«LA LUMIÈRE» Attention EN UNE NUIT 9 cors aux pieds les plus État-civil (TYpres, Marché dYpres. M. de Mauroy a écrit immédiatement an tu-, teur de la malheureuse pour lui apprendre la situation de sa pupille et le mettre en demeure de remplir les devoirs que lui impose la loi. Un cavalier désarçonné. Hier, vers la brune, M. Théodore Vancoppenolle, domestique chez M. Mousin, meunier Woluwe S'-Lambert, montait un vigoureux cheval lorsque, arrivé rue des Goujons, Anderlecht, l'animal s'effraya soudain au coup de sifflet du tram vicinal. Il se cabra et devint indomptable. Bientôt le malheu reux cavalier fut désarçonné et, ayant le pied pris dans l'étrier, il fut traîné sur une distance de plus de septante mètres. Puis le cheval s'a battit sur vancoppenolle qui ne donna plus signe de vie. Le pauvre homme a été transporté inanimé l'hôpital communal. Ce matin il n'avait pas en core repris connaissance. Les médecins n'ont aucun espoir de le sauver. Une jeune fille de 18 ans a tenté de se suicider Samedi soir en se j étant dans les eaux du bassin du Commerce, Bruxelles. Elle fut retirée par des passants l'aide d'une barque. A l'aubette de secours de la Porte du Rivage, où elle fut transportée, les soins les plus dévoués lui furent prodigués et eurent tôt fait de la ranimer. Cette malheureuse jeune fille a déclaré que c'étaient des chagrins d'amour qui l'avaient poussée mettre fin ses jours. Elle a été reconduite chez ses parents. Le gouvernement vient, d'après ce qu'on an nonce, de rappeler aux communes qu'elles ne doivent pas abuser des centimes additionnels. Il paraît que dans certaines localités ces centimes sont devenus des francs. mentaire exige que les adversaires soient placés égale distance l'un de l'autre. On écrit de Moorslede Depuis quelque temps M. J. D., entrepreneur, donnait des signes d'aliénation mentale. Avant hier, dans un accès de folie, il s'est coupé la gorge avec un couteau de cuisine. Sa nièce, en revenant de la messe, le trouva râlant dans son atelier. M. J. D. était un homme estimé, laborieux, et dont l'état de fortune allait grandissant. Les travaux de la moisson sont fort avancés. Les paysans disent que, si le temps veut bien res ter beau pendant quelques semaines encore, et si des orages ne viennent pas détruire le fruit de leur labeur, le rendement sera celui des plus ri ches années, presque exceptionnel. Or, quand le paysan se dit content, on peut croire sa parole. Verrons-nous du moins diminuer le prix du pain... Les mots de la fin Boireau a été convié un dîner de cérémonie. Incommodé par la chaleur, il éponge son front ruisselant et, se tournant vers la maîtresse de maison Cette fois, comtesse, nous pourrons nous vanter de Buivre la lettre le précepte de l'E vangile nous mangeons notre pain la sueur de notre front Un fournisseur vient d'apprendre que son client Z.., qui lui devait la forte somme, s'est pendu. Oh cela ne m'étonne pas, s'écrie-t-il avec colère, j'ai toujours dit que c'était un homme de sac et de corde. Le bon M. do Calino est chargé, en qualité de témoin, de régler les préparatifs d'une rencontre. Avant tout, dit-il, la loyauté la plus élé On est table, et Bébé vide chaque instant son verre, ce qui lui vaut une réprimande ma ternelle. Boireau, l'un des invités, dont la face enlu minée trahit le péché mignon, intervient son tour Mon petit ami, il ne faut pas boire avec excès. Rien n'est plus vilain... chez les enfants Une bonne nouvelle. L'anémie c'est dire la pauvreté de sang, qui est accom pagnée de faiblesse, de maux de tête, de pâleur, de palpitations, est maintenant guérie en peu de jours parla Pilule du Docteur jESnpliaël. Pharmacies Socquet, Libotte et Donck. Pour vos Articles Photographiques, Appareils. Objectifs, Papiers et tous accessoires adressez-vous chez 1^1. BARTIER rue au Beurre, 19, Ypres. Laboratoire la disposition des clients. 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VANDEKSTUYFT, RUE CARTON, 33. guérison certaine des anciens et les plus douloureux par le BAUME du Dr Noël 1 fr. Pharmacies Socquet, Libotte et Donck. Mr et Mme Maurice MEIER, chirurgiens-dentistes-spécialistes, %9 rue de Mouscron* Courtrai, ont l'honneur d'informer le public, qu'un nouveau dentiste, courant de maison en maison pour le nettoyage des dents et l'arrangement des pièces dentaires, vient de se fixer non loin de leur demeure mal gré la similitude du nom et de la profes sion, ils n'ont aucun rapport commercial avec cette personne. Comme précédemment, Mr et Mme Mau rice MEIER sont consulter journelle ment chez eux, 2, rue de M ouscron, maison porte cochère(près de la prison.) Ils n'ont même ni fils, ni frère, ni pa rent qui représente leur maison. Ils prient donc les personnes qui ont l'intention de les consulter de s'informer s'ils sont bien chez Mr et Mme Maurice MEIER, 2, rue de Mouscron et de faire attention aux réponses qui leur sont faites. M. Meier a l'honneur d'informer l'hono rable public qu'à la demande de sa nom breuse clientèle, il sera consulter trois jours de la semaine, les Lundi, Jeudi et Samedi, de 9 4 1|2 heures de relevée, chez Mme Veuve Van Kemmel, Grand'- Place, n" 5, Tpres. On se charge au bureau du journal de l'impression des cartes de visite et de tous genres de travaux d'impression tant en lithographie qu'en typographie. A vendre a un prix très-avantageux, la collection de i'ILLUSTRATION EUROPÉ ENNE du tome I XXIV. Chaque volume est richement relié, en très bon état et au complet. S'adresser au bureau du journal. Naissances Sexe masculin, 6, idem, féminin, 6. Décès Dauchy, Thérèse, 79 ans, sans profession, veu ve de Begerem, Charles, rue de la Bonle. Bouchaert, Romain, 76 ans, sans profession, époux de De Waeghenaere, Blondine, rue des Trèfles. HOUBLONS En houblon de la prochaine récolte, il s'est lait dans le courant de la semaine dernière des transactions d'une certaine importance, fr. 33, fr. 32 et, exceptionnellement, fr. 30 par 50 kil., de manière que les prix payés indiquent que la baisse a encore fait de nouveaux progrès. La situation des houblonnières dans le pays d'Alost, qui restent parfaitement saines et intac tes de vermine, continue de donner satisfaction. Ces derniers jours, nous avons été favorisés de quelques pluies pénétrantes, qui ont eu pour ef fet de dissiper les craintes que la persistance d'une température excessivement élevée aurait ffni par inspirer, surtout que nous entrons dans l'époque critique de la floraison. Les marchés étrangers restent généralement calmes, avec des prix faiblement tenus, la grande brasserie du continent n'achetant qu'au fur et mesure de seB besoins, et les stocks en premières mains, surtout en marchandise secondaire, étant encore assez importants. Terrible accident. Une désespérée d'amour. Suicide. La moisson. i du 17 au 24 Juillet 1896. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masc. 0, Id. fém. 0. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 25 Juillet 1896. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES QUANTITÉS PRIX MOYEN VENDUES PAR i CENT KILOGRAMMES j K1L0GR. POIDS M"" DE l'hecto litre. Froment 400 17 50 80 000 00 00 73 200 15 00 44 000 00 00 80 100 15 00 80 Pommes de terre 1,200 6 50 Beurre 13,272 245 00 OEufs, le quarteron 1 92 Auost, 20 Juillet. Les affaires en houblon d'Alost 1895 sont par continuation peu actives, quoique les détenteurs se soient montrés disposés faire de nouvelles concessions. En effet, il y a maintenant de nombreux vendeurs 23 et 21 fr. par 50 kil. ,avec quelques acheteurs pour des lots de détail destinés la consommation de la bras serie belge.

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Le Progrès (1841-1914) | 1896 | | pagina 3