BOOM EN 8GH1LDERS -ÂLLÂÂtf BAECKLANDT-DELVA, Adjudication C.-R. BAEY, Hop Hitler. COMMERCE. VERKOOPINGEN TE YFEREN. OpMaandag, 27 Februari 1882, DÉJEUNER HYGIENIQUE Société anonyme des Tramways d'Odessa. ASSURANCES SUR LA VIE. Grande Maison, ACCOUCHEUSE DIPLOMEE, BURGERLIJKE GODSHUIZEN der stad ijperen. 1° MAANDAG 27n FEBRUARI1882, ten 1 ure naraiddag, in den Hoogen- bosch en in den Gareelbosch, te ZANDVOORDE, van 102 koopen Eiken en Beuken. Door het ambt van den Notaris degryse, te Becelaere. 2° MAANDAG 6" MAART 1882. ten 1 ure namiddag, te LANGE- MARCK, gehucht St-Julianus, in den Begijnenbosch en op de landen gebruikt door Léopold Huyghe en Jean Nollet, van 57 koopen Eiken, Abeelen, Iepen en Popelieren Boo- men. Door het ambt van den Notaris titeca, te IJperen. 3° MAANDAG 13" MAART 1882, len 1 ure namiddag, te ZILLEBEKE, in den Grooten Notelaarbosch, bij de hofstede Vanden Broucke, van 104 koopen Eiken, Beuken, Abeelen en Popelieren Boomen. Door het ambt van den Notaris van eecke, te IJperen. S'adresser M. Jules ONRAET, agent principal de la Compagnie d'assurances contre l'incendie Les Propriétaires Réunis 2, rue de la Prison, Ypres, où on peut obtenir gratuitement les prospectus et ren seignements. openbare verkoop1ng ten 2 uren namiddag, zal Lodewyk- frans VERHAEGI1E, Deurwaarder te IJperen, voortsvaren in de Boter- straat vôôr het huis bewoond door de weduwe Dewitte, tôt de openbare verkooping van Met den gereeden gelde, verhoogd van 10 de Mtre Arsène VA EECKE, MARCHAND-TAILLEUR, rue au Beurre, I\!° 7, a l'honneur d'informer Messieurs les G A R DES Cl V1QUES qu'il confectionne les PARE US ES et GILETS du nouveau costume aux prix indiqués ci-après Bonne et solide qualité de drap. Coupe et exécution soignées. 4 heures, l'Hôtel Macote, Place de la Station, WERVICQ, d'une MAISON, Grange, Étables, Écurie, autres édifices et 28 ares 32 centiaresde FONDS et JARDIN, situés WERVICQ, rue Ste-Barbe. Occupés par M. Yves Cael, avec droit de bail jusqu'au lr Octobre 1885, 400 fr. l'an et l'impôt. RUE DE CASSEL, N* 3, QuestionVaughan. Double complication. M. X..., nous déclare, comme il l'a déclaré la justice, u'il maintient ses affirmations. Il soutient que daus leur con- ersation du 15 Janvier, H. Y... lui a même indiqué la date e la lettre reçue d'une ville-capitale d'Europe peu de jours paravant. A ce moment là, H. X... n'y a attaché aucune mportance. Précurseur Extrait du Journal de Liège: u Le bruit qui donc l'a semé? s'était répandu ue l'on voulait étouffer l'affaire Bernays. Ce bruit n'est u'une calomnie il n'en est rien et le parquet déploie au con- aire unr énergie pi u commune pour retrouver le criminel, ii Nul n'échappe aux investigations de la justice; aucune olnsidéralion ne l'arrête dans l'accomplissement de son evoir. Depuis le 18 Janvier, MM. Willemaers et Ketels n'ont lis aucun repos. Nuit et jour ils fouillent, cherchent, sont toujours la piste du criminel. Nous trouvons dans les journaux français des renseigne- nruls qui ne manquent pas d'intérêt. Le parquet de Paris, d'accord avec celui de Bruxelles, a chargé la préfecture de police de rechercher le Vaugban en question, et l'on vient de découvrir qu'un Henri Vaughan a été, il y a une dizaine d'années, attaché comme chimiste une grande usine des environs de Rouen: condamné en 1872 pour délit politique, il quitta la France et se rendit en Amérique. On est d'autant plus fondé croire que ce Vaughan est bien celui qu'on recherche que le signalement de l'assassin de l'avocat Bernays se rapporte exactement celui de l'ancien chimiste dont nous parlons. L'enquête en est là mais, comme on le voit, elle a fait un grand pas. grâce l'habile direction qui lui a été donnée par le commissaire de police qui en a été chargé. (Evénement.) Le débâcle est complète Lyon les journaux de celte ville publieot une liste de quinze agents de change dont les charges viennent d'être pourvues de liquidateurs: les autres charges auront probablement sous peu le même sort. Nous lisons dans une feuille de Paris Il paraît avéré que le pape aurait eu la chance de retirer temps son épingle du jru. Il aurait fait vendre toutes ses actions de l'Union générale par son banquier ileregbi, au taux de 2,500 francs. Le nombre des suicides signalés depuis l'ébranlement Gnancier produit par la chute de l'Union générale, est déjà de dix-neuf. Econom Financière, onzième année; rédac teur, E. L'HOEST, avocat, Prime «baiuite. Voir annonces). Monsieur, Je m'adresse vous pour obtenir une grande faveur je voudrais rendre de publiques actions de grâces celui qui m'a sauvé la vie, je vous prie donc de vouloir bien donner place daos votre journal la présente. Revenu dans mon pays, ma première pensée doit être celle de faire savoir tous que je dois la vie au professeur Paglia- no, de Florence. Je partis, il y a six mois, malade de névral gie, inappétence, douleurs rhumatismales, et j'arrivai Rome. Je consultai inutilement des médecins. J'étais descendu l'Hôtel Alibert près la Place d'Espagne et bien que la position soit très salubre et l'hôtel des plus confortables j'étais déjà décidé retourner chez moi, aGn de ne point mourir loin de mon pays. A côté de moi habitaient deux dames; la plus jeune était malade et l'on me dit incurable. Quelque temps après je vois cette jeune dame la table d'hôte, je l'intei roge et voici ce quelle me répondit Je dois a Dieu et après lui au sirop Pagliano ma guéri- son et elle ajoute, si vous voulez guérir adressez-vous au pro fesseur Alberto feu G. Pagliano, maison du Théâ tre Pagliano, Florence. J'envoie aussitôt un mandai de 28 francs pour 20 boites de sirop en poudre. Je suis le traitement et un mois après je me trouvais complètement guéri. J'ai voulu publier ces faits dans l'intérêt de tant de malheu reux qui, affligés de maladies rédentes ou invétérées, languis sent sans espoir de guérison. Eugène Chambres 6m* Semaine. Voitures en service en 1882 28 chevaux 277. id. id. 1881 —20— id. 203. Recettes par jour voitures en 1882 fr. 91 OO id. id. id. 1881 70-10 Recettes du 5 au 11 Février 1882 fr. 15,332-10 id. o 11 id. 1881 10,525-80 Différ. en faveur de la G" semaine de 1882 fr. 4,806-30 Recettes du lr Janv. au il Février 1882 fr. 107,036-40 id. 1' id. Il id. 1881 fr. 59,152-35 Différence en faveur des 6 premières semai nes de 1882 fr. 47,884,05 Marché d'Yprea. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 18 Février 1882. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES. quantités vendues kilogrammes Prix moyen PAB cent kilogb. POIDS M" DE l'hecto litre. 29,000 28 50 80 Seigle 4,300 21 25 73 Avoine 2,400 21 00 44 Pois 2,800 26 00 80 Féveroles 4,400 25 80 Pommes de terre 5,000 7 00 Beurre 345 00 van VAN Leeren van aile grootten, Koorden en veel ander Sohilders-Allaam. NOTAIRE, A WERVICQ. Garde, 45 fr. Caporal, 52 fr. Sergent, 58 fr. Sergent-Fourrier, 60 fr. Sous-Lieutenant, 80 fr. Lieuten1, 85 fr. Capitaine, 1 OO fr. avec jardin, écurie et remise-porlecochère S'adresser au bureau du journal. Le JEUDI 23 FÉVRIER 1882, Les personnes faibles de la poitrine ou de l'estomac, celles dont la diges tion est laborieuse, trouveront dans le RACAHOUT de Delangrenier, de Paris un déjeuner très agréable, aussi légerque réparateur, et remplaçantavec avantage le chocolat et le café.—La ré putation de cet aliment, depuis si long temps acquise, est justifiée par l'appro bation de Membres de l'Académie de Médecine de France, qui ont constaté que ses propriétés toniques et nutritives convenaient surtout aux convalescents, aux enfants et aux personnes délicates ou âgées .-Dépits dais toutes les Phimscies de Balgiqse Parmi les nombreux spéciGques présentés au public depuis quelques années pour la guérison de la dyspepsie, de l'indigestion et autres déran gements de l'Estomac, et comme panacée de famille en général, les Amers végétaux occupent une place considérable. Plusieurs d'entre eux ont eu une certaine vogue pendant quelque temps, mais leurs effets loins d'être salutaires, étaient plutôt nuisibles. On devrait 1rs éviter avec un soin extrême. Il est arrivé souvent que des Amers, ainsi que d'autres préparations de famille ont ob tenu pendant quelque temps une certaine popu larité, grâce l'addition de cognac, de genièvre ou d'autres alcools, flattant ainsi des appétits dé pravés; cette addition d'alcool faisait disparaître les propriétés médicamenteuses qu'ils pouvaient contemr et en conséquence celte vogue s'est per due dès qne le public a eu connaissance de leur composition. Celui qui écrit ces lignes, pendant son passage Rocbester (Etat-Unis d'Amérique), eut la bonne fortune de rencontrer le Hop Bitters Amer Houblon) dont la compo sition est tout fait différente et celle des Amers mentionnés plus haut. Il y a huit ans que les mérites de cet Amer ont été constatés par le pu blic américain et depuis celte époque, la faveur qui lui a été accordée n'a fait que s'accroître, de sorte qu'à l'heure qu'il est, il est idmis partout comme le médicament populaire par excellence, Aucun mélange nuisible ne vient détruire la va leur réelle et .es qualités essentielles des princi paux iogrédients qui le composent. Il contient du Houblon, du Buchu, Mandragore, Dent-de- Lion, éléments choisis dans des conditions excep tionnelles, ainsi que d'autres éléments reconnus comme possèdent des vertus éminemment cura- tive. Cet Amer convient spécialement aux ecclé siastiques, aux hommes de loi, aux dames, aux écrivains, en un met, tous ceux qui sont astreints un travail intellectuel; quant aux c asses ouvrières, elles trouveront dans son em ploi, n'on seulement un allégement leurs fati gues, mais encore une réelle économie. Cet Amtr est souverain daus presque toutes les maladies de l'estomac, du sang, des reins et des voies unitai res. Pour les maladirs nerveuses et toutes les sui tes qui ru dénveut, cet Amer est inappréciable, il ^affermit et rend la vigueur tous les organes, il a atteint un débit immense, ce qui est la meil leure preuve de l'estime qui lui a été accordée. Nous avons eu sous les yeux une foule de lettres écrites, soit par des particuliers, tous témoignant que ce précieux Amer leur a rendu la santé l'a où des soins intelligents du reste, avaient été prodi. gués en vain. Ces fonctions curatives s'accusent sans aucun des mauvais eff> ts remarqués dans l'emploi d'autres Amers ou préparations similai res, il peut être pris sans le moindre danger et administré en toute sécurité la femme la plus délicate aussi bien qu'à l'enfant le plus faible et le plus chétif. YPRES.

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Le Progrès (1841-1914) | 1882 | | pagina 3