BOOTEN
Adjudication
MALLES DE VOYAGE.
ÉMILE VAN AERDE,
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DIT ER HAND TE PACHTEN: BREACK DE CHASSE
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Encre Belge perfectionnée,
Notaire VAN EUCRE
A WERVICQ.
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SPÉCIALITÉ
Dépôt »ie Vitraux
CH. SPILLIAERT-BOUCHAERT,
Chirurgien-Dentiste diplômé,
19, RUE DU LOMBARD, 19,
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D'UN TRÈS-BON CHEVAL
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ON OFFRE
gustaf romain,
AAN ZEER GERME PRIJZEN.
MANUFACTURE DE TAPIS
rerfionitel d'YbT*. si^ic CostAHohte. docteur en mé»
tl.'irf i>clto'uivic cl uee-'iielicni eut*, Uecclacre.
Go sin .nlier docteur, ex-nournssop de t'Aima Mater,
de Louvain, était prévenu
1) De dénonciation calomnieuse au Parquet l'égard
du garde-champêtre de sa commune;
2") De dénonciation calomnieuse M. le Ministre de
la Justice il l'éjjard de M. Bayait, ci-devalit Bourgmestre
de la susdite commune de iîocelaei e.
Cette dénonciation est d'autant plus odieuse que M.
Bayart, a toujours été le bienfaiteur, du prévenu.
3") De coups.
Notons ici que la lettre adressée h M. le Ministre de
la Justice contenait ce passage Mgwificalif
Vous devez comprendre, M. le Ministre, pour quels
motifs je ne m'adresse ni M le Procureur du Koi
ni M. le Procureur Général.
Inutile de faire ressortir l'inconvenance de ce langage,
dans lequel tout le monde a vu un outrage la magis
trature mais dont ie parquet a peut être eu raison de ne
pas s'émouvoir.
Lè système de défense du p évenu a été pitoyable.
Le défenseur, M"* Biebuyok, s'est borné invoquer
la bonne foi de son client et a pataugé d'une manière la
mentable dans une espèce de dissertation sur le point
de savo.r si les faits imputés Costenoble tombaient
sous le coup de l'art. 445 du Code Pénal et pouvaient
donner lieu l'application d'une peine pénale.»[Sic).
Comme circonstanceatténuante, le défenseur a encore
ajouté qu'après avoir mûrement réfléchi pendant plu
sieurs semaines et pris des renseignements bonne
source, le docteur Costenoble avait écrit M. le Procu
reur du Roi et M. le Ministre de la Justice pour se ré
tracter.
Mais il était trop tard! La justice était déjà saisie;
une information était ouverte et l'affaire devait suivre
son Cours.
L'honorable organe du ministère public n'a pas fait
Costenoble l'honneur d'un long réquisitoire.
Il a tout simplement donné lecture des dénonciations
et requis l'application de la loi.
Le tribunal, eu égard aux bons antécédents du préve
nu, condamne Costenoble
1*) A une amende de cinquante francs.
2*) A une amende de cent francs.
3"j A une amende de cinq francs.
Nous serons sobre de (réflexions et nous ne nous at
tarderons pas examiner quelle situation difficile les
jugements du Tribunal d'Yprcs créent au clérical méde
cin de Beeelaere.
Une question seulement
Après la triple condamnation qu'il vient de subir,
M. Costenoble peut-il décemment être maintenu dans
ses fonctions d'ailleurs toutes gratuites, d'inspecteur
des écoles communales de Beeelaere.
Poser la question, c'est la résoudre; comme dirait
M Biebuyok lui-même.
Aussi attendons-nous avec confiance la décision des
édiles de l'endroit.
ACTHS tJl'i'ICILiLS. (Extrait du Moniteur).
Un arrêté Royal du 29 Juin 1885 autorité le Conseil
Communal de Menin établir pendant dix années, partir
de 1883, une taxe sur les habitants, propriétaires au lo
cataires de maisons, magasins, fabriques et usines, rai
son de 5 p.c. sur la valeur locative pour toutesles propriétés
éclairées aux frais de la ville ou devant lesquelles il est
établi des trottoirs, et de 3 p.c.pour toutes autres propriétés.
Œuvres illustrées d'Henri Conscience, édi
tion grand m-8" deux colonnes, paraissant 90 ou
100 séries de 40 pages avec 5 gravures chacune, au
prix de 50 centimes la série. Il paraît une série par
semaine. (Bruxelles, A.-N. Lebègue et G").
Nous avons annoncé que l'Office de Publicité avait
commencé la publication d'une édition française illustrée
des œuvres complètes de Conscience. Nous avions alors
sous les yeux les spécimens des premières livraisons et,
pièces en main, nous lui prédisions un vif succès.
Aujourd'hui nous n'en sommes plus des pronostics,
si justifiés qu'ils fussent, nous possédons déjà deux vo
lumes de cette édition définitive et nous pouvons assu
rer, en connaissance de cause, que nos prévisions sont
de tout point réalisées. C'est décidément le livre par
excellence de la famille, c'est a>- si un ouvrage de bi
bliothèque.
Le premier volume contient naturellement les pre
mières œuvres de l'auteur; ce sont: Le Lion de Flan
dres, Histoire du comte HugoHistoire d'Abutfa-
ragus, l'Année des Merveilles, Comment on devient
peintre, f Oncle crochu, etc. A coup sûr, ce ne sont
pas encore les chefs-d'œuvre du maître, mais ce sont
mieux que des ébauches ou des esquisses ces premiè
res nouvelles suffiraient certes établir la réputation de
quiconque ne serait pas Conscience.
Le second volume débute par l'une de ses maîtresses
œuvres, le Conscrit et se continue par le Tribun de
Gand, Baes Gansendonck, l'Orpheline, Rosa l'Aveu
gle, Rihke-Tikke-Tak. L'auteur atteint presque sa
maturité, il est maître de son talent et lui fait produire
des fruits savoureux.
Ces deux volumes sont magnifiquement illustrés par
MM. Atalaya, Gérardin, Destez, etc., etc. toutes les
scènes dramatiques ou attendrissantes sont reproduites
par le crayon et fout revivre les personnages de ce que
l'on pourrait appeler l'épopée vécue du Roi des con
teurs flamands.
L'œuvre complète formera neuf ou dix volumes on
voit dès lors quel sera son intérêt et quelle sera sa
valeur
Marché d'Yprcs.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains,
fourrages et autres produits agricoles, vendus le
4 Juillet 1885.
NATURE
DES
GRAINS ET DENRÉES.
QUANTITÉS
TENDUES
KILOGRAMMES
Prixmojea
PAR
CEHT
KILOGR.
POIDS M*"
RE
l'heclo-
litre.
Froment
5,300
22 50
80
3,700
17 87
73
200
21 25
44
400
21 00
80
Féveroles
500
20 50
80
Pommes de terre
3,000
6 00
Beurre
17,525
265 00
wÊgTsrwj mm ^3
du
1»— Le LUNDI, 6 JUILLET, 1885,
3 heures, sur les terres de la fer
me, nommée le Klytmolen, Wer-
vicq, section de l'Amérique,
de
Seigle, Froment, Avoine, Lin
et Bois dourdages.
2° Le MARDI, 7 JUILLET, 1885,
3 heures, la terme et sur les ter
res occupées par Made Vermeersch-
Verstraete, Wervicq (Basse-Fland re)
de
Seigle, Lin,Herbes, Instruments Ara
toires et Bois d'ourdaqes.
5° Le JEUDI, 16 JUILLET, 1885,
6 heures, en l'estaminet Café de
Commerce Wervicq,
de 8 MAISONS et 87 ares 22 centi
ares de Fonds, Jardin et Li*bour, si
tués Wervicq, Haute-Croix.
Tenus en bail par la veuve Holle-
becque, 800 fr. l'an et l'impôt.
Mis prix seulement 13,000 fr.
6"Le LUNDI,20 JUILLET, 1885,
2 heures, en la ferme et sur les ter
res occupées par M. Charles Vuylsteke-
Cardoen, Wervicq,
de
Seigle, Lin, Herbes,
Instruments Aratoires et 80 Canards
7°—Le MARDI,21 JUILLET, 1885,
3°—Le LUNDI, 13 JUILLET, 1885,'à 3 heures, la petite ferme et sur
des terras occupées par la veuve,
Houthem,
DE
peints et ordinaires,
gravure sur verre, etc.,
CHEZ
ENTREPRENEUR ET VITRIER,
PORTE DU CLOITRE, YPRES.
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consulter tous les jours de 9 5 heures,
le Dimanche excepté,
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Extraction de Dents, Plombages et Redres
sements d'après les meilleurs systèmes.
3 heures, sur les terres de la ferme
occupée par la veuve et enfants De-
cneut-SamainComines (Cruys-
eecke), le long du pavé de Wervicq,
de
Seigle, Blé, Avoine, Hivernaches,
Herbes et Instruments aratoires.
4° Le MARDI, 14 JUILLET, 1885,
2 heures, en la maison occupée par
la veuve Delmotterue Ste Barbe,
Wervicq,
dun A TTIRA1L DE VOITURIER.
ET D'USTENSILES de BOULANGER.
Lampe-Pattyn, Houthem, près de1^
la. Plane, le long du chemin de Wyt-
schaete,
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Seigle, Froment, Avoine,
Instruments Aratoires, Bois d'ourda
aes et Briques.
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Narbonnais, la barrique de 220 litres
130 fr., la demi-barrique de 110 litres
70 fr., franco frontière belge, écrire
J. Nitram, bureau du Progrès, représen
tant pour Ypres et environs demandé.
1° Eene HOFSTEDE groot21 h.
27 a. 80 c.
2° Eene partie LAND daar nevens;
groot 2 h. 29 a. 50 c.
Voordeelig gelegen te ZILLEBEKE,
het HOOGHE, gebruikt door
sieur Henri Vanden Broucke tôt
30.September 1885..
Zich te begeven bij het bestuur
der Burgerlijke Godshuizen van
IJperen.
D'OCCASION.
S'adresser au bureau du Journal.
op de KAAI, te IJPEREN,
Paul DUMORTIER, et Fils,
H, rue de Coudrai, Tournai,
Envoi d'échantillons sur demande. Vé
ritables tapis de Tournai. Pas de succur
sales ni de dépôts. On se charge de la pose
et de la confection. Prix de fabrique. At
tention la contre-façon étrangère vendue
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inaltérable, ne dépose pas dans l'encrier, ne sé-
paissit jamais et n'oxidepas les Plumes métalli
ques.
En vente au bureau de ce Journal
