Bibliographie. AUX SOURDS. Attention État-Civil d'Ypres, Marché d'Ypres. HI VAi lM A ARABICA Un impair de Félix. Mariages Décès HOUBLONS. n eenige stuhken uitgevoerd, die buiten aile rermach- ting ml geluht hebben en eere doen aan bestier en muziekanten. 'S avonds had een groot en schoon avond- n feest plaats, in den Katholieken Kring, die de ledén eenen alleraangenaamsten avond heeft doen doorbrengen, en den grootsten bijval ge- 7i nooten heeft. Er was veel schoon volh en ailes is ml afgeloopen,nog eens tôt eere der inrichters van dit schoon feest. s»—•c' Si le mois de Novembre, qui vient de se ter miner, a été signalé par une série de fêtes, le mois de Décembre promet, son tour, de ne rien laisser désirer sous ce rapport et procure ra aux braves Poperinghois l'occasion de se con soler des frimas dont ils sont gratifiés. Pour commencer, les infatigables amateurs de la Société de Roeysche Barbaristen leur ont offert une charmante soirée qui a attiré beau coup de monde. Empressons-nous de dire que, comme d'habi tude, no3 artistes amateurs ont mérité les plus grands éloges et que tous ont acquis un nouveau titre la reconnaissance des nombreux specta teurs qui se pressaient dans notre salle de théâtre. L'orchestre aussi a été très applaudi. Puissent ces bonnes soirées se répéter encore souvent pendant le courant de l'hiver. Le 17 Décembre prochain, représentations ex traordinaires de la Société de S1 Victor. Le lr Décembre dernier, la musique du K.K., l'occasion de la fête patronale de MM. Berten, bourgmestre et membre de la Chambre des Re présentants; Baeckeroot, commandant des Pom piers et le petit Félix, officier de musique de ce corps, s'est permis, sous prétexte de leur donner une sérénade, d'écorcher les oreilles des pauvres habitants de Poperinghe. Dans de semblables circonstances, il a toujours été d'usage de réserver les honneurs de la mani festation au premier magistrat de la ville qui est, en même temps, président de droit de la musi que communale. Il paraît que tout cela est changé, car Félix auquel, en sa qualité d'officier de musique, in combait le soin de diriger la manifestation, en avait décidé autrement. Au lieu de réserver la plus brillante sérénade M. Berten, il se con tenta de faire jouer deux petits morceaux devant la demeure de celui-ci, ainsi que devant celle de son commandant, se réservant pour lui seul un concert. Devant la porte du troisième Félix, les choses se passèrent autrement et la musique fit pendant une demie heure un tel vacarme que MM. Bae ckeroot et Berten ne doivent pas regretter l'im pair commis par le maladroit lieutenant de musique. Au fond, l'affaire est de très peu d'importan ce, elle prouve seulement que, quand on occupe Une position élevée dans une société, il fait tou jours bon d'avoir un peu de tact. Le comte de Chambrun. Ses études politiques et littéraires. A Bayreuth... Wagner tient au tant sa poésie qu'à sa musique la poésie ex prime et raconte, la musique ne daigne pas, elle polyphonise. Les deux soeurs sont inséparables, indivisibles, elles sont sorties le même jour, la même heure, tout armées, du front du même et seul Jupiter, l'une parlera, l'autre sonorisera. Mais que la musique exprime des sentiments et des pensées ainsi que l'a fait le troupeau vul- taire de tous les compositeurs, il sied mal la ignité, la majesté, la divinité de Bouddha. Imaginez un architecte qui n'édifiera que la façade d'un palais, sa surface sans profondeur, sans appartement, point de salle du trône ou des gardes un statuaire qui, au fronton d'un tem-' pie, ne représentera que les membres et les tor ses de ses dieux et de ses héros en nous cachant leurs têtes un peintre dont l'œuvre ne Bera remplie que par de beaux et magnifiques tissus d'or et de pourpre, telle est la musique, sinon des Maîtres chanteurs, du moins de Parsifal et de Tristan c'est l'art pour l'art, la musique pour la musique. Mais comme ici, la différence des arts plastiques, se joint cette autre grande sœur, la poésie, il se forme un ensemble, un tout, une vie et là où l'une se réserve et se tait, muette, par une invention sublime, silencieuse par un miracle, un prodige du génie, l'autre dit, ex prime et sent. Peu de médicaments pectoraux pourraient fournir en leur faveur des attestations aussi im posantes par leur nombre autant que par la valeur des médecins illustres qui les ont données, que la Pâte Regnauld, et lorsqu'on peut citer entre autres, MM. Récamier,médecin de l'Hôtel- Dieu Bouiilon-Lagrange, directeur de l'Ecole de Pharmacie Pariseî,' secrétaire perpétuel de l'Académie de médecine de Guise, chirurgien en chef de l'hospice de Charenton Dr Doin, médecin de la société de prévoyance, etc. etc., on ne saurait être plus exigeant. Pour vos factures, entêtes de lettres, etc., n'employez que du Papier Royal Lyon en vente au bureau du Journal et chez les imprimeurs-papetiers. M. MEIER, dentiste de Courtrai, a l'honneur'd'infor mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son cabinet dentaire est transféré chez M'"" veuve Van Kemmel, Grand'Place, 5, Ypres, où il sera consulter tous les Same dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures de relevée. Une personne guérie de 23 années de surdité et de bruits d'oreilles par un remède simple en enverra gratis la des cription quiconque en fera la demande Nicholson, 4, rue Drouot, Paris. Le RÉNOVATEUR, liniment antiseptique, guérit radica lement toutes les blessures des animaux domestiques. Re pousse du poil dans les conditions,absolument primitives. CERTIFICAT, N" 226. Monsieur De Myttenaeré, pharmacien, Bruxelles. J'ai employé en diverses circonstances votre liniment antiseptique le Rénovateur, et je suis très-heureux de pouvoir vous déclarer que toujours j'en ai obtenu les meil leurs effets pour une prompte cicatrisation. Agréez Monsieur, l'assurance de ma parfaite considé ration. (Signé.) B00 LUNDEN. Colonel du 2"" régiment de Guides. Bruxelles, le 18 Septembre 1889. Agent do vente pour Ypres et les environs, A. Vanderstnyft-Devos, au BOC, Grand'Place, Ypres. Avis important aux bouchers. Il est porté la connaissance des intéressés que dès maintenant il n'y a plus un boucher qui doit se déranger. Méfiez-vous tous des marchés, ne vous rendez plus par des temps orageux, la campagne pour acheter vos marchandises. Non, c'est bien plus facile que ça. Allez chez le livrancier de l'Institut Royal de Messines chez lui, on vous fournira la marchandise, première qualité fr. 1-06 le kilq, soit bœuf, porc, veau gras ou mouton. Toutefois, pour qu'il puisse continuer bien vous servir, mettez-y un sup plément de quelques centimes, prenons fr. 1-50 le kilo par bête entière, aussi de la première qualité. De cette manière il aura beaucoup d'es time pour se3 clients et tous les bouchera seront excessivement contents. Jamais, il n'y a encore eu un livrancier comparable celui d'aujour d'hui, un homme qui, par ses bas prix aidera sans doute faire prospérer cet institut. Je ne doute que MM. les membres de la commission aient été trompés, mais leur grand avantage. Ils n'ont jamais pensé avoir un si ba3 soumis sionnaire. Puisse Dieu lui accorder de nombreu ses années, afin qu'il se procure 1° une fortune colossale et 2° qu'il reste .fqqgj^mps le livraaf de l'Institut Royal deJtààssthès.. Communiqué)- - - cier du 29 Novembre au 6 Décembre 1889. Naissances: Sexe masculin,B, idem, féminin, 5. Deturck, Henri, garçon-boulanger, el Lombaert, Elise, servante. Delahaye, Alphonse, charron, et Tyberghein, Pharailde, dentellière. Postel, Benoît, ex-agent de police d'Anvers, 45 ans, époux de S1 Pierre extra. Vanhee, Benoît, sans profession, 7a ans, veuf de Sophie Philips, rue de Dix- mude. Moreeuw, Colette, servante, 4a ans, célibataire, rue de Menin.Voorholt, Joseph, sans profession, 70 ans, veufd'Eléonore Legrand, rue de Lille. Verborgh, Viclorine, tailleuse, 18 ans, rue du Lombard. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe Ma se. 1, id. féra: 1. ÉTAT indiquant les quantités el le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 7 Décembre 1889. NATURE quantités pbix moyen poids m' u des vendues pait de cent l'hecio- GRAINS ET DENRÉES kilogrammes kilogr. lilre. 20,600 18 50 80 Seigle 3,000 14 62 73 Avoine 1,100 15 30 44 1,000 19 00 80 Féveroles 1,700 18 00 80 Pommes de terre 4,000 6 00 Beurre 17,193 300 00 OEufs le quarteron 3 70 Londres, 3 Décembre. Affaires par conti nuation actives et les prix plutôt plus élevées qu'on accorde généralement n'ont nullement empêché la consommation opérer sur un bon Eied. Les houblons étrangers sont également en ausse, avec des stocks généralement restreints. ftAlVTlâl rendue sans médecins et san s purges et sans frais par la délicieuse farine de santé Du Barry de I.ondres. dite Quarante ans d'un invariable succès,en guérissant les constipa tions dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies,glaires vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diarrhée, dysscnlerie, coliques, phtisie, toux, asthme, étoulfemenls, étourdissements, oppressions, congestions, névrose, insomnies, diabète, faiblesse, épuisemen t anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, membrane, muqueuse, cerveau et sang. C'est eu outre l'aliment par excellence qui seul réussit éviter tous 1er accidents de l'enfance. 100.000 cures annuelles, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas; de Sa Sainteté feu le Pape Pie IX, de Mme ta duchesse de Cast- lestuart, le duc de Pluskow, Mme la marquise de Bréban, lord Stuart de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur Roulb etc etc. Cure N" 03, 476: M. le curé Comparet, de 18 ans de dyspepsie, de gastralgie, de soulfrance de l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs nocturnes. Cure N» 99,625. Avignon, 18 Avril 1876. La Rcvalenta Du Barry m'a guérie, l'âge de 61 ans, d'épouvantables souffrances de vingt ans. J'avais des oppressions des plus terribles, ne plus pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habiller, ni déshabiller avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ce.' angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Rcvalenta m'en a sauvé complètement. Bokrkl, ncc Carbonnettey, rue du Balai, 11. Cure N'° 98,614 Depuis des années, je souffrais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irritation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalcnla. i soi» Prtclkt, instituteur, Eynanças (Ifaute-Vienne) M. Gauthier, Lnzarches, d'une constipation opiniâtre, perte d'appétit, catarrhe, bronchite. La femme de M. le inaire de Volvie, d'une irilation pulmonaise avec crachement de sang et toux opiniâtre. Rapport du docteur Routh, médecin en chef de l'hôp'tal Samari tain des femmes et des enfants, l ondrcs Naturellement riche en éléments indispensables an sang paur développer et entretenir le cerveau, les nerfs, les chairs et les os la Rcvalenta est la nour riture par excellence qui. seule, suffit pour assurer la prospérité des enfants et des malades de tout âge. Beaucoup de femmes et d'enfants, dépérissant d'afrophie et de faiblesse très prononcées, ont été parfaitement guéris par la Revalenta. Aux patients phtbisi- ques, étiques et rachitiques elle convient inieix que l'huile de foie de morue. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines En boites. 1/4 kil., fr. 2-25; 1/2 kil.. 4 fr.; 1 kil.7 fr.; 2 1;2kil.,1G fr.; 6 kil.. 36 fr 12 kil., 70 fr. Les biscuitde Reoalenta, eu boîtes de 4et7 fr. La Revalenta chocolatée 1/2 livre, fr. 2-25 1 livre, 4 fr.; 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste franco. Dépôt partout, chez lcs,pharmaciens et épiciers Du llzair et Cm. limi- tetS-^-Agent général pour la Belgique. M. Emile T1MMERMANS, ruêffeuppe. 4. Bruxelles. -Dépôt MOORSLEDE, Ch. Bostyn, boulanger. YPhtS. Stassin, pharmacien, a Dehouck, pharmacien. A. Dclhaizeet C».

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Le Progrès (1841-1914) | 1889 | | pagina 3