WATERINGUE MRINE LACTÉE. On nous prie d'an noncer que Mr et Mme Meier, Chirurgiens- Dentistes, 2, rue de Mouscron,àCourtrai, seront absents du 2 Août au 4Septembre. État-Civil d Ypres. NORD DE FURNES. Il n'y a pas de meilleure preuve que le témoignage des gens d'Ypres. L'ouverture de la chasse. Mort mystérieuse d une jeune fiIle. L'esthétique au village. CHIMAY. Ville de Verviers. Pneus Duiilop. Saison 1904-1905. îour Enfants, DU JEfcégi«; «le la Wa- tering-tie du rVortl de Furnes a l'honneur de convo quer les Propriétaires possédant trente hectares de terrain dans la dite YY'aleringtie, pour l'as semblée générale qui aura lieu Hôtel de Y iile de Furnes, le Vardi <5 Septembre 190-4, 10 heures du matin. Furnes, le 12 Août 1904. Le Président de la Régie, D. DEHAENE. Les Membres, A. HOUTSAEGER, IL de SPOT, L. BIESYVAL et H de SPOT. Annuaire statistique de la Beig 1903. Brux., Stevens, 1904 in-8'. Cb Terlinden. Le pape Clément IX et la guerre de Candie (1667-1669). Louvain, Peeters, 1904 in-8°. Alfr. Delcroix. Guide pratique pour les élections communales. Brux., Guyotv 1903 in-8". Communiqué Nous désirons appeler votre atten tion sur l'un deB points principaux de toutes ces causeries faites avec le pu blic. On cite toujours les exposés des gens d'Ypres. Un homme habitant l'Allemagne pourrait peut être vous envoyer ce sujet une lettre éloquente et remplie de vérité mais vous préfére riez sans doute, n'est ce pas, en rece voir une d'un habitant de votre ville. Rien de sensationnel. Quand on est malade et que l'on prend le remède voulu, il est tout naturel d'obtenir un résultat satisfaisant. Mme Eveline Lepaire-Michiels, 6, rue des Trèfles, Ypres, nous dit Je souffrais énormément des reins depuis plus de six mois, surtout quand je devais me baisser, les douleurs étaient alors très aiguës, je n'avais plus que peu de sommeil et encore était-il bieu agité, je n'avais plus de repos et me levais toute harassée et les mem bres engourdis, j'avais toujours des maux de tête et des vertiges, mes uri nes étaient chargées et je perdais tout appétit les soins et les remèdes ne m'étaient d'aucune avance, je ne savais plus que faire et me désespérais quand je voulus prendre des Pilules Poster pour les Reins dont on parlait beau coup et que je cherchai la Pharmacie Becuwe Ypres. A ma joie étonnée, dès le troisième jour, je me sentis bien soulagée de jour en jour mon état s'améliora vue d'oeil, si bien qu'eu moins de quinze jours, j'étais entin guérie. Un petit mot aux femmes Beaucoup de vous semblent être constamment in disposées peut-être souffrez-vous de douleurs sourdes dans le dos, de malai ses ressemblant l'affaissement, de mi graines ou de surexcitation des nerfs. Ne vous hâtez pas d'en conclure que vous êtes atteintes d'une de ces mala dies auxquelles les femmes sont sujet tes. Un grand nombre de ces préten dues maladies de femmes ne sont autre chose qu'une affection des reins. 11 se peut que vous soyez irritables, nerveuses ou abattues, mais ne perdez pas courage et cessez de penser des maux imaginaires, ce sont peut être vos reins qui sont en jeu. Pourquoi ne pas vous en assurer Assurez-vous qu'on vous donne les t Pilules Fostsrpour les Reins de la même espèce que celles qu'a eues Mme Lepaire Michiels. Ou peut se les procu rer dans toutes les pharmacies raison de 3 fr. 50 la boîte ou de 19 fr. pour 6 boîtes ou franco par la poste en faisant la demande la Pharmacie Anglaise de Ch Delacre, 50-52, rue (Joudenberg, Bruxelles. Dépôt général pour la Belgi que. (1) L'ouverture de la chasse s'est faite Same di matin, sans tapage, sans fièvre apparente de la part de nos Nemrods, qui, très philo sophiquement, carnassière au côté, fusil en bandoulière, chiens en laisse, s'embarquaient dès la première heure aux gares de notre région. Le temps était souhait pas trop chaud, pas humide terain bien point pour traverser les labourés atmosphère propice la visée, le soleil ne faisant pas étinceler le canon de l'arme de façon éblouir le tireur. Et maintenant, se demande Le Petit Bleu, y a-t-il plus de gibier Y en a-t-il moins Venalores certant. Jamais, disent les uns, on n'a vu pareille abondance de lièvres et de perdreaux ce sont les Nemrods qui reviennent avec leurs carniers pleins. On avait fortement exagéré, affirment les autres certes, l'année est bonne, mais el e n'est pas extraordinaire ce sont ceux «'ont les carniers peut-être par leur faute, n ne sait jamais ont des platitudes fâcheuses. La note optimiste, semble dominer cepen dant. Mais ce n'est évidemment pas avant quelques jours qu'on aura, sinon une sta tistique, au moins une estimation d'ensem ble. En attendant, nos chasseurs s'en don nent cœur joie depuis Samedi. En Allemagne, l'ouverture de la chasse eu lieu Jeudi. D'aires les premières nouvel les, les chasseurs en sont revenus enchanté*, ayant abattu quantité de perdreaux malgré le temps défavorable. Il parait qu'il y a énormément de pouil- lards. Les chasseurs ont pu se convaincre par la quantité de lièvres qu'ils ont fait lever en parcourant la campagne, de la belle ouver ture qui leur est reservée ce gibier. On sait qu'en Allemagne la chasse au liè vre s'ouvre plus tard que celle au perdreau. Si tous avez des démangeaisons on un vice de sang quelconque (dartes, bou tons, eczé.iias) guérissez-vous en pre nant la Pilule antiglaireuse du Docteur Walt lier y. Une jeune fille de 23 ans, Louise Van den Casteel, originaire d'Ypres, était tiou- vée, il y a quelques jours, l'état de cadavre dans la chambre qu'elle occupait rue Braemt. Saint-Josse-ten-Noode. Le corps était étendu dans le lit et du sang s'échappait par le nez et par les organes. Le parquet, prévenu d'urgence, se trans porta immédiatement sur les lieux II était représenté par M. Fromès, juge d'instruc tion, M Van den Branden-de Reeth, substi tut, et M. Morette, greffier. Après les con statations d'usage, le corps fut dirigé sur l'amphithéâtre de l'hôpital communal, où deux médecins légistes, MM. les docteurs de Laveley et Leto, pratiquèrent l'autopsie. Celle-ci a établi que la jeune fille avait suc combé aux suites d'une infection septique résultant d'un accouchement prématuré ou de manœuvres abortives Cette personne était précédemment ser vante depuis six mois elle avait quitté tout service et vivait seule, dans une cham bre. Malgré toutes les investigations, les magistrats ne sont pas parvenus, jusqu'à présent, découvrir aucune des personnes avec lesquelles la jeune fille se trouvait en relations. Si vous êtes pâle, si vous avez des vertiges, des éblouissements, des bour donnements d'oreilles, si vous souffrez de névralgies ou de palpitations de cc&ur, employez la Pilule toni-ferrugi neuse du Docteur Rapliacl et vous serez vite guéri. L'alignement. - The Gai'dens. Voilà une question qui devrait faire l'objet d'un règlement complet com bien de fois ne parle-t-on pas de l'esthé tique, n'est-ce pas L'élément particu lier s'en occupe avec ardeur, il faut le reconnaître, mais cela suffit-il Oli non. Sans le concours et la bonne vo lonté des autorités communales, le ré sultat est nul et, tout ce qui aura été conçu de beau, de grandiose, voire mê me exécuté, sera massacré par la main ignorante ou méchante. En Belgique, par exemple, et surtout dans les grands centres intellectuels, on s'attache ou vrir de larges rues, créer de belles artères d'une largeur flottant de 40 80 mètres. C'est là évidemment un exemple suivre un peu partout, même dans les simples villages, où l'hygiène doit être le grand conducteur du bon état sani taire local. Les jardinets de cinq mè tres, précédant les habitations, ont un triple avantage, bel effet d'abord, en suite celui de l'agrément, e^ce qui pri me, on est chez soi. En effet, les gamins en général sont tentés de souiller les façades, d'y ap poser leurs mains, d'y crayonner, etc. Que de rues ne trouve-t-on pas qui forment comme ligne de constructions, de véritables festons Ce ne sont pas, hélas, des dentelles d'Ypres, ni de Va- lenciennes. ni de Bruxelles. C'est ce pendant ce que nous voudrions. Voyez ce qui se passe la campagne. L'auto nomie du bourgmestre au village, oui du maïeur. est un véritable mal. s'il n'est pas bien inspiré, une cause de manque de progrès, d'arrêt dans la ci vilisation surtout si lui et ses deux ou trois échevms, qu'il matte presque toujours, ne possèdent pas quelque transport de l'âme vera le beau A la campagne, il y a la routine des siècles, cette routine elle est dans le sang Waarom veranderenAlors il est facile de comprendre qu'une nouvelle loi s'impose, sans tarder, pour obvier cette autonomie rurale et ce pour le grand bien général. N'est-il pas triste, douloureux même, de devoir constater l'impuissance d'un gouverneur sur un bourgmestre de villageen matière de constructions ou d'alignemeut bien en tendu. Il est plus que nécessaire, étant don- ué par exemple une rue nouvellement ouverte, alors que le premier proprié taire qui affecte du goût et qui fait précéder ses constructions de jardinets, soit au moins soutenu dans son entre prise d'embellissement. Un plan géné ral s'impose d'office. Mais, héias la campagne, on s'en f.fais ce que tu veux. Festonnez. Allons, Messieurs les Représentants, secondez les efforts des amateurs d'es thétique, arrêtez un peu l'autonomie des bourgmestres de villages vous travaillerez ainsi pour l'esthétique, si en vogue aujourd'hui, car sans les jouissances morales, il n'y a point de vie. UVIJc. - Au concours d^ 1903, les élèves ue l'Athénée Royal «le Chiniay obtiennent 71 distinctions Treize d'en- tre-eux arrivent premiers de leurs clas ses respectives Pensionnat le mieux réputé. Prix 500 fr. Directeur L. Delsat-Giminne. Concours «le Mandolines. 1000 francs de Prix en espèces et objets d'Art. Un grand Concours de Mandolines est or ganisé par le Ciub Venezia de Verviers pour les 23 et 24 Octobre prochain. Le con cours comprendra cinq catégories 1" Estudiantinas (Mandolines, mandoles, guitares ou piano, ad libitum) 2' E studiantinas HonneurMandoli nes, mandoles, guitares, violons, violoncel les. flûtes, hautbois, piano, etc., (cuivres exceptes). 3 Mandolines solo. 4" Mandolines solo (Honneur). 5" Duos (deux mandolines, a^c accompa gnement de piano) Pour tous renseignements, s'adresser M. Léon Hesse, rue Jardon, Verviers. M. Gattanach. directeur pour la Bel gique, de la Cie Dunlop, est rentré d'Angleterre, où, entr'autres, toutes dispositions ont été prises, pour que toutes commandes puissent être exécu tées lettre vue laE TRAOUCTEllR, journal bimensuel pour l'étude des langues allemande ellrançaise, paraissant La Chaux de-Fonds (Suisse.) Abonnement, fr. 2-50 (Suisse fr. 2) par semestre. Numéros spécimens gratis et franco. Des morceaux de lecture choisis avec soin dans tous les domaines de la littérature fran çaise et allemande el accompagnés, soit de traductions fidèles, soit de notes explicatives détaillées, font de cette publication un moyen d'études la fois utile et agréable. L'intérêt est captivé par des lectures variées, et chaque numéro fait réaliser, sans effort apparent, de nouveaux progrès. Nous recommandons cette publication toute personne désireuse de se perfectionner dans l'une ou l'autre des deux langues. Mont res chemin «le iei* so lidité, régularité, garanties sur factoer 5 ans. l*rix 21» ir. Payable 3 fr. par mois. - Montre» en argent et en or pour hommes et pour da mes, régulateiirs, garnitures «le cheminée, etc. Ecrire Cl. DECHAMPS. horloger, 16, rue de la Régence, Bruxelles. ■gi«J-s On se charge au bureau du journal de l'impression des cartes de visite et de tous genres de travaux d'impression tant en lithographie qu'en typographie. Déclarations du 19 au 26 Août 1904. Naissances Deconinck, Germaine, rue de Lille. Knockaert, Michel, rue Eigen- heerd Doolaeghe, Marie, rue de Lille. Crepeele, Adrienne, chaussée de Lille. Laseure, Rachel, rue Cour te de Thourout. Vandenberghe, Hélène, chaussée de Poperinghe. Mariages Deweer, Guillaume, tisserand, et Huyghe, Marie, repasseuse, tous deux Ypres. Kleynen, Pierre, lieutenant pensionné, et Van Acker, Adèle, insti tutrice, tous deux Ypres Maes, Maurice, licencié du degré supérieur en sciences commerciales et consulai res, Mont S'-Amand, et Nollet, Odile, sans profession, Ypres. Debergh, Maurice, négociant, et Joncheere, Alice, sans profession, tous deux Ypres. Décès Bouckaert, Thérèse, 43 ans, sans profession, épouse de Verbrugge, Pier re, chaussée de Poperiughe. Mon- prez, Julie, 70 ans, sans profession, cé libataire,rue de la Prison. Lescohier, Nathalie, 69 ans, sans profession, céli bataire, rue des Chiens. Desmet, Rosalie, 73 ans, sans profession, épouse de Ghuusse, Emile, chaussée de Pope ringhe. Duprez, Joseph, 85 ans, sans profession, veuf de Spons, Séraphine et de Leroy, Thérèse, rue de Lille. Terlinck, Charles, 84 ans, sans profes sion, célibataire, rue de/.Roulers. De Beil, Sylvie, 69 ans, religieuse, céliba taire, rue G. de Stuers. Wolters, Isabelle, 3 semaines, Plaine d'Amour. Thanghe, Firmin, 1 mois, rue du Quai. lvindt, Sylvie,39 ans, ouvrière, veuve de Demeester, Isidore, épouse de Vincke, Gustave, rue de Manin David, Auguste, 3 1/2 mois, rue de la Station. Demyttenaere, Auguste, 76 ans,sans profession, veuf de Coppin, Marie, rue de Lille. -c23" ooooocoo OOSOOOOOCO X îfî iO O O F- O i o o as 154 oooooooo O o O O O SO o G4 r- ifloo® ao aO <54 o o o o o o co o O O O O O I- ao zo r

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Le Progrès (1841-1914) | 1904 | | pagina 3