REVALENTA ARABICA. Veuve GustavePodevyn, RÉCOLTES D'INSTRUMENTS ARATOIRES MAISON A LOUER, Ou demande louer ENCRE DU XIXe SIECLE SANTÉ A TOUS Hit»'6 Arsène VA N EECkL 2 BONS CHEVAUX En MAGASIN (au rez-de-chaussée), GRAND DÉPÔT Chronique des Arts. variétés. A Y P R E S, se recommande pour les ouvrages de COUTURE et de BRODERIE. de NOTAIRE A WERV1CQ. Société anonyme des Chemins de Fer de ia Flandre Occidentale BENEDICTION DE LA MER. 2 heures, sur les terres de la ferme dernièrement occupée p&vM.Auyuste Desbuquoit, Comines-ten-Brielen, le long du pavé de Comines, VENTE WBiLIQjuiE DE 14 HECTARES DE TRÈS-BELLES consistant en Froment, Seigle, Avoi ne, Lin, Hivernaches, Orge, Trèfles, et Herbes. Le Mardi 25 Juillet, 1 heure, la ferme occupée par M. Terbrugge-DemyttenaereYVer- vicq, le long du pavé du Cruyseecke, Vente Publique et 13 t/a Hect. de très-belles TRAINS DE PLAISIR POUR OSTENDE. consistanten Froment,Seigle, Avoine, Hivernaches et Pommes de Terres. rue des Bouchers, 27. S'adresser même rue, n° 29, de 2 4 heures. En préférence près la Gare. reconnue la meilleure des Limpide, noire, inaltérable chez A. YAN EECKHOUT, rue de Dixmude, N" 39, Ypreg. victime, amenée sur la Grand'Place de Bruxelles, avait d'abord la langue coupée, puis un pied et une main brûlés entre deux fers rougis blanc, faits en forme de gaufrier. Ainsi mutilée, ont la liait avec une chaîne qui, passant entre les jambes, venait l'attacher par les pies une poulie. Alors commençaient les longues souffrances. La poulie s'élevant en l'air et se baissant, venait présenter la tète du martyr dans un grand feu, d'où on la retirait chaque fois uue le gouver neur levait une blanche verge qu'il tenait la main. Une coquille qui vaut son triple pesant d'or a vendre ou a louer pour 3, 6 ou 9 ans, UNE BELLE ET VASTE FEMME Pavillon d'agrément. Position agréable et exceptionnelle. Conditions faciles. Entrée en jouissance immédiate. Femme pour ferme elle est adorable, la coquille Le peuple anglais préservé encore une fois du danger de l'ouverture des Musées le Dimanche. La Chambre des Communes, proccupée de la conserva tion des bonnes habitudes morales et religieuses de la population, a rejeté,dans la séance du 19 Mai, la majo rité de 208 voix contre 83, une proposition de M. G. Howard, ayant pour objet l'ouverture des Musées le Dimanche. Il existe en Angleterre 154 Musées, parmi lesquels 4 seulement sont ouvert le jour du Seigneur, Londres et Dublin. L'auteur de la proposition faisait remarquer que les débits de boissons sont les seuls endroits où le peuple puisse avoir accès le Dimanche, en ajoutant qu'il ne croyait pas que la vue des œuvres de l'art et de la science put exercer une influence malfai sante sur les esprits. La majorité de la Chambre a été d'un autre avis, elle a pensé avec M. Gaine, auquel le radical M. Broudhuret a apporté son concours dans l'intérêt du travail que l'ouverture des Musées serait nuisible la vie religieuse du pays. En vain M.Wilfrid Lawson a suggéré qu'il n'était pas défendu aux gens riches de visiter leur propres Galeries le Dimanche, et qu'après tout c'était le public qui payait les frais d'entre tien des Musées. Cette raison n'a pas paru concluante l'orateur du Gouvernement, le libéral M. Mur.della. Je ne crois pas, a-t-il dit, que les classes laborieuses désirent l'ouverture des Musées, jusqu'à ce que le sen timent national change et fasse du Dimanche un jour d'amusement au lieu d'un jour de repos, je prétends que le droit du gouvernement n'est pas d'ouvrir ces institutions nationales. On pourrait objecter que si le sentiment national est contraire la fréquentation des Musées le Dimanche, le public s'abstiendra d'y aller, et que ce n'est pas une raison pour empêcher les gens qui ne sont pas imbus du sentiment national de les fré quenter. En dernière analyse,cette prohibition àl'entrée des Musées le Dimanche n'est autre chose qu'une appli cation du système protecteur la vie religieuse. Mais si l'église redoute la concurrence du musée,cela prouve- t-il qu'elle se sente bien forte? Au régiment Bridoux, vous me ferez huit jours de consigne. Mais, sergent.... Pas d'observation. Ça vous apprendra empoi sonner vos punaises. Mais, sergent.... Pas d'observationFigurez-vous que toute la chambrée en fasse autant.... Eh bien! sergent....? Alors il ne resterait plus que les sergents pour les nouirir... Bridoux, convaincu, soupire en baissant la tête. Mra" X.... étant au moment d'accoucher, on avait dit sa petite fille, qui a quatre ou cinq ans et qui voulait entrer dans sa chambre, que sa mère était absente pour quelques heures. Peu de temps après, la bonne arrive avec un gros poupon dans les bras, et dit l'enfant Voyez, Mademoiselle, le beau petit frère, que le jardinier vient de vous apporter Ah! mon Dieu, s'écrie la petite fille, toute effa rée,.. et Maman qui est sortie. Marché d'Ypres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 1 Juli 1882. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES. QUANTITÉS VENDUES KILOGRAMMES Prix moyen PAR CENT KILOGR. POIDS M" DE l'hecto litre. 5,600 34 25 80 4,900 22 00 73 700 21 00 44 200 23 00 00 Féveroles 600 22 00 80 Pommes de terre 5,000 9 50 Beurre 280 00 rendue sans méde cine, sans purges Cure n" 85,421Bruxelles, le 23 Juin 1874. Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de et sans frais, par la délicieuse farine de santé Du cinq mois par les médecins, ne voulait prendre ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait' par conséquent, dans un état de faiblesse qui mettait son existence en dangerj; c'est alors que je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea avec appétit, et il a continué pendant plusieurs mois s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui, âgé de 11 ans, il est très-bien portant. Deswert, au Conservatoire, rue Vonck, 61 M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de médecine lUniversité, fait le rapport suivant la clinique de Berlin, le 8 Avril 1872: Je n'oublierai jamais que je dois la pré servation de la vie d'un de mes enfants la Revalenta. L'enfant, dans son quatrième mois, souf frait, sans cause apparente, d'une atrophie com plète, avec vomissements continuels qui résis taient la diète la plus soignée, deux nour rices et tous les traitements de l'art médical. La Revalenta a immédiatement arrêté les vo missements et complètement rétabli sa santé en six semaines de temps. Mes expériences depuis ont eu le môme succès. Cure n° 75,125: M. et Me Léger, 128, rue Oberkampf, Paris, d'une Maladie du foie avec vomissements et diarrhées horribles qui avaient résisté tout traitement pendant 16 Barry de Londres, dite Trente-cinq ans d'un invariable succès, en géurissant les dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, ren vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys- senterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, con gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi que toute irritations et toute odeur fiévreuse en se levant, ou après certains plats compromet tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli ques, môme après le tabac. C'est en outre la nourriture par excellence qui seule réussit éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000 cures, y compris celles de Mme la duchesse de Castlestuart, le duc de Pluskow, Mn" la mar quise de Bréhan, lord Stuart de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer, etc., etc. N° 63,476 M. le curé Comparet, de 18 ans de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de ans. Cure n° 79,721 Mme Chauvet Pizzala, l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc- d'anémie A'épuissement et A!étouffements turnes. Quatre fois nourrissante comme la viande, Cure ii° 99,625. Avignon, 18 Avril 1876. sans échauffer, elle économise encore50foisson La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge prix en médecines. En boîtes: 1/4kil., fr. 2,25; de 61 ans, d'épouvantables souffrances de 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter ribles, ne plus pouvoir faire aucun mouve ment, ni m'habiller, ni désabiller avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a sauve complètement. Borhél, née Carbon- netty, rue du Balai, 11. Cure n° 98,614 Depuis des années, je souf frais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irri tation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenta. Léon Pèyclet, instituteur Eynanças (Haute-Vienne). N° 49,812 MD,e Marie Jolie, de cinquante ans de constipation, indigestion, nervosité, in somnies, asthme, toux, flatus, spasmes et nau sées. N° 46,270 M. Robert, d'une consomp tion pulmonaire, avec toux, vomissements, constipation et surdité de 25 années. Numéro 49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus complet, paralysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeunsse. Biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et 16 fr. La Revalenta Chocolatée 1/2 livre, fr. 2,25 1 livre, 4 fr. 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr. franco. Dépôt partout, chez les pharma ciens et épiciers. Du Barry et G'e, limited. Agent général pour la Belgique M. Emile TIMMERMANS,rueRouppe, 6 et 8, Bruxelles. Dépôt Ypres,chez FRYSOU-VANOUTRIVE, pharmacien, rue de Dixmude BECUWE, pharmacien; Moorslede chez Ch. BOSTYN, boulanger. VIEUX MARCHÉ AU BOIS, X- f t, LE MARDI 18 .fllLLKT 1883, OIÏI.XiVCHK 3 JUILLET 1883. Hazebrouck. départ. 7-00 matin. Caestre. 7-40 Godewaersvelde. 7-25 h" fr®* Abeele. 7-48 hre b«'. Poperinghe. 7-58 Vlaniertinghe. 8-08 Ypres. 8-20 Zonnebeke. 8-32 Moorslede-Passchendaele. 8-42 Roulers. 9-00 Lichtervelde. 9-47 Ostende. Arrivée 40-45 Départ d'Ostende. Arrivée Hazebrouck Retour. 5 h. 45 du soir. 9 h. 05 Prix «les place». Aller et retour. D'Hazebrouck, Caestre 4' cl. 2* cl. 3' cl. et Godewaersvelde, fr. 6 50 5 00 S 50 D'Abeele et Poperinghe, De Vlamertinghe, Ypres 6 00 4 50 3 00 et Zonnebeke, 5 00 4 00 2 50 De Moorslede, 4 50 3 50 2 25 De Courtrai, 5 00 4 00 2 50 D'Ingelmunsteret Iseghein, 4 30 3 20 2 45 De Rumbeke et Roulers, 3 40 2 50 4 70 De Gits, 3 00 2 25 4 50 De Lichtervelde, 2- -50 4 80 4 25 Le nombre des places est limité. ENCRES A ÉCRIRE.

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Le Progrès (1841-1914) | 1882 | | pagina 3