S-V pacCa'jg'fffldôp A l'unanimité vajv Agréez*"-"f." 7PééT'suUt-.pi un prochain n°j. Chronique judiciaire. LiSte/dèfl-j tirés a ni sont appelés a.'juger les cau- àehdéfêr'éet ja prochain^ session des assises, ..- jjdoût rouvèç^re aura liéu le Lundi 19 Janvier, Sous la praâiaênce de M. Uiondry, conseiller 'i. la Çhijtr à'^pel de Gand, i'#. V--*!1* £«•.-Jifrés tihiïdîtes. négociant, éloISsIirftrL-, id.Ypres. te, P., propriétaire Iweins, 1 Leuridan^^P^^isÉli vat eiit; Baron de j Moere. jS^uges VJamertinghe Van Merris, E., rentier, Poperinghe. Stabels, V.; marchand, Courtrai. Van Neste, D., tanneur, Bruges. Bouquet, P., marchand, Ypres. Merlevede, G., propriétaire, Furnes. Lemé, Ch., corroyeur, Bruges. Vanden Berghe, Ph., brasseur, Ypres. Van Mullem, Em., distillateur, Bruges. Moenaert, D., cultivateur, Eggewaartscapolle. Wyckhuyse, G., industriel, Ypres. Syoen, B., bourgmestre, Loo. Sabbe-Doncker, E., négociant, Poperinghe. Van Huele, Ch., brasseur, Breedene. Bsague,' A., négociant, Comines. Goutschalck, A., rentier, Warnêton. Termoie, L., notaire, Bruges, de Thibault de Boesinghe, Em., propr., id. Dugardyn, J., négociant, id. Pede, A., id., Ostende. Van Caillie, F., id., id. Lahaye-Sioen, A., brasseur, Poperinghe. Billiet-Tynck, cultivateur, Hooghlede, Deweerdt, J., pensionné de l'Etat, Ostende. Van Caillie, C., propriétaire, Bruges. Naert, A., architecte, Bruges. Ensor, L., propriétaire, id. Van Poelvoorde, L., hôtelier, id. Marlier, P., négociant,.id. Nos souhaitsr^ Cy le Progrès fait, très heureux Ses souhaits de nouvelle année, Espérant que la destinée Voudra réaliser ses vœux. A -tous ses lecteurs il souhaite Suivant les termes adoptés Bonheur complet, prospérités, Gaîté d'esprit, santé parfaite A ses lectrices aux beaux yeux, Un doux et prospère hymenée Une existence sillonnée t De rires perlés et joyeux K* V3f- Cy le Progrès fait, très heureux Ses souhaits de nouvelle année. Janvier 91. E. L. Un milliard pqpe En argent, 5,000,000 de kilogrammes En or, 325,'580 kilogrammes En billets de 1,000 ffl-?780 kilogrammes -M En billets d© 100 f'r.-pn ,'500 kilogrammes Çour le transport ^iin milliard, en considé- râht' qii'un hom'mé^jiôyle 100 kilogrammes, il faudrait En billets de .1,000 fr., 18 hommes -e Én hjllets de 100 fr., 115 hommes 1-m Qr, 3,225 hommes ."En argent; 50,000 hommes. fl Un milliard, en billets de 1,000 francs, forme rait 2,000 volumes de 500 feuilles -- Une Ejf.T^ition internationale de produits aygî6ïi4qttes eh Alimentaires aura lieu Bruxel les, au Musée .Oastan, Passage du Nord, du 15 AVRIL AU 31 MAI prochain. Le Comité organisateur de cette Exposition a décidé que le montant net des entrées serait con- jeré des œuvres de bienfaisance. j6s adhésions seront reçues dès préset jusqu'au 15 Février, au Secrétariat Boulera Anspach, 460, (entrée par la rue du Bon Secou^ IjTLes bureaux sont ouverts de 2 5 heures. i m> -i'J- que le Conseil communal pourrait être autorisé re- s fuser les distributions de secours aux parents pau- vres qui n'enverraient pas leurs enfants aux écoles il a ajouté que cette obligation ne devait pas être in- sérée dans la loi, qu'elle existait de fait. Cela me suffit, puisque cela se fait et pourra encore se faire Dinant (donc Ypres); eh bien! M. le ministre n'y trouvera pas redire, il laissera subsister les choses. Alors je supprime ce de mon amende-? ment. Ainsi donc, il résulte du rejet de l'amendement de la section centrale et du retrait motivé de la proposi tion de M. Pirson, que vous n'êtes pas sortis de la lé galité, en rayant des listes de distribution de secours, les parents pauvres qui refusent d.'ertvoç leurs en fants l'école de la ville En usant de ce droit, vous avez rempli un devoir impérieux. Les membres des, administrations charitables sont les- tutéurs des pâhvres, ils sont chargés non-seule ment de leur assurer le pain quotidien, mais encore, si nous.pqqyons parler ainsi, le pain de l'intelligence J~;yent h leurs pauvrésVmutre des soins matériels, ^oraux, et leu,r s(§licitude doit s'étendre aux j e -.i^es comme aux e^rps. Mais, dira-t-on, pourvu que l'enfant du pauvre rq- Çêivel'instruction, qu'importe si elle lui est donnée l'école communale ou dans une institution priyée, d'en seignement. Le choix de .l'école, dirons-nous, est d^une haute ."(importance- Smës aîministrations charitables doivent veilter- consciencieusement ce que le pain, les denrées, les vêtements, etc., remis aux pauvres, soient de bonne qualité, ne doivent-eljes pas aussi en conscience veil ler ce que l'instruction donnée leurs pupilles soit bonne, suffisante et en rapport avec lés besoins so ciaux des enfants qui la-reçoi vent. Et comment le maître des pauvres pourra-t-il exer cer ce contrôle, si ses pupilles fréquentent des écolM dont l'accès lui est interdit et où toute surveillance Hui est rendue impossible. Un tuteur, en négligeant ce poiflt les intérêts.qui lui sont confiés, s'exposerait à- être destitué par le conseil de famille, comme l'admi nistration charitable qui ferait fournir des denrées dont l'inspection lui serait interdite, mériterait-de graves reproches de la part de l'autorité supérieure. Sans vouloir juger, ni surtout dénigrer les écoles li bres, il est permis d'affirmer que toutes ne présentent pas les garanties qu'un tuteur vigilânt«peut exiger. Nous en avons la preuve en notre ville. Une école^primaire pour garçons est tenue, depuis plusieurs années, au courait des Pauvres Claires-. .Comme«.']es religieuses y^ont cloitrées^ 1 (instruction 'est, assure-t-on, coupée qjdes sœurs converses, renn- plies de zèle et.de bdnnes:intentions, sans dçâite, mais qui, n'ayant pas appris dansk. une .école .nifffiale l'art difficile d'enseigner et n'|yâtit mêm£. âèqufe instruction très élémentaire,jpent des InstUtthMÉf* au moins^ort médiocres. j Qu'a produit cette éêole en 8 ou 10 ans'?' Rien, les" 300 ou 400 enfants qui l'eflteuiviê pendant ce laps de tempssfigurent en grange partie sur les listes des mi liciens rfiettrés, que'nous avons le regret de ^devoir dresser chaque aa«ée. .Cependant cet établissement jouissait, jusqu'à l'épo que de la création-Ile la nouvelle école, créée dans la maison de feu M. De Codt, Hençi, de la sympathie d'une catégorie d'habitants de n^tre ville, qui enga geaient les familles pauvres y Envoyer leurs enfants. Si vous n'étiez intqyvenus, Messieurs, en forçant les parents inscrits sur vos listes, envoyer leurs enfants l'école communale, le nombre^ies ignorants lancés considéraTu^ncôre qu'il ne j'est actuellement. Quoi qu'il.soit, nous nS» croyons pouvoir mieux 'résumer notre«bpinion surTa question qui fait 1 objet de la présente, qu'en vous disant, avec un- honorable re présentant, aujourd'hui sénateur (M. Oogels; séance de la Chambre, du l^Août }M2.) -«Il est bi«n vrai que nous devons l'instruction à.l enfant du pauvre mai? cette obligation ne nous donne-t-elle pas je Irai d'exercer nnuespèee de tutelle Car une chose- ne peut se dissimuler., c'est que généralement- létaire pauvre,'qui ajiesoin de recourir au Bureau de- bienfaisance, es,t le moins apte juger 1 injtruetion. Eh bien 1 ne devons-nous pas juger pour lu»- N'est- ce pas dans soÎPrntérêt N'est-oe pas' 1 intérêt de la société <jhe ces enfants aient une Sowne éduca^^ tion P^isqCê nous avohs fait tout c«£qui dépend^ë" nous paîir assurer la bonne éducafioiF'dnns.Ws éffdfes - Communales,-pourguoi^jpauyre ne sei^t-il paVeww a^tpaint d'y envoyer çes Ces observations ne s'appliquent pas seulement l'instruction don nera l'enfant du pauvre; elles s'appliquent égale ment aux aliments, aux vêtements lui donner. Direz-vous qu'il en a le choix Pas le moins du mon de vous lui donnez ce que yôus croyez lui convenir. Ainsi, sous ce rapport, il sé trouve également dans votre dépendance. Est-il nécessaire de vous rappeler. Messieurs, que notre école communale réunit toutes les conditions qu'on peut exiger d'un établissement, primaire de pre mier ordre, et qu'elle a été citée plusieurs fois comme une école modèle. L'instruction comprend toutes les matières portées a.i programme officiel on y eus. *,e les deux langues un cicrs de musique "réquenté par les élèves qn: savent lies et écrire, a été adjoint 1 école. - Dans les ccn eue "énérèur nos élèves ont mérité les distinctions les pins ••ûàaases. ..abîi 7f r.' ,-t est soumis au régime de la loi du 23 Sepiembio .542. Non-seulement le clergé y jouit des prérogatives et du droit d'intervention consacré par cette ioi, mais, notre demande, le chef du diocèse a bien voulu accorder notre établissement, un aumô nier ou professeur spécial de doctrine chrétienne, qui reçoit un traitement sur les fonds communaux. Cet ecclésiastique joujt'dè:-droits pour ainsi dire illimités, en ce qui côiiôèrne l'enseignement de la religion et de -la morale évangélique. Que.-pouvions-nous faire de plu^dans l'ordre des idées religieuses ous voudrez bien vous rappeler aussi que chaque année les éleve?\qui se sont distingués, reçoivent l epoqu'e de la distribution des prix, des vêtements de y toute espèce, des livres utiles, des instruments de maf thématiques et des livrets de la caisse générale d^ re traite, instituée sous le patronage du gouvernement. Ne sout-ce pas là des avantages matériels dont on doit aussi'tenir compte SOûs tous les rapports donc, notre école communale rqàfete votre confiance et celle des pères de famille. Tels s,»nt les motifs et les considérations qui nous ont déterminé approuver la marche que vous avez cru devoir suivre jusqu'ici: le concours loyal et éclairé.que vous nous prêtez nous permet d"assurer aux enfants de la classe indigente, les incalculables bienfaits qu'une bonne instruction peut seule procurer ces déshérités de la fortune nous vous prions de vouloir bien veiller plus attentivement que jamais, ce que les enfant-, des pauvres, inscrite sur vos listés, fréquentent régulièrement notre établissement commu nal d'enseignement primaire. Vous avez ie droit de rayer de vos listes de distri bution, de secours, les indigents qui refuseraient oii négligeraient d'pbéir, sous ce rapport, vos prescrip tions,^tnla'.plmh'-u.ser ija.ee droit est un -devoir impé rieux que vous n^p'ouvez négliger. .- Telle est notr£ con.vjction profonde. Une interprétation 'le i art.r.S de la-loi dams un autre. <- serts, éftianantvs.ait de l'autorité administrative, soit dfe l'autorité judiciaire en dernîlër .ressort, pourraifseule., nous déterminer vous donner d'aCtres instructions, mais iràtons-nous u*ajoi.iUrjque pareille interprétation nous-Semble impossible. Quant certaine^ hnenaces prétenduement basées sur l'art. 144 de Code pén^, elles ne pourraient sans - doute vous faire dévier deliligne de conduite aussi lé gale que sage suivie par vo$si Nous n'en faisons men- tion ici que-pour vous donner l'assurance que nous" sommes disposés partager la responsabilité que l'on veut faire pesecsur vôus, et même assumer la res ponsabilité entière et complète des instructions, que nous avons l'honneur de vous transmettre. La présente dépêche a et&lue en séance du Conseil communal et approuvée, pour autant que de besoin, |c- Coup 'd'assises de la Ffaridreï ocefdeàtale. .A Jurés supplémentaires. Un milliardSait-on le poids que représente un milliard m-. On se charge au bureau du journal de l'impressid des cartes de visiies^et de tous genres de travaj "d'iMprs^sion tanfBD'lithographie qu'en typograpl

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Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 3