La Lessive du Génie Ttïïntion BRASSERIE, COUINES. État-Civil d'Ypres, BELLE ET GRANDE 28 Cabarets, CAFÉS ET HOTEL, NOMBREUX TERRAINS A BATIR, A WERVICQ, Tout danger conjuré. Chers Concitoyens, Guérison de l'Ivrognerie l'Institut du Zexa, 9, rue du Faubourg Montmartre, 9, Paris. 623 Garde civique. -sj'pîooxos}' GA O O p e o e Me VERMEUEEJV Notaire Gliclnwc ei M GHEEDE Notaire Bruxelles VENTE PUBLIQUE Maisons de Maître, MAISONS DE COMMERCE, A i t TS KS U I iSO XS, Terres et Prés, LE TOUT SITUÉ DIVISÉ EN 161 10 TS. ADJUDICATION DÉFINITIVE. Les lots 1 6S, comprenant la bra^sei'ie, les cabarets, calés et Ilôtel, MARDI 17 NOVEMBRE 1903, 9 heures du malin, en I Hôtel Macote Wer vicq Ces lots mis prix sépa rément pour la somme totale de 232,500 fr. ADJUDICATION PREPARATOIRE. Les lots 69 10-4, MARDI 10 NOV EMBR E 1903, 9 heures du ma tin, au café La Demie Lune Wervicq. Les lois lOô 161, MERCRE DI 18 NOVEMBRE 1903, I heure de relevee. I Estaminet Le Parc Wervicq. Prime de mise prix 1 2 N.B. Affiches et renseignements obtenir en l'étude du Notaire VER- MEULEN Gheluwe, dépositaire du cahier des charges. Mangé. Ce sera un éblouissement, on enchantement pour les yeux La Commère de Bruxelles tout le monde.... décent sera MUe Thérèse Cer- nav qui nous arrive de Paris précédée de la plus flatteuse réputation MUe Th. Cernay a obtenu, tout com me chanteuse que comme jolie femme, de retentissants succès aux Ambassa deurs où elle joue également le rôle de la Commère dans la dernière revue. Peintres-décorateurs, machinistes, orchestre, figurants, sont sur les dents. Bruxelles tout le monde décent passe ra irrévocablement le Vendredi 13. Les Dimanches et jours de fêtes, il y aura matinée 2 heures. Dimanche 8 Novembre, dernière ma tinée de Les Petites Michu spectacle de famille Le Mercredi 11 courant, représentati mdegrandgala Bernani» avec M Albert Lambert fils, de la Co médie Française. Jeudi relâche pour répétition générale. On peut retenir ses places, pour tou tes les représentations, par lettre, dé pêche et téléphone n° 486. ■>- Ceux qui ont un enfant malade compren dront l'anxiété et le désespoir exprimés en la lettre ci-dessous reproduite et sauront appré cier le soulagement et la joie éprouvés par les parents en présence de l'étonnante guérison de leur bébé par l'Emulsion Scott. L'Emulsion Scott, du reste, n'a jamais déçu personne elle agit toujours comme elle le fit ici Frailure, le 20 Juin 1902. Messieurs. A l'âge de six mois mon fils Florian futatteinl d'un eczéma que le médecin dé clara provenir d'un allaitement défectueux. De ce moment il ces- sa de profiler, ses cbairs devinrent mollps, il maigrit considérable ment et resta faible, chétif, de florian duchateau. sorte qu'à deux ans il ne marchait pas encore. Pour comble de malheur il eut une bronchite qui acheva de le terrasser et me fit craindre pour ses jours. Le résultat négatif des remèdes employés jus qu'alors me fit essayer votre Emulsion Scott que mon petit prit avec plaisir et les merveil leux effets en furent si rapides que huit jours de son emploi suffirent pour conjurer tout dan ger et que, trois semaines plus tard, il com mençait marcher. Enfin actuellement mon garçon jouit d'une parfaite santé, il est devenu gros, robuste, vif, enjoué et paraît même avoir plus que ses trois ans. Désiré Duchateau. L'Emulsion Scott est le remède tout indiqué contre le rachitisme si faible que puisse être l'enfant, l'Emulsion Scott consolidera ses os et lui bâtira une charpente osseuse parfaitement résistante. Ceci est aisé comprendre, en ce sens que l'Emulsion Scott renferme l'huile de foie de morue sous une formule qui la rend trois fois plus efficace et absolument savoureu se. L'huile de foie de morue prise sous forme d'Emulsion Scott est un aliment qui régénérera et fortifiera l'organisme tandis que les hypo- phosphites, contenus aussi dans l'Emulsion Scott, agiront comme toniques pour améliorer l'appétit, calmer, renforcer, nourrir les nerfs et le cerveau tout en aidant de façon inestimable la saine formation d'os résistants et de fines petites dents de perle. ous ne profiterez pas de toutes ces bienfaisantes qualités de l'Emul sion Scoti si vous acceptez auire chose Récla mez donc bien l'Emulsion Scott qui se vend tou jours en flacons dont l'enveloppe, couleur sau mon, poite la marque de fabrique le pê cheur tenant sur son épaule une grosse mo rue L Emulsion Scott se trouve ciiez tous les pharmaciens lin échantillon d'essai, fac-similé de nos flacons, sera envoyé, franco et recom mandé, conlie 0 fr. 50 de timbres adressés M. G. Cnbbenhagen, pharmacien, 39, rue du Midi, Bruxelles. Nous avons publié, dans notre der nier numéro, titre de document, un manifeste distribué Confines dans le quel il était dit que M. Van Elslande, vice-président du Cercle catholique d lpres, avait pactisé avec les socialis tes de son endroit. Nous recevons aujourd'hui la lettre suivante que nous insérons titre de droit de réponse. Il en résulte que les socialistes n'ont soutenu ni l'une ni l'autre liste cléri cale, dont acte. Mais il en résulte aussi que des avances leur ont été faites par los cléricaux, ce que nous tenions re- eyer pour 1 édification de notre con- trère 1 e Tournai d'Ypres. Confines, le 4 Novembre 1903. Monsieur l'Editeur du journal le «-Pro grès Y près Je lis dans le Progrès du lr Novem bre, sous le titre Une alliance cléri- co socialiste Comioes un manifeste distribué la population Cominoise par les soins des candidats de la liste n° 2. D'après les dires de ces individus, il paraît que le parti socialiste aurait été vendu Monsieur Van Elslande. Si vous voulez me permettre l'insertion de cette lettre dans les colonnes de vo tre estimable journal, je désire dire ce qu'il en est. La lutte électorale dans notre com mune fût très chaude entre deux listes catholiques, l'une patronnée par notre bourgmestre, l'autre par le clergé et par tous les pilliers de sacristie Comi- nois. Le parti socialiste ne présentait qu'une liste incomplète. Pour triompher, les deux listes catholiques, en présence, comptèrent sur l'appui des socialistes. C'est pour quoi aucune attaque ne fût lancée con tre nos candidats avant les élections. Quant nous, socialistes, dans tous les manifestes que aous avons distri bués, nous avons conseillé le vote en tête de liste, car nous savions bien que la différence entre ces deux sortes de cléricaux, n'était pas grande. Aujourd'hui, les élections passées, ces Messieurs accusent le parti ouvrier, parce qu'un Monsieur, qui était connu comme anti-clérical, a travaillé ouver tement pour la liste du bourgmestre. Quant le citer comme chef du socia lisme Cominois, ils se trompent, je ne Bais pas quels sont les socialistes qu'il dirigeait Ils nous traitent de vendus. En effet, nous avions l'occasion de nous vendre, et si j'ai bonne mémoire, il me semble que c'était bien un candi dat de la liste n° 2 qui nous proposait le marché. En 1900 et en 1902 nous fûmes ven dus aux libéraux parce que nous n'a vons pas voulu faire le jeu des cléri caux aujourd'hui nous sommes ven dus Monsieur Van Elslande parce que nous n'avons pas voulu nous ven dre la liste n" 2. A chaque élection nous sommes ven dus et cependant nous restons toujours pauvres, il est vrai que la pauvreté n'est pas un vice. Voilà, Monsieur l'Editeur, ce qu'il en est.et l'espèreque vous aurez l'obli geance d'insérer cette lettre dans les colonnes du Progrès. Eu vous remerciant, recevez mes plus sincères salutations. K. Gryson. Ci-contre la proclamation lancée par le parti ouvrier ayant publié l'atta que, nous insérons la riposte. Des personnes mal intentionnées font courir le bruit que le parti ouvrier serait vendu. D'un côté les partisans de la liste n° t, dans une circulaire anonyme, qu'ils n'ont pas osé lancer, tellement elie est bête, attaquent mé chamment notre ami Deltour et le lont passer aux yeux des électeurs comme l'auteur des compromissions avec Monsieur Henri Lannoy De l'autre côté les partisans de la liste n" 2, soutiennent que le parti ouvrier tout entier se rait vendu Monsieur Van Elslande, que le marché aurait été contracté dans la nu;t de Sa medi Dimanche l'estaminet du Café nu Fort Les uns comme les autres savent que rien de ce qu'ils avancent soit vrai. C'est vraiment aussi bête que méchant. Mais ce qu'il y a de vrai, c'est que d'un côté un individu très sympathique, qui s'était tou jours donné des allures de socialiste, s'est la veille des élections tourné contre le parti qu'il nrétendait défendre, p ur soutenir les candi dats dé la liste n° 1, c'est donc sur lui seul que doivent retomber les responsabilités et non sur le parti ouvrier. De l'autre côté des démarches furent faites auprès de Deltour par un candidat de la liste n° 2 demandant de ne pas lutter aux élections communales et d'appuyer leur liste. Le parti ouvrier ne pouvait pas appuyer l'une liste plus tôt que l'autre, vu queni l'une ni l'au tre ne présentait de programme et attendu qu'il n'y avait entre eux que des questions d'ambi tions et de personnes. S'il n'y avait pas eu de rancune entre eux ils auraient marché d'accord pour écraser le parti ouvrier Ils ne sont pas satisfaits, quoique leurslistes comptent de part et d'autre des élus, c'était la majorité absolue qui leur fallait. Leurs élections, ils la doivent la corruption et l'argent qu'ils ont dépensé, ils ont eu re cours aux procédés les plus bas. Le parti ouvrier ne compte pas d'élu, mais cependant nous nous contentons et nous te nons remercier ceux qui ont bien voulu nous apporter leur confiance. Nous sortons de la lut te électorale, les mains nettes, et comme nos circulaires le prouvent nous avons su respecter nos adversaires politiques. Nos adversaires, au contraire, se sont abais sés et ne peuvent avoir la conscience tranquil le, tous ont manqué leur premier devoir. Nous sommes battus, mais non pas vaincus, et plus que jamais nous serons sur la brèche, nous nous remetions donc au travail, en don nant rendez-vous aux électeurs dans quatre ans. D'ici cette époque, les uns et les autres, vous aurez constaté que vous vous êtes trom pés. Alphonse MINNEKEER. Emile SIEUW. Edmond SIX. Un paquet de ce remède extraordinaire sera envoyé franco comme échantil lon tous ceux qui en feront la demande par écrit. Peut être pris dans du Café, du Thé on dans la nourriture a l'insu du buveur. Le guérit complètement et pour toujours. Préparé sous le contrôle de M. Lévy, Pharmacien de l'Université de Paris. L'ivrogne peut être sauvé par l'aide de la femme. C'est-là une cure qui vaut mieux que tous les discours du monde sur la tempérance, car ce remède produit l'effet merveilleux de dé goûter l'ivrogne de l'alcool. Il opère si silen cieusement et si sûrement que la femme, la sœur ou la fille de l'intéressé peuvent lui don ner le remède son insu et sans qu'il ait ja mais besoin de savoir ce qui a causé sa guérison. Dernièrement, une dame s'est exprimée peu près comme suit Oui, j'ai employé ce remède l'insu de mon mari et il l'a complètement guéri. C'était un bon mari quand il n'avait pas bu, mais, malheureusement, il était presque toujours en état d'ivresse. Je vivais dans une crainte perpétuelle dans la honte et le désespoir, dans le déshonneur et la misère. Mais pour- quoi parler de cela d'autres N'est-ce pas miraculeux que la femme elle-même puisse de ses mains opérer la guérison et transfor- mer sa demeure, où régnait le désespoir et la misère en un palais radieux. Cet excellent remède a réconcilié des mil liers de familles, sauvé des milliers d'hommes de la honte et du déshonneur et en a fait des citoyens vigoureux et des hommes d'affaires capables il a conduit plus d'un jeune homme sur le droit chemin du bonheur et prolongé de plusieurs années la vie de beaucoup de per sonnes. L'Institut qui possède' ce remède, en envoie lous ceux qui en font la demande par écrit un échantillon gratis et franco et d'une quan tité suffisante pour que chacun puisse se ren dre compte de son efficacité et de sa sûreté. Le remède est garanti absolument inoffensif. N'attendez pas écrivez dès aujourd'hui Tir ordinaire du 29 Octobre 1903. Vandevyver A., 20 25 25 25 25 120 Fol Julien, 25 20 25 25 20 115 Pintelon M., 20 25 20 25 25 115 Poelemans D., 20 25 20 20 25 110 lave merveilleusement et économique ment le linge, les flanelles, les habille ments tout en leur donnant une légère odeur d'iris, nettoie magiquement la vaisselle, les tables, les pavements. Réclamez échantillon gratuit la So ciété du Génie Péruwelz (Hainaut). Pour éviter tout, erreur, le dentiste Ma urice MEIEK, de Courtrai, a l'honneur d'in former sa nombreuse clientèle ainsi que les perso.m< s qui au raient l'intention de venir le con sulter qu i 1 y a un nouveau den tiste portant le même nom et avec lequel il n'a aucune relation commerciale, qui vient Y près deux maisons de sa demeure. Il les prie de bien informer s ils sont chez l'ancien dentiste Maurice M LIER, de Courtrai, qui est consulter a Y près depuis 16 ans chez Mme Veuve V kl.MMLL, Grand'Place, 5 (mai son fermée) les Lundi, Jeudi et Samedi, de 9 4 h. du 30 Octobre au 6 Novembre 1903. Naissances Yerkinderen, Jolia, Hoornwerk. De ll .Mander, Georges. Kasteeigraeht an- coillia, Maurice, chaussée de Lille Andries, Ivonne. rue EigeiiheerJ. Hol- lebeke, Daniel, Basse Ville. Justice, Suzanne, rue Vieux Marché au Bois. Décès Dewilte. Sy vie, 67 ans, dentellière, épouse de Turcry, Gustave, Cloître S1 Mar tin. Dierick, Léonie, 58 ans, sans pro fession, célibataire, rue au Beurre. Trigalet, Marie, 68 ans, sans profession, épouse de Ramais, Jean, chaussée de Pope- ringhe. Polley, Georgine, 34 ans, sans profession, célibataire, rue de la Boule. Dewitte, Marie, 57 ans, boutiquière, veuve de Depuydt, Henri, rue de Dixmude. Vanvleteren, Louis, 71 ans, sans profes sion, veuf de Pieters, Amélie et de Boudry, Cécile,et époux de Debruyne, Barbe, Hoorn- werk. Vanhoutte, Gaston, 3 mois, Esplanade. Ronse, Marie, 81 ans, sans profession, veuve de Veys, Jean, et de D'haenrns, Désiré,chaussée de Poperingbe. De Coninck, Julienne, 89 ans, sans profession, veuve de Eelboo, Pierre, rue de la Boule. Hecadt, Victor, 2 1/2 ans, chaussée de Lille. oooooooo 0200000000 G* OOOOOOOCO 0®a000 20®-*-< t* <5* o o o to «n t— CO "TH c o 03 C/3 03 a a t. B i-jg oj o o ai CsJ ÉTUDES de d'une

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Le Progrès (1841-1914) | 1903 | | pagina 3