Cours public. Nécrologie. Société des ex-Sous-ofïiciers Société les Infatigables. FÊTE GYMNASTIQUE État-civil d'Ypres, Marché d'Ypres. Nous apprenons avec plaisir que M. 0. Mélon, docteur en philosophie et lettres (langues roma nes) et professeur au Collège de l'Union com mencera Vendredi 7 Février7 heuresune série de 6 leçons sur les Origines de la littérature fran çaise. Local. Salle du 1er au Café du Commerce. Nous ne pouvons qu'approuver l'initiative qu'ont prise MM. les professeurs du Collège. Les basses et perfides attaques du Journal dTpres ne peuvent leur enlever le courage et l'énergie qu ils mettent répandre chez les Yprois l'enseignement supérieur. Aussi M. Mélon peut-il s'attendre un public nombreux qui té moignera par sa présence que les Yprois esti ment les efforts de MM. les professeurs du Collège de l'Union. Nous annonçons nos lecteurs une bien triste nouvelle celle de la mort de Monsieur Alfred Decoene qui vient d'être enlevé l'aflection de sa famille et de ses nombreux amis. Sa mort pré maturée a produit en notre ville la plus pénible impression. Le regretté Alfred Decoene n'était âgé que de vingt ans. C'était un cœur sincère, enthousiaste et profondément honnête. Quoique jeune encore il s'était acquis de nombreuses sympathies. Sa disparition sera profondément regrettée. Nous présentons sa famille nos plus sincères condoléances. de l'armée Belge. La société des ex-Sous-ofîiciers de notre ville offre, ce soir, 8 heures, ses membres honorai res, une soirée intime suivie de bal, dont nous publions, ci-après le programme. Cette fête aura lieu en son local Au Lion Noir. i» programme: 1. Ouverture pour piano. 2. L'attaque du moulin, chanté par M. Yanderhaegen. 3. Romance chantée par Mu# Z. Devers. 4. Stella, morceau pour violon, par M. Degbomont. 5. Chansonnette par M. E. Laçasse. 2. Romance chantée par M. E. Bartier. 3. Morceau pour violon, par M. Pelgrim. 4. Romance chantée par M11® Z. Devers. 5. Quatuor exécuté par MM. les musi ciens du 3me Régiment de Ligne. 6. Chansonnette par M. E. Laçasse. BTXla Orchestre spécial. Ces vaillants jeunes gens offrent, demain, leurs membres honoraires, une fête gymnastique et d'armes dont voici le programme Ville d'Ypres. ET D'ARMES LES INFATIGABLES LE DIMANCHE 2 FÉVRIER 1896, PROGRAMME. 1™ PARTIE. 1Ouverture pour trompettes. 2. Saut artistique par les Gymnastes. y. (Romance chantée par M. E. (Bartier 4. (Boxe Française par les Gymnastes, y. (Romance chantée par M11' Z. (Devers. 6. (pyramides (Rlampalaisiennes. fS^F^ Suisse) 2m. PÂKTIE. vez&tijj. vn -be (Bon^otand, Voordracht door den heer Va/ère Bouckenooghe, door den heer Dr Vanderstiche/en. Société de Gardes Civiques Vermeulen Henri. Vandevyver, Arth., 20 25 25 25 25 120 Ligy, Alb., 25 20 25 25 25 120 Minnekeer, Ange, 20 20 25 25 25 115 Vantholl, Henri, 20 25 25 25 20 115 Boedt, Léon, 25 20 25 25 20 115 Deweerdt. Charles, 25 25 25 20 20 115 Legon, Em., 20 20 25 20 25 110 Rabeau, Arth., 20 25 20 25 20 110 Gaimant, Arth., 25 25 20 20 20 110 Vrijzinnige Volksbond. ALGEMEENE YERGADERING, ZONDAG 2den Februari om 8 uren 's avonds in het Zilveren Eoofd. 1. Belangrijke mededeelingen. 2. Vernieuwing van een derde van het Be- stuur. 3. Benaming van twee Commissarissen. RÉGÉNÉRATEUR FAVORI des CHEVEUX- Fr. 2-50 le flacon, Ypres,chez Ray mond Ommïslagh, parfr, 55,Grand'- Place. Debusschere, Caroline, 78 ans, sans profession, veuve de Denys, Félix, rue Longue de Thourout. Messiaen, Louis, 46 ans, journalier, époux de Derycke, Nérine, rue de Menin. Dael, Sidonie, 61 ans, dentellière, épouse de Ghys, Charles, rue Chevalier Jean. Roose, Edouard, 60 ans, ma çon, veuf de Legon, Virginie, rue de Menin. Croigny, Marie, 51 ans, sans profession, céliba taire, rue des Chiens. Castelein, Cathérine, 79 ans, sans profession, veuve de Priem, Louis, rue de l'Hôpital S'-Jean. Coene Rosalie, 71 ans, sans profession, célibataire, rue de l'Hôpital S' Jean. - Neyrinck, Pierre, 45 ans, sans pro fession, célibataire, rue Longue de Thourout. Dame de Gheus, Marie, 53 ans, sans profes sion, épouse de Messire Arthur Baron Surmont de Voisberghe, sénateur, Bourgmestre de la vil le d'Ypres, rue de Lille. m'y rendis avec M. Fraeys et j'engageai tous les pen sionnaires réunis s'abstenir de se lancer des épithètes injurieuses au passage et de vivre en paix, tous les vioillards de l'hospice y étant au même titre. Quant la politique, nous avons laissé lire tous les journaux politiques quelconques de l'établissement et nous nous sommes bornés dire aux vieillards qu'ils étaient libres de voter pour qui ils voulaient. Excla mations gauche). M. Fléchet. C'est très clair. M. Imeins Eechhoutte. Voilà comment nous avons usé de pression (Nouvelles interruptions). M. Demblon. Oh non M. Imeins d)Eechhoutte. Si nous avons retenu les vieillards l'hospice la veille de l'élection, c'est parce que, depuis quelques jours, ils rentraient dans un état peu correct (rires), provenant de ce que nos adversaires les réunissaient dans des estaminets déter minés où on les régalait, oû on préparait leur instruc tion électorale en les chauffant, politiquement par lant. (Nouveaux rires). En retenant les vieillards l'hospice le Samedi, on leur permettrait de se rendre convenablement au scrutin du lendemain, et ils s'y rendirent librement, sans surveillance aucune. Quant aux infirmes, ceux de l'hospice de la rue de Dixmude furent conduits au bureau électoral dans les voitures mises leur disposition par les hospices et ils votèrent accompagnés des guides de leur choix. Ceux de l'hospice de Nazareth votèrent, l'un sans guide, un autre accompagné d'un guide libéral, les quatre autres du directeur. Quant aux visites que les candidats auraient faites aux vieillards la veille de l'élection, c'est un racontar absolument inexact. Un seul candidat est allé l'hos pice, mais c'était en sa qualité d'administrateur des hospices et il n'a vu aucun vieillard. Mais deux candidats libéraux, MM. G. Lapiere et Wydooghe, se sont présentés l'hospice de Nazareth, demandant parler au directeur. Ce dernier étant absent, ils demandèrent madame rires sur les bancs socialistes), se disant munis d'une autorisation du Pro cureur du Roi mais ils prirent soin de ne pas l'exhi ber... (Nouveaux rires). M. Demblon. Prenez garde Il y a des dames M. Imeins d)Eechhoutte. et pour cause, car ce magistrat n'aurait pas posé pareil acte. Mais Mme De Bruyne, ayant entendu invoquer le nom du procureur du roi, leur dit Je vous crois hommes d'honneur, incapables de me tromper, sui vez-moi et elle les conduisit l'infirmerie, où ils s'entretinrent avec les malades et les infirmes. (Ah! ah droite A l'hospice de la rue de Dixmude, les libéraux se présentèrent avec des voitures pour conduire les malades aux urnes. Us se disaient munis de certi ficats médicaux. Or, ceux-ci étaient signés par un médecin qui n'avait pas même approché les vieil lards Dois-je parler des démarches de l'ancien secré taire des hospices, qui a tout fait pour décider les pensionnaires voter pour les libéraux, disant qu'il y allait de leur intérêt Nous n'avons rien nous reprocher. Tous nos employés ont été laissés libres de voter selon leur conscience et ils appartiennent peu piès tous l'opinion libérale. (8) (A continuer). (8) Après Colaert, holà Après Henrietje, hélas On s'est tordu la Chambre, et sur tous les bancs. Un audi teur des tribunes disait en sortant un autre ce qu'il y a de plus nul dans toute l'affaire, c'est encore ce bout d'homme-là. Quel sot, bon Dieu Quel sot (N. de la R.j ~TS23 r Première partie. Deuxième partie. 1. Ouverture pour piano. Troisième partie. organisée par la société SOUU LA DIRECTION DE M. P. MORANT, A 6 1/9 HEURES PRÉCISES DU SOIR. (Vervolg, 2de deel). opgeluisterd met zichten, vergr00t door 0xyhydri8ch licht, Tir du Jeudi 30 Janvier 1896. 25 25 25 25 25 125 dagorde Pour rendre aux cheveux gris ou décolorés leur couleur et beauté primitives ainsi que iwuli Vd4ombbrillant. ch.. cour.», et parfu. BUUTJ. Dépôt *6 Rue Etienne Marcel. Paris. du 24 au 31 Janvier 1896. Naissances Sexe masculin, S, idem, féminin, S. Décès Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masc. 3, Id. fém. 3. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 1 Février 1896. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES QUANTITÉS VENDUES KILOGRAMMES PRIX MOYEN PAR CENT KILOGR. POIDS M"1 DE l'hecto litre. Froment 900 17 12 80 ■100 12 00 73 400 14 00 44 Pois 200 15 50 80 3,100 16 00 80 Pommes de terre 2,000 5 50 Beurre 11,200 252 00 OEufs, le quarteron 1 95

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Le Progrès (1841-1914) | 1896 | | pagina 3