PQPERINGHE, État-Civil d'Ypres, Marché d'Yp^ës. La Gazette de la Bourse, Le meilleur Purgatif REVALENTA ARABICA Le concurrent devra produire pour chacun des animaux primés aux présents Concours et, en déans le délai ci-dessous indiqué, un certificat délivré par le Médecin vétérinaire officiel de la circonscription et visé par l'Administration com munale de son domicile. Le certificat donnera le signalement du sujet, son âge, et si possible, la date de sa naissance ainsi que sa généalogie. La distribution des primes et des diplômes aura lieu dans les deux mois, sauf en ce qui concerne les primes et diplômes obtenus par les poulains- étalons (3e et 4e concours A.), lesquels seront re mis endéans les six mois, partir du jour du concours, sur la production d'un certificat dé livré par le Médecin vétérinaire officiel de la circon scriptionet visé par l'Administration communa le, pièce constatant que les animaux n'ont pas été châtrés, ni n'ont quitté les circonscriptions déterminées par les nos I et II des dispositions générales. Les primes qui n'auront pas été réclamées dans le meis, partir des délais ci-dessus fixés, resteront ;acquises la Caisse des Ouvriers Agri coles Décorés ou Médaillés. le 13 Février 1891. Le Carnaval a ramené les fêtes qu'à ?on occa sion, la Société Philharmonique a l'habitude d'offrir ses membres. Celles-ci se composaient d'une soirée musicale et dramatique française et d'une soirée dramatique flamande. De plus, pour fêter le Mardi gras, M. Yan Merris offrait un banquet de 110 couverts aux membres exécu-, tants de la Société. La soirée française se donnait le Dimanche et Mmes Duvivier et Dartois, MM. Deveen,François, Nossent et Hotton devaient s'y fajre entendre. Ces excellents artistes, dont plusieurs fois déjà nous avons eu le plaisir d'applaudir le talent, avaient choisi cette fois toutes les pièces de résistance du programme dans le répertoire du maître de l'opéra Bouffe I. Offenbaçh. Le choix né pouvait être plus heureux et* le succès a été complet, Tjr.qmb-at-ca-i.ar. Eû Pattes Blanches et surtout Ule'deTulipatan', enlevés avec gaieté et briqjq^eX'^té des rires inextinguibles dans le^pùM'ê-^J^IéWjué J,es pluSi vifs applâu- disseméarts:- M. l&gsent dânît*ses.^lia'rtSpiînettes est" cer tes l'aflSfflé' plus âc^b'rhpir qn^on.-^iûisse ;v trouver et sbjr'grand'talent joint Dextrêjne Nous avons vu avec^Jâisir quoilajiartie mu sicale confiée nos jeu«éà".aîïîftf9-6f^s, devient de plus en plus importante et' nous^yjis jid con stater les progrès que nos exécuCessent de faire. Le duo concertant paur de%x*;<ît^iig^t\ tes, les Feuilles de roses, polka pour v quintelli de Mimart pour bûgles, saxhoùî.^tuba. et trombone, exécutés par MM. Dalie/pim,'' Rabau, Huys, Lauwers, Flamey, Blapckaert, Berat ët Artois, ont été très goûtés et nos jeunes musiciens ont récolté une ample moissoq de bravos, - Un drame de Bedelares et un vaudeville Anne- Mie composai rit le programme de la soirée flamande. Le drame int rprêté avec un senti ment intense et un grand art dramatique, a fait couler bien des larmes. Les excellents artistes dirigée par "mterpfele l.'0111 jWfg11ant avec une pas sion réelle et les plus impassibles n'olit pu résis ter aux émotions qui les étreignaient. Aussi, après le cinquième acte, une ovation a été faite aux interprêtes de cette belle œuvre et on sen tait, la manière dont le public applaudissait, que celui-ci avait apprécié combien était grand le talent que les. acteurs avaient déployé dans leur rôle, combien ils avaient fait vivre les per sonnages qu'ils avaient représentés. Anne-Mie aussi a fait pleurer mais, cette fois, les larmes étaient provoquées par le rire. A la chute du rideau, le public a témoigné toute la joie qu'il éprouvait d'entendre les artistes du théâtre national de Gand. Nous disons tous L mereirà-eeux qui nous ont fait passer de sLagréàbles instants et nous espé rons bien que. souvent encore la Société Philhar monique* aura, le plaisir de les revoir chez-elle. - - ■*- - Le Mardi gras ne pouvait pas mieux se fêter que par un banquet et celui, offert par M. le Président Yan Merris,était réussi de tous points. Rien n'y manquait de la part de l'amphitryon, bonne chair, excellents vins et de la part des convives de l'entrain et la plus cordiale confra ternité. Commencé 6 heures, la fête s'est ter minée 11 heures par un jeu de boule, mais ce n'est qu'après minuit que l'on s'est séparé. On est heureux de pouvoir constater dans de pareil les fêtes le bon esprit qui règne dans la Philhar monie et il n'est pas étonnant que, présidée par un homme qui se dévoue complètement au bien- être et au développement de cette société, celle- ci atteigne un degré de prospérité que peu de sociétés connaissent. un numéro p1'semaine. UN FRANC L'AN. Bulletin „de la Bourse de Bruxelles. Renseignements divers. Tirages. 20, rue du Nord, 20, Bruxelles. Pour yos factures, entêtes de lettres, etc., n'employez que du Papier Royal Lyon en vente au bureau du Journal et chez les imprimeurs-papetiers. La seule raison du succès des Perles Salvator réside dans la facilité avec laquelle l'inventeur est parvenu faire prendre sans répulsion au cune, l'huile Je foie de morue pure, même par les enfants. Et c'est surtout ceux-ci qu'il est bon de les administrer, car c'est les fortifier dès leur jeyrne âge et les mettre l'abri de ces mala dies dé poitrine dont tant de personnes sont af- fligéèssous le climat humide des pays du Nord. est de notoriété que l'huile de foie de morue est le meilleur préservatif en même temps que le meilleur curatif dans les maladie? des bron ches en général. Les plus hautes sommités mé dicales l'ont préconisée de tout temps. Rien d'étonnant donc que les Perles Salvator soient si appréciées par les personnes soufffant de maladies de poitrine ou même p'àr.'celles qui sont simplement affaiblies. C'est surtout €Ûix enrhutf% qu'il fanUsAii-Vent redire'l'ancien proverbe Ne remettez .pâà au lendemaiii .ee que' vous pouvez faire le jour îhé-\ me' Sjj-cd-conseil était suivi la lettre, nOiis^.- -Jtommesqier^iad.é que la mortalité diminuerait p^ldVra^d%p:.un-*. tiers. Combien n'avons-nous pag.vu tousser; pendant un mois et lu^YfSit .vle_§e*décider sbigneWïTûrs rhumes Le.fTïpimèdê^-'.coûtent cher, disent les uns, les médîp^^tft&ont.désagréables avaler et puis CQ-n'eJt qii'un çhunïé, disent les àtitres, trois ob- jections bien fàciles réfuter. D'abord, un nfédicameftt ergmu de tous et se trouyant dans, J&rmacies, les capsu- •Tçs^uypst»permet (le^o?gpteè^>jhûmes en ne "^^eilKant'^>l|)«quelqp*-0s ■gou^fe^îonr. y'ot se'vôdqëBt dans toutes les. sont blanches estéçrrte sur ehàcune.'djeL deslt%ros, Jacob, Paris." guent en agréable TSZ5 S Il Pastille Vv* tniïéry jours toux, oppressionTminî^'ie^ff6 1 h- Dépôt Pharmacie Tournay Chimay. La Librairie du Magnétisme, 23,rue Saint-Merri, Paris, édite les ouvrages.traitant du magnétis- me, de l'hypnoti?me, du spiritisme et des scien ces occultes. Elle publie le Jourml du Magné tisme, organe bi-mensuel de la Société Magnétique de Francedont l'abonnement, 10 francs par an, est remboursé en livres. REMÈDE POUR LA PHTHISIE. (Voir l'avis ciaqs la 4e page.) II OVULONS. Bruxelles, 11 Février. - Houbfon. d'A'wiA 1890 fr. 130 Poperinghe-ville, fr. 130' 140 Poperinghe-villagefr. 125 132. 3Z*T~3- du 6 au 13 Février 1891. Naissances: Sexe masculin, 2, idem, féminin, 3. Mariages Bogaert, Jean, lieutenant oflicier-payeur, et Baey, Féli- cie, sans profession.Vanbrantegem, François, char pentier, et Hof, Victorine, dentellière Cofl'yn, Joseph, ferblantier, et Hof, Lucie, dentellière. Pecuel, Auguste, ferblantier, et Meersseman, Rosalie, couturière. Bulckaeu, Jules, tailleur, et Macverson, Marie, dentellière. Décès Arfeuille, Florentin, charpentier, 69 ans, époux de Thérèse Cooren, rue des Chiens. Ameloot, Joseph, journalier, 52 ans, époux de Marie Sinnaev'e, rue de la Meute. Decoene, Walter, major-gardien, 61 ans, époux d llortense Raab, rue d'Elverdinghe. Boussaert, Ur sule, sans piofession, 81 ans, veuve de Pierre Lemairc, me de I Hôpital S' Jean. Baeckelandt, Cathérine, den tellière, 57 ans, veuve de Pierre Deleye, rue de Menin. Deloffer, Léopold, tailleur, 58 ans, célibataire, rue de Lombard. Lameire, Sophie, sans profession, 74 ans, épouse de Charles Demey, rue de l'Hôpital S1 Jean. Verhille, Amélie, sans profession, 73 ans, veuve de Char les Boudry, rue des Chiens. Mahieu, Hortense, bouti- quière, 66 ans, épouse-d'Auguste Larabrecht, rue Longue du Marais. Vercaemer, Henri, journalier, 60 ans, époux de Charlotte Amman, rue de Menin. Vander- marliere, Alphonse, maréchal-ferrant, 34 ans, célibataire rue de Lille. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe Masc. 0, id. fém. 3. ÉTAT indiquant les quantités et lé priVanoyen des grains,, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 14 Février 1891. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES QUANTITÉS VENDUES KILOGRAMMES PRIX MOYEN PAR CENT KILOGR. POIDS M1*" DE. .*'5, t'Il^CUl.- Jitre.>V Froment. Seigle .Avoine :-v <:-Féveroles '".Pommes-dê ierre. h Behrrq- .-^OEufs le quaVteron Vr'ê :r'-4o >,000 8,611 22 87vb; 16 75. 17 00 0 00 20 00 8-50 310 00 4Ûl -*2 sans.,. 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Le Dr Vermeulen, d'Anvers, écrit, le IG Octobre.I88S «Jb/pré*- critavec le plus grand succès et plusiety^j éprises- votre Rcva- lenta. En ce moment encore je Ir.-.te un eiifarfï ,p., ne (kvra la vie qu'à elle. Celle, 2 Janvier 1890, l.a Revalenta m'a empêché de mourir, de puis dix-huit m^is c'est la seule chose que je puisse digérer. H. Gxmxo. Tin ré-doyen de Cette, Hérault. Cure 98,014 Depuis des années, je souffrais de manque d'appctjt mauvaise digestion, affections du cœur, des tveins, de la vessie. *fi tatfon nerveuse et mélancolie; tous ees-maux on) dispjru- sous l'heurettse influence de votre divine.'^Revalenta t iqx PïrcuiT,Instituteur, Eynanças (Haute-Vienne) Quatre fois .flonn-issante cammc la vian<Je(>an» échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines et répare les constitutions les plus épuisées par l'âge; le travail ou les excès quelconques. En boites. 14, kil., fr. 2-25; 4j2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.: S i;2 kil., !fl fr. 6 kil.. 36 fr j 12 kil., 70 fr. 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Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 3