n Nouvelles diverses. Théâtre de la Bourse Variétés. *!§ts h S H il Agent de vente pour Ypres et les environs, A. Vanderstuyft-Devos, au BOC, Grand'Place, Ypres. Merveilleux. Une seule boîte de PASTILLES WALTHERY, suffit toujours pour guérir les Rhumes, Bronchites, Maux de gorge, Oppression, etc. Un franc partout. Le collectionneur. Avis très important L'ANNUAIRE GÉNÉRAL DES SOCIÉTÉS DU ROYAUME DE BELGIQUE comprenant de nombreuses annexes, donnant cinq an nuaires, inédits et différents, dans la même édition, plus une prime exceptionnelle et gratuite. Alost, 11 Septembre. La cueillette du hou blon est aujourd'hui générale et par le temps dont nous sommes favorisé se fait dans les meil leures conditions. Le premier choix est superbe et bon. Le rouge et le noublon dont la cueillette sera négligée par le planteur recevront un certi ficat de 2me qualité, ce qui sera également im primé sur les balles appartenant cette classe au moment de l'expertise. in g M - g "S s p o u M 0 P j© «S CO CO II Cet affût ne pourra être pratiqué que le soir, pendant quinze minutes, après le coucher du soleil, dans l'intérieur des bois de 10 hectares au moins et par les propriétaires de ceux-ci ou leurs ayants droits. M. MEIER, dentiste de Courtrai, a l'honneur d'infor mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son cabinet dentaire est transféré chez Mme veuve Van Kemmel, Grand'Place, 5, Ypres, où il sera consulter tous les Same dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures de relevée. _£2S_ Pour vos factures, entêtes de lettres, etc., n'employez que du Papier Royal Lyon en vente au bureau du Journal et chez les imprimeurs-papetiers. Le RÉNOVATEUR, liniment antiseptique, guérit radica lement toutes les blessures des animaux domestiques. Re pousse du poil dans les conditions absolument primitives. CERTIFICAT, N° 36. Je soussigné, J. Niset, demeurant Bruxelles, rue du Berceau, déclare qu'en diverses circonstances je me suis servi avec succès du liniment Le Rénovateur. Dans un cas un ponney ayant une blessure de plus de quarante centimètres de long sur huit de large a été guéri en douze jours avec repoussu du poil. Un couronnement a été guéri en six jours. Enfin je déclare que de tous les produits vétérinaires dont j'ai fait usage Le Rénovateur est le seul qui produise une guérison radicale sans inflammation ni engorgement et fasse repousser le poil dans les conditions primitives. (Signé.) J. NISET. Bruxelles, le 27 Septembre 1887. A BRUXELLES. Deux représentations et non pas une comme on l'avait annoncé seront données au Théâtre de la Bourse la semai ne prochaine au profit des victimes de la catastrophe d'Anvers. L'une est organisée par la Direction pour le Vendredi 20 courant avec des intermèdes où figureront des artistes de premier ordre; l'autre aura lieu le Lundi 23 parles soins de la Société des Anciens Officiers et Sous-Officiers de l'armée belge, elle n° sera^ pas moins brillante que la première. On jouera Michel Strogoff. M. Pottier a remplacé depuis Mercredi M. Lortheur, le joyeux Blount. M. Potlier a compris son personnage en lui donnant un caractère comique qui lui a valu un grand succès. ..H Voici une amusante fantaisie de Raoul Toché, dans l'Echo de Paris Hier, j'ai rencontré un vieux collectionneur de mes amis. Dans sa vie, déjà longue, cet homme a collectionné un peu de tout. Il eut successivement une fort belle collec tion de puces calabraises (espèce fort rare) puis ce furent des durillons de forçats puis vint le tour des virginités d'alouettes et des exostoses de grands d'Espagne. Pour l'instant, il collectionne les mots historiques. Ah me dit-il, vous me voyez bien ennuyé Et pourquoi lui demandai-je avec intérêt. Parce que je me trouve subitement arrêté dans mon travail. Je possède déjà quatorze cent mille huit cent soi xante-treize mots historiques, tous de première qualité, et il m'en manque un, un des plus importants, dont l'absence seule suffit déparer toute ma collection. Et lequel Le mot de Cambronne. Je regardai mon homme avec étonnement. Mais, lui dis-je, ce mot est au contraire très connu et vous pourriez facilement... Erreur s'écria-t-il. Vous pensez bien que je ne m'avance pas au hasard et que tout ce qui entre dans mes carions doit être absolument authentique. Or, personne ne sait au juste ce que Cambronne répondit l'officier an glais qui le sommait de se rendre. J'ai consulté les auteurs les plus sérieux, et après de nombreuses éliminations, je demeure entre deux versions complètement différentes et qui se contredisent l'une l'autre. Expliquez-vous Volontiers. Dans certains ouvrages, on lit A cette demande, Cambronne répondit cinq lettres... Il est peu probable que dans une circonstance aussi critique de sa vie, ce brave militaire ait pris le temps et la peine de se faire apporter tout ce qu'il faut pour écrire et de rédi ger cinq missives l'adresse de son ennemi. En effet. Il vaut donc mieux supposer que, dans l'espèce, il s'agit d'un mot unique composé de cinq lettres C'est évidemment plus raisonnable. Mais là, nous nous heurtons contre la deuxième version, qui attribue Cambronne la phrase suivante La garde meurt et ne se rend pas. Remarquez bien que cette phrase se compose, non pas de cinq lettres, mais de vingt-cinq, qui, divisées elles mêmes par cinq, don nent ce résultat 1° Lagar 2° Demeu 3° Rtetn 4° Esere 3° Ndpas Cambronne a-t-il donc prononcé toute la phrase ou seulement une de ces cinq fractions, et, dans ce dernier cas, laquelle.convient-il de lui attribuer Mon Dieu, répondis-je, il y a une manière bien sim ple de mettre tout cela d'accord. Prenez, par exemple, une lettre dans chacune des fractions constatées. Troisième du numéro deux troisième du numéro trois cinquième du numéro un deuxième du numéro cinq troisième du numéro quatre additionnez le tout et vous arriverez peut-être quelque chose. Son œil s'illumina. Je vais essayer me dit-il. Et, quoi qu'il arrive, merci, pour ce que vous*venez de me dire. Il n'y a pas de quoi, répondis-je. LFremdenblatt, de Vienne, raconte une piquante anecdote Une dame fait une chute et se blesse légèrement l'épaule. Un médecin est appelé; il examine, tàte, palpe, ordonne une friction calmante, et rassure la vic time. Ce ne sera rien, comtesse, n'ayez aucune inquié tude... Et maintenant vous seriez bien aimable, de me donner de quoi me laver les mains. Mouvement de la dame. Oh dit le docteur, voyant le coup de temps, c'est un principe, une habitude. Je me lave toujours les mains après chacune de mes visites. La dame ne dit mot et fait servir au prudent doc teur aiguière, cuvette et serviette. Mais le lendemain, quand il revient pour voir comment elle se porte, elle l'accueille par une seconde édition de cet appareil de propreté. Mouvement du docteur. Pardon, dit la comtesse, c'est un principe. Vous vous lavez les mains après le contact. Je tiens èe que vous vous les laviez avant,. Un joli mot de pochard se présentant l'hospice d'alcoolisés Est-ce que vous traitez les ivrognes, ici Oui, mon ami. Eh bien alors, où est le comptoir Un peintre, qui a d'ailleurs peu de talent, reçoit l'autre jour la visite d'un marchand de tableaux Que me donnez-vous de cette toile dit l'artiste. Vingt-cir.q francs. Vingt-cinq francs! vous plaisantez, je ne meurs pas encore de faim. Le marhand, tranquillement J'attendrai. pour les nombreux intéressés qui n'ont pas encore fait parvenir l'éditeur Ve Ch. VANDERAUWERA, 16, rue des Sables, Bruxelles, leurs bulletins de rensei gnements pour figurer dans Annuaire général des sociétés de tous genres, y com pris les sociétés anonymes Annuaire des Châteaux; A nnuaire de la Finance A nnuaire de la Presse 4Annuaire du Sport. Précédé ou suivi de notices, re vues, éphéraérides des principaux événements politi ques, littéraires et artistiques; de la date des concours et des expositions d'art, d'agriculture et d'horticulture de l'année écoulée; des renseignements généraux et spéciaux sur les sociétés de tous genres: d'agrément, musicales, littéraires, etc.; sociétés anonymes ou non, d'exploitations techniques, industrielles ou financières: Banques, caisses de crédit, agents de changeassuran ces; des notices historiques, biographiques et renseigne ments divers sur les châteaux et leurs propriétaires sur les haras et les écuries de courses et de luxes sur les journaux quotidiens, hebdomadaires et écrits périodiques. Toutes ces différentes matières seront traitées dans l'ouvrage par la Direction de l'Annuaire, sans ex ception ni distinction de partis. Cet Annuaire qui formera un beau volume in-8° d'environ l.î'OO pages paraîtra très prochainement: il coûtera 7 francs en souscription payable la récep tion du volume), mac, une magnifique piime GRA TUITEportrait carte-album du souscripteur inséré dans l'ouvrage, et 9 francs sans prime en librairie pour les non-souscripteurs. N. B. La demande l'éditeur par carte postale d'un bulletin de renseignements remplir, n'entraîne pas l'obligation pour notre correspondant de souscrire un exemplaire de l'Annuaire. i. .^iCgjiP HOUBLONS. VI U G CD H - s "*H o G G i TU _L fJ'O C S "G o O .2 O G -i-3 5? S- G U O- g O UU P 9 a« VI p© s- G rr> g -G t_ G g bC G TU - g.! s O 2 S 3 gj S oS C a. o 'S S 3 1= G O C/3 Q. O O s i-J V3 C3 S G G3 ©08 G G O 5-w G c3 TU O G O .i"-5 TU G VI s® I VI S-3-oS 3 m o 3 2 S S. o.-rt g£ ta C ac3 ■§«1-2 8 .S MU "43 - to a 3 3 v a a M° t« <o s. Cfl I w J g 3 b© G fc- o o 05 bD -*-3 S <o 50 'a M ÏC Q. cd o a o a. as os ce Js G G G w - ©-a C/7^3 'Sj C- c/Î <33 G o-, Gj i- <~r. r—\ |»|ss3 UÎSj a S: t. T3 +3 G 2 Ç/3 cG G- +-» w S S a® cj GO G G I G G O G ©t-H S a a. S o S a Sesg a s- «m s S 3 a: <SûJ.a Si -j S g aa 50 C5 ,3 2 S S O a a oPh-« oj - G ■"S O -o "3. S* ce s* CL O a. s* m u <D G O TU 0 0 -a TU C G S N 10 15 .a C^JG 'S E a S sa m pQ a i M C-® bD"*"3 j O VI bc bXD G O es O bû irj rw ce ~a I- ta g n a a® a L- ta O bD S a •a g A s B G 1 l I G z. ©.2 tu îu 'S M S G .5 c3 C3 G 1 ta|i ^©^^©-^29 G 5» ÎU c3 o c/5 S-o! ^"8 -G -. 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HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1889 | | pagina 3