ST* ATTENTION
15. Eclairage public.
Le vainqueur moral
course Bru xellcs-Koubaix
Société Boyale
des Francs Arbalétriers.
La Meilleure preuve.
Les noix.
Concours dalimenlulion
cl d'hygiène.
Asphyxiées par le gaz.
vv instgevende loestand.
État-Civil d'Ypres.
Wervicq.
Canalisation et tuyaux.
Art. 8. Si le concessionnaire reprend
des bâtiments ou quelque accessoire de
ceux-ci. quelque partie de la canalisation
ou de la tuyauterie appartenant au conces
sionnaire actuel (M. Alfred Valcke), il sera
tenu de les laisser vérifier, d'en renouveler
les parties défectueuses, de se conformer
cet égard aux indications qui lui seront
données par le Collège des Bourgmestre et
Echevins et les frais de vérification et de
renouvellement seront sa charge.
Avant l'ouverture des tranchées, les plans
de la canalisation, l'échelle de un mille,
seront soumis l'approbation du Collège.
La direction des travaux de la ville aura
toujours la surveillance des travaux, mais
sans responsabilité pour la ville.
En aucun cas, les tuyaux du gaz ne pour
ront être placés dans les aqueducs ou
égouts, ni les traverser moins d'autorisa
tion du Collège.
Ils ne pourront nuire aux plantations et
réservoirs d'eau, ni causer aucun dommage
aux trottoirs ou tous autres ouvrages pu
blics ou particuliers.
Si l'on rencontre des maçonneries ou au
tres obstacles, ils ne pourront être détruits
ou détériorés, avant qu'il soit statué par le
Collège, sur le rapport de la direction des
travaux.
Les déplacements ou les suppressions de
conduits qui seraient exigés pour l'exécu
tion des travaux publics ou pour d'autres
mesures d'intérêt général, ne donneront
lieu aucune indemnité.
Les pierres sculptées, antiquités, médail
les, monnaies, valeurs, poteries, statues et
toutes autres œuvres d'art qui seraient dé
couvertes dans les fouilles seront la propriété
de la ville.
Art. g. Le plan des conduits et tran
chées soumettre au Collège portera l'état
indicatif de la matière, du poids, de la lon
gueur et du diamètre des tuyaux.
Les tuyaux seront en fonte, en fer étiré
ou en plomb, suivant les dimensions néces
saires. Ceux qui seront trouvés défectueux
seront écartés des travaux.
Art. 10. Les tranchées ou fouilles se
ront immédiatement fermées, en les dam-
mant par couches de dix centimètres. Le
repavage sera parfaitement raccordé. Il sera
relevé deux fois au moins et aussi long
temps qu'il se produira des affaissements.
L'entretien restera charge du conces
sionnaire pendant deux années. Le chantier
des travaux ne pourra s'étendre sur plus de-
cinquante mètres de longueur la fois.
En cas d'inobservation et indépendam
ment des amendes (2e alinéa de l'art. 38),
le Collège pourra faire effectuer les travaux
d'office, par l'entrepreneur du pavage, au
frais du service de l'éclairage.
Art. 11. Pendant l'ouverture des tran
chées ou la pose des tuyaux, et pendant
tous autres travaux accessoires, lé conces
sionnaire et ses subordonnés devront obser
ver les règlements de police et ceux sur la
voirie urbaine ou générale de même que
les règlements ou les prescriptions spéciales
des autorités compétentes, dans l'intérêt de
la salubrité publique ou pour prévenir les
incendies ou autres accidents.
Art.j8. Les contraventions au mini
mum de la pression (art. 18) seront punies
de vingt francs de retenue, pour chaque
constatation. Ces constatations pourront
être répétées le même jour après avertisse
ment donné la Compagnie du gaz.
Celles aux art. 8, 9, 10, 11, 15, 24 et aux
lit. a, b, c et d de l'art. 25, seront punies
d'une amende de dix francs.
Le tout sans préjudice d'autres domma
ges et intérêts et sauf le droit des tiers.
Le Conseil communal de notre ville
s'est réuni hier soir, 5 heures.
Voici les objets qui figuraient son
ordre du jour
1. Propriétés communales procès-
verbal de vente de noix.
2 Bureau de bienfaisance réparti
tion de sa quote part dans les frais de
l'instruction gratuite 1904-1905.
3 Finances communales compte
communal de 1904.
4 Ecoles primaires budgets pour
1906.
5. Ecoles gardiennes budgets pour
1906.
6. Ecole ménagère budget pour
1906
7. Fabrique d'église S1 Nicolas
budget 1906.
8. Hospices civils vonte de terrains.
9. Hospices civils transfert de cré
dits
10. Bureau de bienfaisance échan
ge de biens.
11 Messageries service entre Wou-
men et Y près.
12. Messageries suppression du ser
vice entre Passchendaele et Ypres.
13 Propriétés communales vente
de terrain.
14. Voirie voie cyclable et entre
tien du trottoir chaussée de Lille.
Nous donnerons le compte-rendu de
cette séance dans notre prochain nu
méro.
DE I,A
L)e l'avis l'un grand nombre de spec
tateurs qui se trouvaient Dimanche lr
Octobre au vélodrome de Roubaix, si
le merveilleux coureur Yprois, Van
derstuyft, n'avait pas commis la faute
de se relover trop tôt l'armée il ga
gnait sûrement la course
Il peut donc être considéré comme
le vainqueur moral de cette grande
épreuve et ce résultat ajouté la re
tentissante victoire do Vanderstuyft
dans le Bol d'or confirme de nou
veau les incontestables qualités et la
haute supéiiorité des machines «La
Française maïque Diamant, qui n'en
sont plus compter les triomphes de
ce g^nre et sont depuis longtemps cel
les préféiées par les cyclistes de la ré-
giou.
Nous profitons de cette occasion pour
adresser nos plus chaleureu-es félicita
tions notre concitoyen M. Vander
stuyft, le vainqueur du Bol d'or
Lundi 2 Octobre
Tir aux Oiseaux.
lr oiseau Van Nieuwenhuyze U
2e oiseau Thirifays X.
Le vieux dicton uous apprend que
l'éloignement prête des charmes aux
objets mais il n'en est pas ainsi pour
ce dont nous voulons fournir des preu
ves. |Alors, au contraire et comme c'est
le câ» ici, plus l'objet est rapproché et
plus il nous est facile d'eu connaître la
vérité c'est pourquoi le témoignage de
gens d'Ypres compte pour beaucoup
Y près.
Mme Debreyer Gontior, 3, rue de l'E-
cuelle, Ypres, nous dit Depuis
deux ans et demi, je souffrais de dou
leurs lauciuantes dans les reins quand
je devais me baisser, les douleurs
étaient souvent si aiguës que j'avais
peine ne pas crier le moindre effort
m'était pénible; j'avais des sueurs, de
l'oppressiou, des vertiges, mes jambes
étaient entiées, mes urines troubles et
d'odeur fétide, les remèdes restaient
vains, je n'avais plus d'espoir de gué-
rison et devenais de plus en plus triste,
quand je fis usage des Pilules Foster
pour les lieins que je cherchai la
Pharmacie Becuwe Ypres.
Quelle joie quand dès le quatrième
jcAir, je me sentis toute autre de jour
en jour je sentais tout mon état s'amé
liorer et en moins d'un mois, j étai« dé
barrassée de mes maux de reins et tonte
guérie. Je certifie exact ce qui précède
et vous autorise le publier.
Vous êtes-vous jamais douté que vos
reins étaient la cause do votre maladie
Avez-vous mal au dos, la tête ou aux
membres? Souffrez-vous de rhumatis
mes, de faibleste de cœur ou d'hydro-
pisie Y a-t-il écoulement d'urine ex
cessifou insuffisant et est-elle chargée
de gravier ou de sédiment Vous sen
tez-vous constamment fatigué, abattu,
impressionnable? Réfléchissez
Assurez- vous qu'on vous donne les
Pilules Foster pour les Reins de la
même espèce que celles qu'a eues Mme
Debreyer-Gontier. On peut seles procu
rer dans toutes les pharmacies raison
de 3 fr. 50 la boîte 011 de 19 fr. pour 6
boites ou franco par la poste en fai
sant la demande la Pharmacie
Anglaise de Oh Delacre, 50 52, rue
Ooudenberg, Bruxelles. Dépôt géné
ral pour la Belgique. 2
C'en est la saison. On les voit, on les
vend, on les mange partout. Elles res
semblent des cervelles de tous petits
enfants, mais cela n'empêcne pas les
amateurs de les croquer de la plus
aimable manière.
Il parait que cette année, leur brou
est très épais, plus épais que l'autom
ne dernier. Les bonnes femmes assurent
que cela nous présage un hiver fort
rigoureux. Brrr Puissent-elles se
tromper
n
Le Comité exécutif de l'Exposition
internationale des Ai ts et Métiers, in
stallé BruxeLes, dans le Grand Hall
du Parc du Cinquauteuaire, organise
pour les 17, 18 et 19 Octobre, de grands
concours d'alimenta'ion et d'hygiène
anxquelstouslesindustnels et conuner-
uits sont appelés prendre part Des
récompensesseront décernéesaux meil
leurs produits Pour les conditions et
pour tous renseignements complémen
taires, s'adresser au Comité exécutif de
l'Exposition, Parc du Cinquantonaire,
Bruxelles.
DÉLICAT DE BEUKEUER.
De notre ccorrespondant, de Ver-
viers, 25
Dimanche après-midi entrait comme
servante chez M. Hannotte-Dewez,
Petit-Rechain, Marie Dognié, âgée de
21 ans, d'Ougrée près Spumont, ac
compagnée de sa sœur Odile de 19 ans
Los deux sœurs dormirent dans la mê
me chambre Lundi, vers sept heures,
entendant des gémissements sortant de
la chambre, ou enfonça la porte. Sur le
lit Marie Dognié gisait inanimée. Odile
respirait faiblement. Une forte odeur
de gaz régnait dans la pièce Vite on
ouvrit les fenêtres On appela un méde
cin qui constata le décès de Marie
causé par l'asphyxie. Odile en échap
pera.
Le parquet de Verviers a fait une
descente aujourd'hui. Ou suppose quo
les jeunes filles n'auront pas pris soin
de fermer convenablement le bec de
gaz.
Aan aile personen die liunne ledige men
willen toewijden aan volksverzekeringen, ge-
makkelijk werk, liet isgenoeg te kunnen lezea
en sehrijven. Opziener zei op de lioogte.
Sctirijv naar La Populaire, samenw. Maal-
schappij, 18, Julius.Van Praeistr., Brussel,
die in drie jaren meer dan 8 millioen zaken
verwezenlijkt heeft slaai hare agenten een
lioog kommissieloon loe, en een aflochts-pen-
sioen kunnende beloopen lot 2 fr per dag.
(ieen borg, nu noch later.
t
Pour éviter tout»* erreur, le
dentiste M au ri ce \1LILB,
de Couiirai, a l'honneur d'in
former sn nombreuse clientèle
ainsi que les perso.in< s qui au
raient l'inli nlion de venir le con
sulter qu'il v a un nouveau den
tiste portant le même nom et avec
lequel il n'a aucune relation
commerciale, qui vient N près
i.eux maisons de sa denu tire.
Il les prie de bien informer
s'ils si ni I elie/ l'ancien dentiste
Maurice M FIER, de Cour Irai, qui
est consulter près d» puis
10 ans clicï M"" Neuve Va.N
Kl.MM KL, Grand'IMace, 5 (mai
son fermée) les Lundi, Jeudi
Samedi, de 9 4 h.
Il n'a ni frère, ni Ris, ni par< ni
charge de ri présenter sa maison
Déclarations du 29 Sept au 6 Oct. 1903
Naissances
Verleure, Arthur, rue des Boudeurs.
Verminck, Michel, rue de la (Jra-
paudière. Litiere, Achille, chaussée
de Menin Schaecht, Ida, rue des
Souris. Depuydt, Berthe, chaussée
de Dickebusch Hollebeke, Herma-
nie, rue des Veuves. Notebaert,
Pierre, rue de la Bouche. Dekoudt,
Jeanne, Grand'Place Paruys, Mau
rice, rue de Lille Hoornaert, Gé
rard. rue Frezenberg. Duflou, Jean
ne, rue du Passage. Voet, Madeleine,
rue Courte de Thourout Verkinde
ren, Zulma, rue Longue de Thourout
Chercbye, Robert, rue d'Elverdin-
gbe.
Mariages
Burggraeve, Léopold, ouvrier de
fabiique. et Verkouter, Valentine,
sans profession, tous deux Ypres.
Callandt, Robert, chaisier, et Verniest,
Christine, dentellière, tous deux
Ypres.
Divorce
Decheiver, Maurice, tailleur, et
Denutte, Léonie,colporteuse,tous deux
Ypres.
Décès
Dassonneville, Charles, 41 ans, sans
profession, célibataire, rue Longue de
Thourout. - Bruneel, Désiré, 23 ans,
ouvrier agricole, célibataire, rue de
Menin. Decrock, Marie, 1 mois,
chaussée de Dixmude. Cnockaert, Ju
lienne, 68 ans, dentellière, veuve de
Gampelaere, Charles, et de Degryze,
Charles, rue Longue de Thourout.
Plamont, Georges, 31 ans, comptable,
époux de Tanghe, Marguerite, rue Lon
gue do Thourout. Cousin, Henri,
70 ans, sans profession, veut de Coti-
lier, Cathérine, chaussée de Dicke
busch. Didier, Auguste, 52 ans,
zingueur, époux deCorsellis, Sylvie,
Vieux Marché au Bois.
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t_ o O O)
ùu vs a. ts* CL Cû
Décidément, M l'Kchevin des finan
ces joue de malheur
Nous copions textuellement une par
tie de sa lettre du lr Février 1905,
adressée au Progrès et publiée par le
Journal d'Ypres
L'apparition des feuilles d'abon-
nement, provoqua une fusillade des
plus nourrie, dont je fus le principal
point de mire, sous l'accusation de
partialité M. Lootens avouait même
la naïvetc, d ajouter foi une plai-
sanle mystification, qui me désignait
comme ayant seul fixé les taxes.
X'oioi la vérité PI u—
sieurs contribuables étant venus me
faire des réclamations privées, étant
donne que la 3* base, évaluation
des capitaux en portefeuille, com-
merce et industrie est la seule discu-
table et que depuis plusieurs années
déjà, on avait senti, au Conseil, le
besoin d en faire un minilieux exa-
men, je crus de mon devoir comme
eclievin des finances, de decompo-
ser la taxe d'environ deux cents con-
tribuables, que je croyais les plus
imposes la 3* base Les chiffres ob-
tenus furent présentés au Collège
Ecbevinal et au Conseil Communal.
qui jugèrent urgent de les modifier.
hn effet, il s'était glissé bien invo-
lontairement, des erreurs telles, que
certains contribuables étaient ton-
dus comme des moutons de Panur-
g«', alorsque d'autres se trouvaient
imposes des sommes vraiment dé-
risoireset que, de laveu de tous, ils
possèdent les plu.-, grandes fortune*
mobilières de la ville.
Le Conseil consacra trois séances
1res laborieuses celle étude et le
résultat en fût vole l'unanimité.
Je prétends que la justice, l'equi-
lé et 1 impartialité ont préside