BANQUE A. VONCK-CLEMENT, H Q 5 Nouvelles diverses. Actes officiels. Mariages. Décès. AGENCE DE LA CAISSE DES PROPRIÉTAIRES. Les porteurs d'obligations sont prévenus que les coupons d'intérêts échéant le 15 Avril ainsi que les titres échus et remboursables seront payés sans frais la Banque Ate V01NCK- CLEMENT. La maisons se charge également de l'encais sement des coupons d'intérêts Belges et étran gers de l'achat et de la vente de fonds publics et de toute autre opération de Banque des conditions modérées. GO ."2 s c -c S fi fi a s 93 fi fi fi G a o 3-3 a 2 88 fi fi fi fi 13 fi "fil fi E—1 O c a S c fi -2 S o |-M S fi fi -*■ u fi lcrt a fi s fi s fi fi.a3 -a 5. Proposition de modification éventuelle de la dé libération du 20 Mars 188o, sur les taxes communales. g. Accord avec les riverains de la conduite reliant l'étang de Dickebusch au Réservoir. 7. Demande des Hospices pour aliéner des ter rains. 8. Demande des Hospices pour acquérir un ter rain. 9. Budget 1881, école de musique. 10. Vente d'arbres. ÉTAT-CIVIL D'YPRES, du 17 au 24 Sept. 1880. NAISSANCES: Sexe masculin, i; id. féminin, 4; Tolal 8. Wilmel, Louis, lieutenant au 2e régiment de Guides, et Verschaeve, Lucie, sans profession. Delbaere, Eugénie, dentellière, 3(J ans, célibataire, nie de Sien in. Recour, Marie, sans profession, 31 ans, célibataire, rue de YYenninck. Hollevoet, Sophie, sans profession, 70 ans, veuve de Pierre Podevyn, rue de Menio. Gunn, Mar- guéiite, religieuse, 83 ans, rue St-Jacques. Enfants au dessous de 7 ans Sexe masculin 4; id. féminin 2; Total G. Dimanche, Vilvorde était en féle malgré les efforts du clergé, qui a préché partout l'abstention, presque toutes les maisons étaient pavoisées et les rues encombrées de monde. Deux ministres, MM. Vanhumbreck et Graux, ont assilé cette fête une réception des plu* cordiales leur a été faite par M. Hanssens, bourgmestre, et par toute la population. Après les discours d'usage l'hôtel-de-ville, les invités ont entendu une cantate, fort bien exécutée par 400 amateurs et élèves des écoles communales. On s'est ensuite formé en cortège et l'on s'est rendu, mu sique en tète, l'emplacement de la.nouvelle caserne pour la pose de la première pierre de ce bâtiment. La journée a été bien remplie et favorisée par un véritable temps de fête. Loterie iVulionule. Tout,: personne recueillant six abonnements au Petit Rentier (52 n"" pour un franc) recevra gratuitement de l'Administration, 47, rue de l'Ecuyrr, Bruxelles, UN Billet de la Loterie Nationale. Gros lot fr. 100,000) On écrit de Louvain que le préau de la nouvelle école cléricale s'est écroulé tout entier. Grâce aux vacances, il n'y a pas eu de victimes. VEconomie Financière paraissant leDimancheavee 1(1 pages. Prime gratuite (voir détails aux annonces). Un volontaire de l'armée française appartenant la ca valerie, a fait accroire son père que chacun est forcé de fournir son cheval, et le papa a envové la somme demandée. Ayant appris le succès de cette carrotte, un autre volontai- engagé dans l'artillerie, éciit son tour l'auteur de ses jours, qu'on est tenu de fournir son canon et le second papa s'est également exécuté. Mais, voyant l'autre jour un canon Krupp en acier, de gros calibre, il en demande le prix: Cent mille francs, lui fut-il répondu. Cent mille francs dit-il sa femme. Quel bonheur que notre Alfred ne soit pas dans cette batterie-là Le joùrnal Panama Star and Hehald, du 16 sep tembre, annonce qu'un trcmblemenlde terre a eu lieu Val- paraiso le 13 août. Le bruit court que la ville Illapel a été détruite et que deux cents de ses habitants ont péri. Le 21 et le 22 septembre, de nouveaux tremblements de terre ont été ressentis en Suisse, Fribourg, Neufchâtel, Berne et Moral. LE PETIT RENTIER est envoyé 52 Dimanches consécutifs moyennant un franc. (Voir aux annonces.) M. L. Aubanel, rédacteur en chef de la Tribune de Mons, déclare qu'il aurait pu vendre pour un million aux cléricaux ies pièces du dossier de l'évêque Dumont, qu'il a fait vérifier l'écriture et les signatures de ces offreursd'argenl, rt qu'un jour ou l'autre il les démasqtura tous leur tour. Huarl, qui avait assassiné sa vieille grand'mèrc, a été exécuté Angoulèmr. Un détail son sujet Le directeur de la prison, pbur adoucir ses derniers mo ments, avait eu la complaisance de mettre des livres sa disposition. Savez-vous le titre de celui qu'on a trouvé dans la cellule de Huarl, au moment où on le réveillait pour le conduire l'échafaud Le Chemin de la fortune Voilà qui devait diablement l'intéresser! Chacun sait combien le goudron est un médicament précieux dans les cas de bronchite, phthisie, carlarrhes, rhumes, et en général contre les affections des bronches et des poumons. Malheureusement, bien des malades qui se produit serait utile, ne l'emploient pas, soit cause de son goût qui ne plaît pas tons, soit cause de l'ennui que leur donne la prépara tion de l'eau de goudron. Aujourd'hui, grâce l'ingénieuse idée de M. Guyot, phar macien Paris, toutes les répugnances, plus ou moins justi fiées du malade, ont cessé d'exister. M. Guyot est parvenu enfeimer le goudron sous une mince couche de gélatine transparente, et en former des capsules rondes de la grosseur d'une pilule. Ces capsules se prennent au moment de chaque repas et s'avalent facilement sans laisser aucun goût. Aussitôt dans l'estomac l'enveloppe se dissout, le goudron s'émulsionne et s'absorbe rapide ment. Ces capsules sont d'une conservation indéfinie ce point que, d'un flacon déjà entamé, celles qui restent ont conservé toute leur efficacité au bout de plusieurs anuées. Les Capsules de Goudron de Guyot offrent un mode de traitement rationel et qui ne revient pas plus de dix ou quinze centimes par jour, et dispense de l'emploi de toute espèce de tisane. Comme tous les bons produits, les capsules de goudron de Guyot ne peut garantir que les flacons qui portent sur l'éti quette sa signature imprimée en trois couleurs. Le chiffre des entrées payantes l'Exposition s'est élevé dimanche dernier 22,000 francs. En y ajoutant les entrées gratuites, qui se montent 23,000, les abonnés et les expo sants, on peu évaluer plus de 50,000 le nombres de per sonnes qui ont visité ce jour-l'a l'Exposition. Les journaux de La Haye rapportent qu'on a fini par découvrir l'assassin du fils de M. Boogardl c'est un domesti que renvoyé par ce dernier et qui a voulu se venger de ce chef. Le misérable, quia été arrêté grâce aux indications fournies par le cocher qui l'avait conduit avec sa victime dans les dunes, n'a pas même attendu la réponse sa lettre anonyme, qui n'était encore qu'un raffinement de cruauté. Ainsi qu'il a été annoncé, la femme envoyée immédiate ment avec un pli scellé contenant les 75,000 florins réclamés comme rançon de l'çnfant, a vainement attendu qu'on vînt les prendre. A cette heure même, le malheureux enfant, qui comptait treize ans peine, avait déjà été mis mort de la façon qu'on sait. A La Haye et dans toute la Hollande, il n'est question que cet effroyable crime. lin cabaretier peut-il refuser boire La question si souvent controversée de savoir si un cabare tier peut refuser boire un client qui n'est pas ivre, vient d'être tranchée affirmativement par un magistrat anglais, dans les circonstances suivantes Un cabaretier fut poursuivi par devant le tribunal de po lice de Lambeth, par un client qui il avait refusé par deux fois de lui servir un verre de bière. La première fois, le caba retier s'était borné un refus mais la seconde fois que s'était présenté le client, il l'avait mis àla porte deson établissement, sans toutefois donner aucune raison pour justifier celte con duite. Le policemen qui, cette occasion, avait été appelé dans l'établissement, déposa que le tenancier lui avait dit que le client en question absorbait un tel point l'attention delà demoiselle de comptoir qtir les autres clients ne pouvaient se faire servir. Les magistrats n'ont pis cru pouvoir condamner le cabare tier, étant d'avis qu'il ne pouvait être obligé de servir quelqu'un qui mettait des entraves son commerce et qui se rendait désagréable aux autres clientset qu'il n'était obli gatoire que pour les seuls aubergistes de servir un client jeun et convenable. Le journal anglais auquel nous empruntons cette anecdote authentiqué', en conclut qu'il ne faut pas qu'un consommateur se rende par trop agréable la demoiselle de comptoir, sous peine de se voir exclure du paradis où trône sa Dulcinée. D'un autre côté, ajoute notre confrère, s'il ne peut se dis penser d'attirer l'attention de son ange, il peut l'adorer sans être observé, et ne boire que des yeux ses charmes. Moniteur du 26 septembre). Le prix du remplacement par le département de la guerre est fixé, pour l'année 1881, 1,000 francs. Pour l'exercice 1880-1881, commençant le 1er octobre 1880 et finissant le 30 septembre 1881, la rémunéra tion accordée aux volontaires avec prime est fixée 1,600 fr. Cette rémunération est payable de la manière sui vante 1° 300 fr., soit en totalité au moment de l'admis sion définitive, soit par à-comptes successifs, selon que le ministre de la guerre décidera 2° 500 fr. lorsque le volontaire est envoyé en congé illimité; 3° 550 fr. l'expiration de ses huit années de service 4" 250 fr. lors de l'apurement de son compte la masse d'habile- leraent et de réparations. Indépendamment de cette rémunération, les volon taires avec prime recevront une haute paie de 10 cen times par jour de présence. Par arrêté royal du 14 Septembre, la démission du grade et de l'emploi qu'il occupe dans l'armée, offerte par le sous-lieutenant L. Goupy de Beauvolers, du 4e régiment de lanciers, est acceptée. Un arrêté royal du 21 Septembre 1880, statuant sur un recours introduit par M. le Gouverneur de la Flan dre Occidentale, réforme les décisions par lesquelles la députation permanente avait refusé d'inscrire aux bud gets pour 1880, des communes de Reckem, Zonnebeke et Loo, les crédits qui figuraient aux bugdets de 1878 pour les distributions de prix aux élèves des écoles primaires et des écoles d'adultes ou pour le service ordinaire de ces dernières écoles. Les allocations votées en 1878 par les conseils com munaux des localités susdites, pour les objets précités, seront maintenues aux budgets de ces communes pour l'exercice 1880. RUE DE L'ÉTOILE 4, YPRES. 43 43 ra O o "O 43 s- 'm 43 -<39 -çj «3 fi d 4) .fi feCQ M 43 S fi «3 x O g «3 <x> 43 fi -çj —H M 13 -43 S -rt C -43 O 03 43 43 g-CO 9 n rts fi 43 fi ffi a, CD S- M g £.5 Q 2 S <D OQ o O O i- O -a -fi 43 M Ut *-"5 p a 43 o o o Sa <v O Ut -rt fi 4fi J m I P <D iO <v r—l rO O O O CD P.O a> Ut «i u p O O "O m Us P O o <D Us O u a> <x> u P <D co 'CC <D Us P H si si a 3 o- - ES s a ■a H (il a MO® <39 O fiC 9 13 O .Q in" CO 03 rt JZ -o M es fr" 43 -43 o o Si -43 rt .-r 6 p-is c3 2 u fi O) a> ïfl rtî S O -oî S O 0"* o -a 1 S s ce o 1= J M a CS Sr M 1 S g 'jp m P-< ♦es X fi fi fi •*-_* s s- 43 Ph 43 fi -4) 43 O O fi O"1 5 T3 C 43 PH 2, Ph fi O ta o -r- f-, 43 Ph m w M m m cv> w cjj CD 43 03 fi £-i O C-> P4 CD U -M G CD -S T3 <D U GQ S a? u ci 0 ce o ND m m o o "a P-r ND Ut T3 ce <x> o <d h-l .2 u> P- i <D i S 22 9* fi fi 43 o 02 53 43 U -1 rçj -fi O Si fi p< fi 43 g -rt Ifl fi Si PH+J O -rt fi S 43 43 'rt 3 fi <3 Si Q. 03 43 rt O 03 43 -43 m i-§ '4| "S o - rt rt-rt C5 r cCts «3 «3 s .1 -5* g o fi fi g fi fi 4-1 C Ph S 8 •.F.! -i u S S S c si J= 3 E b|o .2 Q.JS O 3 u 13-0 S c c -r n ïr* g c ii U n r- S fr u 09 -43 S=3 tv3 S=J OE> M t> 525 pc5 oc "m. 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Le Progrès (1841-1914) | 1880 | | pagina 3