U D S Valeurs C FRANCS LE FOYER NATIONAL ILLUSTRÉ D fiUÙJiliD. AMER PIC0N Le Musée du Jeune Age GERARD -WATREMEZ, EZZL L'ILLUSTRATION EUROPÉENNE SL Ce Moniteur fîelge PII OTOGRAPHIE RAPPORTS IMPORTAI ET 1Î^TÉ6ŒSSAXTS. Ecoutez le jugement du PUBL HOP-BITTERS Cip. Rotterdam, 16 Mars 1882. Pannes en verre. Couleurs et vernis,-Colle forte extra. DEEI2:Z-.Y4MÎS Consulat des Etats-Unis. HOP-BITTERS C'e. Katzenbachthof (Allemagne), 25 Août 1881. Se vend chez les principaux Droguistes et Pharmaciens, HOP-BITTERS MANUFÀCTURING O, ANVERS, 13' ANNÉE D'EXISTENCE L'ILLUSTRATION EUROPÉENNE est le journal du Dimanche de toutes les familles se tenant en dehors des questions politiques, elle publie des romans illustrés du plus grand intérêt et est rangée, pour les gravures, côté des publications les plus artistiques qui paraissent. BRUXELLES, 5, RUE DE L0XUM, 5 Pf!0?n|ÉTÉ DE 1-1 BIÎIC'JE D'S ULÏUFS 5 LOTS '"V l'AR AN FRANCO EN BELGIQUE 2" ANNÉE D'EXISTENCE. 2 FFt. 50 CHEVEUX Î5RIS Vim ET COGNACS. JOURNAL ILLUSTRÉ. ntr Boesinghe, t Ypres. T Imprimerie d'Ange Van Eei-khout, rue de Dixmude, 39, Ypres. Hop-Bitters Hop-BUtt-rs Hop-tWitera Ht» p-!Ut tors HE Hop-Bitters Ucji-Kitlt'rs II i;)-Lî tt ors Hop-Bitters llnp-llilterii. Quelques LGT I sli-S :n n sit;licitér* parmi les i.sïllier* ét:i s or.) été eitvojée HOP-BITTERS Cle. Glasgow, 17 F,urier/l881. Messieursune de mes pr< clo-s pan nirs vôtiff- ait dëpitisjplus d'un au de douleurs dans les reins et autri". maladit-s. Ellr était par un lits premiers médecins de celle ville, qui tut une consultation avté no confrère et ils reconnurent tous deux qilr la malade n-- vivrait puis que peu de itmps Alors, sans en rien dire aux inédtcins, je lui fis prendre du Hop-Bitters pendant trois mois de suite, après quoi elle fut'tuut fait rétablie, Pétulant sa maladie, elle ne pesait que 70 livres) actuellement. elle en pèse 140 tl est. I* santé en personne. Depuis que les médecius l'avaieul condamnée; elle ne prenait que du Hop-Bitlers. H. Morav. Mt ssieursIl y a quelque temps, je donnais un de vos représentants un certificat mentiou-l nant le grand bien que le Hop-Bitters m'avait fait, et je le signais de mon nom de fille M. Van drr Kliju mais ayant vu un article dans les journaux calomniant votre remède <n disant qu'un tel nom était introuvable; je crois de mon devoir de donner mon nom entier avec mon adresse, etj VTTIiM'HtA On vient d'introduire dans le commerce de notre arrondis- ment un prétendu Savon en poudre qui n'est en ivalité qu'une grossière contre- façon du l3avon Hudson. L'étiquette rouge, l'enveloppe argentée, la forme et les étiquettes des caisses, i ableaux. tout est audacicusenièiit imité pour tromper le public. Nous répé- tons plus que jamais Si vous voulez du véritable Savon HUDSON, exigez que le paquet porte bien le "nom et n'ait aucune autre marque de Fabrique qu'un bras portant un pilon. Publie intelligent, attention Sachez distinguer le vrai du faux et repousser toute fausse marque si vous tenez aux avantages bien connus du véritable Savon Hudson, si vous tenez la blancheur et k la conservation de votre linge, au lava ge rapide et parfait. Chez tous les Epiciers et Droguistes, en piquets de 100 gr. k 15 centimes. Dépôt général VANDENBOOGAERDE-CRETONYpres. J O CD S ci, o 03 O^ cT ÏL o" r/J O o c eu CD w p cd t» je vous autorise vous en servir comme il vous plaira. J ai l'honneur d'être votre dévouée, M. Aras, 83, Schiedamschendijk, Manchester, 16 Février 1882.- Il y a qttflqurs semaines, j'étais très-abattu, et je craignais de tomber malade, lorsque' le consul me dit Essayez donc le Hop-BittersCe que j'ai fait, et j'en ai éprouvé beancoup de bien. Je connais beaucoup de personnes qui s'en sont servi, et elles m'ont dit que cela leur avait fait beaucoup de bicu. Je le recommande chaudement tout le monde. Tout a vous, Arthur C. Hall, Employé du Consulat. Chers Messieurs. Je tue suis servi de votre préparation Précieuse le Hop-Bitters etj puis vous assurer qu'après peu de temps, je m- sentais mieux que pendant plusieurs mois atipaïa- »»nt. Pendant une période de quatre ans j'ai eu trois fois une inflammation dans les reinsLa dernière, ru Janvier 1880, fut la plus terrible et je pris une quantité de médicaments, ce qui af faiblit considérablement mon estomac. Quand je prenais ma nourriture, je souffrais horrible ment, je ne pouvais dormir, mais pas un des médicaments que je prenais ne me faisait le moindre birn. Maintenant je suis débarrassée de toutes ces douleurs, parce que je prends i k Hop-Bitters. Je dors bien et j'ai la force de travailler, tandis qu'auparavant je devais me coucher poor prendre du repos, et cela presque chaque heure de la jonruée. .1 considère comme un devoir de recoin mander le Hop-Bitters tous ceux qui souffrent, car je sens que je ne puis assez remercier Diru d'avoir pu faire connaissance de votre précieuse préparation, et j'espère qu'il vous préservera longtemps encore pour le bien de l'humanité souffrante. Tout vous, Pauline Haussler, née Rosler. •seart^uia^ p seiaatiSojQ Hop-Bitters Hop-Bitters* Hop-Bitters* Hop-Bitters* Hop-Bitters* Hop-Bitters Parmi la quantité de remèdes offerts au public pour la guérison de l'indi gestion indispositions de toutes suites, et comme médecine de famille, il n'y en a pas un seul qui ail obleutt une appréciation si bien méritée qu le Hop-Bitters. Ce n'est pas farce de l'annoncer qu-il doit sa réputation universelle, il la doit tout simplement srs qualités rërlles. Sa propriété eu rative n'a pas les mauvais effets des autres sortes rie bilter ou médecines, étant parfaitement sain et inoffensif pour la femme la plus faible, le plus pe tit enfant et le malade le plus affaibli. (et Londres, Bréda, New-York et Toronto). 2-6» francs. Sî-tts» francs. Publication hebdomadaire, paraissant en 8 pages de texte avec 4 ou 5 gravures sur bois. La collection des numéros parus en 1881-1882 constitue un magnifique volume qui, relié, est le plus beau cadeau d etrennes que l'on puisse donner pour 13 francs. On s'abonne au bureau du Journal. FRANC i FAR AN Abonnement pour toute la Belgique A ENVOYER EN TIMBRES POSTE, A des "S3 FRANC I il PAR AN Journal financier paraissant tous les dimanches avec 16 pattes de texte. in. looisnsrE Une revue des Bourses de Bruxelles et de Paris nne m m» getiers le des «leurs des arbitrages avantageux la eu le officielle des j informations linadfières des doromeuts inédits la liste P Tf1 ofiîfiellc des Tirages de foules Valeurs Belges e: Étrangère., j 5 centimes le numéro. 5 centimes le numéro. JOURNAL POPULAIRE DU DIMANCHE paraît tau» les Dimanches, par liv raison «le 8 pagres, «•ruées «le gravures. Romans, contes, légendes, récits divers, variétés, etc. Une année forme un beau volume de 208 pages avec quantité de gravures. Le Foyer National Illustré est la lecture du bourgeois et de l'ouvrier. On sabonne au bureau du journal Plus de Le Nouveau London I fait disparaître in-, faillibieiiiriilcht'vcuxj gris en peu de jours Rend cheveux doux et brillants Arrête la chute et n'est pas teinture. En vente k Ypres, chez A. Vermeulen, rue au Beurre, 22. Une des plus anciennes maisons de Bordeaux, propriétaire de premiers crûs classés, voudrait lètre représentée sérieusement, par des agents ou des hommes répandus, désireux d'occuper leurs loisirs. Ecrire k M. de VignoUes, Vi- jticulteur, 346, route de Toulouse, k Bordeaux (France). Délicieux Apéritif Algérien Supérieur tous Içs Aciers connus Tonique Hygiénique PREMIÈRES jÉjDAÀLES t A TOUTES LES jBfOSITIONS Croix «le la Légion «l'II-Mineur l'Exposition Universelle de Paris. Vente annuelle: Six millions six cent mille litres. EntrepôtàBruxellès 43,RUE DU HOUBLON. Se trouve aussi chez MM. les liquoristes, marchands de liqueurs, magasins de comestibles, féCitlbil Abonnements* Bruxelles :vUn an, 4 fr. 6 mois, fr. 2-25. Province Un an fr. 4-25. 6 mois fr. 2-50 Une livraison, illustrée de huit gravures, parait tous les quinze jours. On s'abonne au bureau du journal, l'Ad- ministratation Bruxelles, chez les libraires et aux bureaux de poste. v 111 k tous ceux qui souffrent des erreurs ft V I O ou des égarements de la jeunesse, de l'affaiblissement des nerfs, d'un dépérissement prématuré, de l'impuissance, etc. Je veux en voyer r.RATis le moyen de se guérir. Ce grand remède a été découvert par un missionnaire dans le sud de l'Amérique. Envoyez une enve loppe portant votre adresse au Révérend Joseph T. 1NMAN, station D. New-York, city U. S.A.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1883 | | pagina 4