THECH Nouvelles diverses CAVALCADE MMZEBROUCK. Lundi 9 Mars 1891. La Gazette de Ta Bourse, prns?mS"ne° Bibliographie. État-Civil d'Ypres, Marché d'Ypres. v Le Concoure pour poulains entiers est fixé cette année au Samedi 18 Avril 1891, 10 heures du matin, sur la Place Vandenpeereboom, en notre ville, pour l'arrondissement judiciaire d'Ypres, composé des villes et communes de Bas-Warnê- ton, Becelaere, Beveren-lez-Roulers, Bixschote, Boesinghe, Brielen, Comines,Dickebusch, Dran- outre, Elverdinghe, Gheluvelt, Gheluwe, Gits, Hollebeke, Hooghlede, Houthem (Y), Kemmel, Langemarck Locre Messines, Moorslede Neuve-Eglise, Noordschote, Oostnieuwkerko, Oostvleteren, Ouckene, Passchendaele, Ploeg- steert, Poperinghe, Reninghe, Reninghelst, Sl- Jean, Staden,.vlamertinghe, Voormezeele,War- nêton, Wervicq, West-Roosebeke, Westoutre, WoesteuWulverghem, Wytschaete, Y près, Zantvoorde, Zonnebeke et Zuydschote. Encore un krach. On annonce de Paris que la banque Gaylle et buluard, avec laquelle presque tous les entrepositaires dé Bercy étaient en relations, vient de cesser ses paiements. Ce krach dépasse, dit-on, dix mil lions. Cette faillite énorme est la suite de celle du mois dernier de M. Lionnet, négociant Bercy. - Autre krach. M. Ducrocq, notaire, établi depuis plusieurs années Gonesse, dans le département de Seine-et-Oise, vient de s'enfuir, en laissant derrière lui un passif que l'on peut dès maintenant évaluer 6 millions de francs. P. S. M. Ducrocq a été se constituer prisonnier Paris. Les Perles Salvator sont reconstituantes parce qu'elles contiennent la substance la plus essentielle des forces, les phosphates. L'huile de foie de morue que M. Vergauwen, pharmacien- chimiste, est parvenu faire prendre sous forme de perles, qui n'ont même pas l'inconvénient de la saveur désagréable qui la faisait écarter par taDt de personnes, est entfêe aujourd'hui, grâce ce praticien, dans la thérapeutique. C'est un pas d'autant plus grand, qu'il est arrivé même à- éviter lés renvois que produisait* i usqu'ici l'in- - corporation dé ce produit si apprécié et si re commandé en médecine. Plus cfe vingt millions de malades ont fait usâgé, avec,succès, du goudron Guyot, soit en liqueur pour'purifier le sgag ou gqérir les maux de gorge, soit eh capsules'contre lès rhumes, ca tarrhes, bronchites et asthiûes. Loin de nuire l'estomac, comme on l'a annoncé faussement, le goudron Guyot stimule l'appétit et fortifie les orgSnes digestifs. Les véritables capsules Guyot sont, Manches, la signature de l'inventehr est écrité isdr chacune d elles. Fabrique, 19, rue Ja cob, Paris. Prix :^4fr. 50 le flacon. 1 -.{CS31" Le Monde financier, paraissant deux fois par se maine, donne gratuitement ses abonnés des renseignements sur toutes les valeurs belges et étrangères. - Abonnement 5 fr. par an. Direction, 26, Bou levard Bisschoffsheim, Bruxelles. Madame Berthe, la célèbre somnambule qui a déjà donné tant de preuves de son étonnante lucidité consulte pour Maladie, sous la direction d'un médecin. Elle consulte également pour Re cherches, RenseignementsY Institut Magnétique, 23, rue Saint-Merri, Paris, et par correspon dance. Société Anonyme des Chemins de Fer de la Flandre Occidentale. FÊTES DE LA MI-CARÊME. Trains spéciaux avec grande rédaction de prix. Prix des places. Aller et retour. SOIR. Le représentant du Dôme des Halles est tou jours muni des échantillons variés de la dernière nouveauté et, choisi parmi les meilleurs cou- fleurs de la maison, il est même de conseiller a forme qui conviant au client et de lui prendre mesurev Une carte postale suffit pour l'appeler» En l'adressant7"au Dôme des Halles2, rue du Marché-aux-lioulets, Bruxelles, on se proeure ainsi, sans frais de voyage ou de déplacement, tous les avantages que peuvent offrir ieeugrandes maisons de la capitale leurs clients, - UN FRANC L'AN. Bulletin de la Bourse de Bruxelles. Renseignements divers.; Tirages. 20, rue du Nord, 20, Bruxelles. JL,e plus agréable Le meilleur Purgatif Les Systèmes de Votation des Peuples Libres, par Mariages HOUBLONS. Aloe t; 2 Mars. Notre marché est ~£sté calme dauc. le courant de la semaine écoulée, es le hou- blci ALost 1890, qui ne se soutient que faible ment, nominalement de 112, 115 125 frap/\, |0 kil., selon qualité et marque. lots de belle qualité qui tiAme A>urs derhiers pour l'oXpprtA«on, le». trt„ne 8ur Q0^1'e P^ace se sont- bornées quei... àites de détail pour la consommation de la Dca. i§Joelge, qui continue de n'acheter qu'au fur mpsurè 1I9 ses besoin'». 'opinion générale continue de se prononcer pour une reprise prochaine dans les cbùrs ,du hou blon delà dernière récolte, carrriana, toutes les contréôs de production,les ems^hees n'ont ja mais été si réduites pareille époque de l'annee, vet Ja brasserie n'a encore qu'un approviBionne- ment restreint. UN MIRACLE ÎJ&5LA La phtisie c'est la maladie de nés* jours. Plusieurs et variées sont les causes qui concourent la multi plier, causes qu'ici il est inutile de rappeler. Jusqtfà- présent, en général, la phtisie eut le nom la maladie qui ne pardonne pas Aujourd'hui enfin, nous avons appris avec beaucoup de joië, que le célèbre Professeur GIUSEPPE BAN DIERA de Païenne," médecin greffeur en chef de la Municipalité de cette ville, un savant qui a vieilli dans la science qu'il exerce, après de longues et profondes études, a découvert un remède singulièrement efficace contre les microbes de ia phtisie, et ensuite aux succès obtenus et l'importance de sa découverte, il se pro pose de soumettre son spécifique l'examen d'une com mission du Gouvernement pour que ce dernier veuille bien expérimenter le nouveau remède dans les hôpitaux civils et militaires, et de plus le faire connaître par des conférences donner dans les prihcipales viHès de l'Italie. Le docteur BANDIER A, né en 1§13, demeure Palerme il possède déjà de nombreusèsVattestations pardesmédecins, ainsi que par des malades micacé- leusement rétablis. Ce fut le journal II Secolo de Milan.; N° 7818, qui en donna le premier l'heureuse annonce l'humanité souffrante. On lit dans ce journal Le- remède offert pour guérir la phtisie est ce qu'on Croi t, un antiseptique. Le docteur BANDIERA soutient que son remède fait disparaître les symptômes de la phtisie dans le terme de deux ou trois semaines, en tuant le bacille de Koch et que le patienfse trouve en état de f h.. guérison dans le terme péremptoire de 40 jours. Le docteur BANDIERA offre son médicinal tous ceux qui en ont besoinIl se réserve de publier une analyse de sa découverte aussitôt que la Commission Sanitaire sera reunie. Pour conclure Au moment où nous félicitons avec l'illustre et vénérable méd sein, nous invitons tout souf frant se diriger sur le champ lui. Il n'y a pas de temps perdre le premier coup de toux n'est que trop souvent le premier râle de l'agonie M. MEIER, dentiste de Courtrai, a l'honneur d'infor mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son cabinet dentaire est transféré chez M1"* veuve Van Kemmf.l, Grand'Place, 5, Ypres, où il sera consulter tous, les Same dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures de relevée. Pour vos factures, entêtes de lettres, etc., n'employez que du Papier Royal Lyon eu vente au bureau du Journal et chez les imprimeurs-papetiers. La toux la plus rebelle est guérie en 2 jours par la Pastille Waitbéry, 15 fr. partout. Dépôt Pharmacfti Monteyne, Poperinghe. ►gggg-cugjc» T5 ALLER, matin. Ypres, Dép. 11 11 Vlamertinghe, 11 18 Poperinghe, 11 28 Abeele, heure belge, 11 40 Godewarsxelde, h. f. 11 50 Caestre, 12 0Q HBzebrouck, Arr. 12 10 RETOUR. Hazebrouck. Dép. Caestre, Godewaersvelde, h f. Abeele, h. b., Poperinghe, Vhttneriipghe, Ypres, Arr. Ie cl. 2'cl. Ypres et Vlamertinghe 3 00 2 00 Poperinghe2 00 1 50 Abeele1 85 1 35 Godewaersvelde et Caestre, 1 45 1 10 6 25 35 50 15 25 35 40 6 6 7 7 7 7 3e cl. 1 50 1 00 0 95 0 80 Le service de- province organisé par le D'ome des Halles continue procurer de réels avantages tous ceux qui n'ont pas l'accasion deyênir souvent Brûxpjlea-etqui veulent nê- ànmoins suivre de près la'mode'de la capitalef. - „-i "a Paul Combes. Un volume. Bibliothèque Gilon, 60 cen times. On se demande souvent .où l'on trouverait un ouvrage, nouveau résumant un peu dè page^ et sans oiseuses dis sertations, tout çe q.u« Ijpn peut-dirèisur la question capi-, taie du droit électoral et éirtant sur le suffrage uoivèrsel. Cet ouvrage Éxiste dans là collection Gitan, 60 centimes le volume. Ecrit par un savant démocrate- Je livre possède une réelle valeur. Il traite de la tSeoriéeCde la pratiquer du droit de suffrage, du suffrage censitaire i! est-- cruel), des opérations électorales si fécondes en abus, des candidatures, du vote, de la représentation des minorités, de la réforme électorale et de l'avenir des systèmes repré sentatifs. Cette étude ne se borne pas la Belgique, elle confire les législations des différents peuples. Nous ne cojimiiissons pas de plus éloquent plaidoyer en faveur des réformes qui sont l'ordre du jour dans notre pays. .g du 27 Février au 6 Mars 1891. Naissances: Sexe masculin, 7, idem, féminin, 4. Lapere, Henri, boucher, et Godderis, Romanie, den tellière. Décès V Vandaele, Cafliérme, sariS* profession, 87 ans, céliba taire, rue Notre-Dame. Klecke, Pierre, sans profession, 92 ans, veuf de Marie Lameire, rue de Lille. Dewilde, Pauline, sans profession, 81 ans, veuve de Benoit Vander- meersch, rue du Lombard. Clarysse, Pierre, jardinier, 71 ans, époux de M$anie Bekaert, rue de Menin. Van- steenkiste, Emile, journalier, 19 ans, célibataire, rue de-» Menin. Merlier,i£enlt|,<abareUe'\ 38 ans, époux de Tlar.be Verhaek, rue des Pauvres Filles. Vanheule, Ed mond, maçonrS7 ans, époux de Julie Wouts, rue de Mepfn. - Enfants au-dessous de 7 ans Sexe Masc. 0, id. fém. 2. ÉTAT indiquadt les quantités et le prix moyen des grains, fourragea et autres produits agricoles, vendus le 7 Mari ai: - ATTIRE Ldes - GRAINS ET DENRÉE^ guantitçx VENDUES- T~ kilogrammes prix moyen PAR, ,çenv kilogr, poids mcu de Thecto- .litre. Froment." Séîgle Avoine Pois- Féyeroles Pommes de terre Beurre OÈufs le quarteron 9,000 - 5Ô0 4,000 1,000 8,900 4,000 8,297 pm d h( M11®*8 Londres, 3 Mars. -„»7telques détenteurs, fa tigués d'attendre, pour'éfiectuer des ventes, ont exercé quelque pression sur le marché et comme la demande reste languissante, d9s prix plus bas ont dû être accepté^ pSur la' conclusion de quel ques affaires.

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Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 3