MOULIN A VENT TERRES A LABOUR, ATE VAN AERDE, M1SE-A-PRIX MAGNIFIQUE PROPRIÉTÉ ASSURANCES SUR LA VIE. E. BODDAERT-VAN UXEM, BERICHT. AVIS. EAUX ALI M ENTAIRFS Chronique Judiciaire. Nécrologie. AVIS. LE LLOÏD BELGE, Mtre Arsène VANEECRE, Le Mardi 21 Juin 1881, et 108 h. 61 a. 15 e. Prairies et beaux Bois. A WERVICQ. Changement de domicile. M<1 TAILLEUR, actuellement eue des Bouchers, 45. Chirurgien-Dentiste, FONDS PUBLICS ACHAT ET VENTE chez A. Deyarver, RÈGLEMENT SERVICE DE LA DISTRIBUTION m - EDOUARD DELRUE a l'honneur nformer le public que dès aujour- îui il ne payera plus aucune dette, ntractée par son épouse LOUISE AMYN. de NOTAIRE A WERVICQ, et de Mtre ROMMEL, NOTAIRE A BRUXELLES. 2 heures, l'Hôtel Macote, Place de la Station WERVICQ, DE LA Formant l'ancienne Seigneurie TER COUTEREN, comprenant DE TRÈS-BONNES d'un seul tenant, Chasse giboyeuse. S'adresser M. Jules ONRAET, agent principal de la Compagnie d'assurances contre l'incendie Les Propriétaires Réunis 2, rue de la Prison, Ypres, où on peut obtenir gratuitement les ^prospectus et ren seignements. Bois en régie: Fermages an nuels des fermes 15,865 francs. Plans et conditions en l'étude du Notaire VAN EECKE, Wervicq. (HAUTE NOUVEAUTÉ ANGLAISE) en face de la rue de VEtoile, consulter tous les jours, de 9 5 heures, le Dimanche excepté. Pose de dents et dentiers artifi ciels d'après les meilleurs systèmes. 87, RUE DE LILLE, YPRES. Van heden afzal men den Donder- dag Wafels bakken bij L. Dumortier- Devoette, in het Groot Hoekje. On demande une très bonne CUISINIERE, pour un Monsieur seul. Inutile de se présenter sans bonnes références ou si on ne sait pas préparer un grand dîner. Fort gages d'après mérite. S'adresser au bureau du journal. En vente au Bureau de cette feuille sur le des ■M lans un moment de jalousie et de colère, une fiole de vitriol loris la figure. L'homme a reçu de fortes brûlures au visage, u cou, h la poitrine et la main gauche. Ce malheureux a été transporté l'hôpital civil. Il y a aveu la part de la prévenue. L'œil gauche de l'ouvrier est considéré comme perdu par homme de l'art. On lit dans le Journal de Liège. «Samedi, M. le général Gratry, ministre de la guerre, ri M. général Nicaise, commandant supérieure de l'artilerie, ont sité les installations de la Fonderie royale des canons de lège. Cette visite avait pour but de permette ces hauts fonc- onnaires de se rendre compte des transformations qui seraient >cessaires pour remettre en pleine activité notre usine inons, dont la réputation était universelle il y a quelques mées, avant l'apparition sur les champs de bataille et dans i expositions des canons en ancier de l'usine Krupp. Dans son audience de Samedi, le tribunal correction- de Bruges a readu son jugement, longuement otivé, dans l'action intentée M. le chanoine Stroom, iré-doyen de Thourout, prévenu d'avoir, dans l'exer ce de son ministère, par un discours prononcé en semblée publique, attaqué directement un acte de utorité publique. M. le chanoine Stroom a été condamné 50 francs imende, ou subsidiairement 10 jours de prison et aux ais. Un cas de pression religieuse. La cour d'appel de Gand vient de condamner M. >ssaert, curé Zonnebeke, 200 fr. d'amende. Cet arrêt certifie que M. Bossaert, curé Zonne- ke, entraîné par son zèle pour la liberté de l'Eglise, pris la peine de vilipender un vieilard de 80 ans, le immer Doom, parce que, en sa qualité de membre du reau de bienfaisance, il venait d'émettre un vote nsciencieux, et il l'a ensuite menacé dans ses senti- >nts les plus intimes, en lui disant qu'à l'avenir les crements lui seraient refusés. L'arrêt ajoute que ce n curé a dirigé, en même temps, les menaces les is graves contre Fidèle Vermeulen,qui s'était permis, aussi, de ne point partager, en matière d'enseigne- !nt, les idées de son pasteur. Cela se passait, d'après l'arrêt, le 24 Octobre 1879, Ile du jour où le conseil communal allait délibérer sur des propositions du collège relatives l'enseigne ment primaire Zonnebeke. M. Bossaert alla trouver Vermeulen, qu'il savait être favorable aux mesures proposées, et après lui avoir exprimé son mécontente ment, il lui tint peu près ce langage Vous savez bien que je suis au mieux avec votre tante Rosalie d'Ypres Vous savez encore qu'elle vous a prêté de l'argent et que, de plus, vous êtes appelé héritier de sa fortune Oui mais, si vous prenez la liberté de voter demain les propositions du collège, il pourrait vous en cuire, et vous pourriez vous exposer des désagré ments de la part de votre tante. Cependant le brave paysan pouvait se dire encore que ce n'était là qu'une menace vague, d'autant plus que le prêtre lui avait laissé ignorer qu'il avait déjà lait visite la tanie, qu'il en avait obtenu certaine lettre et qu'il venait précisément de faire glisser, fort discrètement, par sa servante, cette lettre entre les doigts de la femme de Vermeulen. Or, cette lettre con tenait invitation pressante celui-ci de se rendre, au plus vite, chez sa tante Rosalie. Le voilà donc parti pour Ypres, où il s'aperçoit avec stupéfaction que sa tante, qui ne bouge plus de son fauteuil, était parfaitement renseignée sur l'ordre du jour du conseil communal de Zonnebeke, et qui lui dit sans autre préambule: Ah ça! vous allez voter demain dans le sens de M. votre curé, sinon, j'aurai soin d'agir aussi mon goût, plus tard. J'ai dit Le lendemain, jour du vote, M. le curé poussa si loin la discrétion et le respect pour la liberté du conseiller communal, qu'au lieu de le conduire lui-même la séance du conseil, il chargea de ce soin pieux un cer tain M. Rotsaert, qui se trouva précisément être son vicaire. Décidément les temps sont durs pour les très-chers frères. Voilà qu'on apprend de Courtrai que le tribunal correctionnel de cette ville aura s'occuper incessam ment des exploits d'un frère de la doctrine chrétienne qui, pour un motif futile, causerie dans la classe, souf fleté, son élève et l'arrache de son banc en le tirant par l'oreille, de manière lui occasionner une blessure d'où le sang jaillit. Le tribunal correctionnel de Malines, a condamné Samedi le notaire De Pauw, conseiller communal et président du Cercle catholique l'Aurore, pour cinq faits d'outrages publics aux mœurs et d'un fait d'attentat la pudeur avec violences, 4 peines d'un mois d'empri sonnement et 4 amendes de 100 fr., une peine de 15 jours d'emprisonnement, une autre peine de 8 jours, deux amendes de 26 fr. et 5 ans de privation des droits. Les débats ont révélé des faits d'immoralité stupé fiants de la part de ce personnage dont les agissements duraient depuis des années. Avenir des Flandresh j On nous écrit de Louvain: Il paraît que l'humeur batailleuse, qni agite en ce moment notre monde professoral universitaire, sévit également dans le gros du troupeau. Le tribunal correctionnel, dans son audience d'hier» a condamné trois de nos Eliacins, comme suit M. Dimatos, sujet turc, 8 jours de prison et 50 fr. d'amende, pour outrage aux mœurs 5" fr. d'amende pour rébellion la police, et 10 fr. d'amende pour tapage noturne. MEnglert, 50 fr. d'amende, pour outrages envers la police. M. Jumenez de Bonnefil, 50 fr. d'amende, pour coups volontaires, et 50 fr. d'amende pour outrage un agent de police. Nous lisons dans la Vérité de Tournai Une instruction judiciaire est ouverte charge d'un curé d'une commune de nos environs, pour attentat sur une femme mariée. Nous attendons des détails complémentaires sur ce fait intéressant. ittioia» La ville de Wervicq vient de faire une perte immense en la personne d'un ae ses concitoyens les plus estimés. Monsieur Hoornaert, médecin-vétérinaire du Gouver nement, et membre du comité Scolaire. Le défunt était un praticien distingué, et toujours sur la brèche quand il s'agissait de rendre service aux cultivateurs, qui faisaient appel sa science. Le parti libéral perd en lui un de ses soutiens les plus fermes et les plus dévoués, et fenseignement offi ciel, un de ses plus fervents adeptes. Les funérailles ont été célébrées Wervicq, le mar di 7 Juin, au milieu d'une affluence considérable de monde. a W e-w VARIÉTÉS. Une belle dame disait hier une de ses amies Je reconnais que je coûte beaucoup d'argent, mon mari mais, du moins, je suis cheval sur mes fip- voirs. Et vous aussi, n'est-ce pas? Oh moi, dit l'autre, je dépense un pen moins que vous; mais, pour ce qui est des devoirs, j'avoue que je ne suis que dans l'infanterie Urandverzekerings maatschappij TE ANTWERPEN. eze Maatschappij verzekert tegen brand roerende en onroerende eigendommen, het vuur kan beschadigen of vernielen. iij verzekert tevens de eeranltcoor- mlijliheid der huwdera, het »«•- der geburei* het vallen van den 'k»e»n, de ontploffing der verlicMittg* en der «foowikefef*, zelfs zonder g |g van brand. e commerciè'ele en financiëele notabili- Iten, die zoo in Belgie als buitenlands, Idhebbers der Maatschappij zijn, hebben lir overal eene voorspoedige ontvangst B'eid. Bestuurraad ffieeren Baron Constantin de Caters, chef van het huis C. J. M. de Wolf, bankier. Otto Gunther, chef van het huis Corneille David, koopman. Charles Bnnge, van het huis Bunge en C'", koopman. W. Engels, Directeur. J)e maatschappij is vertegenwoordigd te l'eren, Dixmudestraat, n° 26, door den I îr Emile Heylbroeck, haren algemee- Ia agent en Inspecteur divisionnaire. Men vraagt hoofdagenten in de bijzonder- plaatsen van het arrondissement IJ peren. ETUDES 5 FERMES ci-devant rue des Fripiers, 22, 1», RITE de lombard, 19, Paiementde Coupons Belges et étrangers. Renseignements surtous les tirages. PRIX i 5 CENTIMES.

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Le Progrès (1841-1914) | 1881 | | pagina 3