m MISE EN VENTE Grands Magasins de Nouveautés BRUXELLES RUE NEUVE BRUXELLES POUR LES MALADES des dernières créations en confections, costumes, tissus fantaisies, lainages, soieries, etc. Installations complètes d'ameublements. Envoi Franco sur demande du catalogue, d'échantillons et de tout achat DE L'ESTOMAC. Bibliographie. S! A PARTIR DE 20 FRANCS. lisons dans !o Journal de Bru Chronique llu'àlrale. Nous avons com i uniqué nos lecteurs les nouveautés que M Morin compte offrir au public gantois et dont une bonne part nous sera réservée, ainsi que les principales repo ses. Le directeur ne se dissimule nullement les grandes difficultés de la lourde tâche qu'il entreprend et sait parfaitement que pour ra mener au grand Théâtre gantois le public qui l'avait déserté 5 cause dj la déchéance dans la quelle il était tombé, il faudra donner des spectacles dignes d'une grande ville au double point de vue de la valeur artistique et des soins apporter aux détails scéniques Convaincu de cette nécessité, M. Morin a composé sa troupe d'artistes expérimentés joignant l'autorité au talent et disposant d'un répertoire étendu. Mais afin de s'assurer le concours d'artistes de valeur, il a du souscrire aux exigences de ces derniers. Aussi, est-il espérer que la direction sera efficacement se condée dans sa difficile mission, parle bien veillant appui des autorités locales, et de la presse locale ainsi que par le concours très actif des abonnés et habitués, par une fréquen tation plus assidue et plus nombreuse. M. Monn manifeste de son côté les meilleu res-intentions; nous sommes, quant nous, persuadé de leur sincérité, aussi engageons- nous vivement les-brugeois encourager dans une large mesure, l'entreprise de la direction. Pour ne pas déroger nos ancienms habi- tides nous donnons ci-dessous la biographie et les antécédents des pnucipaux artistes, d'après l'ordre du piospectus, qui parviendra sous peu aux abonnés brugeois M Decamps, conserve les fonctions ltégisseuiiU4ttéraL-^'H"ôc^iIplSlT *fâfi passé, niais où ses bonnes intentions furent conti nuellement paralysées Homme d'initiative, M Decamps connaît h fond les détails de la mise en scène et s'est acquis du reste une belle expérience doublée d'une réputation bien mé ritée, sur des scènes importantes, telles Liè ge, Bordeaux, Nantes et Rouen. .M. Génicot, 1er ténor (traductions et drame lyrique) lut lauréat des conservatoires de Mons et Bruxelles; fut élève de M. Archaimbaull. professeur au conservatoire de Paris. Excellent musicien, il lit de sérieuses et profondes études de piano et d'orgue Ses débuts se fiienl Namur et dans la sui te, il se (il applaudir Liège, l'opéra popu laire de Paris où il chanta llernani et le Trou vère Après s'être produit, en représentations, Mons, Troves, Angers, etc il fil la saison de Pâques, l'an passé, h l'Alhambra de Biuxelles, où la Juive, la Favorite, le Trouvère, Lucie, Rigolelld. etc lui valurent de brillants succès. C'est après l'avoir entendu dans la Juive et dans Lucie que M. Morin traita avec lui. M Génicot affectionne particulièrement les rôles dans lesquels le comédien peut se faire valoir en même temps que le chanteur. M. Cèbe, lr ténor d'opéra-comique, commen ça ses études musicales au conservatoire d'Aix en Provence et travailla le chant sous la direction de M" - Houteaux. Il fit son service militaire comme hautboïste dans la musique du régiment. A 22 ans, il entra au conservatoire de Paris et y suivit pendant 4 ans les cours de MM. Warot, Melchissedec et Escalaùs II abor da la scène Avignon, fut engagé au Théâtre lyrique et se produisit en représentation Rouen, Toulon Brest et Remis puis, après avoir été engagé au Théâtre du jardin d'accli matation, il passa au Palais d'hiver de Paris, où il se lit applaudir dans les principaux rôles du répertoire d'opéra-comique II fut, l'occa sion de son dépait du Palais d'hiver l'objet de chaleureuses ovations de la part des habitués du théâtre. Nous avons sons les yeux un compte-rendu des plus flatteurs de celle dernière représenta tion. M. Morin n'a pas reculé devant de t;ès im portants sacrifices pécuniaires pour s'assurer le concours de cet artiste d'élite, qui contribue ra une brillante interprétation des cliels-d'œu- vre de l'ancien répertoire d'opé a-comique. M. Serrani, 2J ténor, appartient une fa mille d'origine italienne. Bon comédien, il dispose, en chanteur habile d'une jolie voix. Il fil ses études sous la direction d'un vieux pro fesseur possédant les traditions de Garcia et ayant travaillé avec l'Alboni et avec Rossini lui-même. Il eut du succès sur différentes scènes, uo- lammeni Tunis et Toulon. M. Montfort, lr baryton en tous genres, est un des rares artistes qui puissent s'enorgueillir d'une carrière aussi brillante que la sienne. Acclamé partout où il se produisit, Monl'orl fit deux saisons d'hiver l'opéra de iNice, trois Nouvelle Orléans, cinq au Grand Théâtre de Lille, une Lyon, Nantes, Rouen et Toulouse. Ayant chanté celle annee eu saison de Pâ ques Troyes, il y recueillit les plus brillants succès et le Petit Troyen, lait de cet aruste les éloges les plus flatteurs. M. Montfort est un chanteur de tout premier ordre et est en même temps un remarquable tragédien qui adore son art. M. Castrix, baryton d'opéra-coinique, dis pose avec beaucoup d'art d une voix bien tim brée, très etendue et particulièrement brillante dans le registre éleve II eluJia le chant sous la direction du protesseur Maijiu et uoui l'opera-comique reçut les précieuses leçons de l'excellent Soulacioix. Il aborda la scène Tournai et lut engagé successivement Marseille, Toulouse, Mont pellier, Madrid, Lisbonne et Lille, s'y faisant applaudir dans le liuibier, Pécheurs de perles Bohème, Jongleur, Traviatu, Attaque du Mou lin, Maitre de Chapelle, etc., etc. Au cours de la detnièiê saison, il recueillit de bejtiu succès aux Galeries Bruxelles. Il I S tenu liés brillamment son emploi (en saison d'été) au Gasino de Boulogne .-/m. M Hardy, 1" basse, est V'erviétois. Il com mença son educaiion artistique l'école d opé ra, dirigée par M. Destnieii, qui tint lui-même i brillamment le même emploi sur des scènes de premier ordre. Sollicité par la direction du théâtre verviélois, et ce au cours de ses études, de se produire sur la scène de sa ville uatalr, il y recueillit d'éclatants succès dans les rôles d# Méphisio et de Max du Chalet Engage Namur comme i' liasse, il y fut très chaleureusement applaudi dans tout le ré pertoire courant. De Namur il passa Douai, où il fut reçu, cette fois encore, l'unanimité des suffrages. Sa voix grave et sonore devint de plus en plus sympathique, ses succès s'accentuèrent de jour eu jour et les ovulions qui accueillirent l'artiste devinrent de plus en plus flatteuses et caractéristiques. Les journaux de Douai lui prédisent tous un splendideavenir artistique. M Tarquini d'Orbasse chantante, est, le (ils de l'éminente Cantatrice M" I irquini d'Or Il fil son éducation musicale en Allemagne, où il acquit un joli laleut de pianiste Il voulut alors se lancer dans les affaires commerciales, niais se sentant tnvinciblement altiie vers la carrière artistique, il quitta Lon dres où il s'était rendu, pour aller étudier le chant l'aiis, avec sa mère d'abord et M. Ma- noury, ensuite. Formé l'art de la scène lyri que sous leur habile direction et en possession déjà des principaux ouvrages du répertoire, il contracta en 1906 un engagement d'un an au théâtre de l'opéra-comique II s'y produisit avec succès, mais évidemment dans les rôles secon daires, attribués aux débutants. Le désir de se faire applaudir dans les ouvrages les plus im portants du répertoire, le détermina accepter les propositions de M. Morin. Il possède, nous assure-t-on, très jolie voix, vocalise admirablement il est d autre part un beau chanteur doublé d'un excellent musi cien. M. Belges commença ses études musicales au conservatoire de Bruxelles, les continua sous la direction de M. Bauwcns et reçut les conseils de M Boulogne que nos lecteurs con naissent uèv bien, en ce qui concerne l'ait de la scène. Ce n'est que sollicité par de nom breuses personnes l'engageant embrasser ia A tous ceux qui, pur un refroidissement ou une réplition de l'estomac, par l'usa (je d'aliments difficiles digérer, Irop chauds ou trop froids, ou par une manière de vivre irrégulière. se soin attiré une maladie d'estomac telle que Catarrhe d'estomac, crampes d'estomac, maux d'estomac, digestion difficile ou engorgement m recommande par la présenle un bon n mède domestique, dont la vertu curative a été éprouvée depuis de longues années. C'est le remède digestif et dépuratif le kraulorvvein de Hubert Lllricli. Ce Kràuterwein est préparé avec de bonnes herbes, reconnues comme curatives, et du bon vin. Il fortifie et vivihe tout l'organisme digestif de l'homme sans être purgatif. Il écarte tous les troubles des vaisseaux sanguins, purifie le sang de toutes les matières nuisibles la sauté et agit avantageusement sur la foi mation nouvelle d'un bon sang. Par l'emploi opportun' du Krauterwein les maladies d'estomac sont le plus souvent étouffées dans leur g« rme cl 011 ne devrait pas hésiter de préférer son emploi d'autres remèdes torts, mordants et.ruinant la santé. Tous les symptômes, tels que maux de têterenvoisar deurs dans le gosier f/atuosité. soulèvement de cœur, vomissementsetc., et qui sont encore plus violents quand il s'agit de maladies chroniques d'estomac, disparaissent ap*ès un seul emploi (W) IISl I I)«) llOI) et ,OII,es ses SI,'U:S désagréables .telles que: coliques, op- c I pressionbattements de cœur} insomnie^. ainsi que les con- yoeh/in O nu rt .-«/n <rI J j> i 1|Y1 Çll 1 I nvt>» douceur par l'emploi du Krauterwein Le Krauterwein n empêche toute lodig-'Stion, donne un essor au système de digestion et Faitdisparaître de I estomac el des intestins toutes les matières m au va ses par une légère selle. Figure maigre et pâle, anémie,alïaibliNsemeiit sont souven' la suiie d'une m iuvaisedige-.fi «t», d'une consli.ulion incomplète du sang et t'un étal maladif du foi ors dç iiianqu complet d appétit, affaiblissement nerveux émotions. île fréquents maux de fête, insomnie les malades dépérissent souvent doucement. Le Kraub r Yveiii donne une impulsion nouvelle h nature la plus affaiblie Le Krauterwein <»ug- mente l'appétit, active la digesfion et l'alimentation, raffermit les tissus, bâte et amélioré la formation du sang, calme les nerfs agités el donne aux malades de nouvelles forces el une nouvelle vie. lie nombreuses attestations et lettres de remerciement le prouvent. B If I en bouteilles fr. 2-50 et 3-50 IjC Ivi .Ull< I ci 11 SC >eild dans |es pharmacies d'Ypres, Menin, Wervicq, Comines, Warnêton, Poperinghe, Dixmude, Ledeghem, Rouiers, flouplmes, Arnientières, Bailleul, ainsi que dans les pharmacies de toutes les grandes et petites localités de la province de la Flandre Occidentale et de toute la Belgique. En outre, les pharmacies d'Ypres expédient aux prix originaux partir de 3 bou teilles de Krauterwein dans tout-s les localités de la Be.gique. >'e méfier des cotilreftiçoH* Exiger Krauterwein «le JtXiil>ert Ulli-ieli Mon Krauterwein «n'est pas un remède secret; il est composé de vin de Malagn 450,0. esprit de vin 100,0, glycérine 100.0. vin rouge 240,0, jus de sorbier sauvage 150.0. jus de ct-rises 520.0, fenouil, anis. année giuseng amcric, racine de gentiane, racine de calmus an 10.0. Mêler ces substances. carrière artistique que M. Belges déci la a abandonner la situation importante qu'il occu pait, pour aborder définitivement la scène lyrique, il se produisit avanl-iouidans plusieurs grands concerts où il obtint de magnifiques succès M. Couly, laruette, aborda la scène en 1873, aux Variétés Toulouse, et se fit applaudir successivement sur beaucoup de scènes. Pen dant la saison estivale qui vient de s'écouler, il était engagé Vichy il y obtint un grand succès Comique dans toute la force de l'ex pression, M Couly apporte aux rôles les plus dive s la même intensité de touche, la même jovi-useté prtmesautière tout en individualisant de façon caractéristique chacun des personnages qu'il représente (A SUIVRE.) Le Ralliement commence cette semons une campagne qui promet d'être chaude, sut la question du Congo. C'est M. Larnbiotte qui ouvre le feu par- une étude très docu mentée sur le pér I colonial. Dans le pro- cli n numéro, M. le Sénateur Devos traite ra parallèlement la question au point de vce juriïique. Dans le numéro de cette semaine on lira avec un égal intérêt un article de M. Emile Feron sur I" cartel Bruxelles, un article sur la marine marchanda du sénateur M. Verbeke, un compte rendu très complet du Congrès des instituteurs tenu récemment Sebaerbask, par M. Liévin Huysinans, etc. Voici le sommaire de ce numéro La semaine politique. La marine mar chande. A. Vcrbeko - Le carte' Bru xelles. Emile Féron. L'inutilité et les dangers de l'annexion du Congo Aug. Larn biotte - Le Congrès dvs instituteurs. L. H. Le Pouvoir personnel et le Parlemen tarisme. A Dumont- Wild<-n. Les quatre parties du Monde. Propos hebdomadai res. La conquête de l'air. H. A tra vers tout. Les parents de Bernard. Ed mond About. Le Ralliement est en vente dans tout le pays an prix de 10 centimes le numéro. On s'abonne tous les bureaux de poste et aux facteurs en tournée raison de fr. 2 50 par semestre. (Etranger, lr. 3.50.) l'en bureele dezea. Déclaration pour brassergereed gedruktf aan genadigen prijs. Yp-es, mpr. LA MBIN-MA TUER% rue de Dixmude 63.

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Le Progrès (1841-1914) | 1907 | | pagina 4