La question monétaire. Prescriptions relatives aux voyageurs nou umuis de coupon ou niuuis d un coupon iusudisaur. Nouvelles locales. Nouvelles diverses. s'élève. dès maintenant, la somme rondelette de 25.DUO flancs. Ce concours sera accompagné de fc les et de réjouissances auxquelles sont conviés nos frères d'ariin s élraug'TS et puuiti lesquelles figure ront. entre uulris, un liai de gala au Théâtre des Variétésun banquet monstre, etc., etc. M. Jos. Minmo. chef du bureau des statistiques, Ncw-^oïk. vient d'adresser nu srcrëlaire du Trésor un rapport sur lu production de l'or aux Etats-Unis pendant la dernière année fiscale. Nous eu extrayons les cliilTivs suivants: Pendant l'année fiscale finissant le 50 juin 1880 In production des métaux précieux a été de: pour l'or. 35.418.000 dollars, pour l'argent. 38.793.000 dollars, ce qm donne nu total général de /2.2U.000 dollars. Les chiffres h s pins considéra bles sont le Colorado. 20 200 0J0 la Californie. 18.li00.000 dollars; cl le Nevada I5.7U0.000 dollars. Noos avons déjà dit souvent qm- la Californie s'aliaciiait développer ses richesses agricoles, plu» solides que ses richesses minières. L'Union syndicale de Bruxelles propose ses membres d'émettre le vœn. lors de la conférence monétaire, de voir se constituer une union bimé tallique sur le* bases d'une frappe illimitée de l'or cl de l'argent dans un rapport de I 15 1/2. Elle s appui notamment sur l'impossibilité pour les gramis Etats européens de passer actuellement au type or: sur la production peine suffisante des di u\ métaux, cl plu* forte raison d un seul, pour les besoins il* s échanges; sur la reprise par plusieurs pays de la ciiculution mcuillique; sur l'accroissement des transactions et l'ouver'urc de nouveaux marché*; sur les avantages qui doivent forcément résulter d'une convention internationale sut cette important*' question. (E Europe). L'arrété du 13 Avril 1876. relatif aux supplc- meiils'à prendre par h* voyageur, non muni de coupon ou muni d'Un coupon insuffisant, est rap porté. Les prescriptions de l'arrêté ci-dessus rapporté sont remplacées par 1rs dispositions suivante* 1. La personne dont le voyage se fait, partie en train express, partie en tram ordinaire, n'est astreinte an pai* meut du prix de l'express que pour le parcours ré lUtnenl elT cloéen train express; 2. Tout voyageur qui, en cours de nulle, prend place dans une voilure d'une classe supéri* tire Crlle indiquée sur son coupon esl tenu de payer Un supplément égal la ililTéVence de prix: 3. Le voyageur, muni d'un billet simple ordinaire, qui fait line partie du ttaj* T en train express, paye, titre tle supplément, la différence du prix. Il peut, pour éviter de payer ce supplément, prendre, pour II* traj.'L fi" cui-T eu train express, place dans une voiture dé classé inféiieiire. Il en est ilrménie do voyageur qui. muni d'un billet retour ordinaire, fait tout ou pallie du par cours en train express; 4. Le voyiigeur qui prend place dans un train sans s'être mri>>i d'un coupon paye I* prix do lai if. augmenté de 50 p. c. ju*qoà la station où h* train fait lin arrêi sulli*anl pour lui p- rtiuilic de pren dre ,go goicln I on coupon régulier. Ces disposition seront im*c*à éxecution sur b s chemins exploité** p.ir des compagnie» partir du 20 avril 1881. Anjourd'h ti Jeudi. 7 Avril, 8 heures au Café du Sultan, M. de pivtèsseur r'ounuel', dont nous avons eu Dimanche l'occasion (l'iiUiu.rer les ta'eols, doimera une soirée de prestidigitation. Le quart de la recette sera clVeclé l'oeuvre du Denier des Ecoles Luiques (CYpres. Nous engageons vivement tous nos amis assister cette soirée; nous pouvons leur assurer que, tout en coopérant une bonne ocuvry, ils auront l'occasion d'admiref des expériences 1res intéressantes. Monsieur Fouriuer, dans sa partie, est un artiste des plus remarquables, *1i i VILLE U'Vritt.ai. ro»*mi commivvl. Séance publique du 9 Avril 1881, a h. de relevée. OKDIIK DU jour: 1° Communications de pièces. 2* Arrêter l'état des dépenses éventuelles et imprévues éo 1880 3" Compte 1880, des Pompes funèbres. 4" Demandes des llo.-piœs pour - 4" Vendre des biens en France. 2" Echanger dès-propriétés 3' Acquérir des maisons Ypres. 4" Louei' destiiiineubes. 5* Compte 1880 du Corp* et,de la musique des Pompiers. 6' Approbation d'une délibération du oureau .de bien- tai*auee pour la radiation d'une inscription liypo- tliecaire. 7" Approbation relative au payement des droits de succession. 8° Approbation vente d arbres appartenant la Ville. 9 Arrêt uedinlil du rôle de la luxe Communale sur les chiens en 1881. 10 Tard pour l'établissement des embranchements sous la voie publique (art. 8 du règlement}. im 9SméSt -J ^L— Cu brave buiinur qui habile Gy >ei iiicliore, un village non lulu d ïpres, avail pris drs lillirls de la lulerir, un b au juin qu'il a un fad le voyage de firuxrllis pour visiter l'Expo- Mlioij tialiuiiaie. Jugez de sa joie, de son allégresse, quand, l'autre jour, consultant la liste d*s lnurcux, li constate que l un de sis uu- Uiei os est Soi 11. Pusse de lUeilre la main sur la fortune qui s'annonçait lui, le biaTc »iita0e *is (un pauvre homme) se dec.de b faire le voy gr de Ui uxeiies. Il s u va, le cœui paip.lanl, ail palais de la rue de ta Urgence, pour réclamer son lut.... Là, ou le fut attendre U ir buuue h ure et demie. Apiès quoi, ou lui n Ul*l a»«C gravité deux p< lltes huiles de Cai lou Contenant l'une dis epingic**, l'autre d s aiguilles. Cu de ces lois que l'un gagne ai.X curuOtljes et aux lum- bo.as eu pielu vi ni, deux sous le numéro, qm puuuicut sur les cllalllpS de foire. A>uir tan le voyage d'Ypres Bruxelles pour cela L'est Un joii comble. Chronique Le PETIT KENTlEIl esl envoyé 02 D.maucties consécu tif, avec supp*euicul cl pi uuc pour uu franc. (Voir aux au- uunces). M. Ghuys, commissaire de police Gand, accompagné de vingt-cinq g Inla* mes, s'est rendu b.ilUttll K* iiaix pour piuceder i'* Xiiuuialiou du coqis de M Lbarles Buucii.z qtle le cierieal bourgmestre de Keuaix avait fait enterrer daus le a IIull des clllells. Aucune maiiifeslaliou hostile ne s'esl produite. oici quelques icliselgii* lueuls sllr le fusil Comblai», qui vnnl d'clre (h fiuilivi un ni adopte pour la gard* civ.q ie: Celle a nie esl line d* s pills pa*fd.l*s qui <X.si*nl aujour d'hui eu Europe lie piul iUll* r avaulag* Ustin* ni coiilre les fusils a lepeliliou. En rayant legèreinenl le canon, on est paiveuu percer 25U uièirç* de dislauc 8 planches d'un pouce d'épai-s* ur, sans que la l»ali>-, eu m posée d'un méia* ge de plomb cl d'élain, soil aucun* uirul de formée. La solidité du méc.aiHsine est piouvée parce fait qu'en laissant L fusil dans, l'eau de l'E-caul pendant plu inirs uiuis, eu iiilrodillsaul du sable dons le canon, l'un esl point parvenu iléianger le fouciiuiitiem* lit de l'aime. Celle-ci présente, en outre, lin avantage qu'elle Se charge l'akI- de la cartouche qui sert l'Aibiui, de lellc sorle que I* s miiiiiliuus de l'armée el de la garde civ.que pourront èlre id nliqu*s. Le curnspundanl luuxellois de la Meuse dit qtle le gouver- tirm-nl sollicilrra îles Chamh'es uu crédit de 3 millions pour l'a* m lient géuéial de la garde. L** 511" tirage ail suri des obligations de l'emprunt de 1872 <>e la ville de Brux. il* s, allia lieu le Lundi I I Avril, 10 In urrs «lu malin, dans U.sa.lc de» sections, l'Ilôlt-l-dc— Ville. Catastrophe de Quaregnon. U.i terrible m il- b il r vinil d* jeler la consternation dans la coUllllU.iè de Qua- legilOU. j. Dimanche vers quatie heures de ri levée, un cbarbo..nier, qui se disposait fêler la nomination dr SI. F. Slairiigreau, le nouveau homginestre, mil séclnr une cailouche de dynamite dans le four de l'eslailiiil* I Cluvis Dubois. Crlle cai tuliclle étant auioicée fit explosion lu iiil sur le coup le fils Dubois, j*line homme de 23 atis, el un enfant de deux ans. Quatre aulre personnes, parnn lesquelles l'imprudent au teur dr l'accident, sont eu outre grièv*in>ut blessées. Les dégâts matériels sont cousidtrabirs. Une dépèche de Conslanlinoplr annonce qu'un viobnt Irembb meut de terre a eu lieu l'i e dr Chio. Les^dégâts sont considérables. Nombreuses sont les victimes. Les détails manquent. Voici de nouveaux détails sur le désastre de Chio: Diman che, après-midi, un viol ni tremblement de terre a détruit presque tu u le la ville de Chio et beaucoup de villages avuisi- nanls. Il y »-<il ilu gean I nombre de tués et blessés. Les ha bitants c oup* ni dans les champs, lies s* eu iss<*s oui aussi été ressenties Sy*a ri Sinyrne, mais il n'y a eu aucun dégât. L'Economie Financière paraissant le Dimanche avec Iti pages, l'rune gratuite (voir détails aux annonce»), L'Intransigeant fait lr récit qui suit d'une nouvelle méprise porter l'actif de la police des mœurs parisienne. Due jeune dame, v>tive de >1. Eyh il, arlisle dramatique M lllèrr de il* IIX enfants, une p.lile file de ouïe ans et une autre de huit ans, allait les altnulie, mardi dernier, b quatre In lires el demie, b la soi lie du coins, passage des Panoramas, où leur institutrice les amène tous les jours. Au coin de la rue Sai»l-3Ia*c qu'elle venait de dépasser, trois bonuurs se pire pilèrent sur elle el, sans répondre anlri un-nl que par brutalités b ses puileslahoiis. l'entraînèrent du Côté lin poste de la rue Villedu. Une g aiulr follle s'.issi'iii- bla aux cris de Mme Eyben, qui répéta t: lUiis mes enfants qui m'olieud* Al M* s enfants I Mes enfant* a Les huis bouilli s s'e qiiivèiriil alors, ap*es avoir appelé des gardon* delà paix qui, loin de relaxer la prisouiiièir, la poil sèreul dans le pu*le. E>ie y ees a ju qu'à huit heures el demie du soir. On la transféra alors b l'un d* s postes de la rue de Kicluln il, puis de là encore b un tiolslèm poste delà même rue où, vers miniiiij^uie voiture Cellulaire, vint la piendie. E le y trouva unr ha-.de d f* mines iv* rs et fui menée en c II*- compagnie au Dépôl île la pnf dure. Jlm" Eyben pul heureusement écrire b sa sœur avec qui elle halulr I p é*ei.ir ainsi ses nfaiil*. Sa famille *n*( la voir, 11, au bout de trois jours seulementc'est-à-dire ven dredi, elle Comparut ti fia devant un juge d'uishticliuil, qui d'abord lui d manda fort CivalièrrOleul s'il était bleu vrai qil'i II* fui liièr.- de famjilr. Ou fil v.iur 1rs deux enfants q ii ariivèrent en pleurant réc.amer lein mère rl cunfi* mèn ni loin c< qu'elle avaii dit. L* juge se décida alors b illrllie Jl""* Eybru u libellé. S Le nord de la Cailipilir limbiinrgeoise est acluelleni ni visité, comme l'an d II, 1er b *a méin* époq-ie, par Une tiaude d* voli ii's qui, (luis I accomplissement de ses méfaits, déploie Un*' aiutac* Inouïe, Jusqu'ici elle n'a encore pi'lé qtle les églisrs el les ch iprlles, mais il isl b caiudie que, comme l'an deiiuer, elle ne finisse par visiler les maisons pai IICIHlè*ea. Polir vous douuer une idée de l'audace des Voleurs, il me suffi* a de voit* signaler leurs exploits de j Udl la lllêiue mut ils ont dévalisé 1rs égïses dis communes de Gerdiugeti et de Keppel, distantes d'une belle. Daus fcytise de la première de ces deux commun* s ils ont lion pas fuicé l'ei liée des Ironcs au nombre de (rois, mais ils 1rs uni brisés b coups de injillel. Et ces IrolICS, en fer forgé très épais, étaient encore entourés de C' icles en fer solides. Crll* besogne duil avoir exigé plus dïin- heure de Gavait il occasionne du hruil pourlaul personne n'a rien entendu.. Après avoir terminé leurs exploits G nlrngeii, ils sont allés b K* ppel, où ils sont entrés dans l'ég.ise connu b G* idingen, b Oplller. le., par les fenêtres. Ils appliqn.ul Une cclMie volée dans bs environs, cuiilrr le mur de I'egli*e, ils rn èveiit I s cari eaux et les barris de fr qui les garantis»* ni el se laissent descendre daus l'intérieur, soit sur uu confessionnel, suii sur lin banc. la* produit de ces deux vols ne s'élève pas b cent francs. Inutile de vous dire que la police esl impuissante b décou vrir les voleurs. Due aventure étrange i l qui, bit n que fui t réelle, res semble tout a fut b un euiliau de Ducay-lluiuéilil Il y a ll*ufaus, line j line fi.le, nommé tlurjr, original!? di» eu virons de Saiul-ibnis, enlrail connue femme de cham bre chez U, le baron de X... Des relations s'établirent cotre

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Le Progrès (1841-1914) | 1881 | | pagina 2