BIENS IMMEUBLES LA CONTINENTALE A dj udication On demande louer MARCHANDISES NEUVES, EAUX ALIMENTAIRES. Commune de BOESINGHE. M MAGASIN (au rez-de-chaussée), MEUBLES ET BIJOUX, AMAND DETHOOR Le Notaire van eecke, Ypres, l'intervention du Notaire lannoy, Comines, exposera en vente les suivants COMINES (France). 1° Une PARCELLE EN LABOUR, s" du Beau-Chêne, contenant 62 ares 02 centiares. 2" 48 ares 49 centiares TERRE EN LABOUR, section des Bois. Cette propriété est occupée par le sieur Montaigne-Lausmonier, et tou che aux propriétés de Mlle Marcotte, M. Tailleu et autres. Mise-à-prix en masse 7,720 fr. BECELAERE. 81 ares 3 centiares TERRE EN LABOUR, située hameau Oosthoek, s°n g n<> i43? occupée par la veuve Ignace Vermeulen. Cette propriété touche aux héri tiers Gryspeert, Mme Dons et Mlle Emélie Van Elslande. Mise-à-prix 4,800 fr. MOORSLEDE, Une FERME, contenant 4 hectares 61 ares, occupée par le sieur D'Hul- ster, touchant les propriétés de MAfr. Capellê, Vuylsteke et Dame veuve Vandermersch-Rousselle, Menin, MM. Verhaeghe, Bruges etWervicq, Ghesquière, Courtrai et Boyaval, Bruges. Mise-à-prix en masse 25,300 fr. LANGEMARCK. Les 3/4 indivis d'une partie de TERRE EN LABOUR, son C, N° 1004, contenant 2 hectares 16 ares 53 cent., touchant aux propriétés de M. Léon Tack-Van Elslande, Mlle Lagrange, Ypres et M. Delannoy, Messines, occupée par sieur Léon Vuylsteke. Mise-à-prix 12,610 fr. Ville d'YPRES. Une grande et belle MAISON avec superbe Jardin, Remise, Serres et autres dépendances, avec 09 ares 90 cent, de Terrain, parmi Fonds bâti, Cour et Jardin, rue Longue du Ma rais, N° 9, dernièrement occupée par M. César Van Elslande. Mise-à-prix 21,000 fr. Une jolie MAISON DE CAMPAGNE, nouvellement construite sur 38 ares 10 centiares de fonds et Jardin d'agrément, sis et situé Boesinghe, le long du pavé d'Ypres sur Boesin ghe, touchant aux propriétés de M. Thibault de Boesinghe, et M. le vis- comte du Parc, dernièrement occupée par le dit M. César Van Elslande. Mise-à-prix 5,000 fr. Les clefs sont déposées au cabaret St-PiERRE, situé proximité de la dite campagne. MARDI 3 MAI 1881, 2 heures de relevée, au Café du Saumon, Ypres. Pour tous renseignements s'adresser aux Notaires VAN EECKE, Ypres, et LANNOY, Comines. Le JEUDI 28 AVRIL 1881, 5 heures, au Café de la Gare, place de la Station, WERVICQ, l'in tervention du Notaire DE VOS, Wervicq, de trois MAISONNETTES contiguës avec 40 ares 30 centiares de Fonds et Labour, WERVICQ, le long du chemin de Becelaere. Occupés par les enfants Cael, Léon Sarrasin et Jean opsonier. En Référence près la Gare. *W "SJ de Rtre Arsène A A EECKE, NOTAIRE A WERVICQ. Loi du 18 Avril 1851 sur les faillites. LUNDI 2 MAI 1881, 9 heures précises du matin, VENTE appartenant au sienrAlphonse Bubbe, rue de Dixmude, Ypres. Au comptant avec augmentation de 10 o/o pour frais, payable entre les mains desHuissiers VERHAEGHE et HOF. chargés de la dite vente. En vente au Bureau de cette feuille RÈGLEME iT sur le SERVICE DE LA DISTRIBUTION des kapitaal fr. 10,000,000 Uitgezonderde konditien. Lood- en Zinkwerkcr KORTE MEERSCH, 12, Gezien het placeeren van het nieuw systeem waterin onze stad, heb ik, ondergeteekende.eene bijzondere stu- die over de zaak gemaakt en mij ten dien einde voorzien van de noodige artikels, zooals buizen, kranen, ertz., daartoe noodig, in gebruik te Brus- sel, waar dusdanig systeem in voege is. Onnoodig te zeggen dat mijne on- derneming zal gevestigd zijn op de leegste prijzen mogelijk,in voile ver- trouwen en waarborg. Amand DETHOOR. MAATSCHAPPIJ TEGEN BRAND la foncière - vraagt bekwame agenten, zich te bevrageu aaa H. JONES, te Antwerpen. LfS rcnspigni-ments r- cueillis postérieurement sur cette déplorable affaire confirment ceux de notre confrère. Les tné- decinsout rssayédc tous les moyens pour raminer le baron de Schiervel, dont la blessure n'avait pas de gravité. A la de mande du docteur Félix, le docteur Godineau avait apporté une machine électrique, mais ni l'électricité ni même les applications de fer muge auxquelles ou a eu recours en dés espoir de cause, n'ont rendu la sensibillité au blessé, qui d'après les médecin», doit avoir succombé une congestion, soit au cerveau soit au cœur. Il est probable qu'il était pré disposé celte affection laqu-llle le combat aura donné une intensité subite. H. de Schiervel appartenait au 3" régiment d'artillerie. Il était né le 4 novembre 1852. Admis en qualité d'élèveà l'école militaire au mois de novembre 1871, il fut nommé sous- lieutenant l'école d'application eu 1874, sous-lieutenant d'artillerie en mars 1877, lieutenant le 14 avril 1879. C'est au paper-hunt organisé par les officiers du Ir ré giment des guides, qu'a éclaté la querelle tout fait insigni fiante qui a amené ce fatal duel. Hl. Ou val avait critiqué en termes d'une familiarité un peu vive le cheval que montait M. de Schiervel, et celui-ci lui répondit avec une verdeur ca valière qui froissa son compagnon de chasse. Les témoins des deux adversaires ont comparu devant le juge d'instruction. Les journaux russes racontent un fait curieux, qui a rapport au célèbre pianiste Nicolas Rubinstein, récemment moil Paris. On sait que sa dépouille a été transportée Moscou et qu'on l'y a inhumée avec une grande pompe. Aujourd'hui, on aurait découvert que ce n'était pas le cer cueil de Rubinstein qui a été apporté Moscou, mais celui d'une baronne russe, morte en même temps que lui Paris et parti par le même train pour Riga. Il parait qu'on s'est trompé de cercueil Berlin, et que le corps de Rubinstein repose Riga, tandis que celui de la baronne a pris sa place Moscou. Le sort, qui attend les blessés français chez les Krou- mirs, est effrayant en juger par ces détails de la férocité arabe, que donne le général de Wimpfen dans un journal parisien En 1845, une colonne forcée de dégringoler du pic le plus élevé du Jurjura traînait ses blessés, quille les achever sur des pentes où il fallait parfois se laisser glisser, piûlôt que de les abatidouuer aux Kabyles. Du malheureux fourrier d'infanterie légère pris par eux était désarticulé en commençant par les extrémités. Le Kabyle, ayant usé toutes ses cartouches nous lançait succes- sivemtnl 1rs pieds, les mains, 1rs jambes de la victime, qui nous appelait sou secours sans qu'il nous fût possible au moins de la veuger. En 1851, nos soldats, repoussés d'un village, y laissaient un jrune officier nouvellement sorti de Saint-Cyr un retour offensif ne nous rendait qu'un tronçon, on avait procédé comme pour le fourrier. Il avait aussi la chute des reins sillonnée, comme si l'on avait voulu découper des tranches mettre sur un gril. ChuLe d'une tour d'église Chester. Vendredi, deux heures du matin, les habitants de la paroisse de l'an cienne cathédrale St-John, Chester, furent réveillés par un terrible fracas de maçonnerie croulante, dominé par le réson- nement formidable de plusieurs grandes cloches, précipitée d'une énorme hauteur sur le pavé. C'était la moitié de la vénérable tour de l'église St-John, haute de 150 pieds, qui venait de tomber. Doe immense crevasse s'étendant de la base jusqu'au som met de la tour, qui s'était produite il y a quelques années, s'était encore élargie par suite des rigueurs de l'hiver dernier, et toute la tour avait donné des marques tellement évidentes de caducité que la fabrique d'église avait pris des mesures pour la faire réparer. Ces précautions étaient tardives cepen dant il était devenu évident que du côté nord la partie déta chée par la crevasse penchait de plus eu plus, de sorte que l'entrepreneur refusa de commencer le travail. L'église même et l'abbaye, qui en fait partie, datent de l'époque saxonne, et la tour, construite en pierre sablonneuse rouge du fdistrict, était très remarquable. Il y avait daus la tour une sonnerie de 8 cloches, la plu* mélodieuse de la ville 5 de ces bronzes sacrés gisent enseve lis sous 1rs décombres trois autres restent suspendus dam 1er clocher moitié détruit. L'autre moitié se trouve dans l'étal lu plus précaire. Heureusement qu'il n'y a pas eu d'autre p< rte déplorer que celle de ce monument remarquable. Le PETIT RENTIER est envoyé 52 Dimanches consécu tifs avec supplémeu t et prime pour un franc. (Voir aux an nonces). Ou lit dans VEstafette Des chasseurs de lions du désert afiicain, qui ont eu l'occasion d'entrer en rapport avec nos soldats, ont affirmé n plusieurs officiers que des nihilistes russes leur ont demandé Biskra certaines balles explosibles perfectionnées, dont on se sert depuis peu de temps contre les bêtes féroces. Ils désiraient en connaître les divers modèles. On se rappelle qu'à la conférence de Genève, eu 1869, il fut décidé que ces balles explosibles ne seraient pas admises comme projectiles de guerre. Plusieurs chasseurs ont refusé de faire connaître aux révo lutionnaires étrangers les engins de destruction dont ils se servent mais d'autres ont vendu un prix très élevé les modèles de balles les plus nouvelles et les plus dangereuses. VEconomie Financière paraissant le Dimanche avec 16 pages. Prime gratuite (voir détails aux annonces). Un maire de campagne, en France, jugeant propos d'adresser quelques paroles bien senties deux jeunes mariés, s'est exprimé en ces termes u Monsieur, Mademoiselle, mon échsrpe municipale est la juste représentation de votre bonheur. La bande rouge, monsieur, est l'emblème de l'ardeur de vos feux; la bande blanche, mademoiselle, est le symbole de la pureté de vutre âme, et la bande bleue, si elle était vertr, serait... votre espérance Sarah Bernhardt a reçu en Amérique le quatrain suivant Donc, vous tenez bien baut ciseaux, pinceaux et brosses. Peindre, écrire et sculpter, pour vous ce sont des jeux... Oh Sarah Vous auriez vraiment toutes les bosses, S'il ne vous manquait pas... deux (Hameau Strooboom). ADJUDICATION DÉFINITIVE, le PRIX s 5 CENTIMES. itlaatschappij van Terzekei'ing op vaste premiën tegen BRAXD VRAAGT EEX BEKWAME AGENT Zich te bevragen, 70, Begijne Poort Vest, te Antwerpen. MPEREX. waarboi-ging fr. 00,000,000

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Le Progrès (1841-1914) | 1881 | | pagina 3