L'Ouïe aux Sourds
A,
re
Revalenta du Barry.
Institut de Jumet-Heigneprès Charleroi
SANTÉ A TOUS
État-Civil (TYpres.
Warnêlon.
Wylschaele.
Encore un cas «l'empoison
nement.
Gliistelles-lier messe.
Bibliographie.
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Voir la suite (les
articles la 4e page
ceux qui veulent prendre un rang dans
la société mais aussi pour tous ceux qui
veulent s'émanciper sur le terrain com
mercial ou industriel.
Le moindre clerc ou employé doit
maintenant connaître trois ou quatre
langues et les nécessités sur ce terrain
deviennent avec l'expansion mondiale
journellement de plus en plus grandes.
Jusqu'à pré-ent il lallait plusieurs
années pour apprendre une langue,
mais avec le système de la Victoria
Schools of Languages on apprend par
exemple, l'anglais, l'allemand, le fran
çais, l'espagnol, l'italien, etc. en 60
leçons. L'enseignement coûte 1 franc
par leçon et est donné par des profes
seurs diplômés dans le pays dont ils
enseignent la langue.
Des cours sont déjà ouverts Bru
xelles, S1 Nicolas, Tournai, Gourtrai,
Lokeren, et nul doute que dans une
vHle industrielle comme Ypres, on ne
trouve un nombre suffisant de personnes
désirensesd'étendre leurs connaissances
pour suivre ces cours.
Une conférence pnbliquesera donnée
ici Dimanche 29 courant pour faire
comprendre au peuple l'œuvre utile de
pareil enseignement et d'établir
Ypres, comme dans d'autres villes, des
coure de langues étrangères.
Quelle satisfaction les Warnêtonnois
n'ont ils pas eu Dimanche 15 Septem
bre dernier, d'avoir de passage dans
leur petite ville ces braves et dévoués
MM. François Decoock (hercule) et
Julien Dekée (pompier improvisé).
Ces deux Roubaisieus doués d'une
agilité et d'une force incomparables
ont, en si peu de temps, éteint un
commencement, d'incendie (qui n'était
rien d'autre qu'un bifsteck en tram de
griller). Grâce leur heureuse présen
ce, la ville de Warnêto i (avec un pa
reil veut du nord), une heure plus tard,
n'eut été qu'un immense brasier
Aussi les habitants de cette ville
sont-ils tellement reconnaissants ces
Messieurs si dévoués, qu'une requête
vient d'être adressée au Roi, pour leur
faire obtenir la médaille de Ie classe,
et si possible, la croix d'honneur qu'ils
mériteront juste titre.
A tout seigneur, tout honneur
A la première requête, la Compagnie
d'assurauces intéressée dans cette grave
affairese chargera d i dédommager
ces Messieurs de leurs effets détériorés
et leur adressera ses plus chaleureuses
félicitations.
Un ami reconnaissant.
Le fils des époux François Verelst,
demeurant ao hameau Ilet Helletje t>
avait, il y a quelques jours, apporté
un morceau de viande qu'il avait acheté
au marché d'Ypres. A peine avaient-ils
mangé de cette viande que toute la fa
mille fut atteinte de violentes convul
sions. Le docteur Van Eegroo fut
mandé sur le champ. Il leur prescrivit
un énergique contrepoison. Tous sont
hors de danger, l'exception de leur
fils Louis, qui, après avoir reçu les se
cours de la religion, mourut Lundi
dernier dans d'atroces souffrances.
fl paraît qu'à Ypres, trois personnes
ont été également malades d'avoir
mangé de cette viande.
La gendarmerie a ouvert une en
quête.
Nous avons relaté, dans notre der
nier numéro, les cas d'ompoisonne-
menfc qui se sont produits Ypres
Lire l'intéressant tsiicle publié aujourd'hui
la dernière page de notre journal.
Courses du Président
C'est Dimanche en huit la ducasse
de Ghistelles, cette ancienne ville his
torique. eucore représentée par les
femmes Bruges et Charleroi, Ghis
telles qui a vu s'accroître sa population
de 1000 habitants depuis 10 ans, sera
pimpante, joyeuse et radieuse. Plu
sieurs motifs concourent cet état de
choses. D'abord, la course supplémen
taire dite du Président est dûe une
innovation Ensuite en faisant une bal
lade du côté de Ghistelles-Beaucourt
(véritable nouvelle ville 350 maisons)
on ne le regrettera pas. C'est la partie
pittoresque charmante, située dans un I
site enchanteur où. depuis l'initiative
de Robert de Beaucourt, le fondateur
en 1897, tous les architectes et entre
preneurs l'out suivi. Allez donc voir le
château Rayée, qui rappelle le style
dorique, la villa tourelle de M. Deree-
re, qui rappelle les constructions artis
tiques de Dînant et la belle villa en
voie de construction de M. Tondreau-
Brys. On sera stupéfait de cette pros
périté qui ne tarira pas avant 20 ans
Alors on pourra mettre légalement au
rang de ville Ghistelles la Belle au
trement dit les jardius d'Ostende.
M. Emile Feron coniinue dam Le Rallie
ment de cette-semaine la campagne en faveur
du cartel Bruxelles, avec une autorité
d'argumentation vraiment convaincante
Poursuivant son étude sur les dangers de la
colonisation, M. Aug. Lambio'te y examine
ce que valent las colonies la France. Pa
rallèlement. M. le Sénateur Devos publie un
arti -le sur le projet de loi concernant l'an
nexion éventuelle du Congo.
M Maurice Saey continue également dans
ce numéro sa spirituelle chronique sur le Sa
lon Triennal des Beaux-Arts ouvert en ce
moment Bruxelles.
Au demeurant, voici le sommaire de ce
numéro
La semaine politique. Projet d'an
nexion du Congo. A. Devos. La repré
sentation proportionnelle communale la
mode cléricale. Emile Feron. - L'inutilité
et les dangers de l'annexion du Congo. Aug
Lambiotte Charles Bueyé. Le Salon
triennal de 1907. Maurice Sa-y. Nos
jeunes gardes. Propos hebdomadaires.
Dans les Balkhans. Georges Lorand A
travers tout. Les parents de Bernard.
Edmond About.
Le Ralliement est en vente dans tout le
pays au prix de 10 centimes le numéro. On
s'abonne tous les bureaux de poste et aux
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avec carnet de chèques
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C
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O
=3
CD
Vérification des tirages de titres
remboursables.
Les listes qui me sont présentées
doivent être dressées par ordre numé
rique.
Le bureau est ouvertde 9à 12 Ares malin.
Les constatations de la Presse d'An
vers propos de la monnaie usagée
- Une surprise désagréable est bien
celle-ci voir refuser UDe pièce blan
che, non p3s parce qu'elle est fausse,
mais simplement parce qu'elle est
quoique peu usée ou détériorée.
Dans les magasins, les trams, les ga
res on est devenu d'une sévérité, qu'on
peut qualifier franchement d'excessive,
l'égard des pièces d'argent qui ne
sont pas absolument neuves.
Nous nous empressons d'ajouter que
les braves gens préposés la recette
n'en peuvent mais ils ne font que sui
vre l'exemple donné par les caisses de
l'État et de la Banque Nationale qui
refusent impitoyablement les pièces
quelque peu détériorées ou dont l'effi
gie s'est effacée par suite d'usure.
Il s'agit, cependant, de s'entendre
lorsque l'Etat émet de l'argent mon
nayé, est-ce qu'il suppose par hasard
que son argent est innsable Et
dans la négative, a-t il le droit de refu
ser de reprendre le3 pièces qui, par
suite de circulation prolongée, ne sont
plus battant neuves
Poser la question c'est la résoudre. L'E
tat, pas plus qu'on particulier, ne peut
faire de l'arbitraire et toute paradoxa
le que paraisse cette idée, nous ne sa
vons même pas ce qui arrêterait Mon
sieur l'Etat de refuser également les
billets de banque par trop chiffonnés
11 faut que cette mauvaise plaisante
rie cesse et nous comptons bien, si des
mesures plus tolérantes ne sont prises,
d'ici, la rentrée des Chambres, qu'un
de nos honorables fera de la nouvelle
question monétaire l'objet d'une inter
pellation.
situées dans les meilleurs districts proximité
d'écoles, d'églises et de chemins de fer
Pour tous détails s'adresser la Cie Im
mobilière et Agricole du Canada (Land
and Agricultural Cy of Canada) il, Place
Léopold, Anvers, ou 216 Portage Avenue
Winnipeg (Manitoba)
(On demande de bons Agents dans les
principaux centres agricoles belges).
sans purge et sans frais, par la délicieuse farine
de santé, la
Pour les convalescents, c'est la nourri
ture par excellence, l'aliment indispensable
pour réparer les forces épuisées par l'âge, le
travail ou les excès. Elle est aussi le meilleur
aliment pour élever les enfants, qui la pren
nent avec plaisir quand toute autre nourriture
leur répugne.
Vitry-les-Beins Marne, le 22 Octobre 1890.
Je fais personnellement usage de la Re-
valenta et la prescris mes malades, parti-
cuUèieuieiit dans les affections du tube diges-
tif, et dans tous les cas où il v a intérêt 5
soutenir et ranimer les forces des malades
j'en ai toujours obtenu les meilleurs résultats.
D1 L. Kavaid
Tours, le 2 Juillet 1891.
Messieurs, j'ai soixante-treize ans passés,
et ne pouvant plus rien digérer, par suite
d'une dispepsie déjà ancienne, je me suis
o mise, en Février dernier, au régime de la
Revalenta moins d'un mois après je man-
geais de tout comme, tout le monde, et rien
rie me faisait mal.
La Revalenta m'a empêché de mourir de-
puis dix-huit mois c'est la seule chose que
je puisse digérer.
H Caffino, Curé-doyen de Cette.
En boîtes de 2 fr. bO, 4 fr 50, 7 fr. 7b,
17 fr. bO 6 kilos, 40 francs Soit environ 10
c. le repas Envoi franco contre mandat-
poste E TIMMERMANS, 2, rue Houppe,
Bruxelles chez tous les bons pharmaciens et
épiciers.
Ypres. Libotte, pharm.
Dehouck, pharm.
Gaimant, pharm.
Déclarations du 20 au 27 Septembre 1907.
Naissances
Donleyne, Henri, rue des Boudeurs.
Depuydt, Maurice, chaussée de Dickebusch.
Landerwyn, Jérôme, rue Notre Dame.
Bodson, Pierre, chaussée de Menin.
Stratsaert, Adrien, chaussée de Zonnebeke.
-- Vandenabeele, Camille, chaussée de Lille.
Gobert, Robert, rue de Pilckem.
Verhaeghen, Wiifrid, rue Close. Frant-
zen, Jules, rue des Boudeurs. D'hooghe,
Simonne, rue des Trèfles. Ghesquiere,
Hélène, Cloître S1 Martin. Kerrinckx,
Julie, Hoornwerk.
Mariages
Declercq, Emile, ouvrier agricole,
Warnêton, et Landtsheere, Germaine, sans
profession, a Ypres. Pardoen, Arthur,
boulanger, Comines (France), et Moilez,
Enlalie, sans profession, Ypres.
Knockeart, Henri, menuisier, et Dobbelae-
re. Jeanne, sans profession, tous deux
Y'près.
Décès
Brigou, Edmond, 20 ans, ouvrier au
télégraphe, célibataire, rue de Menin.
Declercq, Antoine, 4 mois, rue Eigen Heerd.
Pourquoi la chicorée F. C. JACOBS est-elle la meil
leure Parce qu'elle est la plus pure.
a l'honneur do porter la connaÎBance
des habitants d'Ypres et des environs,
qu'il se charge des projets, des change
ments et de l'entretien des jardins et
serres, ainsi que pour l'ébranchage des
arbres fruitiers et d'ornement des
conditions très avantageuses.
Tous ces travaux peuvent se faire
par entreprise ou par journée.
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