3 MET ERVEN, RÈVÂLENTA ARABICA. Trois nouvet.les de M"" Cou htm ans, le célèbre écrivain flamand qui partage, avec Henri Conscience, la gloire d avoir donné au roman national une impul sion triomphante, viennent d'être traduites et réunies en un voli.uie par MM. J. Elsuii et F.Gueury-Dainbois. INSTEL VF 4 H V A2 HERBEKLIA, .DONDLHDAG 31» MEI 1885 len ..-> ure ygpiPffe VIEiNT DE PARAITRE: leur origine, leurfondation, léur organisation, leur doctrine, leurs fourberies et leurs crimes Les Soirée littéraires giëngeteekend n" 15, len dienste van herberg zonder enseigne, maar bekend onder den naani van Café Français, met 1 are 28 c. Grond en Hof daarmede. Onbewoond sedert I" Mei. !juist namtddag, m d herberg Hôtel des "m" RC Brasseurs, bewoond door de kinders 7 !Leuridan, te IJpercn, tegen de Statie. De Notaris 11 U I A4 h, residerende a. Met kolner van voorwaarden en de ti- bumen de «ad Mpere». D.xmudesln.U |s dom U;r de,. JT lietM, horsV ««lie van gmnmdeo No- len, in twee zittingen, met gewin van 1 7» voor hoogsten instelpenning, de vol- gende Woonhuizen 1" koop. Een groot W 0 0 N H UIS geteekend n"12, met achterliuis en 1 are 73 c. Grond en Cour. Gebruikt in verscheidene apparlemen- ten te samen aan 31 fr. 50 c. le maande, vrij van lasten. 2" Koop. Een schoon onlangs nieuw gebouwd WOO.NHU1S van twee stagiën, geteekend n" 7, met schoorfen Kelder, 4 Bovenkamers, enz., ten dienste van her berg en winkel, met 95 c. Grond en Cour. Gebruikl door Charles Dieryck, aan 18 fr. te maande, lioven de lasten. 3" en tunisien koop. Een under on langs nieuvvgebouwd HUIS van twee sta- wégien total 2a. Dans ce nombr supposés perdus par suite de défa Nous avons des nouvelles di pas tardé sinon se faire, du situation nouvelle. On l'occupe vaux de copie, mais il a demandé élre manuel. Il voudrait, a-t-il dit, qu'on lui permit de tabriq des Heurs artificielles, genre de travail pour lequel il prétend avoir des aptitudes particulières et auquel il se serait déjà livré New-York, quelques mois avant de s'embarquer bord de Y Arizona. Armand, sou frère, paraît s'acclimater moins facilement au régime de la prison cellulaire. I! s'est déclaré malade, et a obtenu d'être mis provisoirement l'infirmerie. 11 n'a rien perdu de sa hauteur et de son aplomb et continue préten dre qu'il était innocent du meurtre de l'avocat Bernays. Eugène T'Kint est toujours Lcuvain. Ses cheveux sont presque tout blancs. Du reste, il n'a pas beaucoup eharrgé seulement, il a légèrement engraissé. Un fait, peut-être unique depuis plus de vingt ans, s'est produit Paris. Aucun décès n'a été déclaré pendant la journée de Jeudi dans les mairies des sixième, huitième, onzième, douzième et vingtième arrondissements, c'est-à-dire dans plus du quart superficiel de Paris,ces arrondissements étant les plus grands comme étendue et comme population. Dans le premier et le seizième arrondissement il n'y a eu que deux décès dans le quatrième et le dix-neuvième, trois décès; tous les autres arrondissements ont eu la moitié moins de décès que les autres jouis. Ah salon de Paris. Les peintres dont les œuvres ne sont pas suffisamment remarquées ont, dans ces derniers temps, trouvé, sous l'empire de susceptibilités exagérées, des moyens violents pour ramener sur eux l'attention du public. Lo salon de Paris qui vient peine de s'ouvrir a déjà eu ses petits incidents M Vauquelin, trouvant son tableau mal placé, coupe la toile avec un rasoir, l'arrache du cadre et l'emporte; M. Jan Van Beers, furieux de n'être pas la cimaise, barbouille son tableautin avec de noire de fumée. Cette fumisterie nous remet en mémoire l'aventure de la Sirène au dernier salon de Bruxelles, aventure qui lit tant de bruit et une si belle réclame l'artiste anversois. Il faut croire que l'incident de Bruxelles a mis M. Van Beers en goût. Un coupable de bonne volonté ne s'étant pas présenté pour gratter ou barbouiller son œuvre, voilà que le peintre se charge iui-nième de la besogne. là, là!!! H|g Bibliographie. BIBLIOTHÈQUE GILON Dans quelques jours, une manifestation imposante aura lieu Maldeghem pour fêler le remancier popu laire. La Bibliothèque Gilon publie donc ce livre son heure; il est comme un premier hommage envoyé par les -frères wallons a leur soeur des Flandres. Tarde SidouieDedans ou Dehors, lu Fleur de Cleyl, nouvelles écrites avec une émotion sincèie, retraçant les moeurs du pays natal dans un langage sobre,austère, qui plait comme un coin de campagne tranquille. L'intrigue, prise dans les entrailles de la vie du peuple, se garde d'évoquer les drames terribles imaginés par les cerveaux malades des feuilletonistes. Une historiette nous montre une division de famille amenée par un testament; une autre, une pauvre mère mourant de joie on voyant rentrer son fils épargné par le sort, en apprenant qu'il ne sera pas soldat comme l'aiué, un déserteur; la troisième, enfin, raconte la vie d'une paysanne pauvre, arrivant par le travail, l'ordre, la persévérance dans un amour pur, de belles des tinées Madame Courtmans peint, les paysans tels qu'ils sont, sans far i, avec leurs vertus et leurs vices; elle est plus réaliste que George Sand, dans le môme ordre d'idées que Sacher-Masoch, le chantre des l'etits-Russiens, réaliste non pas comme on l'entend aujourd'hui, mais de la seule façon qui soit la vrai. Dédaignant la flamme du co'oris, elle n'a voulu don ner ses conceptions que le charme se dégageant de la grande pleine flamande l'heure crépusculaire. Sa patrie, se levant pour la saluer demain, prouve qu'elle a complètement atteint son but. Ajoutons que Al. Paul Kre.lericq, professeur l'Uni versité de Liège, présente le sympathique auteur au public wallon dans une charmante préface. HISTORIQUE DES JÉSUITES basé sur des documents authentiques suivi d'une dissertation raisonnêe sur le dogme de l'enfer, par J. D. B. Cet ouvrage curieux donnera au lecteur qui désire s'in struire, une haute idée des divers expédients que la Société de Jésus met en œuvre, pour réaliser son projet de la domination universelle. Sans innover ni dénaturer l'histoire, l'auteur a puisé tout les documents dont se compose cet ouvrage, des sources d'une authenticité indéniable. Il a cru rendre un grand service ceux qui ignorent ou se laissent aveuglément guider par la pusillanimité, la peur, le doute ou l'intérêt, de faire publier ce volume, résumant en lui, quoique dans un cadre restreint, une sorte de com pilation de la doctrine meurtrière, des manœuvres sédi tieuses, de la rébellion, de la fourberie et des crimes, en un mot, de tout ce que les vices les plus honteux ont pu enfanter dans cette célèbre, paissante et dangereuse Société. Un volume de 800 pages, belle édition, Prix fr. 1-50. Pour recevoir le volume, franco par la poste, envoyer un mandat-poste de fr. 1-70, M. Vanbi'gcenhocdt, impri meur-éditeur, rue d'Isabelle, 42, Bruxelles. Aussi est-ce avec la conviction d'être utiles tous ceux qui aiment lire que nous leur recommandons particulière ment JOURNAL DE LA FAMILLE Publication illustrée paraissant tous les Dimanches .«VKC *OMHKKC*K* PRIME*. Les soins scrupuleux apportés la rédaction, le talent et les noms bien connus des collaborateurs, le choix, la variété des sujets et des illustrations ont assuré un succès légitime cette intéressante publication qui ne ressemble aucun* autre et laquelle ont déjà été décernées deux médailles d'honneur. Son prix exeptionnel, dont on est d'ailleurs largement rémunéré par la valeur des primes variées, permet tout le monde d en faire 1 essai en s'abonnant pour un an par l'envoi d'un mandat postal de C l.VU l'UAA'CS (Uuio« postale 7 fr. 30, autres pays 8 francs) M. A. IL A V KL, éditeur. 32, rue de l'nradif*, Parla. On peut se procurer au même prix que l'abonnement les deux années parues que l'on reçoit brochées, avec couver» ture, titres et tables formant d'intéressants volumes de bi bliothèque. Ope il huit' Vcrkooping» VAS lit Sta I I IjH'i'cn Door g an g s t a a l. Hlh i deliedensl a al taris IlUTAYE. ÇANTf ATOIK rend,iesa,lsn,éde- Onll IL I OUO Cine, sans purges ut sans frais, par la délicieuse farine de santé Du Barry de Londres, dite Trente-cinq ans d'un invariable succès, en géurissant les dvspepsiès, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, ren vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys- senterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étoulfeinenls, étourdissenients, oppression, con gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse, épuisscnient, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, goige, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi que toute irritations et toute odeur fiévreuse ne se levant, ou après certains plats compromet tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli ques, même après le tabac. C'est en outre la nourriture par excellence qui seule réussit éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000 cures, y compris celles de M"" la duchesse de d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer, etc., etc. N* 63,476: M. le curé"^oraparte, de 18 ans de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc turnes Cure n* 99,625.Avignon, 18 Avril 1876. La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge de 61 ans, d'épouvantables souffrances ae vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter ribles, ne plus pouvoir faire aucun mouve ment, ni m'habiller, ni désabiller avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a sauve complètement. Borréi., née Carbon- nottv, rue du Balai, 11. Cure n* 98,614 Depuis des aimées, je souf frais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, delà vessie, irri tation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence île votre divine Revalenta. Léon Péyclet, instituteur Eynanças (Haute-Vienne). j N° 49,812 Mme Marie Jolie, de cinquante ans de constipation, indigestion, nervosité, in somnies, asthme, toux, flatus, spasmes et nau sées. N* 46,270: M. Robert, d'une consomp tion pulmonaire, avec toux, vomissements, constipation et surdité de 23 années. Numéro 49,322 M. Baldwin, de l'épuisement le plus complet, paralysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeunsse. Caren*83,421. Bruxelles, le23Juin 1874. Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de cinq mois par les médecins, ne voulait prendre ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait,I par conséquent, dans un état de faiblesse qui mettait son existence en danger; c'est alors que je lui lis prendre la Revalenta, qu'il mangea! avec appétit, et il a continué pendant plusieurs mois s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui, âgé de 11 ans, il est très-bien portant. Desweiit, au Conservatoire, rue Vonck, 61. M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de médecine l'Université, fait le rapport suivant la clinique de Berlin, le 8 Avril 18872 Je n'oublierai jamais que je dois la pré servation de la vie d'un de mes enfants la Revalenta. L enfant, dans son quatrième mois, souf frait, sans cause apparente, d'une atrophie com plète avec vomissements contuels qui résis taient la diète la plus soignée, deux nour rices et tous les traitements de l'art médical. I.a Revalenta a immédiatement arrêté les vo missements et complètement rétabli sa santé en six semaines de temps. Mes expériences depuis ont eu le même succès. Cure n" 75,123 M. et M* Léger, 128 rue Oberkampf, I aris, d'une Maladie du foie, 'avec vomissements et diarrhées horribles qui avaient résisté tout traitement pendant 16 ans. Cure n" 79,721 M™* Cliauvet Fizzala, (l'anémie à'épui&semenl et A'étouffements. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer, elle économise encore 50 fois son prix en médecines. En boîtes: 1/4 kil., fr 2-28; 1/2 kil.. 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Lns Biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et 16 fr. La Rerelenta Chocelalce 1/2 livré, fr. 2-2o; 1 livre, 4 fr.; 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr. franco. Dépôt partout, chez les pharma ciens et épiciers. Dr Barry et C'-, limited. Agent général pour la Belgique M. Emii.iî TIMMERMANS, rue Rouppe 6 et 8, Bruxelles. Dépôt Ypres, chez FRYSOU-VANOl'TRIVE, pharmacien rue de Dixniude BECUWE pharmacien Moorslede chez Ch. BOSTYN, [boulanger.

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Le Progrès (1841-1914) | 1883 | | pagina 3