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REVALENTA ARABICA.
La Maison da Bon Diable
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Querelle propos d'une Fable de La Fontaine. Un
Bébé qui voudrait être grand.Anecdotes. Visita
d'Harpagon chez la Fourmi.
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Aussi est-ce avec la conviction d'être utiles tous ceux
qui aiment lire que nous leur xecommandons particuliè. e-
ment
JOURNAL DE LA FAMILLE
Publication illustrée paraissant tous les Dimatwhes
AVEC NOMBKEONE8 PRIMER.
Les soins scrupuleux apportés la rédaction, le talent et
les noms bien connus des collaborateurs, le choix, la variété
des sujets et des illustrations ont assuré un succès légitime
cette intéressante publication qui ne ressemble aucune
autre et laquelle ont déjà été décernées deux médailles
d'honneur.
Son prix exeptionnel, dont on est d'ailleurs largement
rémunéré par la valeur des primes variées, permet tout
le monde d'en faire l'essai en s'abonnant pour un an par
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On peut se procurer au môme prix que l'abonnement
les deux années parues que l'on reçoit brochées, avec couver
ture, titres et tables formant d'intéressants volumes de bi
bliothèque.
BIBLIOTHÈQUE GILON
La publ.cation des conférences de M. Bost se poursuit
dans la collection verviétoise et le succès s'accentue.
C'est le 100' volume de la Bibliothèque Cilon qui nous
apporte la seconde pai^Bde la série des conférences de
M. Bost, qui ont été précitées au public, l'an dernier,
dans une remarquable introduction par M. le comte
Goblet d'Alviella.
Le nouveau volume est intitulé La Liberté par
l'Instruction et contient une série de sujets sur la paix
et sur les devoirs des parents et des enfants.
On n'entend plus guère, de nés jours, des conférences
de la valeur et surtout de l'utilité manifeste de celles
que l'humble pasteur libéral, qui semble avoir hérité
des qualités transcendantes des Parker et des Chan
ning, donnait dans le pays il y a quelque dix ans.
La publication de ces conférences prouve incontesta
blement que M. Bost est une de nos meilleures illustra
tions. Nous sommes heureux de voir la librairie belge
perpétuer l'enseignement, donné par un tel penseur.
VARIÉTÉS.
L'impudence des restaurateurs ne fait que croître et
embellir.
L'autre soir, notre confrère M..., accompagné d'une
dame, se fait servir diner'dans un grand café du bou-
levaid.
Le menu est modeste et pourtant le total de l'addition
se traduit par le chiffre doulouleux de 67 francs.
Notre ami étudie chaque article et arrive celui-ci:
Amandes, 16 francs.
Ah! par exemple! s'écrie-t-il, ce nést plus un
restaurant, c'est un tribunal correctionnel
Le journal russe Noicosti raconte l'historiette sui
vante
Dernièrement, un commissaire du gouvernement
passait par un village |de la frontière occidentale de la
Sibérie
Comment se nomme le village demanda-t-il
l'un des habitants.
.Peretikyno. Excellence.
Peretikyno Hum. c'est singulier, je n'ai jamais
entendu ce nom. Qu'on m'amène le starost
Nous n'en avons pas.
Alors, qu'on fasse venir le percepteur des dîmes.
Nous n'en avons pas davantage.
Où sont passés ces messieurs
Nous n'avons jan ais eu.d'autorités, Excellence.
Bah et qui perçoit vos contributions
Nous ne savons pas ce que c'est, n'en ayant jamais
payé jusqu'ici.
Le commissaire a pris note de ce fait singulier d'un
village oublié par l'administration centrale et fera sans
doute son rapport qui de droit. Il est donc probable
que les habitants cesseront sous peu de jouir du privi
lège de ne pas payer d'impôts.
Marché d'Ypires.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains,
fourrages et autres produits agricoles, vendus le
17 Février 1883.
NATURF.
DES
GRAINS ET DENRÉES.
quantités Pfixmoyeii roius h'
VENDUES par DE
CENT j l'hecto-
kiloghammes i kilour.
litre.
FromentI 18,600
Seiglej 1,200
Avoine j 2,100
Pois1,000
Féveroles I 0,000
Pommes de terre 7,000
Beurre I
ça »i TÉ JONC ren(Pie sans méde-
Ottli I L M I UUo cine, sans purges
et sans frais, par la délicieuse farine de santé Du'
Barrv de Londres, dite
Trente-cinq ans d'un invariable succès, en
géurissant les dyspepsies, mauvaises digestions,
gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs,
acidités, palpitations, pituites, nausées, ren
vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys-
senterie, coliques, phthisie, toux, asthme,
étouffements, étourdisseiuents, oppression, con
gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète,
faiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous
désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix,
des bronches, vessie, foie, reins, intestins,
membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi
que toute irritations et toute odeur fiévreuse ne
se levant, ou après certains plats compromet
tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli
ques, même après le tabac. C'est en outre la
nourriture par excellence qui seule réussit
éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000
cures, y compris celles de M"" la duchesse de
Castlestuart, le duc de Pluskow, M"'e la niar-
3uise de Bréhau, lord Stuart de Decies, pair
'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer,
etc., etc.
N° 63,476 M. le curé Comparte, de 18 ans
de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de
l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc
turnes.
Cure n* 99,623. Avignon, 18 Avril 1876.
La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge
de 61 ans, d'épouvantables souffrances de
vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter
ribles, ne plus pouvoir faire aucun mouve
ment, ni m habiller, ni désabiller avec des
maux d'estomac jour et nuit et des insomnies
horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les
remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a
sauve complètement. Borrél, née Carbon-
netty, rue du Balai, 11.
Cure n° 98,614 Depuis des années, je souf
frais de manque d'appétit, mauvaise digestion,
affections du cœur, des reins, de la vessie, irri
tation nerveuse et mélancolie tous ces maux
ont disparu sous l'heureuse influence de votre
divine Revalenta. Léon Péyclet, instituteur
Eynanças (Haute-Vienne).
N° 49,812 M"" Marie Jolie, de cinquante
ans de constipation, indigestion, nervosité, in
somnies, asthme, toux, flatu6, spasmes et nau-
econsomp-.f'
lissements, !i
i
sées. N" 46,270 M. Robert, d'une
tion pulmonaire, avec toux, vomissements
constipation et surdité de 25années. Numéro
49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus
complet, paralysie de la vessie et des membres,
par suite d'excès de jeunsse.
G'wre«*85,421. Bruxelles,le23Juin 1874.
Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de
cinq mois par les médecins, ne voulait prendre
ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait,
par conséquent, dans un état de faiblesse qui
mettait son existence en danger; c'est alors que
je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea
avec appétit, et il a continué pendant plusieurs
mois s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui,
de 11 ans, il est très-bien portant.
Deswf.rt, au Conservatoire, rue Vonck, 61
M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de
médecine lUniversité, fait le rapport suivant
la clinique de Berlin, le 8 Avril 1872:
Je n'oublierai jamais que je dois la pré
servation de la vie d'un de mes enfants la
Revalenta.
L'enfant, dans son quatrième mois, souf
frait, sans cause apparente, d'une atrophie com
plète, avec vomissements continuels qui résis
taient la diète la plus soignée, deux nour
rices et tous les traitements de l'art médical.
La Revalenta a immédiatement arrêté les vo
missements et complètement rétabli sa santé en
six semaines de temps. Mes expériences depuis
ont eu le môme succès.
Cure n* 75,125 M. et M* Léger, 128, rue
Oberkampf, Paris, d'une Maladie du foie,
avec vomissements et diarrhées horribles qui
avaient résisté tout traitement pendant 16
ans. Cure n* 79,721 Mme Chauvet Pizzala,
d'anémie A'épuissement et A'étouffements
Quatre fois nourrissante comme la viande,
sans échauffer, elle économise encore 50 fois son
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1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les
Biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et
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fr. 2,25 1 livre, 4 fr. 2 livres, 7 fr. Envoi
contre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr.
franco. Dépôt partout, chez les pharma
ciens et épiciers. Du Barry et Cie, limited.
Agent général pour la Belgique M. Emile
TIMMERMANS.rueRouppe, 6 et 8, Bruxelles
Dépôt Ypres, chez FRYSOU-VANOUTRIVE,
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