m santé a tousp-srjsttsrr revalenta arabica Nouvelles diverses. État-Civil d'Ypres, Marché d'Ypres. 3 de la conséquence directe qui allait frapper les recettes de la douane le ministre des finances s'est donc vu dans l'obligation de chercher créer de nouvelles ressources pour le trésor na tional. De là la création de l'impôt sur le revenu, qui frappe plus particulièrement les sociétés anony mes et les banques. Cette mesure n'a pas été sans pro.voquer de violentes résistances, car les banques particu lières atteintes par ce nouvel impôt ont com mencé contre le gouvernement une guerre qu'on pourrait appeler défensive, si elle ne portait pas atteinte la prospérité publique. Jusqu'ici, les bananes particulières avaient joui des plus grandes immunités, l'abri des quelles elles ont pu réaliser des bénéfices consi dérables. Quelques-unes d'entre elles, en prêtant des taux usuraires, ont fait rendre leur capital un si gros intérêt, qu'on a vu un actionnaire puri tain s'écrier en pleine assemblée On ne peut obtenir de tels résultats sans risquer le capital. En face de la mesure prise par le gouverne ment, mesure légitimée par les exigences de la situation, les banques ont cru une hosti lité systématique, et sont immédiatement parties en guerre contre le ministre des finances, dans l'espoir de le renverser. De là le côté dangereux de cette lutte et l'ex plication naturelle de la campagne alarmiste de certains organes européens, dont nos lecteurs doivent tenir compte. Dans les nouvelles taxes frappées par le gou vernement, se trouve comprise celle de 2 p. c. sur les sommes déposées dans les banques parti culières. Ces établissements ont fait les plus énergiques efforts pour échapper au coup qui les frappait, mais aujourd'hui que la loi est acquise, malgré toutes les oppositions et toutes les résistances, ils cherchent éluder la loi. Or, le but que voulait atteindre le ministre- des finances est acquis, c'est-à-dire que les cfe- pcta tlca banques particulière)!» ont été retirés- pour aller grossir ceux des banques officielles. Or il n'est pas sans intérêt de" remarquer que la hafisse de la prime sur l'or, en empêchant les maisons aisées de remettre en Europe le produit de leurs ventes, a eu pour conséquence de pro duire une énorme accumulation de papier mon naie, sur la place de Buenos-Ayres tout spécia* Iem%jt. L'évaluation réelle de ce papier monnaie dé posé dans les banques en attendant la baisse de la prime sur l'or, atteint cent millions de pias tres. Un deà" effets de la taxe a donc visé directe ment cet énorme capital inactif, en le frappant d'un impôc de 2 p." mesure, Cette c. combinée avec la nomination d'un directeur intègre, éclairé, compéte$fc* ra* mènera la confiance et mettra les banquesoffc 5 cielles même d'imprimer ,aux affaires, un? - nouvelle impulsion- *- La caisse de conversion a ensuite côinmencé son œuvre, car elle a brûlé.pour 1;337,496 très de billets et une nouvelle crémation a été annoncée pour la fin du mois dernier écoulé. En un mot, la situjU ^jse résume par des is chapitre dea-'*32Beïlse-s admi nistrativesdans l'importation, en mêm| temps que les exportations augmentent. - •- D'un autre côté le service de la dette &s£ de f>lus en plus assuré et le trésor national, sous 'impulsion énergique d'une habile initiative, voit tous les jours son encaisse en or augmenter Tous ces faits bien et dûment constatés con stituent une perspective d'ont on é3t en droit d'attendre les meilleurs résultats. Un télégramme de Londres l'Aganfce Havas, assure de la meilleure source quedes cfocuments nécessaires pour la consolidation des coupons de a dette de la République Argentine sent arrivés Buenos-Ayres et ont été acceptés paî le comité 'occupant Londres des finances argentines 1 Qn-s'occupe actuellement des dernippar-<ïé- arohes pour compléter le contrat- passer en- - lé gqtfvernement argentin et ledit comité. X\ La science modifie peu peu ses méthodes dans l'art de soigner les maladies. Ainsi, on ne laisse plus mûrir les rhumes, on les soigne par les Capsules Guyot qui empêchent la toux de dégénérer en bronchite chronique ou en ca tarrhe pulmonaire. Le succès du Goudron Guyot, soit en capsules, soit en liqueur, est dû son efficacité, son bon marché et son mode d'emploi facile et agréa ble. En rendant justice ces produits, je parle de ceux qui portent sur l'étiquette l'adresse 19, RUE JACQB, PARIS. II se se passe pas de jour que nous ne rece vions de lettre de l'une ou l'autre de nos lectri ces pour nous remercier de lui avoir fait cpn- naitre le fortifiant par excellence* qui a nom Perles Salvator et qui produit des effets merveifi leux chez les enfants, soit en cas de croissance," soit en cas d'affaiblissement;.* a-dfosr a M Ce splendide album, bien relié, d'une valeur de 10 francs, est en vente l'Agence Rossel, au prix de fr, 2-50 seulement. Il n'en reste qu'un, nombre restreint d'exemplaires. Le Monde financier^, pjfcatssartt. deux fois pal se maine, donne gratuitement '.'ses abonnés des renseignements sur toutes les valeurs iieîges et étrangères:» Abonnement 5 fr. par an. Direction, 26*Bou- leva^drBisechqffsheim, Bruxelles1 ^'-y, te /neHleur Purgatij Naissances Sexe masculin, 3, idem, féminin, 5. Mariages HOUBLONS» La taxe sur les dépôts. HICjCS Nous apprenons que le journal illustré Les Soirées Lit téraires, fondé el dirigé depuis douze ans avec une habi leté reconnue par notre confrère de Paris, M. A. Clavel, vient d'être cédé une direction nouvelle prêt faire tout le nécessaire pour en continuer le succès. Mais, loin de rester inactil, notre confrère ne fait que changer son mode de relations avec les amateurs de lec ture de tous les pays et annonce l'apparition, très pro chaine, d'une NOUVELLE REVUE PARISIENNE a Cinq francs par an, pour tous pays. Cette publication sera d'une originalité particulière et les cinq mille premiers abonnés auront, entr'autres attrac tions, la faculté, incroyable mais très réelle, de pouvoir gagner Cent francs en espèces en possédant un litre en tièrement libéré, solidement garanti, amorti par des tira ges publics et muni de 12 coupons de participation aux bénéfices d'une importante Société financière. 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Aussi conseillons-nous aux personnes qui n'en auraient pas encore fait l'ac quisition de se dépêcher si elle| veulent en pos séder un exemplaire. Envoi'en ^province sans augmentation- plus affrea^le Wi M. MEIERr dentiste de Çourtrîfi, a l'hanneWif^^fw- mer l'IroVorable public et sa fijfthfeûse client&k/que "son cabinet dentaire est transféré ohéz M°" veuve Van Kemmel, Graad'Place, 3, Ypres, où il serai consulter tous les Same dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures de relevée. Pour vos factures, entêtes de lettres, etc., n'employez que du Papier Royal Lyon en vente au bureau du Journal et chez les imprimeurs-papetiers. du 20 au 27 Mars 1891. Quièvre, Louischauffeur, et Landtsheere, Céline, tailleuse. Décès van Remoortere. Guillaume, commandant de cavale rie en retraite, 62 ans, célibataire, rue de Dixmude. Leleu, Augustin, sans profession, 77 ans, veuf de Rosalie Denoyelle, rue Courte de la Prairie. Bae- kelandt, Louis, cabaretier73 ans, époux de Sophie Winne, rue du Verger. Desloovere, Jules, sans pro fession, 81 ansépoux de Sophie Blomrae, rue des Veuves. Goffyn, Thulie, sans profession, 82 ans, épouse de Napoléon Fiers, rue de Menin. -- Heirman, Pierre, journalier, 60 ans, époux de Sophie Vancappel, rue de Menin. Ferrand, Sophie, tailleuse, 69 ans, épouse de Jean Delaruwiere, rue Jansénius. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe Masc. 0, id. fém. 1. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 28 Mars 1891. NATURE QUANTITÉS PRIX MOYEN POIDS M"" DES VENDUES PAR DE CENT l'hecto GRAINS ET DENRÉES KILOGRAMMES KILOGR. litre. 2,300 23 62 80 Seigle 600 19 25 73 600 17 00 44 30 00 80 Féveroles 1,900 22 00 Pommes de terre 1,000,~ 8 00 Beurre 11,043 -- 315 00 OEufs le quarteron -, 1 60 Bruxelles, 25 Mars. Houblon d'Alost 1890,-" fr. ip5à 120 Poperîbghe-ville, 130 140 Po- peringhe-village, 120 130. délicieuse farine de santé Du Barry Londres, dite Quarante ans d'un invariable succès, en guérissant les constipa tions dyspepsies,mauvaises digestions, gastrites, gastralgies,glaire s, vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diarrhée, djssenlerie, coliques, phtisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppressions, congestions, névrose, insomnies, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrin^, gorge, haleine, voix, des bronches, veisie, foie, reins, intestins, membrane, muqueuse, cerveau el sang. C'est en outre l'aliment par excellence qui seul réussit éviter tous le,s accidents de i'enfamee. 100,000 cures annuelles, y'compriscelles de Sa Me,esté l'Empereur Nicolas; de j?a/Sainteté feu le'Pape Pie IX. te rime lestuart, le dn'ç-.de •tPItïsfcb'W îfme T n -c lord /Sluartde-fifik's. pai* d'.iagfet Routb ete etf'^A:..;/ Expérience dif'JfactenRavrud -Witry-les-Reims, Marne-, le 22 Octobre i890. Je rçis personnellement usq»e de la Revalenla el la preru- is mes malades, pcTli.-ulièremeut diot les affections du tube digestif, et dans tous les cas où' Hy-a intérêt soutenir et i ramasser les forces dé»maladesj'< ai toujours obtenu les meilleurs résultats. D' RAYAUD. Le D' Elmslie écrit -.Vojpe Revalenla vaut son pesant d'or Eisa AT} est le meilleur, alimemjpoitr élever les enfants, étant bien préféra- ble au lait et t'huj[ë\le ^oie de m «Truef st Le Dc.Vermeufcn-;oi,.t'«stfï7éet ft. te Ifl'wftubAt 1888^-%'J ai pres crit avec té plus {ynnM|£a(A\éUfc pltf»iaur.i<4eprisese.>-v6tre Reva- devrif e duchesse de Casl- quise de Brébant. le docteur-professeur 0t, «A lenla. En ce moment «•Core le traite in enfan. qui m trqo'à ellR.-» m v.* Cette,Tjanvier 189Q jH^rBjjîyfeKji ff i «mpèqb^de plis duc -bitit mois c'r-" «-e*»---'- iri .i-— "sré-day H. Hirriso-. toaré-dayerri Cure 1X^98,0 mourir, de-V flir cbcseiyue 1». puisse digérer. el le," Hértult/ sis des années, jiàt souffrais de.manque d'appétit. m^va4^iJHj|sstian, a itt-ctt*frqu cour, des rpiîts, de ta vessie, iwit.atien rte<C:s- et «mééMMqjfc -tous -ces maqc ont t disparité" sa/os' l'hetr^ise *y(ti-.;Qce votre, divine Revalenla. i.Éoti PjûayiTjtiiuliluteu^f^^jréanças ^Haute-Sienne) Quatre vàjiip^s^issaate om me la viande,'sans écbau femelle ée.:u: «*~Wmre 50 fois sop prix en médecines et réparé top dtions les plus épri^Ws paç l'âge, le travail ou les ex cet «Ses. En boi^s. 14, kil., fr. 2-95; 1/2 kil.. 4 fr.: 1 7lU;_2 l;2 kila,18 fi kÀLvSé fr 12 kil., 70 fr. Le s jgbiscuit> te ÉevalintmAbjftc pie ^^7 R-. La Rualenta chocolatée. VJ/iiivre-, fr. 9-2îSé7i li.ritri fr. livreayifr.- Envoi contre bon de çasle franco^jr L'épôt partout,* 'chez les pharmaciens et épiciers Du C-g, limite-!. Agent genV"' pour la Relgiqué. M. E^WPTI?iMERMANS r y: Rouppê, 4, Bruxelles. 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Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 3