THE CHA État-Civil d'Ypres, Marché d'Ypres. Boesinghe, Brielen Dickebusch Elverdinghe Noordschote, Oostvleteren, Reninghe, Vlamertin- ghe, Voormezeele, Woesten, Zuydschote, Passchen- daele, Zonnebeke, Bas-Warnêton, Comines, Ghelu- we, Hollebeke, Houthem, "Wervicq et Zandvoorde. II. Seront seuls admis aux Concours les ani maux appartenant des agriculteurs domiciliés dans le ressort du Comice Agricole d'Y près, et, en outre, les animaux appartenante, des cultivateurs ou éleveurs domiciliés en dehors du dit ressort, qui sont mem bres dû Comice d'Y près, pourvu qu'ils soient do miciliés dans l'arrondissement judiciaire d'Ypres ou dans le canton judiciaire de Rousbrugge- Haringhe, et que les animaux se trouvent depuis le Y Octobre 1890 au moins dans la dite circonscription, et appartiennent l'exposant. Le concurrent devra produire pour chacun de ses animaux primés aux présents Concours et, en déans le délai ci-dessous indiqué, un certificat délivré par le Médecin vétérinaire officiel de la circonscription et visé par l'Administration communale de son domi cile. Le certificat donnera le signalement du sujet, son âge, et si possible, la date de sa naissance ainsi que sa généalogie. III. Toûs les animaux, qui ne seront pas recon nus appartenir la race forte de gros trait, propre au labour, seront écartés. IY. Ne pourront prendre part au concours, le3 animaux primés au dernier concours Prov: V. Les animaux seront classés d'après le nombre de dents néanmoins ceux qui ont obtenu, l'année précédente, un prix dans le concours pour poulains de plus d'un an, seront admis, quoique n'ayant pas fait leurs dents, concourir avec les chevaux de trois ans et au-delà. VI. Lorsqu'un prix sera partagé, le prix suivant ne sera pas décerné, mais les sommes affectées aux deux prixseront réunies, et chacun des deux vain queurs emrecevra Ta moitié. VII. Toutes les primes seront majorées de cinq francs) lorsqu'elles sont remportées par des person nes,, qui so'iit membresîùw l'Association, au moins.--' depuis- le 1T.JaUvier 1890. VIII. Les médailles seront remises immédiate-* - 'S ment après le concours, la Sajledfe^no^ réunions. La distribution des-jnn^es-^t des-diploms aura lieu dans les deux mois, sauf en ce qui.concerne les pri mes et diplômes obtenus par les poulains-étalons (3e et 4e concours A,), lesquels seront reiçis endéans les six mois, partir du jour du concours, sur la production d'un certificat délivré par \^Médecin vétérinaire officiel de la circonscriptionet visé par-l'Ad- ministration communale, pièce constatant que les animaux n'ont pas été châtrés, ni n'ont quitte, les circonscriptions déterminées par les nos I et II ci-dessus. Les primes qui n'auront pas été réclamées dans le mois, partir des délais ci-dessus fixés, resteront acquises la Caisse des Ouvriers Agricoles Décorés ou Médaillés. IX. Outre les distinctions primes, médailles et "dïpîonSs - le jlfity peut* Trié jir|^utîié7'déceT^- ner un ou plusieurs accessits et mentions honorables avec ou sans prime. >*&LE SBèRÉTAIRU, J£E DE. •F-ERD. MERGHELYNCK. peut dire Rien n^sert de courirLa santé est chose trop précieuse pour qu'on ne s'en préoccupe d'une façon sérieuse, et il est bon de mettre en garde contre les marchands d'orviétan qui pullulent. La base, ou le fondement, si l'on veut, d'une bonne constitution, ce sont les forti fiants, mais les fortifiants véritables et que l'on peut toucher du doigt. A ce titre aucun n'est aussi efficace que l'huile de foie de morue, car, depuis toujours, ceux qui ont pu la prendre s'en sont bien trouvés. Mal heureusement elle répugn tit quantité de gens, et il s'agissait de briser l'obstacle qui entravait la guérison certaine des maladies de poitrine en généralsi nombreuses sous notre climat. Un omme habile, véritable philanthrope, se mit l'œuvre, se jurant qu'il n'aurait de cesse que lorsqu'il serait arrivé avoir raison du fléau qui mène la phtisie. Il y réussit pleinement au bout de fort peu de temps, et aujourd'hui on est heureux de consta ter les nombreuses guérisons qu'on peut enre gistrer quotidiennement grâce cette invention. Nos lecteurs doivent en avoir entendu parler, du reste il s'agit des Perles Salrator, qui font leur tour du monde en ce moment. Quant leur modeste inventeur, au risque de le i lécontenter, ls dirons qu'il s'appelle Vergauwen. Les colonnes de ce journal seraient bien étroi tes s'il fallait y insérer les guérisons des affec tions de poitrine, catarrhes, bronchites, asthmes humides guéris par le3 capsules Guyot. Le suc cès de cet excellent modificateur des bronches et des poumons est dû sa, qualité, ainsi qu'à la modicité de son prix. En effet, le flacon de cap sules Guyot, ne coûtantque 2 fr. 50, le trai tement revient 10 c. par jour. Exiger sur l'éti quette l'adresse, 19, rue'Jacob, Paris, »3»ié5S,<EaBL*i Toutes les maladies nerveuses et la' plupart: des maladies organiques, troubles pu mâlajsés "quels qu'ils soient sont faciles guérir par Pap- .plication des aimants vitalisés du prorossefir.H'.: DuRyiLLE. Les douleurs vives cessent au bout de qq.elqûes. ins.tants, les accès ou les crises devien- nenrt moins fréquents et moins violents etja gué- •,rispn^e fait, sans médicaments et sans îppRifier son régime et ses habitudes. Noûs.engageons nos lecteurs demander le cu rieux traitq sur l'Application de l'aimant au traite ment des maladies qui est envoyé gratis par l'Institut Magnétique^ 23, rue Saint-Merri,àParjs. Le meilleur Purgatif Le Monde financier, paraissant deux fois par se maine, donne gratuitement ses abonnés des renseignements sur toutes les valeurs belges et étrangères. Abonnémêtîc-5-fr.x pas an. Direction, 26, Bou levard Bisschoffsheim, Bruxelles. Le du Di son numéro œuvre des plus lommence Janvier une émouvantes intitulée Vie brisée. On pourra se le procurer partir de Vendredi dans les bureaux -deTAgence Rossel Bruxelles au" prix de 10 centi mes. Il sera envoyé en province contre timbre poste. Cette publication spéciale contient, dans chacun de ses* numéros, la matière d'un demi volume. OutreJe* plus jolis romans, on y trouve les >t2tatiôrç§i-iêJ..plus variées "•omme sciences amusantes, reôtfttês, rufides, etc. Baert, Amand^ôurnàlièr, et Vandeqbq^stK Octavie, dentellièrest*- Procureur, rûrieÈ, et Delobël, Mafie, modiste. Lusschentier, Jûlie, 65 ans, sans profession, veuve de Séraphin Nollëe, rue de Lille. Van- (teqbusschè; Jean, tourneur de chaises, 78 ans, .veuf de Liévma Vanderheide, rue de. Menin.--— Galons/Léon, couvreur, 53 ans, époux de Ma|ie Dubois, 'rue S4 Jacques.ïernerj Gathérfhe, dentellière, 78 ans, veuve de Charles'*"SVolters, rue S4 Jacques. Verhaeghe, Reinexgligietfce, -J5 ans, célibataire/.yue de -Wjnjqck.. Vande- walle, M^riq, eabàreti'èàe,* 59 vans', épouse de David Bloudeelrue de laBoucheDesmytter, Eméreîice^ctoutuEièi'e.', 39 aùà, célibataire, rue de Mlàln.- Aàûâeiibqrgifô, Jos.so, peintre, 67 ans, époux d,AK®îi*"'Doumacle," rue de Menin. y|„ H anSjèêli Enfants Nota.A l'occasion idu-GàiTiaval, les bureaux de l'Hôtel-de-Ville seront fermés (les Lundi 9 et Mardi 10 Février) midi. □LfcWJUlW IUD UC XTJ.Oli.111. re;^ajthé'Fkie, sans profession, 71 ra&\L Menin) V lessous de 7 jisc. 0, id. fém. 1. 44 HOUBLONS. cp Le Comice agricole a l'honneur de porter la connaissance de Messieurs les Agriculteurs, Ele- veurs ou Marchands de chep&ux qu.opîr&dB con cours ci-dessus, il y aura également Y près, lb MERCREDI, 1 1 FÉ VRYER 891sur la Grand- Placeune FOIRE AUX CHEVAUX, et qu'il s'est entendu avec iAdministration Communale, pour l'organiser l'idftar des autres foires aux che vaux de la ProvHtçe. Fait en séance du Comité, le 24 Janvier 1891 '<V le president, ooGrf'Oo-o» Dans ce siècle de réclame outrance, il est sage, alors qu'il s'agit de médicaments, de ne s'adresser qu'à bon escient. C'est ici surtout qu'on M: MEIER, dentiste de. Coûrtrai, a l'honneur d'infor mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son cabinet dentaire est transféré Ctwz.'M"" veuve Van Kemmel; "Grand'PlaCe, S, Ypres.ou il sera consulter tous les Sa tié dis, commg-cffiabilude, de 9'lié'utes du iflatin, 2 heures Je relevée,, .*4 v plus agréable un Miracle'-de va SU ence. La phtisie c*bst la maladie de nos jours. Plusieurs et variées sont les causes qui concourent la multi plier, causes qu'ici il est inutile de rappeler. Jusqu'à présent, ën général, la phtisie eut le nom la maladie qui ne pardonne pas Aujourd'hui enfin, nous avons appris avec beaucoup de joie, que le célèbre Professeur GIUSEPPE BAN DIERA de Palerme, médecin greffeur en chef de la Municipalité de cette ville, un savant qui a vieilli dans la science qu'il exerce, après de longues et profondes études, a découvert un remède singulièrement efficace contre les microbes de la phtisie, et ensuite aux succès obtenus et l'importance de sa découverte, il se pro pose de soumettre son spécifique l'examen d'une com mission du Gouvernement pour que ce dernier veuille bien expérimenter le nouveau remède dans les hôpitaux civils et militaires, et de plus le faire connaître par des conférences donner dans les principales villes de l'Italie. Le docteur BANDIERA, né en 1813, demeure Palerme; il possède déjà de nombreuses attestations par des médecins, ainsi que par des malades miracu leusement rétablis. Ce fut le journal II Secolo de Milan, N° 7818, qui en donna le premier l'heureuse annonce l'humanité souffrante. On lit dans ce journal Le remède offert pour guérir la phtisie est ce qu'on croit, un antiseptique. Le docteur BANDIERA soutient que son remède fait disparaître les symptômes de la phtisie dans le terme de deux ou trois semaines, en tuant le bacille de Koch et que le patient se trouve en état de guérison dans le terme péremptoire de 40 jours. Le docteur BANDIERA offre son médicinal tous ceux qui en ont besoin. Il se réserve de publier une analyse de sa découverte aussitôt que la Commission Sanitaire sera réunie. Pour conclure Au moment où nous félicitons avec l'illustre et vénérable médecin, nous invitons tout souf frant se diriger sur le champ lui. Il n'y a pas de temps perdre le premier coup de toux n'est que trop souvent le premier râle de l'agoniq du 30 Janvier au 6 Février 1891. Naissances: Sexe masculin, 9, idem, féminin,"2. Mariages: I"' V Décès: ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 7 Février 1891. NATURE quantités venrices- prix moyen ■IÉnt ^Wlogr. oe l'hecto fUr litre. des GRAINSETDENRÉES kilogrammes 3,600 22 00 80 1,600 16 37- 73 Avoine 1,200 16 25 000 0 00 80 Féveroles 1,300 20 00 Pommes de terre 3,000 8 50 V Beurre 7,604 300 00 OEufs le quarteron 2 00 Bruxelles, 4 Février. Houblon d'Alost 1890, fr. 130 135 Poperinghe-ville, 140 150; Poperinghe-village, 130 135. Londre^/3 Février-O-v Les affaires en hou blons continuent se borher strict détail aux environs des cœisi. antérieurs. *Ûn fait digne d'être noté de la préggete campagne c'est la mo dicité des arrivages reçus j usqn'i présent

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 3