fi. fi. 11 881 REVALENTA ARABICA o 2 Ji I II 3 05 s 1 s vin de la ville d'Ypres, une proposition d'émet tre un vœu en faveur de la revision de l'art. 47 de la Constitution. Il a été décidé, une très-forte majorité, d'ajourner ce débat jusqu'après les élections communales. La date du 6 Novembre a été arrêtée séance tenante. Il a été procédé ensuite la nomination d'un membre du Comité en remplacement de M. Car- pentier, décédé. M. Poupart, conseiller communal, a été élu la presqu unanimité. Nous rappelons nos lecteurs que c'est Lundi, 26 courant, 7 h. du soir, que M. l'avocat Char les Parmentier viendra donner, en la salle du Lion Noir, rue de Boesinghe, une conférence au Cercle des Capacitaires. Le sympathique conférencier traitera la ques tion du droit de suffrage. Voici ce que nous lisons dans le Journal d'Ypres de Samedi dernier On a retiré hier matin, des eaux du Kasteel- gracht, le cadavre du nommé L., qui devait comparaître Jeudi prochain devant notre tri- bunal correctionnel sous inculpation de faits immoraux. apprécié la réserve que is la relation du suicide Nos lecteurs auront aj nous avons observée dans de ce malheureux. Etant données les attaches de L. avec le parti des gens bien pensants il honorait de sa pré sence les processions pieuses, et suivait avec zèle et componction les séances de la sainte congré gation 1 e Journal d'Ypres, plus que personne, aurait dû avoir la pudeur de respecter la sagesse du dicton latin de mortuis nihil nisi bonum. Nous reproduisons ci-après, titre de curiosi té, le Manifeste du parti ouvrier, imprimé Grand, chez J. Foucaert Le 16 Octobre prochain, nous serons appelés voter pour renouveler la moitié des membres du Conseil Com munal. Vous vous en souciez fort peu, Messieurs. [Jn bon mois peine nous sépare des élections et personne ne donne signe de vie. Que conclure de cette inertie? Le parti politique que vous représentez est-il tombé si ba3, que vous n'osez même pas essayer de relever son prestige l'approche de la lutte Vous croyez-vous peut-être certain de la victoire où bien capitulez-vous sans combattre Ces différentes versions peuvent être acceptées et c'est dans de telles conditions, que huit jours avant les élec tions, vous viendrez solliciter notre vote. Uue réunion ou deux auront lieu l'Association Libérale, sous la présidence du docteur Cornette (nommé par le comité, les membres ne comptant pour rien), on nous dira que telle et telle chose a été décidée par le comité et par conséquent tout le monde devra se déclarer satisfait. Les plus assidus esclaves de nos chefs politiques, plutôt par nécessité que par conviction, applaudiront pour leur être agréable et après, personne ne demande la parole, la séance sera levée. Et dire, que depuis des années cela se passe ainsi; ni les protestations des progressistes, ni les diflérents articles parus ce sujet, dans les journaux avancés, n'ont ébranlé votre entêtement. Vous connaissez pour tant aussi bien que nous, les réformes que réclame notre époque. Mais peu vous importe vous content, tout le monde content. Voilà votre devise. Il faut pourtant que cela finisse. Nous, petits bourgeois et ouvriers, en assez grand nombre pour tenir en échec le succès du parti libéral, demandons celui-ci de tenir compte de nos justes réclamations. Partisans convaincus du Suffrage Universel, nous voulons la revision de l'art. 47 de la Constitution. Pas de Devoirs sans Droits, voilà notre devise nous. De plus, nous demandons un minimum de salaire pour l'ouvrier. (35 centimes l'heure pourTouvrier adulte et capable et 28 30 pour tout autre) stipuler aux cahiers des charges, dans toutes les entreprises pour compte de la Commune et qui doivent se faire par corps de métier. Les ouvriers de la ville auraient droits ce minimum de salaire et en même temps nous voudrions que tous les employés de l'administration communale ou des Hospices dépendant de celle-ci, aient des appointements suffisants pour les empêcher de faire un commerce quelconque au détriment des con tribuables qui n'ont que cette ressource. Bien souvent, nous avons pu constater la pression que les employés- commerçants exercent sur leurs subalternes pour les obliger se fournir chez eux et c'est cet abus, que nous voulons faire disparaître. Voilà, Messieurs les Conseillers, lus réformes que nous mettons votre appréciation, vous garantissant, que de votre décision, que nous connaîtrons par l'or gane de vos journaux, ou votre prochaine réunion, dépendra le bon résultat des élections. LE PARTI OUVRIER. Mailliard, Gustave, 4 5 4 5 2 Bogaert, Alphonse, 3 Vantholl, Henri, 2 Lesafi're, Auguste, 5 Poot, Arthur, 0 Ligy, Albert, 3 4 5 4 2 2 3 2 3 4 4 4 3 5 2 4 4 2 4 3 20 18 16 16 14 14 RÉOUVERTURE, Samedi 10 Septembre, du Restaurant du Cercle, 3, rue Léopold, Bruxelles. SOCIÉTÉ ANONYME DES CHEMINS DE FER FLANDRE OCCIDENTALE. SERVICE DES TRAINS. Trains supprimés dater dn 20 Septembre 1887. Le train partant de Courtrai pour Thourout 9 40 matin. id. id. id. id. id. id. Thourout Courtrai 9 06 soir. Courtrai Thourout 6 33 soir. Thourout Courtrai 6 50 matin. Courtrai Roulers 5 00 matin. Roulers Ypres 6 00 matin. Ypres Courtrai 7 50 soir. Trains nouveaux (Voiture dater dn 24 Ypres. dép. 6. 15 m. Zillebeke. (arrêt) 6. 21 m. Frezenberg. d° 6. 27 m. Zonnebeke. Keerselaarhoek.» Moorslede-Pas- schendaele. Vierkavenhoek(a). Roulers. 6. 33 m. 6. 37 m. vapeur, le Samedi seulement) Septembre 1887. Roulers. dép. 7. 25 m. Vierkavenhoek.(a. 7. 35 m. Jloorslede-Pas- schendaele. 7. 43 m. Keerselaarhoek a. 7. 48 m. Zonnebebe. 7. 58 m. Frezenberg. a. 8. 03 m. Zillebeke. d° Ypres. 8. 09 m. arr. 8. 15 m. Train modifié dater du 1" Octobre 1887. Le départ du dernier train de Thielt pour Ingelmunster sera avancé de 20 minutes; ce train suivra l'itinéraire ci- après Thieltdép. 8. 28 soir. Meulebeke 8. 39 Ingelmunsterarr. 8. 50 Les primes gratuites de l'Illustration Européenne.» La distribution des tableaux-primes, offerts gratuite ment par l'Illustration Européenne ses abonnés, a été l'événement de la semaine. Il s'agit de deux exemplaires de la Peinture Bogaerts, forts jolis pendants pour salle manger. Jamais on n'a obtenu, croyons-nous, une imita tion plus merveilleuse de la peinture l'huile il faut ajouter, il est vrai, que nous nous trouvons en présence d'une véritable peinture l'huile dans toute l'acception du mot. obtenue par procédé. Le monde artistique s'émeut de plus en plus des succès de cette admirable invention et des sympathies qu'elle conquiert dans le public. S 0 0 fis s* O) Si Sfi 33 S N Q fis O 42 ë-g 5 5 Si o? S o S2ÎO s a5 |2 2 §73®* -a j; p s a &9 ?.£ij 33 1 o .2, 5 •oIS î- E -a e H c -si fïï-S1* g- 5sJg 22 5-ë c 1 Sg 2S Aux Conseillers Communaux de la ville d'Ypres. Ypres, le 15 Septembre 1887. Société de Gardes Civiques d'Ypres. Tir du Lundi, 19 Septembre 1881 1 DE LA (Le Samedi.) (Le Lundi.) 6. 42 m. 6. 50 m. arr. 7. 00 m. i i non C /%l\TrT,l7 rendue sans médecins ci sans OAiii lu A 1 Uto purgei et sans frais par la pélicieuse farine de santé Du Barry de Londres, dite Trente cinq ans d'un invariable succès, en guérissant les vyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, dents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, pomissements. constipation, diarrhée, dfssenlerie. coliques éhthisie. toux, asthme, étoutfements. élourdissements, oppressions congestions, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse, puisvemenl. anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des brouches. vessie, foie, reins, inlestin, membrane, muqueuse, cerveau et sang ainsi que tonte irritation et toute odeur tiévreuse en se levant, ou après eertains plats, compro mettants, oignons, ail. etc., ou boissons alcooliques, même après le labac. C'est en outre la nourriture par excellence qui seule réussit éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000 cures, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas de Sa Sainteté feu le Pape Pie IX, de Mme la duchesse de Castlestuart. le duc de Pluskowi Mme la marquise de Bréban, lord Stuarl de Decies, par, d'Angleterre. M. le docteur-professeur Wurzer etc etc. N° 65,476 M. le curé Comparet, de 18 ans de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueure ctnournes. Cure N® 99,625. Avignon, 18 Avril 1876. La Revalenta du llarry m'a guérie, l'âge de 61 ans, d'épouvantables souffrances de vingt ans. J'avais des oppressions des plus terribles. 1 ne plus pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habiller. ni déshabiller avec, des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a sauvé complètement. BoaagL, née Carbonnettey, rue du Balai, 11. Cure N® 98,614 Depuis des années, je souffrais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irritation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenta, i son Pktclit, institututeur, i Eynanças (Haute-Vienne) N» 49.812: Mme Marie Joly, de cinqanle ans de constipation, indigestion, nervosité, insomnies, asthme, tous flalus, spasmes, et nausées, N® 46,270 M. Roberts, d'une consomption pulmonaire, avec toux, vomissements, constipation et surdité de 25 années. Lure N® 75,124: M. et Mme Léger, 128, rue Oberkampf, Paris, d'une maladie du foie, avec vomissements et diarrhées horribles qui avaient résisté tout traitement pendant 16 ans. Cure N® 794 712 MmeChauvet Pizzala, d'anémie, d'épuisement et d'étovfements N® 49522: M. Baldwin de l'épuisement le plus comptes, paralysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeuneste. La femme de M. le maire de Volvie, d'une iritation pulmonaier avec crachement de sang et toux opiniâtre. N® 98,716, M. le Professeur Dédé, Paris, a observé pendant de années que la Revalenta donne une santé florissante aux bébtés. se aux mères un lait riche et abondant. M. Gauthier, Luzarches, d'une constipation opiniâtre, perte d'appétit, catarrhe, bronchite. Mon enfant se trouve très-bien de votre Revalenta Docteur G Proll. médecin, 8. rue Paradis, Nice. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines En boites. 1/4 kil., fr. 2-25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil.. 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les Biscuits de Revalenta, en boites de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatée. 1/2 livre, fr. 2-25; 1 livre, 4 fr. 2 livres, 7 fr, Envoi contre bon de poste franco. Dépôt partout, chez les pharmaciens et épiciers Do Barst et Cia. limited Agent général pour la Belgique. M. Emus TIMMERMANS, rue Rouppe, 6 et 8, Bruxelles. Dépota YPRES, Frysou-Vanoutrive, pharmacien, rue de Dixmude. Becuwe, pharmacien. A. Delhaizeel C®, Grand'Place, 22. MOORSLEDE, Ch. Bostyn. boulanger. oo Q O UJ CD 0 O cz es rÀ oT 03 c t si mm O a Z; c O G 22 o S a> a t- eu a-a 03 O G o -© en g S a Sa Zq rj t* g V Ci eu 1 I 9 9 -9 CU H eu ©13 9-—s ©(5 s 12 - E eu. >h03 es o S s- .bc2 es J2 a a "S E si ïu-a s a - 9 03 9 3 C S O- cn fr* o c 03 en ©1^ ^0 9 "O 9 C OO S- oo t) 0®r -Q O 2 -*"© rS Q3 0S~^ 3 g c m CS co O O 2 g t>0§ C 33 I ce 33 g a "2 eô «-S o a sO fV> rs fi» W SJ33 03 9 -fi 5* c'© 33 ÛD - C en s- 9 O •9.5^5 C >(2 33 *„S .s® ■- îjcE 33-2 a H c O lu "5 «03- I 33 9 9 03 tm 0) - •- .i 9 O u 55 s* 13 5« n 9 C en H.S - G "O z;1-1 33 q 33 9 9 S Q. 03 >ur es >- fr* w J ,2 o 5 OO.5^ O 03 03 1 -O 9 2 M w kj 2^ G Cû r« S

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Le Progrès (1841-1914) | 1887 | | pagina 3