S w TRABOLLING UNE SERVANTE 3 FRANCS PAR MOIS LA GKRRANDË FÊTE VAN COMPERNOLIENNE du 29 Août 1886. Marché d'Ypres. LE DEVELOPPEMENT DE L'EPARGNE NATIONALE Capital I.OOO.OGOdefr. pouvant être porté 10.000.000 de fr. VENTE A CRÉDIT DES OBLIGATIONS COMMUNALES des villes de Bruxelles, Anvers, Liège, Gand, etc., etc. VILLE D'ANVERS, EMPRUNT DE 1882 CINQ FRANCS sachant faire la cuisine. S'adresser au bureau du Journal. STAD YPEREN. gegeven in de Café du Boulevard bij' de Statie, bewoond door Mme de weduwe Leboucq, op ZONDAG, 12° SEPTEMBER 1886, om 3 ure namiddag. 50 francs prijzen. Voorwaarden naar gewoonte. GROS LOT DE I FRANCS DEMANDEZ le plus complet et le plus commode de tous les guides. Se vend au Bureau du Journal Le numéro 30 centimes. Abonnement 3 fr. par an. POPERINGHE. lr Septembre 1886. Déjà la veille tout était en mouvement chez les calo- tins et avant l'aurore, le sire de Framboisie parcourait la ville, afin d'engager les habitants arborer le lende main les couleurs nationales. Plat et rampant avec les forts, arrogant et la menace la bouche avec les faibles, le chevalier de la triste figure, jouant le rôle de la mouche du coche, ne négli gea rien pour compromettre le succès de la fête en lui donnant une couleur politique. C'était, d'après ce qu'on nous assure, ce qu'à tout prix M. Baeckeroot, dont l'esprit conciliant est connu de tout le monde, avait voulu éviter. Empressons-nous d'ajouter que l'adjudant Van Mer- ris y a été pour ses peines, et que toutes les démarches faites par lui n'ont abouties qu'à démontrer une fois de plus que le public le prend de moins en moins au sé rieux et que, pour faire manquer une fête, il suffit qu'il s'en mêle. Le 29 Août. Peu de drapeaux arborés. Le cler gé, pour caractériser encore mieux la fête, prend de tous côtés l'initiative. C'est ainsi que le Collège montre l'exemple la Pe tite Place ainsi qu'à la rue de Boeschèpe et que le vicaire Ooge de son côté excite le zèle des habitants de la rue de l'Hôpital. Mais vains efforts. Le résultat a été des plus piteux. Tout le monde était péniblement affecté et MM. les invités de Lenseele surtout étaient justement froissés de voir qu'aucun drapeau français, sauf une petite loque hissée sur le haut du kiosque, ne se voyait nulle part. N'est-ce pas un véritable affront fait nos sympa thiques voisins d'outre-frontière Avant la réception11 h. du matin. Les Pompiers se réunissent leur caserne et, dra peau en tête, se rendentoùje vous le donne en milleau Cercle Catholique pour y chercher la mu sique communale qui, nous l'ignorions encore, n'est plus musique des Pompiers. N'est-ce pas le monde renversé et comment peut-on comprendre que M. Baeckeroot se soit résigne subir cette humiliation et surtout la faire subir son dra peau A LA STATION MIDI 20. On entend le sifflet de la locomotive et Pompiers et Musiciens se rangent en bataille; le train arrive en gare, s'arrête et l'on joue la Brabançonne. Mais horreur, les wagons faisant face aux artistes de Félix et ne contiennent que des cueilleurs de hou blon alors que les Sociétés invitées, se trouvant la queue du train, couraient se désaltérer dans les caba rets. Les chefs et les officiers r.e trouvant personne leur descente de voiture pour les complimenter et leur offrir les bouquets d'usage, se demandaient ce qu'ils devaient faire (hoe zal men dat hier arrangeren TEXTUEL»). Enfin au bout de 20 minutes on parvint, tant bien que mal, organiser le cortège et, par un soleil tropi cal, on imposa] aux malheureux débarqués, la corvée de faire en plein raidi une promenade de plus d'une de mie heure. Le cortège arriva sur la Place et tout le monde crut un instant que nos édiles, revenus des meilleurs sen timents, s'étaient décidés au dernier moment faire l'Hôtel-de-Ville une réception officielle aux invités de la Commission des Pompiers mais, cruelle décep tion, on continua la promenade et finalement, en nage et tout essoufflé, le cortège atteignit le K. K. devant lequel Musiciens et Pompiers fureDt rangés en bataille. Mais les pauvres soldats citoyens n'étaient pas au bout de leurs tribulations, car pendant un quart d'heure on les laissa griller la figure tournée vers le soleil. Les malheureux crurent encore un instant qu'à dé faut de réception officielle, faite par les autorités com munales, on les aurait du moins invité entrer un in stant au Cercle Catholique pour leur souhaiter la bienvenue et leur offrir le vin d'honneur, vain espoir; on les congédia, sans tambours ni trompettes et, en voyant l'Hôtel-de-Ville et le Cercle tous les diables, ils s'éparpillèrent en ville moitié morts de faim et de soif A 3 heures 1/2. Le tir commence et la chaleur est de plus en plus étouffante. Vers 4 heures pour la première fois on voit apparaître M. le Bourgmestre, accompagné de son Échevin M. Vanden Berghe. Rencontrant un des chefs delà Société de Wervicq, notre mayeur, se mettant en frais d'éloquence, s'informa du motif pour lequel M. le Bourgmestre de cette ville n'avait pas ac compagné ses Pompiers. L'honorable Président ou Commandant des Pom piers de la ville, arrosée par la Lys, répondit avec beau coup d'esprit et d'àpropos que la présence de son Bourgmestre eût été très-déplacée Poperinghe puis que le mayeur de cette ville n'avait pas daigné recevoir officiellement ses administrés qui avaient répondu l'invitation qui leur avait été faite. Le Festival. Malgré que le Festival fut annoncé of ficiellement pour 4 heures, M. Félix et son Directeur Barbe rousse par une attention toute particulière pour leurs invités, crurent bon d'avancer d'une 1|2 heure le commencement de la fête musicale dont ils de vaient faire l'ouverture. De cette façon ils ont pû jouer leurs morceaux, sans auditoire, évitant ainsi d'écor- cher les oreilles de ceux qui, par politesse, se seraient crus obligés d'aller écouter leur cacophonie. (Pour être continué). l\f,T,E1 A TAIT^i rendue sans médecine et sans if purges et sans frais par la délicieuse farine de santé Du Barry de Londres, dite REVALENTA ARABICA Trente cinq ans d'un invariable succès, en guérissant les vyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, dents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diarrhée, djssenlerie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, élourdissements, oppression, congestions, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesses épuisement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des brouches. vessie, foie, reins, intestin, membrane, muqueuse, cerveau et sang ainsi que toute irritation et toute odeur fiévreuse en se levant, ou après eerlains plats, compro mettants, oignons, ail, etc.ou boissons alcooliques, même après le tabac. C'est en outre la nourriture par excellenee qui seule réussit éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000 cures, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas de Sa Sainteté feu le Pape Pie IX, de Mme la duchesse de Castlestuart, le duc de Pluskovv, Mme la marquise de Bréban, lord Stuart de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer etc., etc. H" 05,476 M. le curé Comparut, de 18 ans de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs nocturnes. Cure N° 99,025. Avignon, 18 Avril 1876. La Revalenta Du llarry m'a guérie, l'âge de 61 ans, d'épouvantables souffrances de vingt ans. J'avais des oppressions des plus terribles, ne plus pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habiller, ni déshabiller, avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalentu m'en a sauvé complètement. Bossai., née Carbonnettey, rue da Balai, 11. Cure N« 98,614 Depuis des années, je souffrais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irritation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenta. 1 ko!» Peyclet, inslitututeur, Eynancas (Haute-Vienne) N° 49.812 Mme Marie Joly. de cinqante ans de constipation, indigestion, nervosité, insomnies, asthme, tous flalus, spasmes, et nausées, N° 46,270 M. Roberts, d'une consomption pulmonaire, avec toux, vomissements, constipation et surdité de 25 années. N° 49522; M. Baldwinde l'épuisement le plus complet, paralysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeunesse. M. Gauthier, Luzarches, d'une constipation opiniâtre, perte d'appétit, catarrhe, bronchite. La femme de M. le maire de Volvie, d'une iritalion pulmonaire avec crachement de sang et toux opiniâtre. Mon enfant se trouve très-bien de votre Revalenta Docteur G Proll. médecin, 8. rue Paradis, Nice. N° 98,716. M. le Professeur Dédé, Paris, a observé pendant des années que la Revalenta donne une santé florissante aux bébés, et aux mères un lait riche et abondant. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines En boites. 1/4 Vil-, fr. 2-25 1/2 Vil-, 4 fr.; 1 Itil., 7 fr.; 12 Vil-, 70 fr. Les Biscuits de Revalenta, en boites de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatée 1/2 livre, fr. 2-25; 1 livre,4 fr. 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste franco. Dépôt partout, chez les pharmaciens et épiciers Do Barry et Ciï, limited. Agent général pour la Belgique. M. Emile TIMMERMANS, rue Rouppe, 6 et 8, Bruxelles. Dépôt YPRES, Frysou-Vanoutrive, pharmacien, rue de Dixmude. Becuwe, pharmacien MOORSLEDE, Ch. Bostyn, boulanger. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 4 Septembre 1886. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES QUANTITÉS VENDUES KILOGRAMMES PRIX MOYEN par CENT KILOGR. POIDS M®" DE l'hecto litre. Froment 4,300 21 12 80 Seigle 2,800 13 62 73 2,600 14 50 44 Féveroles 000 00 00 00 Pommes de terre 6,000 5 50 8,079 265 00 SIÈGE SOCIAL BRUXELLES 5, BOULEVARD DU JARDIN BOTANIQUE, 5 I Y1.*/*V1'",".' du 00,1 M. le L'-général DAUDENART, commandeur de l'Ordre de Léopold Administratcnr-delcgaé M. J. BREUER, chevalier de l'Ordre de Léopold Administrateur, chef du contrôle des titre* M. J.-B. BOGAERT, agent de change; I Administrateur* MM. DETIEGE, DE CODT, DE PREZ, DALEBROUX, BELLEFROID; t Commissaire M, N. TREMOUROUX, chevalier de l'Ordre de Léopold. 1 cours de la Bourse de Bruxelles, augmenté des frais généraux, intérêt 6 p. c. pendant la durée du crédit accordé et une commission de banque. Ces obligations participent de nombreux tirages donnant droit des primes de 1s«'î!n« îranc<,\ La Soclété Générale d'Épargne met en vente ces obliga- 25 000 francs j tions movennant un nrpmlpr apnmnfp do ntnn ft»anne nn 10,000 francs 5,000 francs/ 1,000 franc» 1 500 francs 250 francs/ tions moyennant nn premier acompte de cinq francs, nn deuxième acompte de cinq francs (an mois après) et des versements de Dès qu'il a effectué le premier versement, l'acheteur participe TOUS LES TIRAGES son benence exclusif. les coupons authentique* des obligations lui sont attribués chaque échéance. Kn cas de mort par accident, 1 obligation entièrement libérée est délivrée immédia tement a s es héritiers, qnel que soit le nombre de* versements effectués. 100,000 ON DEMANDE PODR L'ÉTRANGER mr ■ami s I I n m —i wwi Htm Moyennant l'envoi d'un mandat-poste de au tirage do 10 Septembre (déposé) iixrm l-W'yc^LE GUIDE PRATIQUE DES CHEMINS DE FER BELGES par chaque obligation souscrite, tout acheteur participera au tirage du

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Le Progrès (1841-1914) | 1886 | | pagina 3