gtra une bonne chose pour les particu liers et urtout pour la ville mais tout cela sont des mojens d'atermoiements et il est nécessaire d'y mettre fin car l'appétit vient en mangeant et si nous devi >n« encore remettre notre déci sion, il est problable que nous serions encore saisis de nouvelles propositions. (Je système n« saurait convenir une administration sérieuse et nous avons demandé ces Mescieurs de nous com muniquer leur acte de société. Si des indiscrétions ont été commises pro pos de l'annexe présentée par un des amateurs, nous n'en pouvons mais et je crois, en pft«t. qu'il y a eu des in discrétions. Je n'incrimine d'ailleurs personne du Conseil. D'ailleurs, nous n'avôns rien cacher. (1) Je vous dirai donc que nous avons reçu la visite de \1. De Bronwer et que nous avons cru pouvoir le recevoir, quoiqu'il soit le frère de notre doyen, parce que nous avons pensé que les in térêts de la ville ne devaient pas être négligés par ce fait. Eh bien, Messieurs, voici la première conversation que j'ai eu l'houneur d'avoir avec lui. La ville de Poperinghe vous a demandé de l'é clairer au gaz et M. De Brouwer m'a immédiatement répondu Ce n'est pas assez important et je n'y tiens fias ab solument. Alors est venu l'idée de l'in tercommunale proprement dite entre communes et particuliers et j'ai dit M De Bronwer que cette société ne se rait pas légale. Je lui ai fait connaître aussi de quelle façon elle pourrait être créée plus tard et M. De Brouwer nous a répondu que si l'on pouvait s'enten dre entre plusieurs localités pour lui donner la concession de l'éclairage, il pourrait en construisant une seule usi ne, distribuer le gaz dans plusieurs lo calités. Ce serait là évidemment un bé néfice pour la ville et pour le conces sionnaire, bénéfice pour la ville, en ce sens, que les frais généraux seraient considérablement diminués Daus ces conditions, déclarait Mon sieur De Brouwer, je crois que je pourrais faire des propositions et c'est alors que nous lui avons demandé de nous en faire parvenir Ces proposi tions ont éfé examinées longuement et c'est pendant ce temps que j'ai eu l'oc casion de dire plusieurs fois M Val- cke, dans mon cabinet,que nous allions probablement, Ri tel était le sentiment du conseil, nous rallier une société qui provisoirement aurait le droit d'ex ploiter l'éclairage dans toutes les com munes de l'arrondissement qui vou draient s'entendre cet effet. Et voilà, Messieurs, le système qui vous ost pro posé aujourd'hui. M. De Brouwer a fait de la question une étude très ap profondie. De mou côté, j'en ai fait une parallèlement D'autres membres l'ont étudiée aussi et l'on peut dire que la question a été examinée dans tous ses détails. Nous sommes arrivés ainsi aux conclusions dont j'ai eu l'honneur de vous faire connaître les résultats. Permette z-moi d'ajoutercependant que le projet que nous allons discuter pré sente de grands avantages pour la vilie, qu'il contient des modifications im portantes qui changent complètement le contrat actuellement en cours. Le système actuel, quand il a été voté en 1886, paraissait certainement avanta geux la ville. Il a été voté alors l'u nanimité mais je puis dire que la qties tion, ce moment-là, n'a pus été exami née comme elle l'a été maintenant. La concession a été élaborée de telle façon que le concessionnaire M. Valcko lui- même a lieu de s'en plaindre, car, re marquez, que si la ville voulait user de son droit, elle pourrait traiter M. Val cke comme un locataire ordinaire. Vous savez que M. Valcke a fait des constructions que la ville propriétaire a droit de reprendre en vertu de l'arti cle 555 du code civil de même qu'uu piopi létaire a le droit de reprendre, par exemple, les arbres plantés par son locataire. Si le propriétaire ne le fait pas, le locataire est obligé d'enlever le tout, et de remettre les lieux dans l'état où il les a trouvés au moment de la lo cation. A ce point de vue donc, le con trat de M. Valcke est vraiment draco nien et l'on comprend très bien que lorsque des plaintes se sord élevées au sujet de l'insuffisance de l'éclairage, on peut excuser M Valcko de ne pas tou- joursy avoir fait droit Son contrat est tel que si, l'expiration de celui-ci, la ville ne peut ou ue veut pas s'enteu dre avec lui. elle peut, usaut de son droit, laisser enfoui dans le sol nu ca Pdal considérable représenté par la canalisation ou bien ordonuc r M i) N. d. 1. R. C'est pour cela que vous avez tout caché. alck", ce qui lui coûterait beaucoup plus cher, de l'enlever complètement. On comprend donc que M. Valcke, en présence d'une éventualité pareille, n ait presque rien fait depuis 10 ans pour améliorer sou exploitation car, ia rigueur, la ville pourrait lui dire De tout ce que vous avez fait, nous n'eu voulons rieu. Aussi, nous espérons vive ment que si M. Valcke n'est pas déclaré nouveau concessionnaire, i; pourra s entendre avec son successeur et j'ai même promis, plusieurs reprises, M. Valcke d'interposer mes bons offices entre lui et le nouveau concessionnaire afin que celui-ci prenne l'usine ut la tuyauterie, en tant cependant que tout cela soit encore en bon état. (Jette clause est même prévue dans le contrat D'autre part, le contrat actuel dit que I ou ue pouria placer des lanternes en ville et en dehors do la ville une dis tance de 600 mètres des issues de la ville Si, par exemple, l'on demandait M alcke d'établir des lanternes daus la rue qui conduit l'école de bienfaisance, il serait en droit de re poudre qu'il n'a pas l'pbligation de placer le gaz en cet endroit Dans le uouveau contrat, au contraire, c'est le Collège qui détermine les endroits où le concessionnaire devra, le cas échéant, établir de nouvelles lanternes Le contrat prévoit aussi de nouvelles pénalités qui permettront l'application des diverses clauses dans toute leur ri gueur car nous désirons obtenir en ville un éclairage public qui ue laisse plus rien désirer. Si nous examinons maintenant l'ar ticle 2 qui constitue le contrat annexe, nous devons reconnaître qu'il contient de grands avantages sur le contrat en cours. Le premier, c'est la possibilité, pour la ville, d'adopter tout nouveau système d'éclairage, électricité, gaz perfectionné, acétylène ou tout autre mode reconnu meilleur. Du moment où il est établi que ce système donne un bénéfice de 15e pour l'éclairage public. uoub avons le droit d'en exiger l'appli cation. Cet avantage est tellement évi dent, que je ne crois pas nécessaire d'insister. Il saute aux yeux de tous. Le second, c'est celui qui est contes té par l'opinion publique, par une par tie de l'opinion publique au moins, mais qui ne l'est plus par ceux qui, la dernière minute, nous ont piétenté des propositions. Il ne l'est plus n<>n plus par ceux qui m'ont fait des offres verbales et qui voudraient constituer une intercommunale mais qui redou tent de le faire parce que, disent-ils, nous ne sommes pas certains d'obtenir le concours de techniciens capables comme il y en a quelques-uns dans le pays (1) L'on ne contestera pas, par exem ple. qu'en matière d'éclairage au gaz, M. De Brouwer est un des premiers techniciens de l'Europe eut îère. Ses ca pacités cet égard ont encore été cou sacrées récemment l'aria où il a ob tenu une flatteuse distinction dans uno exposition Quand vous aurez entendu les chiffres que je citerai et quand le public les connaîtra, je suis convaincu que le public, intelligent tout au moins, répondra lui même aux atta ques dont nous avons pu être l'objet. (2) Je ne parle pas do ces attaques oc s quines auxquelles on doit toujours s'at tendre de la part d'une pat lie de la po pulation Mais après l'exposé que j'ai tâché de faire aussi complet quo posei ble, le public instruit saura de quoi il retourne dans le projet et il ne pourra qn'appUudir la solution que vous prendrez. Qu'il soit bien entendu une dernière fois que la ville n'a aucune obligation d'entrer dans une société intercommunale. Elle y entrera, le caH échéant, quand la loi le lui permettra, mais encore fera-t-elle ce moment ce qu'elle voudra. C'est la faculté que lui réserve le uouveau contrat. Peu de personnes ont calculé le nom bre exact de mètres cubes consommés actuellement mais ce n'est pas là un mystère pour les membres du Conseil Au cours des conférences que nous avons eues avec M. Valcke, il a recon nu loyalement que cette consommation atteignait 400 000 mètres cubes et je le remercie de cette loyauté. Il m'a dit que cette consommation pourrait s'éle ver 500 000 mètres cubes. «La con sommation actuelle correspond donc par tête d'habitant 29 ou 30 mètres cubes par an. Notre devoir était natu- (1) N. d. 1. R. Avions-nous raison de sou tenir qu'il fallait l'adjudication publique (2) N.d. 1. R. L'affaire serait-elle déjà con clue pour que le maïeur se trouve obligé faire l'éloge d«M. De Brouwer Tellement d'examiner ce qu'on a fait ailleurs et ce qu'une exploitation sem blable peut donner. Vous pouvez tenir pour certain qu'à Courtrai. qui est éclairée depuis un an en vertu d'un nouveau contrat, l'on produit aujourd'hui 2 millions de mè tres cube» alors qu'il y a deux ans on n'y produisait qu'un million. (1) La pro duction est donc doublée. Si l'on établit la proportion entre Ypres et Courtrai ou peut certainement soutenir que nous aniverous Ypres au même résultat. Ypres consomme aujourd'hui la moitié de eu que Courtrai consommait il y a deux ans II n'y aurait donc rieu d'éton nant ce que prochainement et avec nue nouvolle concession, la consomma tion Yprès soit également doublée Et je suis convaincu que M. Valcke ue me contiedira pas quand j'affirme que s'il avait été même, en vertu de son contrat, d'étendre sa canalisation et de donuer du gaz tous ceux qui en de mandaient dans ce dernier temps, s'il nus'était pas trouvé vis-à vis de cette mauvaise clause qui nous permet de le congédier purement et simplement sans indemnité, il aurait introduit des mo difications et des améliorations telles que la consommation en serait considé rablement augmentée (2) Cent, du reste, ce qu'il avait proposé dans sa première proposition. Dans d'autres localités. Messieurs le même phénomène a été constaté. J'ai été chercher des exemples dans d'autres pays et voici un fait qui vous frappera certainement. En Hollande, il y 25 villes, dont la popu lation est peu de Chosés près égalé celle de la ville d'Ypres et pour" la moyenne de ces 25 villes la consommation par tête d'ha bitant est de 67 mètres cubes par an et.il n'y a guère beaucoup d'industries dans ces loca lités. (3) Nous pouvons certes avoir la préten tion, je pense, d'arriver, sinon immédiate ment, au moins dans quelques années, semblable consommation. A ce million de mètres cubes que nous pouvons prévoir pour la ville d'Ypres, ne pourrions-nous pas joindre un million pour les autres commu nes de l'arrondissement Vous avez entendu prétendre que M. Valcke trouvait que l'usine devrait être éta blie Warnêton. Il n'en est rien. Messieurs, l'usine restera Ypres (4) et grâce une plus grande consommation, il sera possible d'oc cuper un plus grand nombre d'ouvriers dans l'usine, ce qui sera encore un profit pour la ville. Je "continue ma statistique. On m'a ob jecté que Courtrai est une ville plus indus trielle qu'Ypres. C'est vrai mais remarquez que le gaz industriel n'est pas compris dans les calculs pour le motif qu'il 11e doit pas y être compris. D'ailleurs, s'il y a des usines Courtrai, il y en a ici aussi ainsi qu'à Po peringhe et Warnêton. Ici, Ypres, deux grands industriels n'ont-ils pas déjà l'élec tricité dans leurs usines Aussi, la con sommation de gaz industriel n'est pas com prise dans la statistique. Mais l'on peut pré voir cette consommation ou l'augmentation totale de consommation parce que. l'on aura certainement besoin du gaz pour la vie in dustrielle et notamment pour la force mo trice. Je dis donc que nous pouvons calculer qu'en exploitant en intercommunale l'éclai rage dans les trois villes et dans d'autres lo calités encore, nous arriverons une con sommation de 2 millions de mètres cubes, sans être taxé d'exagération. Voici maintenant ce que cela doit nous donner. Supposons une société constituée pour l'exploitation de l'éclairage. Les frais fixes doivent être évalués comme suit trai tement du directeur y compris feu, lumière et habitation, 6.000 frs traitements des contremaîtres et employés 6.000 frs. frais généraux 8.000 frs. Total 20.000 francs mettons même 25.000. On peut aller encore au-de là et prendre comme maximum 34.ooo frs. Il s'agit de savoir maintenant ce que coûtera le gaz. Les frais variables se chiffrent aujourd'hui comme suit et on peut interroger là-dessus les principaux gaziers charbon par tonne rendue 15 frs. Chaque tonne doit donner 250 mètres cubes salai res frs. 2-50 par tonne de charbon distillé, y compris les ouvriers de la cour ajoutez-y les autres dépenses, chauffage, matières, etc. environ fr. 1.5 par tonne de charbon, soit au total 19 frs. par tonne de charbon dont il faut déduire la valeur des sous-pro- duits, cokes, etc. et vous arrivez constater que la tonne de charbon distillé coûte 7 francs. Les 2 millions de mètres cubes dont (1) N. d. 1. R. lPour le bon motif que pré cédemment Courtrai le gaz se payait très cher or, Ypres, la différence de prix sera peu sensible. (2) N. d. 1. R. Mais pas jusqu'à aller 1,200,000 mètres cubes par an, alors que la consommation actuelle n'est que de 400,000 mètres cubes, dont 240.OOO pour les particu liers. Or, c'est cette consommation qui de vrait augmenter, l'autre étant, pour ainsi dire, appelée rester stationnaire (3) N. d. 1. R. Quelles sont ces villes (4)X. d. 1. R. Industriellement parlant c'est une faute. je parlais tout l'heure absorberont 8.OOO tonnes et coûteront donc, en frais fixes, 25.OOO frs. ajoutez 56.000 frs. coût du char bon, total 81.000 frs. ce qui fait environ 4 centimes par mètre cube. (1) Je ne dis pas que chaque concessionnaire vous fera cet aveu-là. (Hilarité.) 11 aurait tort de le faire, lorsque dans des villes com me celles de Roubaix et de Paris, par exem ple, on compte encore 20, 26 et même 29 centimes aux particuliers, au mètre cube. (2) En prenant donc le prix 11 centimes, la recette sera de 220.000 francs et les bénéfi ces 139.000 francs pour la société consti tuer. Ce sera évidemment une société qui exploitera l'éclairage et quand nous nous n'avons rien y voir. Nous avons notre gaz et nous savons quel prix mais toutes les prévisions sont en ce sens qu'il y aura un bénéfice de 139.000 francs. Il y a lieu de dé duire de ce bénéfice le prélèvement en faveur de la réserve légale, mettons 5e et donnons également 5"au câpital nous arrivons ainsi 77.050 francs. Je crois qu'il est de bonne ad ministration de tabler sur un intérêt de 5e, c'est là un très beau rendement car nous avons vu, il y a quelques années, que l'on peut avoir des fonds frs. 3.50, amortisse ment compris. L'administration des Hospi ces en a fait l'expérience. Ce serait donc une très bonne opération d'avoir un bénéfice assuré de 1 1 2parToofrs. décapitai. Voilà donc le premier et grand avantage que la ville pourrait retirer d'une Intercom munale. Il y aurait payer, en outre, aux administrateurs un pour cent de part dans les bénéfices, chiffre ordinaire toujours pris au taux le plus élevé, un tiers aux commis saires, 5e au personnel et la direction et même si l'on créait des actions de jouissan ce, 15" pour cent pour celles-ci. (3) Il resterait alors encore, comme part de bénéfice pour les communes et les particuliers associés, 56.631 francs que l'on utiliserait de la façon que l'assemblée générale annuelle décide rait. probablement en distribuant un second dividende ou en augmentant la part de ré serve ce qui est toujours de bonne adminis tration. Voilà, Messieurs, ce que nous avons l'oc casion de faire et pour ce faire nous som mes entrés en relations avec un homme de grande capacité et qui nous a présenté le contrat annexe que nous allons examiner. Nous avons ensuite les autres propositions que je vous ai déjà fait connaître et d'autres que je ne crois pas avoir le droit de vous fai re connaître de même que je conteste ces Messieurs le droit de prendre connaissance des propositions de M. De Brouwer. (4) Cette question pourra être examinée pu bliquement. plus tard, s'il y a lieu, mais pas aujourd'hui. I n grand point pour ces Mes sieurs, comme pour tous ceux qui nous ont fait des offres, c'est l'obligation pour les communes de Poperinghe et de Warnêton de faire partie de la combinaison. Nous avons examiné tout cela très longuement en commission spéciale et notre conviction est faite. Nous nous sommes engagés vis-à-vis de M. De Brouwer maïs ceci la rigueqr ne lie pas la ville d'Ypres.(5) Nous conservons le droit de décider ce que nous voulons faire non seulement au sujet de l'intercommuna- le, mais même au sujet de la concession principale. Les villes de Poperinghe et de Warnêton en feront ce qu'elles veulent mais il est évident que si des amateurs de concessions quels qu'ils soient venaient nous faire des propositions, nous pourrions leur répondre Apportez-nous le consente ment de Poperinghe, de Warnêton et d'au tres communes. 11 y en a qui disent Nous pourrions vous apporter le- consentement d'autres communes (6) mais, quant nous, nous parlons des communes principales et nous pensons que si la société s'établit, il faut s'attendre au concours de toutes les communes de l'arrondissement. D'autre part, la concession que nous donnerons celui qui sera désigné dans huit jours et j'in siste pour que cela soit, huitaine au plus tard, devra comprendre l'engagement de plusieurs communes qui consentiront souscrire d'entrer avec nous dans l'inter communale. Voilà, je pense, la question exposee aussi clairement que possible, un peu longuement peut-être, mais je vous en demande pardon, parce qu'elle devait être examinée sous tou tes ses faces. Si j'avais oublié l'un ou l'autre détail, vous voudriez bien m'interroger et, le cas échéant, soulever les questions qui 11) N. d. 1. R. Ce chiffre de 4 centimes, M. le maïeur, auquel vous arrivez prouve tout simplement que vous vous êtes laissé mettre dedans. Il n'y a pas un seul gazier qui prendra vos chiffres au sérieux. (2) N. d. 1. R. A Roubaix, c'est cepen dant la firme De Brouwer et Desclée qui ex ploité le gaz. (3) N. d. 1. R. Il semble que vous glissez rapidement sur ces actions de jouissance qui seront données M. De Brouwer au nombre de 500. Il serait cependant intéres sant d avoir quelques éclaircissements. (4 N. d. 1. R. N'avez-vous pa« dit plus haut que vous n'aviez rien cacher. (51 N. d. 1. R. M. le Bourgmestre avoue donc qu'il s'est engagé vis-à-vis de M. De Brouwer avant de consulter son Conseil. C est le système du conteau sur la gorge. '6) N. d. 1. R. Ce sont donc Poperinghe et Warnêton qui vont dicter la loi aux Yprois l

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Le Progrès (1841-1914) | 1904 | | pagina 3