:ti i DERBAIX a 1-60 et 2 FR. le V2 k. 1 B S'il DERNIÈRES RÉCOMPENSES OBTENUES POUR SA BONNE QUALITÉ. a a Nouvelles diverses. État-Civil d'Ypres, Marché d'Ypres. S o 75,593 fr. 45 c. EXERCICE 4889. recettes ordinaires. Total. Total général. montant presume des recettes. 0,000 00 00 00 00 Dernières nouvelles. Agent de vente pour Tpres et les environs, A. Vanderstuyft-Devos, au BOC, Grand'Place, Tpres. LES AMATEUBS DE BONS CHOCOLATS CONSOMMENT LE garanti par cacao, sucre et vanille. SE DÉFIER DES NOMBREUSES CONTREFAÇONS. Grand Concours Bruxelles 1888, premier diplôme. Exposition des Lauréats de France, Londres 1889, médaille d'or. Exposition de Tunis 1889, diplôme d'honneur. SE VEND CHEZ TOUS LES ÉPICIERS ET PATISSIERS DU PAYS. °-g o o s 1 •s-S 1 S -2 s h i. «i 15? 5ï s CQ s S oo a oo Nos réflexions sur le budget de la ville ont dû être interrompues pour des causes indépendantes de notre volonté et surtout pour permettre l'insertion d'autres articles que quelques-uns de nos correspondants te naient voir paraître. Nous reprenons donc aujourd'hui notre examen et, après avoir parlé dans notre lettre du 2 Juin des re cettes extraordinaires mentionnées dans le titre I du chapitre I, nous continuons par le chapitre II qui traite des recettes ordinaires s'élevant la somme de et dont le détail suit TITRE I. RECETTES COMMUNALES. NATURE DES RECETTES. CHAP1TE II. 1. Centimes additionnels. Centimes additionnels or dinaires sur les contributions directes II. Taxes communales Part de la ville dans le fonds communal Taxe sur les chiens Produit du poids public Id. de la presse houblon Location des droits de pla ce aux foires et marché III. Revenus divers. Loyer des propriétés bâties Redevance foncière Produit des actes de l'état civil Quote-part des Hospices dans le fonds commun Quote-part du Bureau de Bienfaisance Revenu fondatl<m Mazeman Id. Id. Messer IV. Subside de VEtat et de la Province. Subside pour l'instruction primaire Rétributions scolaires. Subside pour l'école d'a dultes Subside pour l'Académie de dessin et d'architecture Restitution par l'Etat de la part sa charge dans les frais d'entretien d'un enfant trouvé pour 1883 et 1884 Récapitulation des recettes. Recettes extraordinaires. Recettes ordinaires Proposé par l'Administra tion Communale. 5,100 00 45,000 00 1,000 00 2,500 00 3,000 00 1,325 00 1,600 00 1 00 30 00 5,581 00 2,790 50 129 50 6 00 5,983 1,000 430 117 89,080 75,593 45 93 45 75,593 164,674 45 38 A la demande de plusieurs personnes appartenant au K. K., nous nous empressons de porter la con naissance du public que notre futur Bourgmestre, le Signor Félix établi, sans patente bien entendu, comme marchand de légumes, continuera plusieurs fois par semaine faire présenter ses clients, déjà nombreux, le produit de son légumier. A ceux qui s'étonneraient de cette singulière détermi nation de la part d'un homme dont les prétentions gran dissent tous les jours, nous répondrons qu'il ne fait que suivre l'exemple donné depuis longtemps par son illus trissime frère Elias, aussi désintéressé que lui et qui vend, tous les ans, les primeurs de son potager. Que doivent dire de cette manière d'agir ses amis po litiques ceux surtout qui n'ont que ce modeste com merce pour gagner leur existence Us ont cependant tort de s'étonner car Félix, en matière de concurrence, est coutumier du fait. Voici ce qui le prouve M. Van Utberghe, agent d'assurance, trouvait, il y a quelques années, dans la personne du sir de Framboisie, un con current qui, du matin au soir, usant de son influence politique, courait en ville comme ta campagne pour lui enlever ses clients. Voilà, où on en est arrivé notre échevin de l'état- civil S'il continue ainsi, son impopularité deviendra telle qu'il n'osera plus se montrer de peur d'ê^e l'objet des démonstrations les plus désagréables. Nous parlerons dans un prochain numéro du voyage, que la musique du K. K. sous ta direction de son sei gneur et généreux maître, fera prochainement Cour- trai, au dépens des contribuables. -* Les renseignements déjà obtenus au sujet de cette excursion, qui est appelée faire époque dans 1a car rière de Félix, sont des plus curieux. Un de nos amis du K. K. a assuré avoir entendu Elias, prévenant son entourage que son savant et gé néreux frère n'allait, cette occasion, taire aucun sa crifice et que c'était la ville de payer la gloire de ses artistes quand ils allaient se faire entendre l'étran ger. Ikke zegge mijn broeder niet doen daar voor, hij oolijker zijn als dat. Un loustic, qui écoutait cette conversation, fit re marquer ce propos qu'il était étrange de ne pas voir agir Courtrai l'égard des Foperinghois comme Pope ringhe avait agi l'égard desCourtraisiens. Cesderniers avaient reçu 400 francs pour Venir Poperinghe et les Poperinghois pourront aller leurs frais Courtrai. Comme c'est la vi'le qui paie et que ses finances sont dans un brillant état, notre généreux échevin ne s'é meut pas pour si peu de chose. Un membre du K. K. vient de nous informer que, passé quelques jours, il y a eu un tapage vraiment in fernal dans le pieux cénacle. Tout y était sens dessus dessous et les passants qui s'arrêtaient dans 1a rue, cu rieux de s'expliquer la cause de tout ce remue-ménage, pouvaient distinguer facilement ta voix de M. l'officier de musique Félix qui semblait ne pas faire bon ménage avec ses musiciens. Dans un prochain n° nous donnerons les détails édi fiants sur cette séance qui ne paraisssait pas être animée de sentiments bien fraternels. M. MEIER, dentiste de Courirai. a l'honneur d'infor mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que sou cabinet dentaire est transféré chez M"" veuve Van Kemmel, Grand'Place, 5,Ypres,où il sera consulter tous les Same dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures de relevée. Le RÉNOVATEUR, liniment antiseptique, guérit radica lement toutes les blessures des animaux domestiques. Re pousse du poil dans les conditions absolument primitives. CERTIFICAT, N° 42. Je soussigné H. Van Hurabeeck, loueur de voitures, 15, rue de la Charité S1 Josse-Ten-Noode, déclare que je me sers du Rénovateur depuis trois mois et, dans chaque cas ma plus entière satisfaction. Deux faits pour exem- ples. 1° Un cheval que j'avais depuis six semaines l'écurie avec une plaie purulente qu'aucun liniment n'était parvenu fermer, a été guéri en quatre jours avec cicatrisation complète. 2° Un autre cheval couronné au genoux jusqu'au sang et fortement écorclié aux jarets a eu ses blessures cicatri sées en sept jours, et, aujourd'hui que je donne ce certifi cat, onze jours après l'accident, le poil repousse partout d'une manière telle que je suis convaincu de 1a disparition complète de toute trace de la blessure. S1 Josse-Ten-Noode, le 25 Octobre 1886. (Signé.) H. VAN HUMBEECK. Docteur CHERVIN, directeur de l'Institut des bègues de Paris, ouvre un cours le 2 Septembre prochain Bru xelles, rue du Pépin, 24, pour guérir tous vices de parole. du 9 au 16 Août 1889. Naissances: Sexe masculin, 8, idem, féminin, 3. Mariages Gorrissen, Maurice, secrétaire communal de 1a ville d'Ypres, et Colignon, Cathérine, brasseuse. Santy, Gustave, employé du bureau de bienfaisance, et Vitse, Ro salie, servante. Décès Morhon, Victor, cabaretier, 45 ans, époux de Florence Bonté, Place Vandeupeereboom. Boute, Basile, sans profession, 82 ans, veuf de Marie Van Gheluwe, rue de Dixmude. De Groote, Anna, dentellière,51 ans, céliba taire, rue de Menin. Herman, Amélie, sans profes sion, 82 ans, veuve de Charles Leuridan, rue de Lille. Enfants au-dessous de 7 ans: sexe masc. 2, id. fém. 1. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 17 Août 1889. NATURE des GRAINS ET DENRÉES quantités vendues kilogrammes prix moyen1, poids ll0"' par de cent l'hecto- kilogr. i litre. Froment. Seigle Avoine Pois Féveroles Pommes de terre Beurre OEufs le quarteron 11,500 1,200 200 100 100 4,000 16,305 18 25 13 75 14 00 17 50 18 00 6 00 300 00 2 10 80 73 44 80 80 s i •o G <D «-3 q} c g-a'^ 'SiS 2 g 60^ ■5 o-: t- os o r< «s c <=-- 2 iS t a.® O S c .2 3 e ce -a s -ts O M '2 a! -©>£» 3 i S O rvi e-eC -La!. ja OH Soc/3 Uî <5 .COQ eîS t- o-< i-s 3 «r 5C <8 .5 3 g ce t-1 "O c* oo oo *4 S 5 t© s CA o S Si®" •- S ego m 0) t- h S 2© t» 00 a P a m o o m s J? j"® •5 s g w 25 M 25 m t—i P5 P 25 £l| S 91 t* - V H m E G m g <51 Q oo - O -UJ S h se g •"d o o B G 8

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Le Progrès (1841-1914) | 1889 | | pagina 3