REVALENTA ARABICA. Nunvelles diverses. Chronique Judiciaire. Bibliographie. llï.lI, nisation de la procession jubilaire et de fêtes civiques la Tuin-lag. Il en résulte que le Comité primitivement formé ne s'occupera que de la partie religieuse,' et que la Ville nommerait un Comité pouf l'organisation des autres tètes. Ces deux Comités, ayant ch?cun leur mis sion dislincte, agiraient au mieux deir intérêts de la Ville et du succès des diverses fêtes pj|jjfetées» Après une courte discussion, le Conseil émet un avis favorable dans ce sens; décide qu'il y a lieu de majorer le qrédit inscrit au budget pour la Fête Communale, et de s'occuper sa prochaine séance de la formation du Comité des Fêtes. Le Conseil approuve le cahier des charges dressé par l'Administration des Hospices pour la location de divers biens ruraux. -./jaH M. le Président expose que très-souvent on de mande l'usage gratuit de la Salle de Spectacle, et-outêe cet afeage gratuit, que la ville prenne sa charge les frais de chauffage, éclairage et autres accessoires. Ces fràis varient suivant la nature et le nombre des fêtes, et il en est résulté qu'une grande partie du crédit destiné aux fêtes est absorbée par des frais de toute na ture. Au nom du Collège, il propose au Conseil de l'au toriser accorder, suivant qu'il le jugera convenable, l'usage gratuit'de la Salle de Spectacle, des Halles oit d'autres locaux communaux, mais condition que les frais de luminaire chauflage et autres accessoirés soient imputés sur les recettes ou supportés par les Sociétés qui organisent les fêtes. C'est le seul moyen de mettre un terme aux demandes de plus en plus nom breuses adressées au Collège et l'exagération des dé penses qu'entrainq le système adopté jusqu'ici. Le Conseil admet la proposition du Collège. Sur la proposition de M. le Président, le Conseil arrête pouf l'avenir, pour chacune des Ecoles Commu nales d'instruction primaire, gardiennes et d'adultes, les jours de congé et de vacances. Huis-clos. Le Conseil accorde deux concessions de terrain au cimetière communal; la première de 1 ins perpétuité, Ail. le Baron de Bonhome; la seconde de 1 m* pour vingt ans Madame veuve Cailliez. Société de Garde» civique» d'Vpre». 17* Tir de la période d'hiver. 18 Mars 1883. Haut total. 4. Ligy, A., 20 25 25 25 25 120. 2. Juncker, A., 20 25 20 25 20 110. 3. Boedt, L., 20 15 25 25 20 105. 4. Dumon, A., 20 25 20 20 20 105. 5. Deweerdt, Ch 20 15 25 20 20 100. 6. Smeysters, E. 20 25 20 15 20 100. Bas total. 1. Podevyn, A., 3 12 2 1 9. 2. Juncker, F., 3 4 2 5 2 46. La police de Londres va être augmentée de mille hommes. La police secrète sera également renforcée. L'effectif des équipes de nuit sera doublé. Nous empruntons, une statistique qui vient de paraître Londres, quelques chiffres pour donner une idée de l'extension considérable que prend d'année en année ce Léviathan des cités. Ainsi, de 1856 1882, soit en 25 ans, la longueur des rues de son territoire s'est augmentée de 925 1/2 1,607 5*8 milles anglais, soit de près de 70 p. c. Le nombre des maisons s'est accru de 258,000 420,000. Les frais de canalisation, de pavage, etc.. dans les 38 paroisses qui composent son territoire, se sont montés, pendant cette période de 25 ans, environ 350 milles de francs. L'éclairage au gaz a nécessité le placement de 26,444 lanternes neuves. La stomatite aphteuse, dite cocotte, s'est déclarée depuis quelques jours dans les étables de divers culti vateurs, Sorée. Une trentaine de bêtes cornes sont atteintes de la maladie et tenues en quarantaine. On espère circonscrire le mal pfomptement l'admi nistration communale a pris toutes les mesures de précaution nécessaires. Ami de l'Ordr e). COUR DE CASSATION. AFFAIRE PELTZER. C'est Lundi matin, 11 heures, que la Cour de Cassa tion, 2* chambre (section criminelle), s'est réunie pour examiner le pourvoi formé par les frères Léon et Armand Peltzer, contre l'arrêt de la Cour d'Assises du Brabant, en date du 22 Décembre dernier, qui les a condamnés l'un et l'autre la peine de mort comme coupables de l'assassinat de l'avocat Beniays, d'Anvers, crime com mis Bruxelles, 151, rue de la Loi, le 7 Janvier 1882. Dès avant l'heure ordinaire de l'ouverture de l'au dience, des mesures d'ordre ont dù être prises aiin de prévenir l'encombrement du public. Comme il arrive souvent, beaucoup de curieux ou plutôt de badauds et de désœuvrés de toute espèce,étaient arrivés là, croyant que les condamnés demandeurs en cassation devaient comparaître en personne devant la cour suprême. Déçus sous ce rapport, un certain nombre de ces individus se sont décidés de prime abord s'en aller. La gendarmerie avait été requise mesure tout fait exceptionnelle la Cour de Cassation. M. le Président avait fait placer des bancs dans l'au ditoire public et des tables et des chaises pour les représentants de la presse. Parmi les personnes qui se trouvaient dans l'auditoire réservé, on remarquait plusieurs magistrats du ressort de la Cour d'Appel, notamment M. l'avocat générai Van Maldeghem qui, on le sait, a rempli la cour d'assises les fonctions du ministère public. La Cour est composée de MM. Vanden Peereboom, Président de chambre, le chevalier Hvnderick, Dumont, De Le Court, Bougard, Casier, Protin, conseillers. M. le premier avocat général Mesdach de ter Kiele occupe le siège du ministère public, M. l'utzeys, celui de greffier. M. le conseiller Casier, qui était dévolue la mission de rapporteur, s'en est acquitté avec beaucoup de clarté, succintement, en ne négligeant toutefois aucun détail devant être signalé l'attention de la Cour, dans cette volumineuse et longue procédure. jggsgg1 Le rapport de l'honorable conseiller n'a guè e pris plus d'une demi heure, il s'est terminé par la nome i- clature des moyens, au «ombre de quinze, invoqués par les demandeurs l'appui de leur pourvoi. U men tionne également qu'ufi mémoire a été dépose par les conseils des demandeurs. A la barre se trouvent les avocats des frères Peltzer, M'r,< Lcjeuiie, Edm. Picard, Eug. Robert et Schoenfeld. M* Picard a pris le premier la parole pour développer les premiers moyens de nullité invoqués par le pourvoi. Il a pris toute l'audience et n'a pas terminé. Dans la première partie de son audience de Mardi, la Cour de Cassation a entendu la continuation de la plai doirie de M' Edmond Picard. Vers une heure, M" Picard terminait les développe ments des quinze moyens invoqués l'appui du pour voi et concluait ce qu'il plût la Cour casser l'arrêt de la Cour d'Assises du Brabant, rendu le 22 Décembre 1882 et renvoyer l'affaire devant une autre Cour d'Assi ses, nfin d'y être procédé dé nouveaux débats. Après une courte suspension d'audience, M. le Prési dent a accordé la parole au ministère public. M. le premier avocat général Mesdach de ter Kiele s'est levé pour déclarer de prime abord qu'il propose rait la cour le rejet du pourvoi. Nous sommes heu reux, a ajouté l honorable organe de la loi, de pouvoir constater que dans une procédure aussi longue et aussi laborieuse, toutes les formalités prescrites par la loi ont été strictement et très scrupuleusement observées, de même qu'ont été respectés les intérêts et les nombreu ses garanties dont le législateur a voulu entourer l'ac cusé et tout ce qui se rapporte au droit sacré de la défense. M. l'avocat général a absorbé ensuite l'exatncn des quinze moyens et a successivement rencontré, pour en faire une réfutation complète, toutes les observations présentées l'appui du pourvoi. M. le premier avocat général a donc conclu au rejet I du pourvoi et la condamnation des demandeurs aux dépens. Ce réquisitoire a terminé l'audience 3 h. 1/2 La Cour a renvoyé aujourd'hui Mercredi le pronon cé de son arrêt. La livraison du 15 Mars du Bulletin du Ministère de l'Instruction publique vient de paraître l'imprimerie E. Guyot (8 francs par an). Outre la suite du budget modilié du Département, la partie officielle comprend comme d'habitude les lois et arrêtés récents. Dans la partie non officielle, nous avons surtout remarqué une très intéressante étude de M. Bopp sur les écoles ména gères du Wurtemberg, un décret du roi Alphonse XII d'Espagne concernant les écoles primaires et accompa gné d'un rapport du ministre, un exposé de la situation de l'université de Moscou; enfin, une étude sur l'ensei gnement moyen au Japon d'où ressort ce fait curieux que l'enseignement moyen des filles était déjà organisé dans ce pays alors qu'en France on songeait seulement l'établir. Outre d'autres faits relatifs l'instruction dans diffé rents pays, la partie non officielle comprend la division i bibliographique traditionnelle qui clôt cet intéressant fascicuie. CAIvîTC A TOIIQ rendue sans méde- OADi I L il I UUO cine, sans purges et sans frais, par la délicieuse farine de santé Du Barry de Londres, dite Trente-cinq ans d'un invariable succès, en géurissant les dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, ren vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys- senterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, con gestion, névrose, inisomnies, mélancolie, diabète, faiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi que toute irritations et toute odeur fiévreuse ne se levant, ou après certains plats compromet tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli ques, même après le tabac. C'est en outre la nourriture par excellence qui seule réussit éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000 cures, y compris celles de Mn" la duchesse de Castlestuart, le duc de Pluskow, M"* la mar quise de Bréhan, lord Stuart de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer, tion pulmonaire, avec toux, vomissements, etc., etc. jconstipation et surdité de 25 années. Numéro N* 63,476: M. le curé Comparte, de 18 ans 49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de complet, paralysie de la vessie et des membres, l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc turnes. Cure n" 99,'625. Avignon, 18 Avril 1876. La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge de 61 ans, d'épouvantables souffrances de vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter ribles, ne plus pouvoir faire aucun mouve ment, ni m'habiller, ni désabiller avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a sauve complètement. Borrél, née Carbon- nettv, rue du Balai, 11. Cure n* 98,614 Depuis des années, je souf frais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irri tation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenta. Léon Pèyclet, instituteur Eynanças (Haute-Vienne). N* 49,812 M"' Marie Jolie, de cinquante ans de constipation, indigestion, nervosité, in par suite d'excès de jeunsse. Curen'85,421. Bruxelles, le23Juin 1874. Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de cinq mois par les médecins, ne voulait prendre ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait, par conséquent, dans un état de faiblesse qui mettait son existence en danger; c'est alors que je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea avec appétit, et il a continué pendant plusieurs mois s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui, âgé de 11 ans, il est très-bien portant. Deswekt, au Conservatoire, rue Vonck, 61. M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de médecine lUniversité, fait le rapport suivant la clinique de Berlin, le 8 Avril 1872: Je n'oublierai jamais que je dois la pré servation de la vie d'un de mes enfants la Revalenta. L'enfant, dans son quatrième mois, souf frait, sans cause apparente, d'une atrophie com plète, avec vomissements continuels qui résis- somnies, asthme, toux, flatus, spasmes et nau-:taient la diète la plus soignée, deux iiour- sées. N* 46,270: M. Robert, d'une consomp-rices et tous les traitements de l'art médical. La Revalenta a immédiatement arrêté les vo missements, et complètement rétabli sa santé en six semaines de temps. Mes expériences depuis ont eu le même succès. Cure n° 75,125: M. et M* Léger, 128, rue Oberkampf, Paris, d'une Maladie du foie. avec vomissements et diarrhées horribles qui avaient résisté tout traitement pendant 16 ans. Cure n" 79,721 Mme Chauvet Pizzala, d'anémie A'épuissement et étouffements. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauff er, elle économise encore 50 fois son prix en médecines. En boîtes: 1/4kil., fr. 2,25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les Biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et 16 fr. La Revalenta Chocolatée 1/2 livre, fr. 2,251 livre, 4fr. 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr. franco. Dépôt partout, chez les pharma ciens et épiciers. Du Barry et Cie, limited. Agent général pour la Belgique: M. Emile TIMMERMANS.rueRouppe, 6 et8, Bruxelles. Dépôt Ypres.chez FRYSOU-VANOL'TRl VE, pharmacien, rue de Dixmude BECUWE, pharmacien; Moorslede chez Ch. BOSTYN, 'boulanger.

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Le Progrès (1841-1914) | 1883 | | pagina 3