1888.
BOOMEN
UJSTE MME*.
CHÊNES, CHÊNEAUX,
GESCHIEDENISSEN,
SOCIÉTÉ 3Ï&TI423ÏALE
CHEMINS DE FER VICINAUX.
avis d'adjudication.
TOUS LES IMPRIMÉS OFFICIELS
SCHOONE EIKEN,
REVALENTA ARABICA
20, rue au Beurre, 20,
VILLE D YPRES.
Parés,
Masqués, et Travestis,
POPELIEREN
VENTE
La Société Nationale des chemins de Fer
Vicinaux fera procéder
le Mercredi 8 Février 1888,
11 heures du matin, en son local, rue de la
Loi, 9, Bruxelles, l'ouverture publique des
soumissions pour l'entreprise des travaux de
construction de la ligne de <t Fûmes-Ypres.
Les entrepreneurs pourront prendre connais
sance des plans, cahier des charges, devis, etc.,
au siège de la Société et chez M.
'Ingénieur
Provincial, Bonnevie, rue du Marécage, 62,
Bruges, partir du 21 Janvier.
Le cahier des charges sera délivré au prix
de I franc par exemplaire.
On peut toujours se procurer
Chez E. E a MBtW-MA THÉE,
IMPRIMEUR-LIBRAIRE,
l'usage de
MM. les Secrétaires et Receveurs communaux.
Marché d'Ypres.
A L'OCCASION 1)1 CARNAVAL
nriTY
DONNÉS
an profil du Denier des Écoles Laïques.,
DANS LAGBANDE SALLE DU THÉÂTRE,
LES DIMANCHES
19 FÉVRIER ET II MIRS 1888,
9 heures du soir.
PRIX P^R SOUSCRIPTION
Cavalier, fr. 1-00 (bureau fr. 1-50),
Dames, Ir. 0-50.
VEKKOOPiAG
PLANTSOENEN,
EN TAILLIE IN RAM El EN.
TE 1X4 MER TMJAUSiE
(Frezenberg bij de Muizenval).
OP MAANDAG 13" FEBRUAR1 1888,
om een ure namiddag, zal er door de
tusschenkomst van den Deurwaarder
On s'abonne au Bureau du Journal L.-F. VERHAEGHE, tôt Yper, openbaar-
la Saison, journal illustré des da-lijk verkocht worden binnen de ge
nres, 2 francs par trimestre, 6 francs meente Vlamertinghe, in de partie
par an. ,bosch al twee kanten der herberg De
Étude de Mlre Arsène VAN EECKE,
NOTAIRE A WERV1CQ.
LE LUNDI, 27 FÉVRIER 1888,
1 heure, dans les Bois Roux et
Obscure, COMINES et GflËLUVELT
(Cruyseecke),
de
140 Hardies
DE TRÈS BEAUX
PLANÇONS
HÊTRES CANADAS.
Plusieurs de ces arbres ont de 2 3
mètres de circonférence.
Réunion au cabaret Le Vieux
Cruyseecke.
Muizenval, 34 koopen schoone zuivere
EIKEN, ABEËLEN en POPELIËREN
BOOMEN.
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178 PLANTSOENEN, waarin80zware
voor lathout.
33 rameien schoone TAILLIE, ver-
deeld in 16 koopen.
Dezeverkooding zalgehouden wor
den met tijd van betaling, mits stel-
lende goed bekende borgen.
OM TE VERSCH IJ N EN
TEN BU RE E LE DEZES
met 15 MA A n T1888
WONDERLIJKE EN KLUCHTIGE
VAN OUDS VOORGEVALLEN
BINNEN DE STAD IJPEREN.
MERKELIJKVERBETERD.
Schoon boekdeel van 125 bladzijden
ten prijze van 70 cn.
Quelques détails curieux sur les moyens employés par
les acteurs, dans les circonstances solennelles, pour être
en possession de tous leurs moyens.
L'un, avant d'entrer en scène, lorsqu'il s'agissait d'une
première représentation, avalait un petit verre d'un élixir
tonique que lui avait composé un médecin de ses amis.
L'autre se soumettait, au contraire, l'entrainement du
jeune. Les jours où il devait jouer, ayant particulièrement
besoin de tout son talent, il ne mangeait point. La faim,
d'abord douloureuse, finissant par surexciter ses qualités
l'état aigu, lui permettait de tout oublier de ce qui n'était
pas son rôle...
Baron, le compagnon de Molière, qui était un fort brave
homme, avait imaginé un système vraiment plaisant de
s'écliautrer lorsqu'il devait jouer le grand-prêtre Joad,
à'Athalie Toute la journée il cherchait des occasions de
se mettre en colère, il brusquait ses camarades, il affectait
d'être d'humeur quinteuse, et, au dernier instaut, il
rudoyait les figurants qui représentaient les lévites du
Seigneur.
Les lévites! s'écriait-il, comment, ces b... de lévites
ne sont pas encore descendus
Ce n'était pas tout fait le langage qu'eût employé un
véritable grand-prêtre, mais Baron était dans la note
et cela lui suffisait.
Jules Janin a raconté que M"* Sainval, lorsqu'elle jouait
des rôles de princesses de tragédie, accablées de tous les
malheurs, passait ses journées vêtue d'habits de deuil, le
visage couvert d'un long voile noir. Elle se pénétrait ainsi
(et le moyen lui réussissait d'ailleurs) de la douleur des
personnages représentés par elle.
Talma ne dédaignait pas l'emploi de procédés qui entre
tenaient en lui l'irritation nerveuse dont il avait besoin. Il
avait un domestique, dressé cet exércice bizarre, qui,
dans la coulisse, se prêtait docilement être malmené
pendant quelques instants, sans dire mot. Talma répétait
son rôle, et, tout en récitant les vers, s'acharnait sur son
laquais, qui, résigné, recevait stoïquement toutes les bour
rades il y avait seulement des pièces qu'il craignait plus
que les autres.
C'est ainsi qu'on raconte que lorsque ce domestique
voyait Humlet affiché, il se frottait les épaules par avance.
Il y avait, en effet, un passage où Talma, se disant les
vers, selon son habitude, pour lui-même, avant d'entrer
en scène, le secouait par le collet, de façon le briser.
Fuis, spectre épouvantable
Porte au fond des enfers ton aspect redoutable
Quand venait ce passage, le pauvre diable, assuré d'être
meurtri, se faisait le plus petit qu'il pouvait et poussait un
grand soupir.
Fleury, ayant jouer les Deux Pages, où il figurait
Frédéric 11, et attachant cette création une grande
importance, endossait chaque matin, chez lui, l'habit mili
taire, les bottes, le costume du roi, pour le rompre aux
habitudes de son corps.
Il avait donné le nom de Potsdam son appartement.
Son domestique avait ordre de ne l'appeler que Sire
Enfin, pour imiter son modèle, il s'était mis jouer de la
Qûte.
Lekain avait un moyen d'exaltation qui était tout poéti
que, Il demandait une jeune femme très aimée par lui
de se placer dans une loge de face pour puiser, pendant
qu'il jouait, de nouvelles forces dans sa vue.
Mme Ristori, elle, mettait, pour la même raison, un de
ses enfants dans la coulisse.
Duméni, un des meilleurs chanteurs de l'Opéra, était,
lui, plus terre-à-terre il déclarait qu'il lui fallait, pour
produire son effet, six bouteilles de Champagne chaque
représentation. Et ces six bouteilles figuraient expressé
ment sur son engagement.
Au reste, il était loin d'être le seul qui une demi-ivres
se, ou même une ivresse tout entière fut nécessaire, et,
sans parler de Kean, on a gardé, au théâtre, le souvenir
de quelques beaux buveurs, el même, est-il besoin de
le rappeler de quelques jolies buveuses
DES
]\Tr|7 A TTdttT^l rendue sans médecins et sans
1 IJJ A 1 ArtJO pUrges et sans frais par la
pélicieuse farine de sanlé Du Barry de Londres, dite
Trente cinq ;ms d'un invariable succès, en guérissant les
dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires,
vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois,
vomissements, constipation, diarrhée, djssenterie. coliques,
phthisie. toux, asthme, étouffements. élourdissemeots, oppression,
congestions, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesses
épuisement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine,
gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestin,
membrane, muqueuse, cerveau et sang ainsi que toute irritation et
toute odeur évreuse en se levant, ou après eei tains plats, compro
mettants. oignons, ail, etc.. ou boissous alcooliques, même après le
Labac. C'est en outre la nourriture par excellence qui seule réussit
évib r tous le> acrideuls de l'enfance. 00.000 cures, y compris
celles de Sa Majesté l'Kmpereur Nicolas de Sa Sainteté feu le Pape
Pie IX, de Mme la duchesse de Casllesluart, le duc de Pluskow,
Mme la marquise de Bréban, lord Sluart de Decies, pair
d'Angletene. M. le docteur professeur Wurzer elc eie.;
N® 6-3,476: M. le curé Comparel, de 18 ans de dyspepsie, de
gastralgie, de souffrance de l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs
nocturnes.
Cure N® 99,625. Avignon, 18 Avril 1876. La Revalenta Du
Barry m'a guérie, l'âge de 61 ans, d'éDOuvantabies souffrances de
vingt ans. J'avais des oppressions des plus terribles, ne plus
pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habiller. ni déshabiller ?vec.
des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Conlre
toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta
m'en a sauvé complètement. Borrkl, née Carbonnetley, rue du
Balai. 11.
Cure N® 98,614 Depuis des années, je souffrais de manque
d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la
vessie, irritation nerveuse et mélancolie tous ces maux oui
disparu sous l'he iretise influence de votre diviue Revalenta.
kon Pkyclkt, iustitututeur, Eynanças (Haute-Vienne)
N° 49,812 tMrne Marie Joly. de cinqaute ans de constipation,
indigestion, nervosité, insomnies, asthme, tous flatus, spasmes, el
nausées. N° 46^270 M. Roberts. d'une consomption pulmonaire,
avec toux, vomissements, constipation et surdité de 25 années.
(.ure N" 7.1,124: M. et Mme Léger, 128, rue Oberkampf, Paris,
d'une maladie du foie, avec vomissements et diarrhées horribles qui
avaieut résisté tout traitement pendant 16 ans. Cure N® 794
712 MmeChauvet Pizzala, d'anémie, d'épuisement et d'étouffements
N® 49522 M. Baldwin de l'épuisement le plus corapies.
paralysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeuiiestc.
La femme de M. le maire de Volvie, d'une iritalion pulmonaire
avec crachement de sang et toux opiniâire.
Mon enfant se trouve très-bien de votre Revalenta Docteur G.
Proll, médecin, 8. rue Paradis. Nice.
N® 98,716. M. le Professeur Dédé, Paris, a observé pendant
de années que la Revalenta donne une santé florissante aux bébést,
se aux mères un lait riche el abondant.
M. Gauthier, Luzarches, d'une constipation opiniâtre, perle
d'appétit, catarrhe, bronchite.
M. le Professeur Benecke a sauvé son enfant par la Revalenta
apr s que toutes les ressources médicalej avaient été épuisées la
guérir de vomissements continuels Egalement l'enfant de m. J. G.
Monlanay, 44, rue Condorcel, Paris, et le bébé de Mme Elize
Martinet Alby, rue du Tunnel, Va'enee et de milliers d'autre*
nourrissons.
Quatre fois nourrissante comme la viande, sans éehauffer ells
économise encore 50 fois son prix en médecines En boîtes. 1/4
kil., fr. 2-25; 1/2 kit.. 4 fr., 1 kil., 7 fr.; 12 kii., 70 fr. Le
Biscuitde Reoalentaen boites de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatée
1/2 livre, fr. 2-25; 1 livre,4 fr.; 2 livres. 7 fr. Envoi contre bon
de poste franco. Dépôt partout, chez les pharmaciens et épiciers
Du Rarby et Cik. limiled Agent général pour la Belgique. M.
Emile TIMMERMANS, rue Rouppe, 6 et 8, Bruxelles.
DépôtàVPRI S. Frysou-Vanoutrive, pharmacien, rue de Dixmude
Beouwe. pharmacien.
A. Delhaizeel C®, Grand'Place, 22.
MOORSLEDF. Ch. Rostyn. boulanger.
S»
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains,
fourrages et autres produits agricoles, vendus le
4 Février 1888.
NATURE
DES
URAINS ET DENREES
QUANTITÉS
VENDUES
KILOGRAMMES
PRIX MOYEN
PAR
CENT
K1L0GR.
POIDS MO00
DE
l'hecto
litre.
21,000
18 50
80
Seigle
1,000
14 75
73
1,000
15 00
44
400
17 00
80
Féveroles
1,100
18 00
80
Pommes de terre
2,000
7 00
Beurre
6,090
310 00
OEufs le quarteron
2 34
GRANDS BALS
VAN
EN
ZEVENDE UITGAVE.