8 8 K S SURDITÉ b®s</> 2 Nouvelles diverses. M. Em. De Caestecker, Théâtre de la Bourse État-Civil drYpres, Marché d Ypres. 02 S - M y -g §L-"S £.§- d s s -S s 1 I Ce concert a été agrémenté d'un intermède du plus haut comique la musique de Pope- ringhe, s'imaginant que le kiosque de la Grand'Place était toutes les musiques comme la rue est tout le monde, s'y était bravement installée après que les musiciens de Leuze avaient joué leurs divers morceaux un mem- bre de la commission a dû. inviter les conci- toyens de Vancompernolle céder la place n la grande fanfare de Roubaix dont le tour 7> d'exécution était arrivé. Les Poperinghois qui ont sans doute l'oreille et la tête très dures, n semblaient ne pas comprendre il a fallu n toute l'éloquence et force geste du commis- saire des fêtes pour décider les musiciens récal- n citrants céder la place aux Roubaisiens ce que le public a ri de cette aventure grotes- que Voici encore dans quels termes le même jour nal parle de l'instruction militaire de nos pom piers Tandis que théoriquement les compagnies marchaient par pelotons alignés, celui de Po- peringhe déniait par le flanc. Qu'en dites-vous, MM. les abbés, ils marchent bien vos protégés, n'est-ce pas Allez encore parler de la Philharmonie comme d'une mau vaise Société où les parents ne peuvent pas en voyer leurs enfants. C'est au K.K. que 1 on voit des choses édifiantes et l'éducation ne est des plus distinguées. qu'on y don- Quand la partie de l'article du JVieumbladn où il est parlé des nouveaux impôts, dont le conseil vient de gratifier les contribuables de notre ville, nous croyons avoir traité suffisam ment cette question dans le Progrès et la Toekomste pour ne pas être obligés d'en faire ressortir le ridicule. L'avocat, qui a entrepris la tache de plaider la cause de nos édiles dans la question des impôts, n'a fait qu'aggraver la position de ceux dont l'exécrable gestion est condamné depuis longtemps par leurs malheu reux administrés. Agent de vente pour Ypres et les environs, A. Vanderstuyft-Devos, au BOC, Grand'Place, Ypres. et bourdonnements dans la tête. ASSOCIATION AGRICOLE (agréée par arrêté Royal du 28 Juin 1848). Nous avons l'honneur de porter votre con naissance que, par décision ministérielle, dix Conférences publiques et gratuites sur la ZOO TECHNIE, seront données par MÉDECIN-VÉTÉRINAIRE, A L'HOTEL-DE-VILLE D'YPRES, Salle du Rez-de-Chaussée Les Samedi ci-dessous indiqués, 10 1/2 heures précises du matin Sam., 14 Septembre 1889. 28 id. 12 Octobre 26 id. 9 Novembre s 23 Novembre 7 Décembre 21 id. 4 Janvier 1890. 18 id. Nous espérons que vous aurez l'obligeance d'inviter vos amis et connaissances assister ces leçons. Agréez, Messieurs, l'assurance de notre consi dération distinguée. Chev. G. de STUERS, E. DUSILLION. F. MERGHELYNCK. DE DE Y NÉ. 2e 3e 4e 5e 6e 7e 8" 9e 10e A BRUXELLES. Merveilleux. Une seule boîte de PASTILLES, WALTHERY, suffît toujours pour guérir les Rhumes, Bronchites, Maux de gorge, Oppression, etc. Un franc partout. Exposition internationale de produits alimentaires Paris. Mariages Décès HOUBLONS. Londres, 2 Septembre. Il y a déjà au mar ché un bon approvisionnement de nouveau hou blon, lequel est beaucoup supérieur par rapport la qualité aux récoltes de ces dernières années et comme les prix sont considérés comme mo déré, un assez bon courant d'affaires est arrivé conclusion dans les meilleurs échantillons. iz; 3 00 -a Eâ J «s N 00 a co g H- >- w is lg 2 .2 g -"S tZ n M. MEIER, dentiste de Courtrai, a l'honneur d'infor mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son cabinet dentaire est transféré chez Mme veuve Van Kemmel, Grand'Place, 5, Ypres, où il seraà consulter tous les Same dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures de relevée. Le RÉNOVATEUR, liniment antiseptique, guérit radica lement toutes les blessures des animaux domestiques. Re pousse du poil dans les conditions absolument primitives. CERTIFICAT, N° 36. Je soussigné, J. Niset, demeurant Bruxelles, rue du Berceau, déclare qu'en diverses circonstances je me suis servi avec succès du liniment Le Rénovateur. Dans un cas un ponney ayant une blessure de plus de quarante centimètres de long sur huit de large a été guéri en douze jours avec repousse du poil. Un couronnement a été guéri en six jours. Enfin je déclare que de tous les produits vétérinaires dont j'ai fait usage Le Rénovateur est le seul qui produise uneguérison radicalesans inflammation ni engorgement et fasse repousser le poil dans les conditions primitives. (Signé.) J. NISET. Bruxelles, le 27 Septembre 1887. Pour vos factures, entêtes de lettres, etc., n'employez que du Papier Royal Lyon en vente au bureau du Journal et chez les imprimeurs-papetiers. Dimanche, dix heures du matin, un accident mettait en émoi la rue Nationale, Montpellier (France.) Madame de Marcère, femme du secrétaire général de la Préfecture, se précipitait au balcon du premier étage de sa maison, les vêtements en flammes, et poussait des cris déchirants. Au moment où elle allait se jeter dans la rue, un ci toyen courageux, typographe de son étal, l'étreignait dans ses bras et l'entraînait dans l'appartement où on parvenait éteindre le teu. Le sauveteur avait les bras grièvement brûlés et a dû être transporté l'hôpital. Quant Madame de Marcère, son corps entier n'était qu'une plaie, l'ex ception des seins, ub peu protégés par le corset. La pauvre jeune femme est morte la nuit, après des souffrances atroces. Elle était âgée de vingt-deux ans. Plusieurs versions ont été mises en circulation pour ex pliquer l'accident. Voici la seule véritable son lit étant infesté de punaises, elle l'avait fait badigeonner au pétrole par la bonne. Le travail fait, elle eut l'imprudence de l'examiner avec une allumette qu'elle jeta. Le liquide ré pandu terre s'enflamma; le feu se communiqua aux vête ments. On sait le reste. La manière de s'en guérir chez soi. Envoi d'une bro chure de 132 pages illustrées contre 0-30 c. S'adresser chez J. H. Nicholson, 4, rue Drouot, Paris. de l'arrondissement d'ypres, A Messieurs les Membres de l'Association Agricole. JJUsstettrs, les délégués du comité le secrétaire. Ie -o-oCSs^Oo-c- Michel Strogo/f voit son succès s'accroître chaque re présentation. La vaste salle ne désemplit pas et d'après les feuilles de location celle grande vogue ira s'accentuant. Les matinées n'ont pas moins de succès que les soirées, aussi la direction nous prie-t-elle d'annoncer qu'elle don nera une troisième Dimanche prochain, 8 Septembre. On commencera 11/2 h. pour finir 4 3/4 h. Cette fois le magnifique drame de Jules Verne et d'Ennerv aura un attrait nouveau. Un important divertissement intercalé au 3' acte et danse par M"e Sozo et les 60 dames du corps de ballet. Ce divertissement a été monté avec beaucoup de soin et tout fait présager un éclatant succès. C'est M. Gra- ziani qui a écrit la musique de ce ballet qui donnera Michel Strogoff et ses splendeurs une vogue nouvelle. Le soir, 8 h., 28" représentation. Celte exposition s'ouvre le 15 Septembre et sera fermée le 31 Octobre. Tous les produits alimentaires, sans excep tion, y sont admis. Pour de plus amples renseignements s'adresser au commissaire délégué pour la Belgique et la Hollande, Rue des Récnesses, 3, Gand. du 30 Août au 6 Septembre 1889. Naissances Sexe masculin, 2, idem, féminin, 7. Lepoutre, Achille, employé de télégraphe, et Astaes, Silvie, sans profession. Bartier, Charles, écangucur, et Raes, Pharaïlde, sans profession. Van Belle, Paul, em ployé de commerce, et Becuwe, Romanie, sans profes sion. Ghyssaert, Octavie, religieuse, 22 ans, rue Wenninck. Sinave, Adélaïde, sans profession, 84 ans, veuve de Désiré Lapierre, rue de Lille. Faes, Jeanne, sans pro fession, 70 ans, célibataire, rue de l'Hôpital S1 Jean. Enfants au-dessous de 7 ans: sexe masc. 3, id. fém. 3. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 7 Septembre 1889. NATURE des GRAINS ET DENRÉES quantités vendues kilogrammes prix moyen PAR cent kil0gr. poids m" de l'hecto litre. 7,000 18 25 80 3,300 13 00 73 700 13 00 44 000 0 00 80 Féveroles 300 19 00 80 Pommes de terre 6,000 5 50 Beurre 16,411 Moicaïc"* 290 00 OEufs le quarteron 2 30 H hh m M H W S- TS H Ph h-1 H O CD OO OO LU GC s LU cn h- O) DU LU CM CO LU -J w H O u e vis c o e 1 u o m la o m sfi o es m es On JL 0 o s- -Q OJ O -a .tî c© (■s -a OO -Pcq o" CD cl-, ct cci est p=: S Êcj 1:3 e— m prêt g CD ca J? f—H O o a u o LU V CE o Oh o a a o O on o £3 2 w 'a 2 a ir - rt '03 oo oo X i—i Ph OH O m O Pi CD .c8 OO a cd 3 tS"-3 r WtS 2 g c3 R H rH oh •43 o 2 h is fi 's S O C5 3 - £h Oh .2,^ .ci -§ g> J g S V© t'A cs m p B «s oq ni T5 .r-» m o m O -h Ph oq '"d d •43 2 -2 43 P y 2 'S m 2 Jo qo •H .08 Cx2 g fifi S ph □q m* 09 A o H

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Le Progrès (1841-1914) | 1889 | | pagina 3