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MET ERVEN,
RÈVÂLENTA ARABICA.
Trois nouvet.les de M"" Cou htm ans, le célèbre
écrivain flamand qui partage, avec Henri Conscience,
la gloire d avoir donné au roman national une impul
sion triomphante, viennent d'être traduites et réunies
en un voli.uie par MM. J. Elsuii et F.Gueury-Dainbois.
INSTEL
VF 4 H V A2 HERBEKLIA, .DONDLHDAG 31» MEI 1885 len ..-> ure
ygpiPffe
VIEiNT DE PARAITRE:
leur origine, leurfondation, léur organisation,
leur doctrine, leurs fourberies et leurs crimes
Les Soirée littéraires
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supposés perdus par suite de défa
Nous avons des nouvelles di
pas tardé sinon se faire, du
situation nouvelle. On l'occupe
vaux de copie, mais il a demandé élre
manuel. Il voudrait, a-t-il dit, qu'on lui permit de tabriq
des Heurs artificielles, genre de travail pour lequel il prétend
avoir des aptitudes particulières et auquel il se serait déjà
livré New-York, quelques mois avant de s'embarquer
bord de Y Arizona.
Armand, sou frère, paraît s'acclimater moins facilement
au régime de la prison cellulaire. I! s'est déclaré malade, et
a obtenu d'être mis provisoirement l'infirmerie. 11 n'a rien
perdu de sa hauteur et de son aplomb et continue préten
dre qu'il était innocent du meurtre de l'avocat Bernays.
Eugène T'Kint est toujours Lcuvain. Ses cheveux sont
presque tout blancs. Du reste, il n'a pas beaucoup eharrgé
seulement, il a légèrement engraissé.
Un fait, peut-être unique depuis plus de vingt ans,
s'est produit Paris.
Aucun décès n'a été déclaré pendant la journée de Jeudi
dans les mairies des sixième, huitième, onzième, douzième
et vingtième arrondissements, c'est-à-dire dans plus du
quart superficiel de Paris,ces arrondissements étant les plus
grands comme étendue et comme population. Dans le
premier et le seizième arrondissement il n'y a eu que deux
décès dans le quatrième et le dix-neuvième, trois décès;
tous les autres arrondissements ont eu la moitié moins de
décès que les autres jouis.
Ah salon de Paris. Les peintres dont les œuvres
ne sont pas suffisamment remarquées ont, dans ces derniers
temps, trouvé, sous l'empire de susceptibilités exagérées,
des moyens violents pour ramener sur eux l'attention du
public. Lo salon de Paris qui vient peine de s'ouvrir a
déjà eu ses petits incidents
M Vauquelin, trouvant son tableau mal placé, coupe la
toile avec un rasoir, l'arrache du cadre et l'emporte; M.
Jan Van Beers, furieux de n'être pas la cimaise, barbouille
son tableautin avec de noire de fumée.
Cette fumisterie nous remet en mémoire l'aventure de la
Sirène au dernier salon de Bruxelles, aventure qui lit tant
de bruit et une si belle réclame l'artiste anversois.
Il faut croire que l'incident de Bruxelles a mis M. Van
Beers en goût. Un coupable de bonne volonté ne s'étant
pas présenté pour gratter ou barbouiller son œuvre, voilà
que le peintre se charge iui-nième de la besogne.
là, là!!! H|g
Bibliographie.
BIBLIOTHÈQUE GILON
Dans quelques jours, une manifestation imposante
aura lieu Maldeghem pour fêler le remancier popu
laire. La Bibliothèque Gilon publie donc ce livre son
heure; il est comme un premier hommage envoyé par
les -frères wallons a leur soeur des Flandres. Tarde
SidouieDedans ou Dehors, lu Fleur de Cleyl,
nouvelles écrites avec une émotion sincèie, retraçant
les moeurs du pays natal dans un langage sobre,austère,
qui plait comme un coin de campagne tranquille.
L'intrigue, prise dans les entrailles de la vie du peuple,
se garde d'évoquer les drames terribles imaginés par
les cerveaux malades des feuilletonistes.
Une historiette nous montre une division de famille
amenée par un testament; une autre, une pauvre mère
mourant de joie on voyant rentrer son fils épargné par
le sort, en apprenant qu'il ne sera pas soldat comme
l'aiué, un déserteur; la troisième, enfin, raconte la vie
d'une paysanne pauvre, arrivant par le travail, l'ordre,
la persévérance dans un amour pur, de belles des
tinées
Madame Courtmans peint, les paysans tels qu'ils sont,
sans far i, avec leurs vertus et leurs vices; elle est plus
réaliste que George Sand, dans le môme ordre d'idées
que Sacher-Masoch, le chantre des l'etits-Russiens,
réaliste non pas comme on l'entend aujourd'hui, mais
de la seule façon qui soit la vrai.
Dédaignant la flamme du co'oris, elle n'a voulu don
ner ses conceptions que le charme se dégageant de la
grande pleine flamande l'heure crépusculaire.
Sa patrie, se levant pour la saluer demain, prouve
qu'elle a complètement atteint son but.
Ajoutons que Al. Paul Kre.lericq, professeur l'Uni
versité de Liège, présente le sympathique auteur au
public wallon dans une charmante préface.
HISTORIQUE DES JÉSUITES
basé sur des documents authentiques suivi d'une
dissertation raisonnêe sur le dogme de l'enfer,
par J. D. B.
Cet ouvrage curieux donnera au lecteur qui désire s'in
struire, une haute idée des divers expédients que la Société
de Jésus met en œuvre, pour réaliser son projet de la
domination universelle.
Sans innover ni dénaturer l'histoire, l'auteur a puisé tout
les documents dont se compose cet ouvrage, des sources
d'une authenticité indéniable.
Il a cru rendre un grand service ceux qui ignorent ou
se laissent aveuglément guider par la pusillanimité, la peur,
le doute ou l'intérêt, de faire publier ce volume, résumant
en lui, quoique dans un cadre restreint, une sorte de com
pilation de la doctrine meurtrière, des manœuvres sédi
tieuses, de la rébellion, de la fourberie et des crimes, en
un mot, de tout ce que les vices les plus honteux ont pu
enfanter dans cette célèbre, paissante et dangereuse Société.
Un volume de 800 pages, belle édition,
Prix fr. 1-50.
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JOURNAL DE LA FAMILLE
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vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys-
senterie, coliques, phthisie, toux, asthme,
étoulfeinenls, étourdissenients, oppression, con
gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète,
faiblesse, épuisscnient, anémie, chlorose, tous
désordres de la poitrine, goige, haleine, voix,
des bronches, vessie, foie, reins, intestins,
membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi
que toute irritations et toute odeur fiévreuse ne
se levant, ou après certains plats compromet
tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli
ques, même après le tabac. C'est en outre la
nourriture par excellence qui seule réussit
éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000
cures, y compris celles de M"" la duchesse de
d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer,
etc., etc.
N* 63,476: M. le curé"^oraparte, de 18 ans
de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de
l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc
turnes
Cure n* 99,625.Avignon, 18 Avril 1876.
La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge
de 61 ans, d'épouvantables souffrances ae
vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter
ribles, ne plus pouvoir faire aucun mouve
ment, ni m'habiller, ni désabiller avec des
maux d'estomac jour et nuit et des insomnies
horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les
remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a
sauve complètement. Borréi., née Carbon-
nottv, rue du Balai, 11.
Cure n* 98,614 Depuis des aimées, je souf
frais de manque d'appétit, mauvaise digestion,
affections du cœur, des reins, delà vessie, irri
tation nerveuse et mélancolie tous ces maux
ont disparu sous l'heureuse influence île votre
divine Revalenta. Léon Péyclet, instituteur
Eynanças (Haute-Vienne). j
N° 49,812 Mme Marie Jolie, de cinquante
ans de constipation, indigestion, nervosité, in
somnies, asthme, toux, flatus, spasmes et nau
sées. N* 46,270: M. Robert, d'une consomp
tion pulmonaire, avec toux, vomissements,
constipation et surdité de 23 années. Numéro
49,322 M. Baldwin, de l'épuisement le plus
complet, paralysie de la vessie et des membres,
par suite d'excès de jeunsse.
Caren*83,421. Bruxelles, le23Juin 1874.
Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de
cinq mois par les médecins, ne voulait prendre
ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait,I
par conséquent, dans un état de faiblesse qui
mettait son existence en danger; c'est alors que
je lui lis prendre la Revalenta, qu'il mangea!
avec appétit, et il a continué pendant plusieurs
mois s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui,
âgé de 11 ans, il est très-bien portant.
Desweiit, au Conservatoire, rue Vonck, 61.
M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de
médecine l'Université, fait le rapport suivant
la clinique de Berlin, le 8 Avril 18872
Je n'oublierai jamais que je dois la pré
servation de la vie d'un de mes enfants la
Revalenta.
L enfant, dans son quatrième mois, souf
frait, sans cause apparente, d'une atrophie com
plète avec vomissements contuels qui résis
taient la diète la plus soignée, deux nour
rices et tous les traitements de l'art médical.
I.a Revalenta a immédiatement arrêté les vo
missements et complètement rétabli sa santé en
six semaines de temps. Mes expériences depuis
ont eu le même succès.
Cure n" 75,123 M. et M* Léger, 128 rue
Oberkampf, I aris, d'une Maladie du foie,
'avec vomissements et diarrhées horribles qui
avaient résisté tout traitement pendant 16
ans. Cure n" 79,721 M™* Cliauvet Fizzala,
(l'anémie à'épui&semenl et A'étouffements.
Quatre fois nourrissante comme la viande,
sans échauffer, elle économise encore 50 fois son
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contre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr.
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ciens et épiciers. Dr Barry et C'-, limited.
Agent général pour la Belgique M. Emii.iî
TIMMERMANS, rue Rouppe 6 et 8, Bruxelles.
Dépôt Ypres, chez FRYSOU-VANOl'TRIVE,
pharmacien rue de Dixniude BECUWE
pharmacien Moorslede chez Ch. BOSTYN,
[boulanger.