THE CH L'ère de paix. Beaux-Arts. Denier des Écoles Laïques. La Gazette de la Bourse, p^rSe État-Civil drYpres, Marché d'Ypres. SANTÉ A TOUS REVALENTA ARABICA 1/ Mais le plus drôle assurément, ç'a été M. Colaert. Répétant, en d'autres termes, ce qui venait d'être dit (une fois n'est pas coutume) il a fait ressortir que son discours ne s'adressait qu'aux électeurs campagnards, rien qu'aux élec teurs campagnards. Et, comme péroraison, il a trouvé jovial d'engager ces memes électeurs campagnards envoyer dans trois ans M. Fraeys l'Hôtel-de-Ville La plaisanterie est un peu forte tout de même Tape l'œil Sinite parvulos venire ad me. M. Colaert s'est rendu, cette semaine, l'école ménagère, rue de Lille, au moment où les enfants étaient table. Il s'est assis, au milieu d'elles, a mangé de leur soupe qu'il a trouvée délicieuse et n'a eu que des éloges pour cett&éeol©, aujourd'hui si excellente, autrefois si affreuse. Il y avait un sourire pour chacune d'elles. Autres temps, autres mœurs. Comme on ne doit jamais dire Ce n'est pas la dernière fois, du reBte, qu'ils déclareront bon ce qu'ils ont trouvé, jadis, exé crable. De tous côtés il nous vient des plaintes sur la façon brutale dont se sont conduits les catholi ques aux abords de la maison Fraeys, et, si ce qu'on dit est vrai, les libéraux qui se plaignent des violences dont ils ont été l'objet, auraient énormément de mal faire accueillir leurs plaintes. D'après le Journal ce sont les libéraux les cou pables. On ne fera croire cela personne Le libéral n'est pas un animal méchant, Encore y en a-t-il qui ne peuvent pas se dé fendre quand on les attaque. Par exemple, un policier, suspect de libéralisme, est jeté par terre, on le roue de coups se relever et se taire est encore ce qu'il y a de plus sain pour lui. Vous êtes libéral, et par mégarde, vous vous égarez au milieu de cette bande qui se croit tout permis, on vous casse le nez et pour que vous sentiez bien les douceurs de l'ère de la paix, on vous dresse procès-verbal. On vous brise vos tables et vos meubles, on jette l'épouvante dans votre demeure, vous croyez que vous trouverez un allégement vos souffrances morales et vos pertes matérielles dans la loi de vendémiaire, cette manne cléri cale, et vous signalez l'auteur de ce beau fait d'armes, on vous répond que ce C.,.. est un des cendant direct de l'agneau pascal, incapable de taquiner une mouche. Et ainsi du reste. Et cela ne serait pas l'ère de paix Parmi les mentions honorables que vient d'ac corder le jury du salon des Champs-Elysées, Paris, nous-, avons remarqué avec une vive satis- -eeliè qui a été décernée M11® Louise De Hem. La jeune artiste, élève distinguée de l'atelier Stevens, a exp.eai' leux tableaux Le Sacristain et le Thé qui ont étA-t^s remarqués! .et signalés avec éloges par la critique. Sur 8ÔbO envois le jury n'en avait admis que 1783, et, sur ces 1733 œuvres 85 seulement ont été récompensées. Il a donc fallu un réel mérite pour être rangé au milieu de ces rares élus. Aussi, nous nous joi gnons de bon cœur aux nombreux amis et con naisseurs qui ont prodigué Mademoiselle De Hem leurs chaleureuses félicitations. C'est, d'après ce qu'on nous apprend, le Sa cristainune figure, genre peu pratiqué jusqu'ici par la jeune artiste, qui a le plus contribué son succès. Nous sommes convaincu que .ee suc cès ira toujours croissant et que l'avenir nous promet, de la part de notre* charmante compa triote, de brillantes surprisés. Dans la nuit de Jeudi Vendredi, un coup de revolver retentit, vers les deux heures, rue du Temple un second coup suivit le premier les habitants, que le premier coup avait réveillés, entendirent, quelques secondes après, une porte se fermer et tout rentra dans le silence. Le jour venu, on constata que des vitres étaient brisées, par une balle, la chambre occupée par M. L. Hugebaert et deux balles y furent trou vées, l'une sous une table, l'autre au milieu de l'appartement. ML. Hugebaert, grâce un sommeil profond et une grande surdité, ne s'est aperçu du dan ger auquel il avait été exposé que le lendemain. On présume que la porte qu'on a entendue se fermer, se jefermait sur celui qui a tiré le coup. Une montre en argent trouvée le 28 Mai au Quartier du Commerce est déposée au bureau de police où elle peut être réclamée. Nous ne pouvons que transmettre ces remer- cîments la personne qui ils reviennent, c'est- à-dire M. Vergauwen. UN FRANC L'AN. Bulletin de la Bourse de Bruxelles. Renseignements divers. Tirages. 20, rue du Nord, 20, Bruxelles. Madame Berthe, la célèbre somnambule qui a déjà donné tant de preuves de son étonnante lucidité consulte pour Maladie, sous la direction d'un médecin. Elle consulte également pour Re cherches, Renseignements1 Institut Magnétique 23, rue Saint-Merri, Paris, et par correspon dance. JLe plus agréable Le meilleur Purgatif On se charge au bureau du journal de l'impression des cturtes de visites et de tous genres de travaux d'impre^jon tant en lithographie qu'en typographie, meilleures œuVr*il'André Theuriet. dont Passë*Temp& commeïf^ftfa demain lapublicai fa. Tout le mondé voudra bré ce» rgman, dont l'inté rêt .commence la première ligfie pour o finir, qu'à la dernière. On peut se procurer le atuméfo l'Agence Rossel. Ooghe, Henri, fendeur de lattes, et Bulckaen, Marie, couturière. Vansevenant, Henri, jour nalier, etYandenberghe, Marie, dentellière. Slembrouck, Aloïs, cultivateur, et Poot, Hélène, sans profession. Bailleul, Jules, sellier, et Huyghebaert, Marie, couturière. Hoedt, Henri, sans profession, 62 ans, veuf de Cathérine Gontier, rue Longue de Thourout. Riem, Désiré, sans profession, 10 ans, rue Basse. Delannoy, Gustave, sans profession, 44 ans, célibataire, rue Longue de Thourout. 12 12 HOUBLONS. L'apparence des houblonnières est favorable et la croissance qui se fait régulièrement fait espérer une récolte normale elle ne souffrira pas du retard dont l'influence paraissait devoir avoir un effet néfaste. \- Fontaine, je ne boirai jamais de ton eau, jamais les cléricaux ne devraient dire Ecole libérale, jamais je ne mangerai de ta soupe. Mais quand on l'attaque, il se défend. «M86CCCWW - - Liste précédente, fr. 66,951-63 Produit d'une vente d'objets d'art l'Hoekje, 12-00 Intérêts de 17 actions, 51-00 Produit d'une chansonnette la Ville de Thourout, 1-70 Total fr. 67,016-33 Dépenses jusqu'à ce jour. fr. 63,601-69 Reste en caisse fr. 3,414-64 Il ne se passe pas de jour que nous ne rece vions de lettre de l'une ou l'autre de nos lectri ces pour nous remercier de lui avoir fait connaî tre le fortifiant par excellence qui a nom Perles Salvator et qui produit des effets merveilleux chez les enfants, soit en cas de croissance, soit en cas d'affaiblissement. Constipation mauvaise digestion guérison par la Pilule antiglaireuse Wallhéry. 1-25 partout. Socquet Ypres et Motiteyne Poperinghe. M. MEIER, dentiste de Courtrai, a l'honneur d'infor mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son cabinet dentaire est transféré chez Mm* veuve Van Kemmel, Grand'Place, 5, Ypres, où il sera consulter tous les Same dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures de relevée. P/jur vas factures, entêtes de lettres, etc., n'employez qrfë-vfu Papier Royàl Lyon en vente au bureau du Journal et chez les imprimeurs-papetiers. Péché tel est le titre dé l'une d# du 22 au 29 Mai 1891. Naissances: Sexe masculin, 7, idem, féminin, 3. Mariages Décès Enfants au-dessous de 7 ans Sexe Masc. 1, id. fém. 1. °tCgH^ ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 30 Mai 1891. NATURE des GRAINS ET DENRÉES quantités vendues kilogrammes prix moyen PAR cent k1l0gr. poids m*" de l'hecto litre. Froment. Seigle Avoine Pois Féveroles Pommes de terre Beurre OEufs le quarteron 5,100 1,100 600 000 200 5,000 17,788 26 21 20 00 00 00 24 00 9 25 265 00 1 80 80 73 44 80 Poperinghe, 25 Mai. Aucune affaire un peu importante ne s'est traitée pendant la semaine écoulée les prix restent fermes mais stationnai- res de 125 140 fr. les 50 kilos et de 90 100 fr. pour la récolte de 1891. délicieuse farine de sanlé Ou Barry de Londres, dite Quarante ans d'un invariable succès, en guérissant les conslipa- tions dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies,glaire s, vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diarrhée, djssenterie, coliques, phtisie, toux, asthme, étouffements, étourdisse ment s, oppressions, congestions, névrose, insomnies, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, membrane, muqueuse, cerveau et sang. C'est en outre l'aliment par excellence qui seul réussit éviter tous les accidents de l'enfance. 100.000 cures annuelles, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas, de Sa /Sainteté feu le Pape Pie IX, de Mme la duchesse de Casl- lestuart, le duc de Pluskow, Mme la marquise de Brébant- lord Ntuart de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur Roulh etc etc. Expérience du Docteur Ravaud Witry-les-Reims, Marne, le 22 Octobre 1890. Je fais personnellement usage de la Revalenta et la prescris mes malades, particulièrement dans les affections du tube digestif, et dans tous les cas où il y a intérêt soutenir et ramasser les forces des malades j'en ai toujours obtenu les meilleurs résultats. D' RAVAUD. Le D' Elmslie écrit Votre Revalenta vaut son pesant d'or. Elle est le meilleur aliment pour élever les enfants, étant bien préféra ble au lait et l'huile de foie de morue. Le D' Vermeulen, d'Anvers, écrit, le 16 Octobre 1888 J'ai pres crit avec le plus grand succès et plusieurs reprises, votre Reva lenta. En ce moment encore je traite an enfant qui ne devra la rie bu'à elle. Celte, 2 Janvier, 1890. La Revalenta m'a empêché de mourir, de. puis dix-huit mois c'est la seule chose que je puisse digérer. - H. Gzrvixo. Curé-doyen de Cette, Hérault. CureN» 98,614 Depuis des années, je souffrais de manquo d'appétit mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la - vessie, iritation nerveuse et mélancolie ton» ces maux ont disparu sous 1'heurétise influence de .votre dirhaa Revalenta. i son Pbtclkv; instituteur, ÎJynençoI(haute-Vienne) Quatre fbis 'nourrisse ar?. cdfcime la yiinrfe-, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines et répare 'es cc nri.it :sns ks plus épuisées par Vigé, le travail ou les excès cnelc-saqites. En moites. m, kil., fr. 9-25; 1/2 kil., 4 fr.: 1 - kil fr.: 2 1/» kil., 1# fr. kil.. ?£'fr 12 kil.>70 fr. 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Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 3