DATE COFFEE Acla Sanctorum. SANTÉ A TOUS ÏÏÎIÏÏVÏÊ REVALENTA ARABICA. DITE COFFEE DATE COFFEE recommandé par les sommités médicales (café de dattes) goût exquis Non ejxcitant. LE LUXE LE BESOIN (café de dattes) goût exquis Ni ou excitant. LE LUXE LE BESOIN Marque de fabrique En vente Ypres chez MM. A. DELHAIZE C'°, Grand'Place, 22. Les voleurs sont inconnus la gendarmerie est sur les lieux. La somme enlevée était destinée faire la paye de quinzaine, hier. Une course de bœufs a eu lieu Lundi, k Braeschat. C'est un spectacle très amusant. Figurez-vous neuf paysans califourchon sur neuf bœufs de trait, de toutes nuances, et tout le village sur pied dans la drève. 11 y a quatre prix. On tira au sort. On part a deux, et le premier l'arrivée pourra continuer concourir pour les prix Vous croyez que ces bœufs partent tout droit, d'un trait? Ah! oui. Us n'ont pas fait vingt pas qu'un cavalier roule dans le sable, et que l'autre bœuf entre dans un caba ret. Il arrive qu'il en part un au galop et qu'il s'élance sans ralentir jusqu'en face du jury le garde champêtre mais tout coup se retourne et passe travers une haie mal gré les cris et la fureur du cavalier, qui a le pantalon en lambeaux; le concurrent arrive clopin-clopant et remporte la palme. Alors, mes amis, quels rires, quelles contorisions dans la foule Le vainqueur habituel de ces sortes de courses, Jan, n'avait pas de bœuf. Il voulut en emprunter un l'un de ses j voisins,Wannes Teirlinck, mais la femme de celui-ci, Trees, s'v opposa elle défendit même son mari d'aller la ker messe. Que faire Wannes tire Jan part Vole mon bœuf, lui dit-il, Trees trouvera l'étable vide, et je pourrai aller au village pour faire dresser procès-verbal. Entretemps, tâche de gagner, et ramène le bœuf. Ce qui fut fait la lettre. Et c'est Jan qui remporta le premier prix En le voyant revenir vainqueur, Trees s'est trouvée désar mée et a ordonné Wannes de retirer sa plainte ce qui a donné celui-ci l'occasion de retourner auprès de ses amis! (Nouvelles du Jour). Explosion de dynamite. Le terrible engin de mines vient de faire Gilly une nouvelle victime. Charles Morsaint, habitant de cette localité, se trouvait sa porte quand vint passer une noce. Pour faire honneur aux mariés, il s'empara de quelques pétards inoffensifs, qu'il fit éclater la grande joie des enfants du village. Malheureusement, parmi les pétards se trouvait mêlée, on ne sait trop comment, une cartouche de dynamite qui fit explosion avec grand fracas et qui produisit des effets déplo rables. Morsaint fut affreusement blessé, Le poignet qui tenait la cartouche fut broyé, la figure abîmée, et tout le corps cou vert de déchirures. On jugera de la violence du coup en ap prenant que la chaîne de montre de la victime a été coupée en morceaux et des pièces de monnaie qui se trouvaient dans sa proche complètement tordues. Le malheureux est dans un état désespéré. (Gazette de Charleroi.) La semaine dernière, dans une commune du canton de Seyssel, quatre jeunes hommes entrèrent dans l'unique café de l'endroit et demandèrent se rafraîchir. Il faisait très- chaud: les jeunes gens étaient altérés; ils boivent leurs verres d'un trait... et tombent raides morts! La population se rassemble et menace le cafetier qui répond qu'il est sûr de sa marchandise, que le vin servi aux jeunes hommes a été fait avec ses raisins, pressés et mis en fût par lui-même, qu'il ne craint rien et qu'il va boire, lui aussi, pour montrer que sa marchandise ne contient aucun poison. Et le cafetier, après avoir rempli un verre, en avale le con tenu et va rouler côté des jeunes hommes. On s'émeut, la police fait défoncer le tonneau, au fond duquel on trouve une énorme couleuvre en putréfaction, qui, avait corrompu et empoisonné de vin... (Labeille du Bugey). On écrit de Lille, 7 Septembre Un grand incendie a éclaté vers deux heures de l'après midi dans l'importante usine de la Société des produits chi miques du Nord, la Madeleine-lez-Lille. Le feu s'est déclaré dans un bâtiment de 40 mètres car rés environ, contenant du blomb, du soufre et une grande quantité d'acide sulfurique. On attribue cet incendie du goudron en ébullition que l'on avait placé dans un récipient. Le bâtiment est en ruine. Les pompiers de Lille et ceux des communes environ nantes, accourus en toute bâte, ont pu préserver les autres parties de l'usine. Les pertes évaluées 1,500,000 fr., sont couvertes par des assurances. L'Islande, cette colonie ou possession du Danemarck dans les régions arctiques, est menacée d'une famine com plète. L'hiver 1881-1882 a été plus doux qu'il ne l'est habi tuellement dans les régions du pôle des masses de glace se sont détachées et ont formé une véritable paroi autour de l'Islande. Par conséquent cette île a eu un été encore plus court que d'habitude,et au commencement du mois d'Août la navigation était encore entravée par les glaces. La végétation a été nulle, et les bestiaux qui forment tout le commerce et l'unique ressource des habitants de l'ile ont péri faute de fourrage. On organise des souscriptions en Danemarck et en Angleterre pourfaire parvenir aux malheu reux insulaires des vivres avant que la navigation soit fer mée de nouveau. Sinon toute la population serait exposée mourir de faim. Mercredi soir, un homme aux allures singulières descendait la gare de Tourcoing, venant de Belgique. Cet individu attira l'attention de M. Perfetti, commissaire spécial la gare, qui l'interrogera immédiatement. Il déclara se nommer d'Abrantes d'Istria, être général commandant de corps d'armée en Algérie, en (rongé de trois mois et en visite Lille, retour de Tunisie. Ce M. d'Istria montrait une feuille de congé, et ajoutait qu'il était remplacé par un certain marquis de M... Vérification faite, l'annuaire militaire ne fait mention ni de ce marquis de M.ni d'un général d'Istria. On en fit la remarque notre individu, mais il affirma plus que jamais qu'il était le général d'Istria, ajoutant qu'il venait rendre visite M. Jules Gambon, préfet du Nord, et M. le général Lallemand, commandant en chef du I1 corps d'armée, qui étaient de ses amis. Malgré ces belles recom mandations, le prétendu général fut arrêté. On a donc vu, au poste, un monsieur porteur de la rosette de commandeur de la Légion d'honneur et de la croix de Saint-André, de Russie. Après un interrogatoire que lui avait fait subir le substi tut du procureur de la république, les gendarmes l'avaient conduit en prison. Quand le gardien fit le réquisitoire au nom du général Junot, duc d'Abrantès, il lui dit: «Eh bien! quoi, tu ne t'appelle plus Coquillot, toi A cette attaque inattendue le faussaire se troubla et avoua que tout ce qu'il avait fait n'était qu'un roman et qu'il était bien l'individu connu sous le nom de Coquillot, Bruxellois, expulsé de France il y a deux ans, ayant déjà subi douze condamnations dont une de cinq ans la maison d'arrêt de Loos. Cet indi vidu est marié. - L'abbé E.-H. Malchaire, curé de Bercheux, par juge ment du tribunal correctionnel deNeufchâteau, en date du 8 Septembre, a été condamné 2 ans de prison pour un attentat la pudeur commis sur l'enfant du sieur Bernard, instituteur officiel Juseret. L'arrestation immédiate du prévenu a été ordonnée. VIL.I.E DE MSll PhitT. Pensionnat de Demoiselles annexé l'Ecole Cure n° 99,625. Avignon, 48 Avril 1876. La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge i-ensionnai ue de 61 ans, d'épouvantables souffrances de Moyenne de 1 Etat. Cours gratuits d allemand, j'Lvais dps onnressions des dIus ter- d'anglais, de musique, de dessin et de gymnas- ans- J aYais des oppressions des plus ter tique. Prix 480 fr. S'adresser k la Directrice, rue du Marché, 30. Ouverture le 2 Octobre. et sans frais, par la délicieuse farine de santé Du Barry de Londres, dite Trente-cinq ans d'un invariable succès, en géurissant les dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, ren vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys- senterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, con gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi que toute irritations et toute odeur fiévreuse en se levant, ou après certains plats compromet tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli- le tabac. C'est en outre la ribles, k ne plus pouvoir faire aucun mouve ment, ni m'habiller, ni désabiller avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a sauve complètement. Bohrél, née Carbon- netty, rue du Balai, 44. Cure n° 98,644 Depuis des années, je souf frais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irri tation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenta. Léon Pèyclet, instituteur Eynanças (Haute-Vienne). N° 49,812 M°,e Marie Jolie, de cinquante ans de constipation, indigestion, nervosité, in somnies, asthme, toux, flatus, spasmes et nau sées. N° 46,270 M. Robert, d'une consomp tion pulmonaire, avec toux, vomissements, constipation et surdité de 25 années. Numéro 49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus complet, paralysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeunsse. Curen"85,424. Bruxelles, le23Juin 1874. Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de cinq mois par les médecins, ne voulait prendre ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait, tJlino un nînt /IA rn 1 rvl OPPO CC111 ques, même après nourriture par excellence qui seule réussit k'par conséquent, dans un état de faiblesse qui éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000 mettait son existence en danger; c'est alors que 11 1- Wniii 1 J„ ^k/innA 4/\ 1 P 1a U ait a I rf il il m o VI /VAO cures, v compris celles de Mn,e la duchesse de Castlestuart, le duc de Pluskow, Mme la mar quise de Bréhan, lord Stuart de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer, etc., etc. N° 63,476 M. le curé Comparet, de 48 ans de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de, Q iQna l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc- k la clinique de Berlin, le 8 Avril 4872: turnes j Je n'oublierai jamais que je dois la pré- je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea avec appétit, et il a continué pendant plusieurs mois k s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui, âgé de 44 ans, il est très-bien portant. Deswert, au Conservatoire, rue Vonck, 64 M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de médecine k lUniversité, fait le rapport suivant servation de la vie d'un de mes enfants k la Revalenta. L'enfant, dans son quatrième mois, souf frait, sans cause apparente, d'une at rophie com plète, avec vomissements continuels qui résis taient k la diète la plus soignée, k deux nour rices et k tous les traitements de l'art médical. La Revalenta a immédiatement arrêté les vo missements et complètement rétabli sa santé en six semaines de temps. Mes expériences depuis ont eu le même succès. Cure n° 75,425: M. et Me Léger, 428, rue Oberkampf, k Paris, d'une Maladie du foie avec vomissements et diarrhées horribles qui avaient résisté k tout traitement pendant 46 ans. Cure n° 79,724 Mn,e Chauvet Pizzala, d'anémie d'épuissement et d'étouffements. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer, elle économise encore50 foisson prix en médecines. En boîtes 4/4 kil., fr. 2,25- 4/2 kil., 4 fr.; 4 kil., 7 fr.; 42 kil., 70 fr. Les Biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et 46 fr. La Revalenta Chocolatée 4/2 livre fr. 2,25 4 livre, 4 fr. 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr. franco. Dépôt partout, chez les pharma ciens et épiciers. Du Barry et Cie, limited. Agent général pour la Belgique M. Emile TIMMERMANS,rueRouppe, 6 et8, Bruxelles. Dépôt Ypres, chez FRYSOU-VANOUTRIVE, pharmacien, rue de Dixmude BECUWE,' pharmacien k Moorslede chez Ch. BOSTYN, boulanger. de ckpoqi r. bu l'kpoqik. En vente chez les principaux négociants de la Belgique, en boîtes de rer-blanc de I kil. et 4/2 kil. au prix de 4 fr. 50 le 4/2 kilog., boîte comprise. Les boîtes vides sont reprises raison de 10 cent, pièce. Pour le gros, s'adr. THE BELGIAN l»ATE COFFEE, C° (LIMITED) rue de Malines, 35, Bruxelles.

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Le Progrès (1841-1914) | 1882 | | pagina 3