BOOmEN, MAISON A LOUER, Maillar d-Alle waert, Encre Belge perfectionnée, PRO-J USÏITIA. 20 HECTARES 63 A. 31 C. SIKOP PAGLIANO Bij arrest in date 1" Octôber 1880, verleend door het Hof van Beroep te Gent (kamer van beschuldiging) is de genaamde Roscam Martinus-Joan- nus, outi 56 jaren, zoon van Josephus en van Thèrésia - Francisco, Maertens, werkman, geboren te iJper, zonder r> vaste woonpiaats, thans vluchtig ofzon(^er vaste woonplaats in Belgte, bank van 1" Aanleg te IJper, daar wonende, Recollettestraat, 41, gepa- tenteerd Heb mits deze beteekening gedaan en afschrift gelaten aan Roscam, Martinus-Joannus, geboren te IJper, zich schuilhoudende, iang een meter 620 milimeters, hair en wenkbrau- wen kastanjekleur (kaal vân hair), voorhoofd hoog, oogen bruin, neus lang, mond gemeen, kin klein, aan- gezicht eivormig, gelaatskleur ge zond, hebbende een lidteeken aan den rechter arra en eene breuk boven de rechteren bil, verzonden ge- weest voor het Hof van Assisen aer provintieWestvlaanderen, als aange- klaagd van te Coraen (België) in den nacht van 9" tôt 10nNovember 1879, bij middel van braak eene som van Een frank vijftig centiemen.ten hui- ze en ten nadeele van de echtgenoten Ludovicus Carissimo-Druant bedrie- gelijk ontvreemd te hebben. Voor gelijkvormig extrakt den deurwaarder, A. HOF. Ten jare 1882 den 7 Maart Ten verzoeke van den Heer Pro kureur-Generaal bij het Hof van Be- roen te Gent, denwelken domicilie verkiest in zijn Parket Ik ondergeteekende Alphonse HOF, Deurwaarder bij de Recht- en thans vluchteiing Van een arrest geveld door het Hof van Beroep te Gent, Kamer van beschuldigingin date 1 October 1880 - Welke beteekening gedaan is ge- weest achtervolgens de artikel 69 n° 8 van 't wetboek van burgerlijke rechtspleging, alsook van den artikel 2 van het besluit van 1 April 1814, 't is te zeggen dat ik het dubbel dezer heb aangeplakt in de daartoe bij de wet aangewezene plaats, een gelijk dubbel afgegeven aan aenProkureur des Konings bij de Rechtbank van Eersten aanleg te IJper, die mijn origineel geviseerd heeft, alsook een extrakt van voornoemde arrest en van dit tegenwoordig explooit, inge- zonden aan den Heer uitgever van het dagblad Le Progrès verschij nende te IJper, ten einde dit in zijn aanstaande nummer te insereeren. Geschiedende deze beteekening aanplakking en insertie, ter onder- richting van hem beteekende, op dat hij daaraf niet onwetende zij waaraf akt. VERKOOP1NGEN van OP MAANDAG 20" MAART 1882 ten een ure namiddag, te WYT- SCHAETE, in het Lindenbosch, in het Nonnenbosch en bij de hofstede gebruikt doorsrLowts Six, van Koopen Eiken, Beuken en Abeelen BOOM EN, door de Notaris VICTOOR. te Waasten. OP MAANDAG 27" MAART 1882. ten 1 ure namiddag, te ZILLEBEKE, in het groot Citernebosch in het Graskouterbosch, in het Hoogezie- kenbosch, in het Kwaweidebosch en inhetSchoolbosch, van Koopen Beuken, Abeelen en Popelieren BOO MEN. Door den Notaris TITEC Ate IJ pe- ren. I De boschwachter R.-L. Lionel, te Zillebeke, bij de Vodde, zal al de koopen aantoonen. rue des Bouchers, 27. Changement de demeure MARCHAND -TAILLEUR, CI-DEVANT RUE DE LILLE, N» 3, ACTUELLEMENT BEE DE DIXtfllDE, 33, 4 heures. En vente au Bureau de «t Journal. Vers une heure du matio, le docteur Lavisé était dans son cabinet lorsqu'il entendit sonner sa porte; croyant que c'était un client qui venait l'appeler, il ouvrit sa fenêtre. C'était Armand Pellzer qui lui cria de lui jeter sa clef et mon ta précipitamment. En entrant, il lui dit Puis-je compter sur toi D'abord, de quoi s'agit-il Il arrive une chose épouvantable pour inoi, une véri table catastrophe. J'ai mal compris le télégramme d'hier et Léon arrive c> matiu 4 h. 38. On juge la stupéfaction du doclttir Lavisé, qui sur les affir mations réitérées d'Armand, attendait le relourde Léon Pell zer avec la plus vive impalirnce paice qu'il le considérait comme devant m»lin- fin aux bruits qui couraient et réduire néant toutes its accusations. Ce retour était devenu pour Armand une catastrophe! Léon arrive, reprit le docteur, mais où arrive-t-il D'après nos correspondances c'est ici qu'il viendra, répondit Armand. M. Lavisé s'y opposa de la façon la plus formelle, se refu sant mén.e ce que. la voiture amenant Léon s'arrêtât devant sa porte. Il dit Armand qu'il exigeait qu'il allât la gare attendre son frère et l'empêcher de venir chez lui. Armand partit. Le docteur était resté absolument abasourdi par celte nou velle inattendue et par l'attitude d'Armand qui pour lui était une révélation. Après une nuit d'insomnie et ne sachant quel parti prendre, il se résolut aller confier la situation a un de ses amis, le docteur D., en fa droiture duquel il avait la con fiance la plus entière. Celui-ci fut aussi embarassé que lui conseilla d'aller prendre l'avis de M. Paul Janson. M. P. Janson trouva la situation fort grave et ne voulant prendre sur lui de dicter M. Lavisé la conduite qu'il avait suivre, se reudi avec lui chez M. Eugène Robert. Ces trois messieurs discutèrent la question pendant près d'une heure. Il fut résolu enfin que le devoir du docteur Lavisé était d'aller prévenir le parquet. Celui-ci suivit la ligne de conduite qu'on lui traçait, et dix heures moins le quart, dimanche matin, alla faire part M.le procureur du Roi des faits que nous venons de raconter. Léon Prltzer est-il ou non arrivé Bruxelles? Nous ne pou vons l'affirmer; tout ce qui est certain, c'est que les perquisr- tious faites depuis deux jours n'ont pu faire découvrir l'en droit où il serait descendu. La maison habitée par M. James Peltzrr, l'angle de la place de la Bourse et du boulevard Auspacb, a été pendant toutela journée d'hier, l'objet d'une surveillance active, inté rieurement et extérieurement. lia été fait, dans plusieurs maisons, des perquisitions, de la caveau grenier, qui n'ont produit aucun résultat. M. Ketels, juge d'instruction, a été hier, qu ilre heures de l'après midi, aux Petits-Carmes, où il a procédé un nou vel interrogatoire de M. Armand Pellzer. Le parquet de Bruxelles s'est transporté Dimanche An- vers et a fait une longue perquisition au domicile de Armand Pellzer. M. L..., ingénieur, uo Belge qui a habité Buenos-Ayres en même temps que Léon Pellzer, cl qui, depuis quelques mois, est rentré m Belgique, a affirmé avoir rencontré Léon Pellzer Bruxelles, dans les premiers jours du mois d'Août, au bou levard Anspach, iii face du Grand-Hôtel. Léon Pellzer, a ajouté M. L..., était eu compagnie de M. Patby, un aneien major de l'armée belge, établi Buenos-Ayres, et revenu en Belgique pour y passer quelque temps. Le séjour de M. Palhy Bruxelles a été établi. Il a quitté notre capitale le 7 Août et devait s'embarquer le lendemain au Havre pour Buenos-Ayres. M. L..., déclare avoir accosté le major Palhy et Léon Pellzer, et avoir causé longtemps avec eux. Arrestation de Ijéou Peltzer, Cologne. Le parquet ayant acquis la certitude que Léon Peltzer, arrivé Bruxelles Dimanche matin 4 heures 38, était re parti par le rapide d'Allemagne 6 heures 30, expédia des dépêches dans toutes les stations où une surveillance spéciale fut établie. M. le substitut Wellens partit pour Cologne, ac compagné de plusieurs agents. Hier, vers une heure de l'après-midi, le restaurateur du buffet de la gare de Cologne, qui avait été prévenu par la police, signala aux agents un individu qui venait de lui récla mer un lélégramme. C'était Léon Peltzer. Il fut immédiatement arrêté et conduit dans le bureau du chef de gare, en attendant l'arrivée d'un agent de la police prusienue. Léon Pellzer était complètement rasé et portait des lunettes; au moment uù 1rs agents lui mirent la main au collet, il pâlit et se laissa emmener sans résistance. Lorsque l'officier de la police prusienne fut arrivé, il ne chercha pas contester son identité, il reconnut être Léon Peltzer et avoua avoir joué le lôle de Vaughan. Il reconnut également être l'auteur de la mort de M. Bernays, ajoutant, toutefois que celte mort était le résultat d'un accident ainsi qu'il l'avait raconté dans la lettre de Bâle au coroner d'An vers et dans celle trouvée rue de la Lot et adressée au coro- ner de Bruxelles. A la suite dt ces aveux, Léon Peltzrr déclara qu'il consentait volontairement rentrer en Belgique; les formalités préalables l'extradition devenaient donc inutiles. A trois heures, il moulait dans le train de Bruxelles accompagaé par des agents de la police belge, un agent de la police allemande et M. le substitut \Vellens. Un fait rare dans les annales du notariat vient de te passer Verviers. MM. les officiers ministériels de cette ville ont vendu la semaine passée trois églises aux enchères publique* l'ancienne St-Remacle, place du Marché, l'église du couvent des vieillards, rue drs Vieillards, et l'église Sl-Anloine, rue Saucy. La vieille église St-Kemacle était sans doute le plus ancien monument de Verviers elle avait été construite, dit-on sur l'emplacement d'une chapelle bâtie par Oger le Danois et datait du doiiz ème siècle. Elle va être démolie. Le sexe barbu va faire prime en Europe si le beau sexe continue s'accroître numériquement comme on le constate. Qu'on en juge par les chiffres suivants sur la relation propor tionnelle entre les sexes. Le.pavs d'Europe qui a le plus de femmes par rapport aux hommes est la Norwège, où l'on compte 1060 femmes pour 1000 hommes. Après cette nation vienne la Suède avec 1054 femmes pour 1000 hommes, la Grande-Brelangoe et d'Irlan de avec 1041, l'Espagne avec 1042, la Suisse avec 1041, le Portugal avec 1041, l'Autriche-Hongrie avec 1030, la blonde Germanie avec I03ti, le Danemark avec 1035, la Russie et 1rs Pays-Bas avec 1023, la France avec 1008, le grand-ducbé de Luxembourg avec 994, l'Italie avec 089 la Belgique avre 985, la Serbie arec 963, la Roumanie avec 937 et enfin la Gièce avec 906. Cela fait pour l'Europe 1037 femmrs pour 1000 hommes. La Belgique est, comme l'on voit, au nombre des pays où l'offre est encore inférieure la demande. Avis publié dans le Journal officiel du Royaume d'Italie des 25 Janvier et 1" Février 1882. On prévient le public, et aux termes voulus par la loi, que Monsieur Albert feù G. Pagliano étant le seul possesseur du brevet pour fabriquer le SIROP PAGLIANO, régénérateur du sang, dont la marque de fabrique a déjà été brevetée par 1rs gouverniments Italien, Français et Autrichien, prrsoune ne peut ni fabriquer ni vendre son Sirop sans son consente ment, sons peine de poursuites judiciaires prévues par l'art. 12 de la loi du gouvernement du 30 Août t868. On déclare en outre que M. l'agliano n'ayant jamais coofié son secret 5 personne, tous ceux qui se disent fabricants dudit Sirop sont des méprisables falsificateurs. Enfin ou prévient que pour les consultations et achats du Sirop liquide ou en poudre on doit toujours s'adres ser A SI. Albert feu G. Pagliano, maison Théâtre Pagliano, Florence. i i u t i on Via ne vlnnlifûhnnf A. HOF. Rl'RGERLIJKE GODSHUIZEN DUR ST A I> IJPER EX. Etude de H' VAX REVERE, Notaire, eue de lu Loi. S, Bruxelles.. Le Notaire VAN BEVERE, vendra publi quement, avec bénéfice d'une prime d'un demi pour cent sur le montant de l'adjudica tion préparatoire, en la salle des ventes par notaires, rue Fossé aux Loups, 34, Bruxel les de bonnes terres et prairies Moen et Avel- ghem, arrondissement de Courtrai, divisés en 54 lots,détaillés au plan qu« les amateurs peuVent se procurer en l'étude. La paumée aura lieu jeudi 16 mars, et l'adjudication jeudi 30 mars, 1882, midi. d'un très beau noir en écrivant, d'une limpidil inaltérable, ne dépose pas dans l'encrier, ne s'é paissit jamais et n'oxide pas les Plumes métalli- S'adresser même rue, n" 29, de 2 ques.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1882 | | pagina 3