Charité. Nouvelles locales. ..otivelles diverses. des hommes noire dans ce qui ne ley pas, mais coup sût* il est facile de iraer les privilèges qui leur sont accordés - prétexte «le services rendus par eux I at. Pour récompenser ces services essen- aent négatifs, l'application Stricte du droit commun serait une rétribution des plus - %- I/c Bienpttblic indique la liste suivante des griefs des catholiques, mais il omet de dire quels sont ceux dont la droite doit poursuivre en premier lieu le redressement La liberté de nos cimetières. La liberté de nos processions. La liberté de la chaire sous l'égide du droit commun. La liberté du recrutement du sacerdoce. La liberté d'enseignement par l'imposition détournée d'un programme. On a volé par une loi, au profit, de l'irréli gion, nos Bourses et nos fondations catholi ques ce que la loi n'a pu atteindre, les actes éhon-tés du pouvoir exécutif l'ont confisqué. Des centaines de vicariats ont été suppri més pour satisfaire les vengeances ministé rielles et empêcher l'exercice décent du mi nistère des âmes. Quatre ou cinq lois faites contre nous ont décimé le corps électoral. 'f.-WT La loi sur l'enseignement moyen a livré les écoles officielles des influences sectaires. Et la loi de 1879, suivie des mesures qui la complètent au gré de la franc-maçonnerie, a achevé de faire de tout renseignement public une machine de guerre contre le christia nisme. Enfin, pour un grand nombre de questions, grâce ce travail continu et suivi du libéra lisme, des solutions sont devenues possibles, nous n'osons dire probables, qui menacent gravement et sans exception toutes nos liber tés. Faut-il, par exemple, apprendre au Journal de Bruxelles ce qui se trame contre la liberté d'association senti m en l public en ble les victimes de cet s et nos irtance a été l'appel du d'articles envoyés. Le comité croit associant son œuvré chu ,;V t' immense désastre des .Indes n malheureux incendiés du Luxem L'apparition du journal, doût l doublée, a dû forcément être h corifité a été entendu.: un j variés, de poésies, d'auto] S. M. lé Roi, des ministres, des diplomates, des musiciens, des savants on fait parvenir, des auto graphes les plus curieux; mentionnons spécialement celui de Conscience, envoyé au Comité, avec une grâce charmante, par l'illustre romancier, quelques jours avant sa mort. On lit dans la Meuse Nous avons dit, il y a quelque temps, qu'un certain nombre de représentants avaient l'in tention de présenter la Chambre un projet de loi pour le rétablissement des jeux officiels. Nous apprenons que ces honorables députés persistent dans leur résplution et qu'ils étu dient en ce moment U question. D'après ce qu'on nous7 assure, ce projet de loi ne tarderait pas voir le jour. Il serait conçu de façon donner tout .appaisement la moralité et la plus grande part des béné fices serait attribuée la bienfaisance pu blique. Le journal Brttxeïïes-lschiadont nous avons en tretenu déjà nos lecteurs, paraîtra définitivement vers le 1 S Octobre. Son litre ayant été pris assez légèrement lors d'une fête récemment organisée par' Ass'-ciation de la Croix Rouge pour unepublication ■Ont on s'est, bon droit, étonné, le çjSmité a résolu le changer ce titre primitifcontre^Tui de: Chabité. offrande artistique et littéraire dtfjaJÊM ÉTAT-CIVIL D'Y PRE S, dudtt au 21 Septembre 1883. 191 A AI 1 F E S TAT ION en honneur de M. le Ministre ALPil OX SE YAi! lïF, NPEEREBOOJI y auteur des Ypriana. La Commission organisatrice a l'honneur d'inviter toutes les sociétés de la ville, sans aucune exception, se rendre le Dimanche 30 courant, 11 1/2 heures du matin, avec leurs cartels, insignes et bannières, en la Salle ouest des Halles, pour assister la céré monie de la remise de la médaille d'or. La Commission espère que pas une société ne voudra manquer l'appel. Par la même occasion, elle invite tous les habitants pavoiser le jour et illuminer le soir. A16 BEAUCOURT. H. BOSSAERT. Ypres, le 22 Septembre 1883. Décès j£- ÏP Â7 reut-être imposable d'empêcher cette^/ de Java et de Battincourt. Charité devient une œuvre un véritable album illustré de plus de trente dessins inédits, reproduits par la photogravure et signés de nos meilleurs artistes: Gallait, Wauters, Hermans, Hubert, Mellery, Smits, DeU'Aequa, Meunier, Cara- bain, De Vriendt, Sacré, Oyens, Mois, Clays, Iloeterickx, De Brackeleer et bien d'autres. Au public maink nant de répondre son tour l'appel qui lui sera fait il n'y restera pas sourd, nous en sommes persuadés. - y cif w -sa I <11 II IIIIIIIIIW1 I III Naissances: Se&nksculin, 6; id. féminin, 4. Total 10. Mariages Le Secrétaire, Le Président, VILLE D'APRES.roA.n:iL commun*!.. Séance du 25 Septembre 1883, 9 1/2 heures du matin. Ordre du j oui' 1. Communications. 2. Approbation-adjudication bancs-pupitres. 3. id. id. vente-noix 4. id. id. location-droit de pêche. 5. Demande Moreau résiliation de bail. 6. Ville: Autorisation d'ester en justice. 7. Hospices: id. ni. id. 8. id. id. vente d'actions de la Banque Na tionale-. 9. Fondations Vandenpeereboom et Bouckenaere comptes 1882. 40. Ecole de musique.- compte 188^ Jll. Musée: compte 1882. 12. fabriques d'églises budgets 18^. |3^Buœa>^^^afej^ifl£ej^LegsJvlÇ'Mcrghelynck. H-Wateringue. h 884. tir, tailleur, et Van Beylen, Marie, den- telHèreT - Cia, :ys„. Edmond, négociant, et Dattier, farie, sans profession. Dael, Charles, sans profession, 65 ans, époux de Catherine Dekyndt, St-Jacques-extrai-muros.Vande- walle. Elise, sans profession, 38 ans, épouse de Charles Barrize<^e, rue de Dixiaude. Warlop, Nathalie, jour nalière, 62 ans, épouse de Pierre Le Roy, rue de Menin. Meersseman, Iphigétiie, propriétaire, 58 ans, veuve de Maximilian De Brauwere, rue de Lille. Deturck, Charles, sans profession, 78 ans, époux d'Amélie Missy, rue de Dixrnude*— Ramouwt, Rosalie, boutiqnière, 41 ans, épouse de^Frédéric Callens, St-Jacques-extra- mûros. ants au-dessous de 7 ans: rùlin, 0; id. féminin, 4; Total, 4. AV f S. J'ai l'honneur de porter la connaissance du public qu'à la demande d'une grande partie de ma clientèle je me tiens tous les premiers Mardis du mois, l'Hôtel de la Tête d'Or, Ypres, sa disposition pour prendre mesurede chemises et recevoir les ordres qu'on voudra bien me remettre. Je me charge également de la fa çon pour les personnes qui auraient des toiles et madapo- lams me confier. Garantissant la bonne coupe et les bons soins, un prix défiant toute concurrence. DESMET-CANNOODT, Chemisier. Extrait du Journal de médecine de la Grande-Breta gne, 3 Mars 1877 Le Fer lHalysé Bravais est une solution neutre de perroxyde de Fer sous la forme colloï dale, tout acide ayant été écarté par la dialyse, et elle peut être considérée comme étant celle qui, de toutes les solutions faites jusquici, approche le plus de la forme sous laquelle le fer existe dans le sang. Le premier elevator flottant est arrivé dans le port d'Anvers. Le montage de ce formidable engin prendra une dizaine du jours, après lesquels le public pourra le voir l'œuvre. Le commerce de grains lui fera certainement bon accueil, et les autorités administratives examineront avec in térêt cet essai d'introduction Anvers d'un système de dé barquement des céréales qui a donné ailleurs de si bons résultats. Voici une courte description de l'élévateur qui vient d'arriver. 11 a été construit pour charger et décharger aussi bien des steamers et voiliers du plus grand tonnage, que des allèges de toute grandeur, ou pour délivrer les grains magasins une distance de 80 pieds et 20 pieds de hautaur. 60 30 40 40 a a Il se compose d'un bateau double fond plat d'une lon gueur de 120 pieds, d'une largeur de 32 pieds et d'une pro fondeur de 12 pieds, entièrement en fer; il est pourvu de quatre watertight compartments dont les cloisons montent du fond jusqu'au pont; (ces compartiments étanches servent en cas d'accidents, tenir le bàteau flot). Deux steam winches sont l'avant et l'arrière du ba teau qui a tous les engins nécessaires sur le pont. La tour est haute de 76 pieds et sa largeur la base sur le pont est de 24 pieds au sommet elle a 18 pieds de large. L'armature est en fer et est recouverte de lourdes plaques de fer galvanisé. Une ajoute de 12 sur 24 pieds et de deux étages a été bâtie de chaque côté de la tour et est emplqyée pour peser et délivrer le grain en sacs poids déterminé. Le bateu possède une double machine horizontale avec deux chaudières et ayant une force de quatre-vingt che vaux effectifs (quinze chevaux nominaux) chaque chaudière elle seule peut mettre la machine en marche. Ce bateau est aussi pourvu de bilges, de cinq pompes et de tout autre matériel nécessaire. Un bureau, une cabine de capitaine et de complètes in stallations pour l'équipage, sont bâtis sur le pont et dans la cale. L'élévateur peut délivrer en vrac, toute quantité grains jusqu'à 6000 bushels, soit environ 150 tonnes l'heure. Il y a trois bascules (système Fairbank) bord quand

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Le Progrès (1841-1914) | 1883 | | pagina 2