REVALENTA ARABICA. SANTÉ V Vf V Beaux-Arts. Actes officiels. Bibliographie. BIBLIOTHÈQUE GILON Les Soirées Littéraires flan Rincflaff 9 A Inril ISSÂ gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, affections du cœur, des reins, delà vessie, irri-frait, sans cause apparente, d'une atrophie com- U"H UlllMldy, Li :l|ll II 10Od, faiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous tation nerveuse et mélancolie tous ces maux|plète, avec vomissements continuels qui résis- Q vnnrmiddaf in de Zittiliff- désordres de la P°iu'ine> 80l'ge- haleine, voix, ont disparu sous l'heureuse influence de votre taienl la diète la plus soignée, deux nour- œn uic vuuuui unc, ro-prliikp des bronches, vessie, foie, reins, intestins, divine Revalenta. Léon Péyclet, instituteur rices et tons les traitements de l'art médical, zaal van net Destuur aer ourlet llJKe njgjjjbpgHg muqueuse, cerveau et sang, ainsi Eynanças (Haute-Vienne). La Revalenta a immédiatement arrêté les vo- wy 4 f II 'F I A II 'evant, 011 aP'*® certains plats compromet- ans eonstipation, indigestion, nervosité, in-js'x scniai"es de temps. Mes expériences depuis 20 centiaren, gelegen te IJperen, wijk Brielen, bij den niolen van sieur Rosseel en vvaarvan de pachter Ja cobus Devos vrijwilligafziet. par le parquet devant le tribunal l'abbé Eugène Duval étant prévenu et la femme Lhomme d'adultèr l'autre ont fait défaut. Ils vien femme Lhomme treize mois de treize mois de prison et deux cents fra Vol de 60,000 francs sur la ligne Le train international 111, Paris-Turin, comprenait, outre le matériel voyageurs, deux wagons hermétiquement fermés et plombés, contenant 150 sacs d'espèces métalliques représentant une valeur totale d'un million et demi. Au départ de Modane, tout était en parfait état et le convoi s'engageait bientôt sous le grand tunnel des Alpes. A Bardonnèche, le sous-chef de gare fit observer au con ducteur qu'un des wagons blombés avait été ouvert. Vérifi cation faite, on reconnu qu'il manquait six sacs d'écus, ensemble 60,000 francs. Une première enquête a révélé que le vol avail dû être exécuté, en pleine nuit, sur le territoire français, entre la gare de Modane et le petit tunnel dit de Saint-Antoine. On voit encore sur les accotements de la ligne ferrée les empreintes laissées par les sacs d'écus. Incendie Londres, 5 victimes. Le Standard nous apporte la narration d'un terrible incendie qui a eu lieu Samedi soir dans les magasins de Symonds, fournisseur de navires, contenant un grand stock de matières grasses et des goudrons. Au deuxième étage demeuraient mistress Woollard et ses quatre enfants Malgré les efforts héroï ques des sauveteurs on n'est pas parvenu s'introduire dans la demeure qui vomissait les flammes par toutes les ouvertures. L'incendie éteint on a retrouvé les restes carbonisés de la pauvre femme et de ses quatre enfants, auxquels tonte issue avait été coupée dès le début de la conflagration. Une jolie petite poésie sur les proverbes d'Avril nous ne sommes qu'à moitié du mois, il est encore temps de la reproduire Le proverbe dit En Avril Il ne faut pas quitter un fil 11 a bien raison le proverbe; Au temps où pousse le brin d'herbe, Le matin on voit du grésil, Vers midi le soleil rayonne, Le soir, sous l'habit ôn frissonne... Le proverbe dit En Avril Il ne faut pas quitter un fil Vigneron, s'il tonne en Avril Tu peux doubler chaque baril. Donc, la foudre est un joyeux signe Sa voix fait plaisir la vigne, Le raisin gonfle Ainsi soit-il Buveurs, saluons le tonnerre, Qui deux fois emplit notre verre Vigneron, s'il tonne en Avril Tu peux doubler chaque baril Fillettes, le soleil d'Avril Met tout jeune cœur en péril. C'est le printemps sur l'herbe tendre On glisse et on se laisse prendre La taille par un gars viril... L'émoi soulève le corsage, Et... gare l'amoureux dommage Fillettes, le soleil d'Avril Mçt tout jeune cœur en péril. Paul Bura.ni. mfi On lit dans l'Echo du Parlement h Puisque j'en suis parler d'églises et de tableaux, je veux signaler la commission des monuments l'acte de vandalisme que vient de commettre le conseil de fabrique de l'église Saint-Sauveur, Bruges. Le grand tryptique de la Cène, par Pierre Pourbus, a complète ment disparu sous d'ineptes repeints. Une restauration éhontée a détruit l'œuvre du vieux maître brugeois. Dans un pays comme la Belgique, si riche en précieux souvenirs artistiques, il devrait y avoir des règlements pour réprimer et punir de pareils méfaits. Institution Royale de Messines. Un arrêté royal autorise la commission administrative de l'institution royale de Messines admettre une jeune tille dans cet établissement. trement féroces au Rien //«Wïc.Sousle tire.- Les Papes et la BelgiqueJe dernier volume paru, M. F. G. Ilaghe établit, pièces en mains, que pendant quatre- vingt-trois ans, sous les règnes de Charles-Quint et de Philippe II, les Pays-Bas (la Belgique et la Hollande) étaiem 'gouvernés parles inquisiteurs, qui étaient tous des prêtres ou .les fnoines, auxquels obéissaient sous peine de mort, tous les agents de l'autorité. 5 Leur grand maître, lu pape, punisait de mort èt-< de la confiscation des biens ceux qui pratiquaient un autre culte que le culte catholique.Une pensée non entraînait la peine capitale et la confiscation des biens, si semblait hostile au catholicisme. Durant ces règnes, la libertéa eu plus d'un million de martyrs. La confiscation des biens des condamnés a produit plusieurs centaines de millions de francs, qui ont été partagés entre le souve rain, le clergé et les dénonciateurs. Le pape en a reçu sa part. C'est ce régime que l'on veut nous ramener. Que nos lecteurs lisent l'ouvrage de M. Haghe et ils constateront que le Bien public ne doit pas aimer outre mesure M. Gilon, le propagateur de telles vérités. L'éditeur libéral a mérité mieux que les injures du Bien public il a droit l'excommunication majeure, en attendant que les inquisiteurs, revenus au pouvoir, puissent le faire monter au bûcher en compagnie de ses collaborateurs. les papes et la belgique. Le Bien public a îusulté la collection Gilon et ses collaborateurs, qui figurent tous parmi nos premiers écrivains libéraux. Comme toujours, le saint organe a lancé des affirmations sans produire aucune preuve. Les preuves ne sont-elles pas superflues quand on s'a dresse des lecteurs qui ont la foi 11 a recommandé, c'était dans l'ordre du boniment, les boutiques cléricales auxquelles la collection Gilon nuit sensible ment. Les lecteurs du Bien public sont désormais aver tis qu'ils ne peuvent plus mettre les pieds dans les li brairies libérales où sont étalées les couvertures jau nes des volumes Gilon. Nous supposions bien que la sainte presse ne portait pas dans son cœur une collection qui a répandu en Bel- giques des milliers .d'exemplaires de Nos Luîtes con tre l'Intolérancepar Kûntziger de Chapuispar de Grave ;des Jésuites, par Th. Juste; de l'Ancien Ré gime, par le même; des Conférences du pasteur Bost, etc., etc. M.Gilon répond spirituellement l'attaque en lançant un excellent ouvrage qui fera pousser des cris bien au- Aussi est-ce avec la conviction d'être utiles k tous ceux qui aiment lire que nous leur iecommandons particulière ment JOURNAL DE LA FAMILLE Publication illustrée paraissant tous les Dimanches AVKC VOWHRKItlF.lt PRIMES. Les soins scrupuleux apportés la rédaction, le talent et les noms bien connus des collaborateurs, le choix, la variété des sujets et des illustrations ont assuré un succès légitime cette intéressante publication qui ne ressemble aucune autre et laquelle ont déjà été décernées deux médailles <Thonneur. Son prix exeptionneldont on est d'ailleurs largement rémunéré par la valeur des primes variées, permet tout le monde d'en faire l'essai en s'abonnant pour un an par l'envoi d'un mandat postal de CINQ FRANCS (Union postale 7 fr. 50, autres pays 8 francs) M. A. CLAYEL, éditeur, 32, rue de l'aradia, Pari». On peut se procurer au même prix que l'abonnement les deux années parues que l'on reçoit brochées, avec couver ture, titres et tables formant d'intéressants volumes de bi bliothèque. ftodshuizen, Rijselstraat, nr 38, jque toute irritations et toute odeur fiévreuse ne N. .49 312 M«.. Mar;e jolie de cjnquante missements et complètement rétabli sa santé en M LlVl A^'» I U* lants, oignons, ail, etc. ou boissons alcooli- S0mnieS) asth^e> touX; ,fatuS) mes et nauJont eu le même succès. VAN !flues'meraR aPrcs J®tabac- Pest.en outreila sées. N* 46,270 M. Robert, d'uneconsomp-1 Cure n« 75,125 M. et M* Léger, 128, rue jnourriture par excellence ^qui^seule réussira, pulmonaire, avee tnnv vnmiccon»ontc niumirmnnf x'~'uiiedu /oic% horribles qui pendant 16 ATO11Q rendue méde- I UUo cine, sans purges et sans frais, par la délicieuse farine de santé Du Barry de Londres, dite Trente-cinq ans d'un invariable succès, en géurissant les dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, plpitations, pituites, nausées, ren vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys- senterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, con- ..j..v., fu.u.joie ul ta. «rasic ci ucs iiieniures, ans. unira n- .y, 121 .Mn,c Ghauvct Pizzala, quise de Brétian, lord Stuart de Decies, pair „ar sujte d'excès de jeunsse. d'anémie d'épiassemenl et d'élouffements ietc^etc'^10'*1^1C docteur~I1iofesscul Wui/ei'j Curen*85,421. Bruxelles,le23Juin 1874.' Quatre fois nourrissante comme la viande, ,0 1 Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de sans échauffer, elle économise encore 50 fois son N* 63,4 76 M. le cure Comparte, de 18 ans cjn mojs par jes médecins, ne voulait prendre' n,.;x en médecines. En bottes 1/4 kil fr 95- de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de nj ne digérait aucune nourriture, et se trouvait, f - "_n 1 estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc- .^r conséquent, dans un état de faiblesse qui turnes. mettait son existence en danger; c'est alors que Biscuits e Rero enta en boîtes de 4, 1 et Cure n° 99,625. Avignon, 18 Avril 1876. je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea 16 fr. La Revalenta Chocolatée 4 2 livre, La Revalenta Du Barry m'a guérie, k l'âge aVec appétit, et il a continué pendant plusieurs fr. 2,25 1 livre, 4 fr. 2 livres, 7 fr. Envoi de 61 ans, d'épouvantables souffrances de mojs a s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui,!contre de posté les boites de 36 et 70 fr vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter-agé de 11 ans, il est très-bien portant. —Urnn..n Dénôt nartout chez les nharmal ribles, ne plus pouvoir faire aucun mouve- Deswert, au Conservatoire, nie Yonek, 61y. ment, ni ni'habiller ni désabiller avec des ciens et épiciers. - Du Barry et Cie, limited. maux d'estomac jour et nuit et des insomnies M. le docteur F.-W. Beneke, professeur deAgent général pour la Belgioue-M Emu k horribles Contre toutes ees mnniws t/mc l»« medecine lUniversité, fait le rapport suivant 1 nugiqutin. mile Hommes. Uontre toutes ces angoisses, tous les ,a rlillimiA Rpr|;n' ,p 8 kvJTIMMERMANS,rueRouppe, 6 et8, Bruxelles. remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a a 'a cbmqùe de Berlin, le 8 Avril 181-: vxtatttdivt 'sauve complètement. Borrèl, née Carbon- Je n'oublierai jamais que je dois la pré-1 Depôtà Ypres,chez rRYSUU-YANUUlKlVE, nettv, rue du Balai, 11. servation de la vie d'un de mes enfants la pharmacien, 111e de Dixmude BECUWE, D rttlO I - "VI 1U11U11 1 Cure n* 98,614 Depuis des années, je souf- Revalenta J- .11Ja'a iV J Ulidl iildUlCl frais de manque d appétit, mauvaise digestion, L'enfant, dans son quatrième mois, souf-,boulanger. pharmacien; k Moorslede chez Ch. BOSTYN

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Le Progrès (1841-1914) | 1883 | | pagina 3