissant le Dimanche avec 16 pages. Prime gratuite (voir délai Is aux annonces). Le curé d'Austruweel avait im aginé de faire une tom bola au profit d'une école avec Dieu qu'il voulait fonder dans sa paroisse seulement, comme il av; lit négligé de demander l'autorisation, la tombola fut interdit e. M. le curé ne se tint pas pour bal tu et fit annoncer avec grand fracas dans les journaux d'Ant 'ers que la tombola se rait remplacée p ar une vente aux enc hères des objets qui de vaient être mis e n loterie. Malheureusement pour le digne pas teur, le parquet est in tervenu: M. le pi ocureur du roi, ac compagné de gendar mes, s'est rendu d imanche Austruwei :let a empêché la vente s'appuyant sur la loi qui interdit la veti le publique des mar chandises neuves. (Oj Union d'Anvers). Depuis quelq ue temps, nous avoos cru devoir appeler l'attention des mal ades sur les remarqu ables propriétés des Capsules de Gouydron de Quyot dat is les cas de rhume, bronchite, catarrhe*, phlhisie, ou autres affections des bron ches et des poumonis. Une chose nous a frappé, c'est que la plupart des personn es venant notre pha rraacie, pour nous demander ce produiil, n'ont pas retenu nom du médica ment et le désignent sous le nom de pilult îs, globules et même pastilles. Lorsqu'on si'adresse directement i notre maison, il nous est facile de rec t.fier la mémoire de l'acheteur, mais il peut n'en pas être 31 nsi lorsqu'on se prése ote dans une autre pharmacie, et cela pe ut prêter de fâcheus. es confusions. Nous prions don c I es acheteurs de voulo ir bien remarquer et se rappeler le nom du médicament: Capsules de gou dron Guyol. De plu s, pour éviter tout erreur, on voudra bien se souvenir que riotre signature GUYOT est imprimée en trois couleurs sur l'étiquette de chaque flacon. Si abondant! est la pêche aux harengs sur les côtes de l'Ecosse, qu'un bat eau a coulé au large de hlose Hearly, sous le poids du poisson: dont il était chargé. Les six hommes qui le montaient se son t noyés. A la suite d'un orage, Murcie vient d'être inondée de nouveau. On ne signale aucune victime. On télégraphie de New-York, la date du 7 août; Le docteur Tanner a réussi compléter son jeûne de qua rante jours, aujourd'hui midi. Voici le sommaire du numéro 25 de L'ILLUSTRATION NATIONALE qui vient de paraître: Gravures. Léopold De VYael, bourgmestre d'Anvers. Exposition nationale Le compartiment de l'Art ancien. Le Palais des beaux-Arts Bruxelles. Le Banquet offert aux représentants de la Presse étrangère dans la salle gothique de l'Hôtel-de-Ville, le 18 Juillet 1880; Concert donné dans le Parc de Bruxelles, le 28 Juillet 1880, par la musique du régi ment du Prince Rodolphe. Texte. Nos Bourgmestres: Léopold De Wael, par Gres sin-Dumoulin. L'Art rétrospectif l'Exposition Nationale, par Eugène Landoy. Le Palais des beaux-Arts, par Geor ges Du Bosch. Le banquet de la presse. La fêle du 28 Juillet. Les Festivals eu Belgique, par Louis Jorez. La Belgique intellectuelle Nos Théâtres, nos Auteurs dramati ques, par F. Faber (suite). Mademoiselle Jules, roman inédit, par Emile Leclercq (suite). Les Livres nouveaux, par G.-B. Un journal parisien annonce que le dames ont renoncé aux petits cochons, et qu'elles portent maintenant, suspendu leur cou et leur poignet, un petit éléphant. On comprend beaucoup mieux cet embélme. En effet, qu'est-ce qui distingue l'éléphant Sa trompe. Et la femme?... ça trompe... également. Catastrophe dans un charbonnage en Angle terre. 120 victimes. Une épouvantable catastrophe vient d'arriver dans un charbonnage du sud du Pays de Gal les, en Angleterre, Risca. Un correspondant de la Chroni que envoie ce sujet les détails qui suivent Comme pour déjouer tous les calculs de la prudence humaine, l'accident est arrivé dans un des charbonnages les mieux organisés et les mieux surveillés du Monmoutshire. Un premier accident du même genre y avait eu heu le lr Décem bre 1860, et toutes les précautions avaient été prises pour empêcher le retour d'un pareil désastre. Précautions vaines Mercredi soir, 600 hommes venaient de quitter la fosse, où rien d'anormal n'avait été signalé. Une brigade de 119 hom mes venait de descendre son tour, sous la conduile du surveillant Uriath Edwards. Il y avait au fond de la fosse 69 chevaux. Vers une heure du matin, comme un orage épouvantable sévissait depuis la nuit venue, un coup de foudre vint frapper les bâtiments établis autour de la fosse. En même temps, une explosion se produisait au fond de la mine. Malgré la violence de cette double commotion, la machine par laquelle on descend dans la fosse ne fut pas détruite, et les ouvriers du voisinage, accourus aussitôt, purent pénétrer. Partout, hélas ils ne trouvèrent que des cadavres. Cent vingt lampes étaient descendues dans la fosse cent vingt ouvriers morts en ont été retirés. Le Daily News de South Wales publie ce matin leurs noms et leur adresse. Tous ont été reconnus. Les chevaux aussi ont été tous tués par ce double coup, compliqué de foudre et de grisou en même temps. Je renonce vous décrire les scènes de désolation qui se sont passées depuis. Il y a là cent vingt familles dans le deuil. Le charbonnage de Risca est le plus important du midi de Galles. Il n'y en a qu'un plus vaste, celui d'Abercarn, où, en septembre 1878, un accident eut lieu qui coûta la vie 200 malheureux ouvriers mineurs. Le charbon qu'on y extrait est l'espèce dite de la veine noire, qui contient énormément de puissance calorique. 700 ouvriers travaillent habituellement dans l'usine, et l'ou tillage y était tellement perfectionné que, en huit heures de travail, on extrayait régulièrement mille toniies anglaises de charbon. M. Morrisson, un ingénieur bien connu en Belgique, était descendu dans la fosse dans l'après-midi de Mercredi. Il était peine remonté la surface depuis trois heures quand la catastrophe s'est produite. La Cour d'assises de Seine-et-Marne vient de juger l'abbé Joseph Houin, âgé de quarante ans, curé de Noisy-sur-Ecole, accusé d'attentats la pudeur com mis sur plusieurs jeunes filles de sa commune. Les débats ont eu lieu huis clos. Déclaré coupable sans admission de circonstances atténuantes, 1 abbé Ilouin a été condamné cinq ans de travaux forcés. Le sieur Emmanuel Van Meerbeke, curé de la parois se de Vaudignies (hameau de Chièvres), a comparu l'audience du tribunal correctionnel de Mous le 9 de ce mois sous la prévention d'avoir, étant ministre du culte et dans l'exercice de son ministère, attaqué direc tement, dans des discours publics, le gouvernement et la loi du Ir Juillet 1879 sur l'enseignement primaire. (Organe de Mons). y AR IÉTÉS. Au Champagne. On en est au moment psychologique de tout festin bien ordonné Votre femme est charmante, dit Gharles S... l'oreille de M. de V...; vous avez bien raison de lui lester fidèle. Oui, je suis un assez heureux mari, et je dis comme Alfred de Musset Mon verre n'est pas grand, mais je bois dans mon verre. Trinquons, mon ami! Un monsieur est en train de déjeuner au restaurant. Le garçon qui le sert est brusque, impoli, grossier même Mon ami, lui fait doucement observer le monsieur, ne soyez pas si arrogant avec moi... Vous ne savez pas ce que l'avenir vous réserve... peut-être qu'un jour vous serez con sommateur votre tour. A Mabille, l'autre soir, on parlait beaucoup d'une drôlesse qui exhibait aux regards des chalands une superbe rivière de diamants. C'est une fille du ruisseau. Oui, mais le ruisseau conduit souvent la rivière. A l'école de natation Un gros monsieur effaré, entrebâille la porte de sa cabine: Garçon On m'a volé mon pantalon Pas possible, monsieur l'établissement est honnête. Je vas voir... Il doit y avoir eu erreur. Au bout de cinq minutes, le gros mousi: tir, qui est tou jours dans l'uniform primitif île l'humanité, appelle de nou- veati le garçon d'une voix étranglée par l'inquiétude. Celui-ci revient et d'un ton pénétré: Monsieur, je ne trouve pas votre pantalon mais êles- vous bien sûr -d'être venu avec RUE DE I/ÉTOULE A, VP&ËS. a 1» '.h SS-Sy C as as ©S .a a 5 bJD fi 'm, S H s- p «e la a S 10 S d I -e c3 w S Pn'-d S? ■S.g'o 3 w (D -t-3 2 P s» s s S-, O 03 <3 M <V ,3 tr i 3 C 3 t-P ai '3 K 1—-a O o m 1-1 s a ®N -03 o*3 F? 03 g* «5 54 M h-I c3 P* «5 rC Pi o p S 0 e» Pi u 'O'C ~o rSn f-W «3 I-jr Kl <-! -o S Cl CD Q-. o -S.ra i CO -ai OO cu> 32 m n <D <D ÎT* 8.2 =a2 V 1 O Lti ^bû a S 03 P S 1-v 'N Xfl S s - 0 -u 1 "3 2 p*©K S-'© S 9 H3 o HJ U» 02 OU eu 1 c ca I t c 1 TJ r-j O 0» ■*0 0 h r-t <D A O NJ C 0 M O «4-1 a <D "O 0 03 P— rC 5 bcS CSX -ci P - pz E-4 C 'm cri ■lî I s w V 5 z i. 8 S 5 S i S b 8 t V C C o 9 2 - ïe c i e 8

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Le Progrès (1841-1914) | 1880 | | pagina 3